Il est ce que nous voulons qu’il soit

Il, c’est « Dieu » bien sûr, qui est-ce que nous pensons qu’il EST, ou que nous voulons qu’il SOIT !

Tu pourrais être moins laconique Raymond ?

Si tu veux, autrement dit « Dieu » est ce que tu penses de lui, ou si préfère tu es le seul à connaître l’idée que tu t’en fais, je te donne quelques exemples pour clarifier le fond de ma pensée :

  • Si tu penses ou tu crois qu’il n’existe pas, il n’existe pas pour toi !
  • Si au contraire tu crois qu’il existe, il existe vraiment pour toi !
  • Ce que tu crois devient ta réalité, ton point de vue… pour l’instant !

Pourquoi ajoutes-tu pour l’instant ?

Parce que dans la vie rien n’est figé, tout évolue, tout croit ou décroit, rien n’est jamais statique, tout est en mouvement, même nos croyances !

Petite précision, qui a son importance, il n’y a pas que les religions qui sont à la base de nos croyances, TOUT contribue à formater nos croyances à leur faire prendre forme, j’aime beaucoup dire ; « qu’un non-croyant, qui s’affirme comme tel, est un croyant qui s’ignore ! » et l’inverse peut se produire, à tout moment de notre vie, lorsque nos croyances sont soumises à rude épreuve par ce que la vie nous fait expérimenter !

Il fût un temps ou la majorité des gens croyaient, dur comme fer, «si je mens je vais en enfer» que la terre était plate !

Il fut un temps où l’on pensait, que l’homme était de toutes les espèces de la création, la plus intelligente !

Pour ceux qui sont capables de voir sans œillères la réalité de notre espèce, ils peuvent tirer le constat, non pas que l’homme est stupide, mais qu’il utilise très mal son intelligence. Être intelligent, c’est sûr l’homme l’est, qu’il sache l’utiliser avec intelligence, c’est moins sûr ! Les apparences semblent plutôt indiquer qu’il l’utilise à mauvais escient !

Pour en revenir au souffle de l’apparition de la vie, car tout est vie, la preuve c’est que tout né, tout croit, tout décroit et tout meurt !

La croyance au souffle divin à l’origine de tout ce qui existe, reviens au travers d’une voie, la science, qui au début s’était séparée de la religion, jugée trop enfantine, trop puérile et sûrement aussi trop autoritaire.

Les scientifiques se posent à leur tour, de manière très légitime, les questions existentielles que s’est toujours posées l’humanité !

big bang

À l’apparition de notre univers qu’ils ont baptisé Big-Bang, TOUS s’accordent à dire que la lumière fût fulgurante, fiat lux disait la religion !

De plus en plus de scientifiques très sérieux, croyants ou pas croyants, s’autorisent à penser qu’a l’origine du Big-Bang, existe ou doit exister, ce qu’ils appellent l’Information, le verbe disait la religion !

Le verbe comme l’information, ne peut se concevoir que si derrière ses deux mots il existe une conscience une forme d’intelligence, la religion dit ; « et le verbe était Dieu » la science dit : « l’information est de forme mathématique » !

Je vous ferais remarquer humblement que le concept de « Dieu » et celui des « Mathématiques » sont deux concepts immatériels, ils sont une convention de l’esprit très créatif, très inventif de l’homme, ils sont en quelque sorte une vue de son esprit, une sorte de rêve, une illusion, une création de l’intelligence dont est doté si généreusement l’homme !

Alors, que tu sois croyant ou pas croyant, les deux sont le fruit de ce que tu souhaites croire, qui au départ n’est qu’une idée, très vague, impalpable, qui se forme en toi, et qui, si tu es pugnace, finit par devenir une réalité palpable !

Notre réalité quotidienne, n’est pas créée par celui que j’ose encore de nos jours, appeler « Dieu » qui n’est qu’une conscience inspirante qui n’est pas de notre réalité matérielle, cette réalité n’est créée que par nous, par nos pensées, par nos croyances, nous ne récoltons que ce que nous semons !

  • Prétendre que « Dieu » existe, n’est pas une preuve qu’il existe, ce n’est qu’une croyance !
  • Prétendre au même titre, qu’il n’existe pas, n’est pas une preuve, c’est une autre forme de croyance !

Le fait est que la vie sous toutes ses formes est un mystère, dont l’homme, qui sort à peine de sa phase de l’enfance, commence à percevoir sous un autre angle, car sa croissance a changé radicalement son point de vue, qui ne fait que s’élever, que croitre, et qui demain, dans sa phase d’adulte responsable (enfin je l’espère) il changera de point de vue, plus large, forcément, puisqu’il s’élève !

Lui, ce principe divin, cette supra conscience, porte depuis la nuit des temps de l’humanité des noms aussi divers, que variés, pour le désigner, chercher à se l’approprier ou à le nier sont des réflexes puérils qui indique que l’humanité est encore dans sa phase immature !

