Archives mensuelles : décembre 2016

Curieuse humanité !

Curieuse humanité effectivement qui n’a pas encore compris qu’elle est au plus profond d’elle-même dotée des mêmes capacités de création que Dieu !

Entendez bien, j’ai dit qu’elle en est dotée, ce qui ne veut pas dire qu’elle est Dieu, même si quelques-uns d’entre nous se prennent pur LUI !

Humanité qui ne croit plus en rien même pas en elle-même et qui rejette sans cesse ses propres responsabilités sur autrui !

Humanité qui ne croit plus en Dieu et encore moins au Père Noël !

Quand l’humanité regarde les conséquences de ses actions sur Terre et l’état de délabrement dans laquelle elle va la léguer aux générations futures, elle n’a qu’une idée, devant tant d’horreur, c’est d’en rejeter la faute sur les autres et surtout sur ce Dieu auxquels elle ne croit d’ailleurs plus ! Heureusement pour lui, Dieu a le dos large !

Le Père Noël est l’exemple même de notre capacité innée de création, au départ c’est un personnage né de notre imagination auquel nous avons donné corps !

Nos pensées, comme nos rêves sont les sources de nos créations les plus belles, elles ont inspiré les plus grands poètes, les plus grands musiciens, les plus grands artistes, les plus grands scientifiques…

Ce n’est pas parce que tu ne sais pas comment exprimer ce potentiel divin qui est ancré en nous que tu n’es pas aussi créateur !

En célébrant tous les ans le Père Noël, nous avons fini par rendre réel ce personnage de fiction, tous les ans tu peux voir s’opérer ses miracles ! Et toi,  adulte pourtant « très sérieux » que tu es devenue, tu cours, en cachette de tes enfants, les grands magasins, tu planques les cadeaux dans des lieux improbables, tu les déposes dans le plus grand secret aux pieds du sapin, auquel d’ailleurs tu as rajouté une crèche avec ses petits santons de la nativité ! c’est-y pas mignons ?

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Perpétuer le Père Noël, c’est perpétuer l’émerveillement !

Sais-tu que tu es un curieux personnage, qui dissimule aux autres ses croyances enfouies au plus profond de lui et auxquelles tu te voues corps et âme dans le plus grand secret de ton intimité personnelle et familiale, pour ne pas avoir l’air d’être différents des autres, ou du moins de ce que tu crois que sont les autres !

Les autres sont comme toi d’origine divine, c’est-à-dire, doté des mêmes capacités que toi, la seule différence entre toi et les autres, c’est que toi tu ignores tes capacités, et comme tu les ignores tu ne les utilises pas, et comme tu ne les utilises pas, tu penses que tout ce que je viens de te dire est foutaise !

Un autre exemple très parlant en ces temps de bouleversement !

Une grande majorité de l’humanité ne croit plus en Dieu, surtout lorsqu’elle observe, par le petit bout de la lorgnette (1), l’état de délabrement de la planète, ce qui voudrait dire, soit que Dieu n’existe pas, soit qu’il serait mort, ce qui revient au même !

Cette même majorité, qui se rend compte des horreurs qu’elle fait subir à notre planète nourricière, mais qui ne veut surtout pas reconnaître ou admettre qu’elle en est responsable, rejette sa propre responsabilité sur les autres en les « diabolisant » !

Comme c’est pratique de rejeter tout le temps la faute sur les autres, comme c’est reposant, du moins le croit-on !

Si vous avez suivi mon raisonnement de « créateur » que nous sommes tous, vous pouvez aisément comprendre que penser que l’autre est le diable, va avoir les mêmes conséquences que celles du Père Noël et que vous allez, que vous avez, que nous avons créé le Diable de toute pièce ici-bas !

Comme nous sommes TOUS créateurs au niveau de nos pensées de nos rêves… vous comprendrez aisément que la planche de salut de l’humanité n’est pas dans le camp de Dieu ni de Diable, mais bien dans notre propre camp !

Quand ? Mes bien chers Frères, Mes bien chères Sœurs allez-vous transformer vos pensées destructrices en pensées constructives, vos pensées de « Haine » en pensées de « Aime » !

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Comprenez-vous ?

Qui sème la haine récolte la Guerre !

Qui sème l’Amour récolte la Paix !

L’entendrez-vous avant qu’il ne soit trop tard ?

Le mettrez-vous en œuvre, pour vous sauver et sauver ainsi les générations futures ?

Permettrez-vous par vos pensées créatrices de recréer ce que nous avons détruit ici-bas par notre ignorance, « le paradis terrestre », dont nous n’avons pas été chassés par dieu, mais dont nous nous sommes privés par notre ignorance crasse ?

Il est temps mes bien chers frères, mes bien chères sœurs de grandir un peu, ne croyez-vous pas ?

Là où croît le péril… croît aussi ce qui sauve !

 

1) Métaphore: si vous utilisez normalement cet instrument, avec l’œil sur le petit bout (vous regardez bien alors « par le petit bout »), pour viser un objet relativement proche de vous, vous n’en verrez qu’une toute petite partie, démesurément grossie. L’objet étant vu à travers la lorgnette, vous n’en voyez que des détails et sa vue d’ensemble vous échappe. La métaphore de notre expression devient donc limpide.

