Colette Victor, qui fut la femme du célèbre explorateur Paul-Emile Victor, rapporte dans son livre (Le cœur du couple) que son mari, matérialiste et athée, lui avait annoncé quelque temps avant sa mort :
« Je pars dans le vent et probablement dans le néant. Mais si ce néant s’avérait être un trésor, je me battrais contre les puissances des ténèbres pour faire entendre une voix enrichie de cette expérience nouvelle, pour vous dire la promesse arrachée au silence… afin que vous sachiez qu’après il y a quelque chose, autre chose. »
Il avait poursuivi avec force :
« Si quelque chose existe, je m’arrangerais par tous les moyens pour vous le faire savoir ! »
La marine nationale lui rendit les honneurs.
Soyons attentifs aux signes qu’ils nous envoient !
Au moment où son corps fut jeté à la mer, selon ses volontés, dans le bleu immense du ciel dégagé de toute brume se dessina un nuage évidé en son centre d’une forme de cœur parfait.
Bien des années plus tard, Colette Victor garde entière l’émotion soulevée en elle par cette vision, qu’elle reçut comme le signe promis par son mari.
Extrait de « Le courage d’être soi »
de Jacques Salomé
Quand ce vieil homme est finalement décédé dans la salle d’hôpital gériatrique d’un foyer de soins infirmiers dans une ville australienne, on a cru qu’il n’avait plus rien. Plus tard, quand les infirmières fouillaient à travers ses maigres biens, elles ont trouvé ce poème. Sa qualité et son contenu impressionnèrent tellement le personnel, que des copies ont été faites et distribuées à chaque infirmière à l’hôpital. Le poème unique du vieil homme a depuis été publié dans les éditions de Noël des magazines dans tout le pays et est apparue dans des magazines consacrés à la santé mentale. Ce vieillard, avec rien à donner au monde, est maintenant l’auteur de ce poème « anonyme» célèbre sur internet…
Le vieil homme grincheux
«Que voyez-vous, infirmières?…
Que voyez-vous ?
À quoi pensez-vous…
quand vous me regardez ?
À un vieil homme grincheux…
pas très sage.
Habituellement incertain…
avec les yeux lointains ?
Qui évite sa nourriture…
et qui ne répond pas.
Quand vous dites à haute voix…
Je veux que vous essayez!
Qui semble ne pas remarquer…
les choses que vous faites.
Et qui perd toujours…
une chaussette ou un soulier ?
Qui, résistant ou non…
vous permet de faire ce que vous voulez,
Me lavant et me nourrissant…
longue journée à remplir ?
Est-ce à quoi vous pensez ?…
Est-ce ce que vous voyez?
Alors ouvrez donc vos yeux, infirmières…
vous ne me regardez pas.
Je vais vous dire qui je suis…
pendant que je suis bien assis ici.
Pendant que je fais ce que vous voulez…
que j’ai mangé à votre volonté.
Je suis un jeune enfant de dix ans…
avec un père et une mère,
Des frères et sœurs…
qui s’aiment les uns les autres.
Un jeune garçon de seize ans…
avec des ailes au lieu des pieds,
Rêvant que bientôt…
une amoureuse je rencontrerai.
Un mari maintenant à vingt ans…
mon cœur fait un bond.
Me rappelant les vœux…
que j’ai promis d’honorer.
À vingt-cinq ans, maintenant…
j’ai un fils à moi,
Qui a besoin de ma guidance…
et d’un foyer heureux et sécurisant.
Un homme de trente ans…
mon fils maintenant grandi vite,
Liés l’un à l’autre…
avec des liens faits pour durer.
À quarante ans, mon jeune fils…
a grandi et est parti,
Mais ma femme est à côté de moi…
pour s’assurer que je ne pleure pas.
À cinquante ans, une fois de plus…
les bébés s’agrippent à mes genoux,
Encore une fois, nous connaissons l’enfance…
ma bien-aimée et moi.
Les jours sombres sont sur moi…
ma femme est maintenant morte.
Je regarde l’avenir…
je frémis d’effroi.
Pendant que mes enfants élèvent…
des jeunes qui leur sont propres,
Je pense aux années…
et à l’amour que j’ai connu.
Je suis maintenant un vieil homme…
et la nature est cruelle,
Faite pour rendre la vieillesse…
avoir l’air stupide.
Le corps s’émiette…
la grâce et la vigueur, parties.
Il y a maintenant une pierre…
où autrefois j’avais un cœur.
Mais à l’intérieur de cette vieille carcasse…
un jeune homme habite toujours,
Et de temps à autre…
mon cœur battu se gonfle.
Je me souviens de la joie…
je me souviens de la douleur,
Et j’aime et je vis…
la vie encore une fois.