Mais surtout, sache, que se forger sa propre opinion est le chemin vers la maturité, emprunter l’opinion des autres c’est se soumettre à leurs dictats et comme le répétait souvent Jacqueline Bousquet dans ses conférences ;

« Si je ne pense pas par moi-même, c’est l’humanité qui pense pour moi ! »

Raymond MAGDELAINE

Les rois mages

D’après ce qui serait une légende, trois savants, trois scientifiques de l’époque, des mages, des rois dit la légende. Observent depuis un certain temps dans le ciel ce qui serait l’annonce d’une prophétie, celle de la naissance, en Judée, du côté de Bethléem, d’un enfant roi !

Ces trois rois mages sont ou seraient originaire d’Asie.

Dans le ciel, depuis un certain temps ils observent un phénomène curieux, pour l’époque, un alignement de trois étoiles, dont l’une est une planète connue sous le nom de l’étoile du berger, ou de Vénus. Cet alignement en astronomie ne se produirait que tous les trois mille ans !

La prophétie, que ces trois mages d’Asie ont étudiée, annonce la venue sur terre, d’un enfant roi ; le plus humble des enfants, le plus humble des rois, issue de la caste la plus basse, et déjà en ce temps-là aussi la plus méprisée, hélas !

Vous les connaissez tous, ils s’appellent Melchior, Balthazar et Gaspard, ils décident de partir rapidement pour la Judée afin d’être sur place pour vivre cet événement qu’ils considèrent comme majeur, avec dans leurs bagages trois cadeaux symboliques pour la venue très proche, d’après leur calcul, de cet enfant roi.

C’est une légende dis-tu ?

Peut-être bien que oui, peut-être bien que non, c’est un épisode qui figure dans l’évangile selon Mathieu, et puis cet alignement des trois étoiles a été prouvé scientifiquement à une époque assez proche de la naissance de Jésus. Mais oui je t’avouerais humblement que ces faits rapportés font encore polémiques de nos jours, mais les polémiques ne sont pas la preuve que ce n’est qu’une légende !

Mais je me moque de la polémique, elle est toujours stérile et toujours le prétexte pour donner raison à un clan plutôt qu’à un autre avec pour seule vérité l’affirmation absolue que c’est un camp, le sien, bien sûr, qui la détient !

C’est donc pour moi sans intérêt aucun, je me fie plutôt à mes ressenties, à mes intuitions, qui elles ne m’ont jamais trahie !

La légende populaire dit que ce jour-là, au-dessus de Bethléem, brillait, plus que partout ailleurs, une étoile qui attira tous les bergers des environs autour d’une étable où venait de naître cet enfant, il se sont rassemblé, dit l’évangile de Mathieu sur l’invitation d’ un ange ou d’un archange qui annonçait à la cantonade la venue au monde de l’enfant roi !

étoile de Bethléem

Les mages qui étaient eux aussi sur place après leur long périple, déposèrent au pied de la crèche ou dormais l’enfant, entouré de Marie sa jeune mère et de Joseph qui avait accepté de légitimer cet enfant du nom de Jésus, déposèrent trois présents, trois offrandes symboliques ; de l’or pour le Roi de tous les rois, de l’encens, pour le Prêtre de tous les prêtres, et de la Myrrhe pour honorer l’Homme venu parmi les hommes !

À cette légende, la tradition ou plutôt les diverses traditions dites païennes, parle d’un quatrième roi mage du nom de Père-Noël, dans notre tradition.

Le Père-Noël, qui perpétue depuis la tradition de l’offrande de cadeaux symboliques, eux aussi, qu’il dépose au pied d’un sapin pour honorer les enfants rois, le 25 décembre, jour arbitrairement décidé par le Pape « Libère », pour trancher sur la polémique sans fin du jour exact de la naissance de Jésus.

Si tout ceci est une légende pour débile mental, ou pour les enfants, dis-moi pourquoi tu perpétues, encore plus de 2015 ans après, ce conte à dormir debout d’un enfant roi ?

Oui, dis-moi pourquoi tu le fais encore « machin » ?

Comment… tu ne sais pas !

Ah bon, tu ne sais pas mais tu oses porter tout de même un jugement ?

Raymond MAGDELAINE

A tous ceux qui souffrent

Pensées pour toutes les victimes de l’ignominie des hommes, pensées et réconfort pour tous ceux qui
les pleurent !

Hommes de bonnes volontés unissons-nous dans une prière issue du cœur pour que cesse toutes les tueries de nos frères et de nos sœurs de la terre !

compassion

Les chroniques de « l’âme-hors » vont se taire pendant trois jours pour une prière silencieuse, l’une des plus puissantes forme de la prière !

FlammePensées d’amour et de compassion !

Une bougie, plus significative (à mon sens) qu’aucun drapeau, brulera pendant trois jours en signe
d’amour et de compassion pour les victimes !