Raymond MAGDELAINE

Le Mystère de la vie

La vie pour moi est la fois simple comme principe et compliquée comme concept à expliquer ou à transmettre.

Si nous faisons un petit retour en arrière sans rentrer dans les détails, l’homme descend dit-on du singe (du règne animal) l’animal avait en lui le principe de sa future évolution, il contenait l’embryon de l’homme.

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Nous sommes issues du règne animal, c’est sûr !

On peut donc supposer que le règne animal était contenu à l’état de projet dans la plante (le règne végétal) et que ce règne végétal devait être contenu lui aussi dans le règne minéral.

Oui je sais, raconté comme cela, c’est un raccourci saisissant, mais pas aussi saugrenu qu’en apparence.

Si je continue à raisonner à rebours, dans le règne minéral l’embryon devait être contenu dans quelque chose d’autre… que l’homme moderne et cartésien n’a pas encore découvert, mais qu’il soupçonne depuis la nuit des temps de l’humanité, car depuis son apparition sur cette terre il est le seul à avoir construit des mythes, des croyances, des religions, des sépultures, des temples… pour essayer de comprendre et d’expliquer l’origine de cette apparition de la vie et de la force créatrice qui lui permet d’évoluer et de s’adapter.

En clair l’homme cherche, depuis la nuit des temps, le grand architecte, le grand chef d’orchestre, celui dont ne peut pas prononcer le nom… celui que l’on n’a pas le droit de représenter… celui que d’autres appellent « Dieu » en occident, mais qui porte une multitude de noms ailleurs dans le monde.

La grande question que se pose l’homme, cette espèce issue de l’animal, dont il a hérité de certains comportements grégaires, et dont il a encore de nos jours, beaucoup de mal à se débarrasser.

« D’où vient ce potentiel énergétique capable de s’organiser en une multitude de formes vivantes et animées d’intentions, celles de croître de s’adapter aux conditions climatiques de la planète Terre, dont les anciennes traditions lui avaient donné le nom de “Gaïa”, une divinité qu’ils vénéraient et respectaient ? »

Vous allez me dire quel rapport avec la mort ?

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La mort : Passage d’un état en apparence solide à un état très subtil où tu peux laisser ta valise à l’entrée !

 Tout… tout ce que je viens de dire à un rapport avec ce que tu appelles la mort, puisque la mort c’est la vie éternelle !

Le principe de la vie contient la naissance, la vie ici-bas qui est basée sur une adaptation et une évolution constante, car l’homme contient et façonne l’embryon de la future évolution des espèces, évolution qui se termine par ce que nous appelons la mort.

Dans le principe de la vie, sous toutes ses formes, est contenu un autre grand principe, celui de l’impermanence. Le Dalaï-Lama dit ;

« Tout est impermanent (ici-bas), la seule chose qui soit permanente, c’est l’impermanence ! »

Je vous laisse méditer, aujourd’hui, sur cette quête incessante de l’homme !

Raymond MAGDELAINE

Qu’est-ce que la mort ?

D’après nos traditions, c’est une forme de « vie harmonieuse et remplie d’amour », dans ce que l’on nomme le « Royaume des cieux », offerte à tous ceux qui « aiment leur prochain ! » Uniquement ?

D’après les expérienceurs, dont tous les témoignages se recoupent, c’est une autre forme de vie dans un corps subtil, dans une « Lumière » jamais vue ici-bas, où un « Amour inconditionnel » règne, où nous sommes tous omniscients des choses du passé du présent et du futur… un monde que nous n’avons plus envie de quitter !

Que ce soit sous l’une ou l’autre vision de ce passage, je suis preneur… enfin lorsque mon heure sera arrivée… sans crainte… après avoir réglé mes dernières affaires courantes, dit aux autres combien je les aime, après avoir pardonné à ceux qui m’ont offensé et demandé le pardon à ceux que j’ai offensés !

Venons-en maintenant à des choses essentielles et posons-nous la question sur la signification profonde des deux épreuves communes à tous les êtres humains, que sont la naissance et ce que nous appelons ici-bas la mort ?

La naissance c’est, en simplifiant à l’extrême, le passage, d’une autre forme de vie, la vie intra-utérine, à une vie dans un monde plus vaste. Au moment de la naissance (de ce passage donc) l’enfant perd une partie importante et vitale de lui-même, le placenta, qui lui permettait de vivre dans ce monde aquatique. Il passe avec beaucoup de difficultés de douleurs et peut-être de souffrance par un tunnel sombre (l’utérus), accompagné de ses parents et de soignants, tunnel où il peut percevoir tout au bout une lumière (celle de la salle d’accouchement).