Je pense aux années, trop peu nombreuses…
passées trop vite,
Et j’accepte le fait austère…
que rien ne peut durer.
Alors ouvrez vos yeux, les gens…
ouvrez et voyez,
Pas un vieil homme grincheux,
regardez de plus près, voyez…
Moi !»
Auteur inconnu
Derrière toutes les apparences se cache un mystère insondable, connu seulement par l’âme qui est derrière le masque !
Comment pouvons-nous juger ce que nous ne connaissons pas ?
En s’attachant uniquement à la forme ?
Sans essayer d’aller au-delà des apparences ?
En se centrant uniquement sur son nombril, pour éviter de voir en face son propre
reflet ?
Toi qui travailles auprès de ceux dont l’apparence n’est plus que le reflet de leurs souffrances, ouvre les yeux de ton cœur et offre-leur la compassion qui y habite et qui pansera leur âme !
La terre bouge, elle se manifeste pour attirer notre attention ?
Oui, mais sur quoi ?
Nos abus de consommateurs, notre pillage sans vergogne des ressources qu’elle met à la disposition de tous ?
La séquestration de ses richesses par les plus riches d’entre nous, ceux qui ont déjà le cul cousu d’or ?
Notre indifférence de nantis envers ceux qui n’ont plus que l’attente de la mort pour soulager leurs misères ici-bas ?
Notre perte du sens de la vie et des interactions vitales avec toutes les autres formes de vie ?
Notre surdité à ses avertissements ?
Elle continuera à le faire jusqu’à ce que nous entendions et comprenions ce qu’elle a nous dire !
Comment si prend-elle ?
Elle le fait comme elle l’a déjà fait par le passé, elle se gratte et se grattera de plus en plus violemment, tant que nous ferons la sourde oreille !
Quelques signes qui devraient nous rendre plus attentifs ;
L’axe de rotation de la Terre a commencé à amorcer une bascule, progressive pour l’instant, en peu de temps terrestre il s’est déjà déplacé de 23° à 26°, ce qui d’après les scientifique est énorme (A lire), d’après les Inuits (A lire), la bascule amorcée est la conséquence du réchauffement climatique dont l’homme contribue par ses excès à l’accélérer.
L’axe de rotation glisse rapidement vers le Royaume-Uni
La Faille de San Andreas inquiète très sérieusement tous les sismologues de la planète, sont hyper activité depuis peu de temps serait l’annonce d’un tremblement de terre majeur le « Big One » ! Oui vous allez me dire San Andreas est loin de chez nous, oui vous avez raison, mais souvenez-vous du tsunami de 2014 provoqué par un tremblement de terre très puissant de l’ordre de 9,1 à 9, 3 sur l’échelle « ouverte » de Richter, tremblement qui avait fait vibrer à l’époque l’axe de la terre.
Les sismologues sont passés en alerte rouge au niveau de cette faille !
Et alors Raymond il n’a pas fait basculer son axe, arrête de nous faire peur !
Oh ! je ne cherche nullement à vous faire peur, quoique ! si un peu, mais pour essayer de vous sortir de votre profonde léthargie !
L’échelle de Richter est une échelle dites ouverte, ce qui veut dire que l’amplitude maximale d’un tremblement de terre n’est pas connue par nos scientifiques qui pensent très sérieusement que des tremblements de terre peuvent dépasser l’amplitude de 10, et là, peut-être que l’axe qui a commencé basculer, je vous le rappelle, pourrait le faire plus brutalement, ce qui équivaudrait, a causes des masses d’eau et du magma liquide considérables de la planète, à une catastrophe majeure, qui « aurait » en son temps engloutie le contient de la civilisation atlante !
En hommage aux victimes du tsunami en Inde
Sur la grande pyramide de Khéops, des hiéroglyphes représentent le soleil se levant à l’ouest et se couchant à l’est, ce qui indique que la terre a déjà connu une condition similaire, et que la terre aujourd’hui essaye de nous annoncer et auquel nous faisons la sourde oreille !
Oui, j’attends bien ce que tu dis ; « Qui pouvons-nous Raymond ? »
Te réveiller, pour te préparer à quitter Gaïa, dignement, sans maudire ce « Dieu » auquel tu ne crois plus, mais à qui tu vas coller tous tes malheurs, alors que tu ne fais rien pour empêcher le pillage des ressources de notre belle planète bleue.
Te réveiller, pour essayer d’enrayer un processus qui se met en œuvre, apparemment tous les 12 000 ans « environ », qui sont la période de précession des équinoxes au niveau de l’univers, du moins dans notre galaxie, et que les Mayas connaissaient parfaitement.