Raymond MAGDELAINE

Au-delà des apparences

Pour découvrir la beauté de l’âme de ceux qui nous entourent, les meilleurs comme les pires il nous faut apprendre à porter notre regard au-delà des apparences !

Pour illustrer mon propos de ce jour, je vais te raconter un épisode d’une histoire dite de fiction, celle d’Anakin Skywalker, cet apprenti Jedi, annoncé par ses maîtres comme « l’élu » potentiel.

Anakin à des capacités très supérieures aux autres Jedi, il fait des rêves prémonitoires qui annoncent la perte d’êtres chers, cela commence par celui de sa mère, qu’il va tenter de sauver sans y parvenir, à son plus grand désespoir, désespoir qui va faire basculer sa destinée du côté obscur de la force.

Il a pourtant des principes Anakin, ceux des Jedi, ceux de la justice face à l’injustice, celui du service sans concession à ce qu’il appelle la « Force » la « Lumière » par opposition au « côté obscur » !

sabre laser
Le sabre laser symbole de l’épée de l’Archange Michaël ?

Il est fidèle à ses maîtres, à tous leurs principes fondamentaux, il est honnête, et amoureux d’une femme, Padmé Amidala, de qui il aura deux enfants, Luk et Leia !

Seulement voilà il rencontre lors de ses missions, un être obscur, animé par le pouvoir qui va l’entrainer à sa perte, le sénateur Palpatine (un politique, comme par hasard !)

Un second rêve prémonitoire, lui aussi, lui annonce la perte de sa bien-aimée, il ne supporte pas l’idée d’être comme pour sa mère impuissant à la sauver, il l’aime plus que tout au monde !

C’est pour elle, pour la sauver, qu’il va se laisser berner par Palpatine qui lui fait miroiter la puissance du côté obscur, capable lui dit-il ; « de sauver ta bien-aimée » !

C’est par amour pour elle qu’il va basculer du côté obscur, Padmée qui l’aime toujours, à bien compris elle, qu’il n’est pas complètement mauvais, qu’il y a du bon en lui, et que c’est son impuissance à sauver ceux qu’il aime qui l’ont aveuglé !

Son fils Luk aussi le sait, il sait instinctivement que son père le puissant Dark Vador a encore du bon enfoui tout au fond de lui.

Luc va se fier à ses ressentis et laisser Dark Vador écouter parler son cœur de père et le laisser le sauver du sinistre Empereur Palpatine !

Avec cette réplique significative qui signe définitivement la rédemption de Dark Vador, qui répond à Luc, qui lui disait ; « j’aurais tant voulu vous sauver Père », « Mais tu l’as déjà fait mon fils ».

Dark Vador, le dragon, qui sommeille en nous ?
Dark Vador, le dragon, qui sommeille en nous ?

Une fiction dis-tu ! Tu es sûr ?

Je connais plein de réalité du même genre que cette fiction, vois-tu, qui entraine ici-bas un grand nombre de personnes du côté obscur !

Encore une fois, ôte tes œillères, et prend conscience que derrière TOUTES les apparences se cache un Dark Vador potentiel qui par son repentir peut revenir du côté de la « force » !

Arrête de porter un jugement seulement sur les apparences, apprends à découvrir ce qui se cache, de beau et de bon, derrière elles !

Raymond MAGDELAINE

Colibri je suis !

Tu vas me dire, Raymond, avec tes dernières chroniques, tu t’éloignes du sujet de ta chronique « l’âme-hors » !

Non, pas vraiment, car vois-tu, sans être devin, je vois bien que si nous ne modifions pas nos comportements, les âmes incarnées de toutes les espèces, vont quitter leur forme, pour retourner à la source !

Oui, mais il n’y a pas le feu au lac, comme tu le dis, ce n’est pas pour tout de suite, nous avons le temps, tu es pessimiste Raymond !

Pessimiste NON, observateur OUI, regarde bien sans tes œillères et constate ce que tout le monde peut constater. La sixième extinction est en cours, ce n’est pas moi qui le dis, Hubert Reeves et d’autres l’affirment preuves à l’appui ; les forêts, poumon de la planète, les poissons de toutes les mers et océans, toutes les espèces animales, tous les insectes, les vers de terre, essentiels à la confection du terreau nourricier, même des êtres humains ont d’ores et déjà disparu, certes pas encore complètement, mais le processus est en marche !

Ici-bas j’accompagne les âmes qui sont dans leur dernière transition, pour leur faciliter l’entrée dans la lumière, lumière dont nous sommes tous issus, mais j’accompagne aussi les âmes encore incarnées ici-bas, pour qu’elles ne précipitent pas, d’une manière ou d’une autre, leur dernière transition, c’est ce que j’essaye de faire avec ces chroniques !

colibri
Soyons TOUS des Colibris !