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Ce que nous appelons ici-bas la mort, là aussi en simplifiant et en employant le conditionnel, ne serait-ce pas aussi le passage du monde de la matière, vers le monde plus subtil de la lumière… si l’on en croit les expérienceurs et même les livres des grandes traditions. L’agonisant, vas perdre l’équivalant du placenta, son corps physique, passer souvent dans la douleur et la souffrance un tunnel, il sera lui aussi accompagné par sa famille, ses proches décédés, des soignants… Ce tunnel au bout duquel il accédera à un autre univers fait de lumière.

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Univers duquel si j’en crois d’autres traditions que la nôtre (taoïsme) nous venons tous !

Si tout ce que j’ai lu sur le sujet de la mort à la moindre chance d’être vrai, que cette dernière épreuve soit un passage vers autre chose et pas l’anéantissement du corps et de la conscience, même si cette hypothèse a une probabilité incertaine par notre connaissance, ce qui est moins le cas aujourd’hui. Doit-on empêcher un processus par un moyen ou par un autre d’aller à son terme pour une raison de croyance ou d’éthique personnelle ?

Aurions-nous l’idée d’empêcher les contractions d’avoir lieu sous prétexte qu’elles sont douloureuses pour la mère et le bébé ?

Pourquoi alors vouloir retarder ou pire arrêter un processus naturel que nous appelons la mort, sous prétexte que nous n’avons pas assez d’information pour être sûrs que c’est un processus d’anéantissement ou de vie sous une autre forme ?

Soulager la douleur est une chose, empêcher le processus en est une autre.

Raymond MAGDELAINE

La mission ou chemin de vie

      mission-de-vieLa mission de vie, plus qu’un métier, c’est la réalisation de soi au travers d’une activité. La fonction que vous occupez devient un moyen de vous épanouir en plus d’être un moyen de subsistance. C’est un accomplissement de vos capacités intellectuelles et spirituelles. Une compilation de vos savoirs faire et « savoir être ».

Les trois points qui sont principalement abordés dans la société actuelle avant que vous vous rendiez sur le « marché de travail », ce sont les études, l’apprentissage et l’expérience. Seulement, il est oublié un point crucial dans ce parcours, c’est votre aspiration, celle que j’appelle la « mission de vie ». A travers elle, il s’agit de définir ce vers quoi vous êtes le plus en adéquation, ce qui vous fait vibrer de joie et vous donne envie de vous lever  du bon pied chaque matin.

Cette notion a été oubliée du système éducatif qui s’est surtout appliqué à créer une main d’œuvre plutôt qu’un esprit d’entreprendre. Mais il n’y a pas d’âge pour l’acquérir cette ouverture d’esprit. Preuve en est, ces femmes et ces hommes qui organisent leur retraite à concrétiser tout ce dont ils ont rêvé faire pendant toutes leurs années en activité. Des voyages au cours de langue, des séminaires de bien-être à l’apprentissage de la peinture, ces personnes écoutent (enfin) leur « voie intérieure ».

Il y a cette idée communément répandue que vous devez travailler au service de l’état ou d’une entreprise au détriment de vos rêves et de vos projets qui pourront peut-être prendre forme plus tard. La plupart des personnes à qui l’on a détecté une maladie grave, ne voient pas les choses de la même façon. Certaines d’entre elles décident de faire de leur rêve la priorité et mettent en place une stratégie de vie différente. Leur objectif étant d’être heureux tout d’abord afin de se donner les moyens de guérir et surtout de profiter pleinement de chaque instant de la vie.

Car c’est aussi cela réaliser sa mission de vie, être présent à toutes les opportunités pour être heureux. Il est inutile d’attendre que votre corps vous force la main.

Plus vous êtes dans votre aspiration, plus la route devient simple, plus les solutions apparaissent évidentes. Même la dimension matérielle se clarifie.

Quand vous êtes dans votre « mission de vie », les opportunités financières sont enfin visibles. Vous pouvez les saisir en toute confiance et agir dans la sérénité.

Le phénomène de crise actuelle oblige la plupart nathalie-bodind’entre vous à prendre un emploi dans un contexte de peur et de contrainte. Cette voie mène souvent au mal être, se répercutant sur votre vie de famille et votre santé. Se mettre dans sa mission de vie est un acte altruiste. Quand vous êtes épanoui et heureux dans votre activité alors une énergie d’amour et de bien-être se répercute autour de vous. Votre entourage profite pleinement de votre bonheur.

Un dernier éclairage important, votre mission de vie ne dépend de personne. Elle est en vous, cachée sous des émotions négatives comme la culpabilité ou la colère. Et vous pouvez la faire surgir en utilisant cette méthode incroyablement efficace qu’est Ho’oponopono. Les peurs peuvent disparaître rien qu’en récitant ces trois mots « pardon, merci, je t’aime ». Aujourd’hui, vous pouvez commencer à entrer dans vos rêves en nettoyant toutes ces émotions qui vous paralysent. Dites en vous-même cette formule d’amour dès que les craintes et les angoissent surgissent. Ensuite ressentez votre projet se matérialiser.

       Et si vous n’avez pas de but particulier, laisser le vide se faire en vous, toujours avec Ho’oponopono, et écouter l’inspiration vous murmurer les pistes qui vous guideront vers votre mission de vie.

Nathalie BODIN

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