Colibri je suis, colibri j’agis… tu trouveras surement que ce que je fais est dérisoire face à l’ampleur d’une catastrophe annoncée depuis plus de trente ans, certes, je me rends bien compte que cela ressemble bien à la goutte d’eau du colibri pour éteindre l’incendie, mais comme lui, je fais ma part !

Et toi qui à la critique aisée du tatou de la légende, toi qui te gausses de mes insignifiantes actions, que fais-tu, à part te gausser ?

Les palabres de la COP 21 approchent, 147 chefs d’État vont essayer de mettre en œuvres des mesures pour essayer d’enrayer la catastrophe, pendant que d’autres dans l’ombre, vont exercer leur pouvoir en les contraignants à ne pas les mettre en œuvre pour ne pas les priver de leurs profits exorbitants, mettant ainsi toute l’humanité en grand danger de disparition !

Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu donc rien venir, es-tu aveugle à ce point, ne te sens-tu donc pas responsable de l’héritage pourri que tu vas léguer à tes enfants et petits-enfants, ton cœur est sec, ta jugeote amoindrie par les inepties distillées par les vaisseaux des supers prédateurs ?

Comme le dit Hubert Reeves, c’est grâce à son intelligence supérieure aux autres espèces, qu’il ne craint plus, que l’homme est devenu son principal prédateur !

Serons-nous assez intelligents, pour empêcher notre intelligence de nous détruire, sinon, c’est la preuve que nous ne sommes pas aussi intelligents que nous le prétendons ?

Moi je pense que l’Homme nouveau, qui est déjà ici-bas, va être capable, d’utiliser son intelligence, pour se protéger et se sauver de lui-même !

Je ne sais pas si je suis cet Homme nouveau capable de mettre son intelligence au service des autres, mais le petit colibri que je suis à l’intention de mettre son intelligence, au service de ceux qui tentent de transformer une humanité anesthésiée en Humanité consciente que sa survie est contenue dans sa contribution à préserver l’équilibre fragile de la Vie sous toutes ses formes, même la plus insignifiante en apparence !

Ce qui fait la force d’un colibri c’est sa persévérance à mettre en œuvre des solutions en accord avec l’indispensable symbiose de tout ce qui contribue à l’évolution, l’adaptation et la croissance de toutes les formes de vie.

Colibri je suis, colibri je serai contre vents et marées !

Note : ceci clôture mes tentatives épistolaires de transformer les consciences endormies ou bercées par le mensonge, en consciences capables de se prendre en charge et de contribuer chacune à leur manière au changement salutaire !

Raymond MAGDELAINE

Frère des hommes !

Frère ou sœur, je parle ici de l’espèce humaine, celle de nos jours, celle qui est, ou plutôt, qui se croit séparée des autres. Celle qui se croit française, ou parisienne, celle du 16e arrondissement, celle de la rue Lepic, ou celle qui vit dans un carton d’une impasse de cette même rue ou d’une autre !

Espèce qui se croit différente de celui ou celle qui habite boulevard des Maréchaux, ou de ceux de Bois colombe… pire encore, de ceux qui sont Bruxellois ou Londoniens… pire encore de ceux qui ne sont pas tout à fait de la même couleur ou qui ne parle pas la même langue… pire encore de ces sauvages qui vivent encore tout nus dans des contrées ou il n’y a même pas un troquet ou une mob à chouraver !

Depuis combien de temps cette pauvre humanité se croit elle séparée et différente de TOUS et de TOUT !

Depuis des lustres, depuis son apparition sur la terre, dont elle a cherché à s’approprier un secteur, une région, fertile ou giboyeuse autant que possible, une zone géographique plus étendue, un continent… la terre entière… certains songent même à la Lune pour ses richesses minérales potentielles ou à Mars, comme planète de secours, au cas où ici ce ne serait plus vivable !

terrien
Je suis terrien !

Mon prêche :

Ne vois-tu pas mon frère, ma sœur, que nous appartenons tous à la même espèce, l’être humain ?

Ne vois-tu pas ma sœur, mon frère, que nos différences apparentes font notre richesse ?

Ne sens-tu pas que nous sommes TOUS les enfants de la terre ?

Ne te rends-tu pas compte que nous faisons partie intégrante de sa biodiversité ?

Ne pressens-tu pas qu’il est indispensable que nous contribuions à son équilibre plutôt qu’à sa destruction, qui conduit inéluctablement à notre destruction ?

Ne comprends-tu pas ami que nos querelles nos guerres sont une forme d’un suicide collectif ou prennent la forme d’un immonde Holocauste ?

Ne comprends-tu pas, ne veux-tu rien comprendre ou te refuse tu as voir les choses comme elle sont ?

La souffrance, la douleur, l’horreur, le deuil a frappé la capitale de notre pays, est-ce pour autant différent de ce qui est vécu ailleurs, je te le demande ?

Alors pourquoi n’es-tu que français ou que parisien, ne te sens-tu donc pas concerné ou affecté par ce qui arrive ailleurs ?

Pourquoi continues tu par ignorer tout ce qui est extérieur à ton petit univers, ne te sens-tu pas faire partie, au plus profond de toi, du GRAND TOUT, de l’unité, de la solidarité, de la compassion pour autrui ?

Te sens-tu à ce point aussi différent des autres ?

Te prends-tu pour le Phénix des hôtes de ces bois ?

Es-tu un demi-dieu, un être supérieur qui dédaigne se mélanger avec les « intouchables» (1) ?

Es-tu sorti de la cuisse de Jupiter ?

Comment ? Tu trouves que mon prêche est un peu virulent à ton encontre ?

Oui, tu as parfaitement raison, mais c’est parce que je t’aime, et que je suis consterné de te voir participer consciemment ou inconsciemment à l’Holocauste de notre espèce et des autres dont tu te rends bien compte qu’elles disparaissent vitesse « grand V », non ?

Vas tu te réveiller pendant qu’il en est encore temps ou attend tu en te lamentant comme le « tatou » de la légende, qu’on ne puisse plus rien faire !

Je vais te dire les choses crument, si c’est le cas, suicide-toi si tu es dépressif, mais n’entraine pas les autres dans ta désespérance !

Oui je sais ! C’est très violent ce que je viens de te dire, mais tu ne sembles pas encore avoir bien compris que les autres pourraient, si tu ne les ignorais pas, être ton unique planche de salut !

S’il te plait, mon frère, s’il te plait ma sœur, secoue-toi, aide-nous, aide ceux qui pense que notre avenir est entre nos mains, prends-toi en charge, « On n’est jamais si bien servi que par soi-même ! »

Ne laisse pas les prédateurs te maintenir sous leur domination, soit « colibri » mon ami terrien, participe à ta résurrection à notre résurrection !

Raymond MAGDELAINE

(1) Intouchables, Parias (désignation obsolète), Dalits, ou Harijans sont en Inde un groupe d’individus exclus du système des castes (stricto sensu, ils sont considérés à proprement parler comme « hors du système des castes » au même titre que les populations aborigènes du pays ou les étrangers).

Quel avenir souhaitons-nous ?

En cette période, ou la COP 21 s’apprête pour la « énième » fois à évoquer des résolutions URGENTES, à mettre en œuvre RAPIDEMENT, si nous ne voulons laisser en héritage aux générations futures une planète ou la Vie ou plutôt la « survie » sera de plus en plus difficile !

L’Astrophysicien Hubert Reeves, va dans cette conférence de 2012, vous raconter deux histoires vraies :

Hubert-REEVES

La très belle histoire, de la formation de l’univers jusqu’à nos jours et celle de l’évolution la plus aboutie, mais non finie, de l’espèce humaine.

L’histoire moins belle, de la destruction par cette espèce-là plus aboutie de la création, de la branche sur laquelle elle est assise, objet de cette enfumeuse COP 21, dont j’aimerais bien connaître le coup réel de son empreinte écologique !

Sa conférence sans concessions sur les activités désastreuses de notre espèce est d’après lui tout de même porteuse d’une solution qu’il évoque par cette citation :

Là où croît le péril, croit aussi ce qui sauve !

La conférence d’Hubert Reeves

Nous sommes à la fois responsables de cette situation désastreuse, même si nous ne sommes pas directement responsables du pillage outrancier de la planète, nous y contribuons tout de même largement, par nos comportements de consommateurs de biens dont nous n’avons pas vraiment besoin et aussi par notre état de sidération ou de fatalisme face à cette menace qui est de plus en plus présente et qui continue de s’aggraver inexorablement.

La citation, ou plutôt la constatation, la plus importante, me semble-t-il de sa conférence, est celui des conditions essentielles à la survie d’une espèce sur cette terre est celle-ci :

Pour survivre ou s’adapter aux conditions de vie de la terre, il faut que les espèces reçoivent d’une main (c’est une expression), mais donnent de l’autre, la survie est conditionnée aux échanges favorisants l’équilibre !

Que donnons-nous en échange de ce que nous prélevons sur cette planète pour ne pas en bouleverser les équilibres, qui comme tout équilibre sont fragiles ?

Rien !

Nous pillons notre patrimoine sans rien donner en échange !

Après moi le déluge, j’entends certains d’entre vous qui le murmurent ou qui le pensent si fort que mes oreilles en frémissent !

J’entends aussi « Mais que pouvons » nous faire Raymond, pour résoudre un problème qui a pris cette ampleur, nous ne sommes pas un demi-dieu comme Hercule ! Tu vois bien Raymond que nous sommes impuissant ?

Vous êtes, nous sommes impuissants parce que nous ne faisons que nous lamenter, nous sommes, impuissants, si nous ne nous décidons pas à faire notre part de colibri, pas celle d’Hercule, celle du colibri de la légende (A relire) !

Réfléchit bien, toi qui est chargé(e) de famille toi qui est grand parent, a ce que tu vas léguer en héritage à tes enfants et petits-enfants, prends bien le temps de la réflexion !

Dans cette conférence Hubert évoque le côté magique de la création, qu’il nomme très pudiquement « nature » !

Une question va le contraindre de « bon gré » à évoquer, sans le nommer, « Dieu » !

Ce Dieu, qu’il appelle « sens de la Vie », est commun à toute l’espèce humaine, et ceci depuis la nuit des temps de l’humanité, son « nom » est fonction des cultures et des ressentis de chacun, ce n’est d’ailleurs pas ce qui est le plus important, ce qui est important, c’est le « sens » que chacun de nous va mettre derrière cette « évidence » d’une « conscience transcendantale » universelle !

Conscience, qui donne du sens à la vie, qui la colore et lui donne toute sa saveur, sans cette conscience, elle n’a plus de sens et entraine dans tous les cas, sa fin prématurée et volontaire !

Hubert dit en conclusion, que l’espoir repose en nous, si nous prenons conscience de notre pouvoir à changer nos comportements, l’éducation que les parents doivent donner aux générations montantes est la clé de voute de la transformation de la petite humanité en Humanité, de l’humanité qui se cherche en Humanité qui se trouve, c’est-à-dire en Humanité responsable de ce qu’elle sème et donc consciente de ce qu’elle récoltera !

L’humanité doit être consciente de ce qu’elle est, de ce qu’elle fait, de ce qu’elle reçoit et de ce qu’elle redistribue, elle doit être consciente que toutes les autres formes de vies sont indispensables à sa croissance à sa pérennité !

Imagine la puissance de plus sept milliards d’individus, « conscients » qu’ils doivent contribuer à l’équilibre fragile de notre planète nourricière, seule, à notre connaissance, au milieu d’un incommensurable désert sidéral !

Non, honnêtement, tu ne peux pas, nous ne pouvons, ne pas être responsable de nos actes !

Réfléchis, réfléchissons ! Pas trop longtemps, car il y a le feu au lac !

Raymond MAGDELAINE

La vraie nature de l’Homme

Je voudrais revenir sur les faits du 13 novembre à Paris, non pas pour « revivre » (1) l’horreur, mais pour vous dévoiler ce que chacun de nous peut percevoir dans la vraie nature des « Hommes » (l’espèce) au travers d’actes vraiment héroïques !

Voici deux « héros » qui ne savaient pas qu’ils en étaient et même qui se refusent de l’être !

Le premier, Sébastien, qui poussé par un instinct de « peur » salutaire appelée « survie » se retrouve sur la margelle très étroite d’une fenêtre du premier étage du Bataclan, à l’autre fenêtre, poussée par le même instinct une jeune femme enceinte se trouve elle suspendue au-dessus du vide de la rue.

Elle appelle à l’aide pendant de longues minutes, qui ont dû lui paraitre des heures, sans réponse, les gens sont eux aussi préoccupés par leur instinct de survie et ne l’entendent pas !

Sébastien lui l’entend, et se dit qu’il ne peut pas la laisser comme cela encore longtemps, il voit bien qu’elle est à bout de force.

Malgré les tirs qui ont encore lieu, malgré sa peur, il rentre dans la pièce se dirige vers la fenêtre de la jeune femme et la hisse à l’intérieur de la pièce, la sauvant ainsi.

FEMME-ENCEINTE

Miraculeusement ils s’en sortent tous les deux, preuve s’il en faut une, qu’un bienfait est, toujours ou parfois, récompensé !

Ici c’est vraiment un acte courageux où malgré la peur, malgré le danger toujours présent, un être humain se dit qu’il ne peut pas rester sans rien faire et surtout qu’il est pratiquement le seul à pouvoir le faire, alors, il ose, mettre en péril sa propre existence pour porter assistance à quelqu’un à bout de force, pour ne pas avoir le regret, plus tard, ne pas l’avoir fait.

Le vrai courage c’est de faire ce que l’on a faire sans se poser de questions existentialistes, ici c’est l’urgence qui compte, c’est un acte non réfléchit, sinon, nous ne le faisons pas ! C’est pour cette unique raison qu’ils ne se prennent pas pour des héros, qu’ils ne veulent pas être étiquetés héros, car au fond d’eux même ils sentent tout le dilemme qui les a poussés presque malgré eux à agir.

C’est cela un héros un vrai, celui qui agit instinctivement malgré ses peurs, le héros c’est celui qui les surmonte !

Le second, Antoine, n’est pas impliqué directement, il va apprendre par un appel téléphonique d’un de ses amis que son épouse git, à côté de lui, blessée (son ami ne sait pas que les blessures de son épouse sont graves).

Sa vie bascule, il va chercher toute la nuit dans les hôpitaux parisiens son aimée Hélène qui lui a donné un petit garçon il y a 17 mois Melvil. L’angoisse au corps, la peur au ventre, de perdre son amour, il va passer toute sa nuit à la chercher.

Lorsqu’enfin il la trouve, Hélène a malheureusement rendu l’âme à Dieu !

Effondré, il rentre chez lui pour s’occuper de son fils qui dort, ne pouvant dormir il va écrire une lettre à l’attention des assassins (Vous n’aurez pas ma haine) !

Lui aussi à sa manière est une sorte de héros, qui se refuse catégoriquement de se laisser entrainer, dans l’engrenage vicieux de la haine qui engendre la haine. Antoine sait, instinctivement, que ce n’est pas la réponse à la situation dramatique qu’il vit et qu’il ne veut pas communiquer cette haine à ce qui lui reste de plus précieux d’Hélène, leur fils !

Surmonter, sa haine, sa colère légitime, est une autre forme de l’héroïsme ! C’est pour moi le signe que la nouvelle Humanité est bien là, présente sur cette terre de souffrance. C’est cette nouvelle Humanité qui est porteuse des graines qui vont transformer la manière, dont les hommes, et les femmes de demain vont aborder la Vie, vont transformer leur manière de vivre ainsi que celle de cette nouvelle humanité !

Visionnez son poignant témoignage

Deux actes, où deux hommes, mais il doit y en avoir eu d’autres, qui ont réussi à transcender leurs comportements ordinaires en les sublimant !

Je voulais ce matin rendre un hommage discret, pour ne pas les gêner, mais sincère, à ceux qui ont compris le véritable sens de la vie. La vie est SACRÉE, ceux qui ne la respectent pas ne sont pas dignes de respect, quel que soit le motif qui les anime !

La vie est d’essence divine, ceux qui ne la respecte pas, ne savent pas, ou ont oublié qu’ils sont eux aussi d’essence divine, mais que cette divinité ne leur donne pas le droit de l’ôter à autrui !

Je ne sais pas si Antoine aura la force de ne pas « sombrer » dans le côté obscur de la force qui nous nous habite tous, mais c’est ce que je luis souhaite du plus profond du cœur en lui disant « Antoine, je vous offre tout mon AMOUR ! »

Pensées d’AMOUR que j’adresse aussi à tous CES HÉROS, qui ne souhaitent pas qu’on parle d’eux en tant que tel, c’est d’ailleurs à cela qu’on reconnaît les vrais !

(1)  « Revivre» les journalistes ferait bien de tourner sept fois leur plume dans l’encrier avant d’écrire leur texte dans les journaux papier ou en ligne ! Mais bon, l’erreur est humaine !

Raymond MAGDELAINE

Le sage des montagnes

Poème d’Oriah Mountain Dreamer

american-indian-elderLe sage des montagnes !

« Je ne m’intéresse pas à la façon dont tu gagnes ta vie, Je veux savoir à quoi tu aspires, et si tu oses rêver de réaliser le désir ardent de ton cœur.

Je ne m’intéresse pas à ton âge. Je veux savoir, si pour la quête de l’amour et de tes rêves, pour l’aventure de te sentir vivre, tu prendras le risque d’être considéré comme fou.

Je ne m’intéresse pas aux astres qui croisent ta lune. Je veux savoir si tu as touché le centre de ta propre souffrance, si les trahisons vécues t’ont ouvert, ou si tu t’es fané et renfermé par crainte de blessures ultérieures.

Je veux savoir si tu peux vivre avec la douleur, la tienne ou la mienne, sans t’agiter pour la cacher, l’amoindrir ou la fixer.

Je veux savoir si tu peux vivre avec la joie, la tienne ou la mienne, si tu oses danser, envahi par l’extase jusqu’au bout des doigts et des orteils sans être prudent ou réaliste et sans te souvenir des conventions du genre humain.

Je ne m’intéresse pas à la véracité de l’histoire que tu racontes. Je veux savoir si tu es capable de décevoir quelqu’un pour rester fidèle à toi-même,si tu supportes l’accusation d’une trahison, sans pour autant devenir infidèle à ton âme.

Je veux savoir si tu sais faire confiance, et si tu es digne de confiance. Je veux savoir si tu peux voir la beauté, même lors des jours sombres et si tu peux trouver la source de ta vie dans la présence de cette beauté.

Je veux savoir si tu peux vivre avec l’échec, le tien ou le mien, et malgré cela, rester debout au bord du lac et crier : “Oui !” au disque argenté de la lune.

Je ne m’intéresse pas à l’endroit où tu vis ni à la quantité d’argent que tu as. Je veux savoir si après une nuit de chagrin et de désespoir, tu peux te lever et faire ce qui est nécessaire pour les enfants.

Je ne m’intéresse pas à ce que tu es, ni comment tu es arrivé ici. Je veux savoir si tu peux rester au centre du feu avec moi, sans reculer.

Je ne m’intéresse pas à ce que tu as étudié, ni où, ni avec qui.Je veux savoir ce qui te soutient à l’intérieur, lorsque tout le reste s’écroule. Je veux savoir si tu peux être seul avec toi-même, et si tu aimes véritablement la compagnie de tes moments vides »

A méditer !

Raymond MAGDELAINE

La Foi

Tu nous as un peu embrouillé hier Raymond dans ta chronique en assimilant la Foi au concept de l’Information, du Verbe, du Grand esprit, du Prana, du Ki… tu ne mélanges pas tout Raymond ?

Oui et non (non, je ne suis pas Normand), la foi fait partie du TOUT, elle y est intimement liée, elle est inextricablement intriquée au grand TOUT.

L’homme l’a séparé dans son langage, il a cherché à lui donner une définition précise et rigoureuse (c’est un laborieux l’homme !), il a cherché à l’extraire, à l’isoler, il a cherché à se l’approprier, tant et si bien qu’il en a perdu le sens fondamental !

La FOI est intégrée au souffle divin, comme y est intégré, l’AMOUR, la JOIE, la VIE sous toutes ses formes, elle est « engrammé » dans le code génétique de l’Univers, que les scientifiques appellent l’Information primordiale ou aussi « l’atome germe ! »

L’atome germe, me fait penser à la graine d’une plante, cette graine, a, codé, en elle tous les principes de la plante ou de l’arbre majestueux. TOUT y est déjà programmé sous la forme d’un code « divin » (très mystérieux), tu commences à comprendre pourquoi j’utilise souvent ce mot de « divin », non, toujours pas ? Ce n’est pas grave tu comprendras plus tard, soit patient !

L’atome primordial !

Le Big Bang est à l’origine de TOUT, de tout ce que tu connais, c’est-à-dire pas grand-chose (je m’inclue dans cette analyse), et surtout de tout ce que nous ne connaissons pas encore et qui est fantastiquement grand ! Il contient déjà dès son origine (il y a presque quatorze milliards d’années) TOUT et son CONTRAIRE ! Ce sont les découvertes les plus récentes corroborées avec les écris les plus anciens qui nous le font supposer, jusqu’à preuve du contraire !

Rien que ce que je viens d’écrire devrait te laisser sur le cul, tellement tout ce que nous découvrons ou que nous subodorons est vertigineux !

Oui, je sais, toi il t’en faut plus pour tomber sur le cul, je sais, tu es indécrottable, mais rassures toi, il faut de tout pour faire un monde !

Revenons-en à la foi, elle fait partie de cet atome germe, qui a éclot en nous, nous en sommes tous dotés, une fois pour toutes, et nous ne pouvons pas l’en extraire !

Tu vas me dire, comment pouvons-nous alors avoir perdu la foi ?

Je te répondrais par cette citation de Monsieur de Lavoisier : « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ! » qui à son époque avait déjà compris beaucoup de choses !

Nous ne la perdons pas en fait, nous l’enkystons, au plus profond de nous pour la bâillonner, pour essayer de l’étouffer, nous la renions, comme tu as renié « Dieu », qui je te l’ai déjà dit n’est pour rien dans les malheurs des « pauvres Caliméro » que nous sommes !

Étouffer sa foi, c’est tenter de s’étouffer, d’essayer de s’empêcher de VIVRE pleinement, une image pour que tu imprimes mieux ma démonstration, c’est chercher à empêcher un torrent de montagne à s’écouler vers la plaine ! C’est chercher à maîtriser l’immaîtrisable ! Tu piges ?

Notre erreur, notre plus grande faute, notre péché originel, c’est d’essayer d’empêcher la VIE de couler à travers nous !

Dieu nous offre la VIE et nous nous la refusons, nous lui disons : « Non, merci, sans façon ! », et comme il nous a aussi légué le « libre arbitre » il nous laisse libres de notre choix !

Comprends-tu que ta vie est TON CHOIX, pas TON DESTIN, LE COMPRENDS-TU ?

La foi, la joie, l’amour, la lumière, la force et bien d’autres choses encore… sont incluses dans ce merveilleux paquet cadeau qu’est la VIE, et que tu peux, si tu le souhaites, « transformer » toutes ces choses merveilleuses en leur opposé, tu as le choix comme Anakin Sckywalker de préférer le côté obscur de la force !

Mais alors, dans ce cas ne viens pas te plaindre de récolter ce que tu sèmes, c’est ton choix, pas ton destin, Dieu n’y est pour rien, et puis je te rappelle que tu n’y crois plus !

C’est bien dans ce souffle divin que se niche la FOI, foi en nous, en notre capacité à changer, à « transformer » nos douleurs, nos désespoirs, nos souffrances, en joie de vivre, en sourire, en rire, en espoir !

Nous sommes venus ici-bas pour transformer nos imperfections malheureuses, en imperfection heureuse, qui est l’unique voie menant à la perfection, qui n’est pas encore de ce monde, mais qui est l’objectif !

Vois-tu ? Homme de peu de foi, la voie qui s’offre à toi

 

Raymond MAGDELAINE