Les Mayas ne nous ont pas annoncé la fin du monde, mais bien la fin d’un monde, ce n’est pas toute l’humanité qui à disparu il y a de cela plus de 12 000 ans, mais un continent, celui d’une civilisation (l’Atlantide) surement très en avance sur la nôtre au niveau technologique, mais qui comme la nôtre ne respectait pas sa planète !
Devine sur quel continent tu habites ?
Celui parmi les plus industrialisés, celui qui contribue à piller joyeusement Gaïa, sans se soucier de ceux, qui sur d’autres continents, meurent de ne pas pouvoir se nourrir correctement.
Comme tu me prends pour un illuminé complet tu ne me croiras pas, tu ne feras pas ce que tu devrais impérativement faire pour te sauver et sauver ta famille !
Que ton passage brutal dans l’autre monde, soit rapide, là-haut, tu comprendras peut-être ce que veut vraiment dire « Illuminé» mon frère, ma sœur !
Pour les autres il est plus que temps de vous, de nous réveiller !
Vous qui avez pris de la distance avec nos relations ou qui avez rompu les amarres avec elles, nous voudrions vous dire ceci :
« Nous comprenons votre souffrance, nous compatissons à vos douleurs, mais nous ne nous en sentons pas directement responsables, bien que je vous accorde que mes mots ou mes écris aient pu, à une occasion ou à une autre, vous blesser, sachez simplement que mes intentions n’étaient pas de vous faire du mal, bien au contraire !
Sachez aussi que nous avons nos propres souffrances, certes pas du tout comparables aux vôtres, mais souffrance tout de même, nous aussi nous éprouvons des maux, de tout sûrs différents des vôtres, je vous l’accorde aussi. Je ne dis pas cela pour nous faire plaindre, je le dis par ce que cela est, tout simplement.
Nous prenons donc acte de votre décision, effective, de couper les ponts, et bien que cela nous soit douloureux, nous le respectons et le respecterons le temps qu’il faudra, même si cela doit durer “ad vitam aeternam” !
Tout l’Amour que nous avons pour vous !
Nous vous réservons dans notre cœur une place privilégiée où vous pourrez revenir vous assoir sans autre forme de procès, la porte est toujours ouverte et ce n’est pas qu’une image pour faire joli, c’est une réalité manifeste !
Portez-vous bien, agissez du mieux que vous le pourrez, nous serons toujours près de vous par la pensée et par le cœur.
Que votre vie, loin de nous, vous permette de retrouver une paix intérieure en harmonie avec votre être profond, et que la joie et la sérénité finissent par emplir vos cœurs meurtris. »
La vie, toute forme de vie, est essentiellement basée sur l’échange et ses interactions, grâce aux liens subtils qui nous relient à TOUT et donc nous relient TOUS les UNS AUX AUTRES.
J’ai besoin de ces échanges pour vivre et pour me transformer, je ne suis pas venu ici-bas pour survivre ou pour végéter tranquillement dans mon coin sans ne rien faire de mes dix doigts, j’ai un besoin viscéral d’agir en conformité avec mon être profond pour faire ce que j’ai envie de faire, pas pour faire ce que les autres attendent de moi.
L’échange de nos richesses intérieures est essentiel !
Être au contact d’âmes qui vibrent sur le même plan que le mien ou sur un plan plus élevé ne peut que me nourrir, ne peut que nous nourrir mutuellement, car le lien est basé consciemment ou inconsciemment sur l’échange.
Si nous avons besoin de nourriture terrestre pour nourrir nôtre corps physique, nous avons besoin, d’échanges pour nourrir nos corps plus subtils et nourrir nôtre âme, négliger la nourriture du corps physique ou des nos autres corps ne peut que nous entraîner dans le « mal à dit » (la maladie).
Je ne « quitte » pas un groupe de personnes une association parce qu’ils (elles) m’insupportent ou m’agacent, mais bien parce qu’ils ne me nourrissent plus ou pas assez, ce n’est pas du mépris ou de la supériorité de ma part, mais un besoin vitale, qui je le sais sera l’objet d’une « méprise » par ceux ou celles qui se sentiront abandonnés ou trahis.
Je ne suis pas indifférent à leurs ressentis, je suis triste même que certains ou certaines d’entre-vous puissent un instant penser cela de moi, je continue à vous « AIMER » et vous souhaite de continuer à vous élever pour pouvoir un jour ou l’autre, à votre tour, chercher à nourrir votre âme dans des plans plus élevés, c’est ce nous avons TOUS choisis de vivre ici-bas et que nous avons oubliés, parfois… souvent… devrais-je dire !
Je suis en recherche constante de partage, car pour moi c’est une nourriture essentielle à mes transformations et je me tourne tout simplement tout naturellement, là où je peux partager avec d’autres ce qui nous va me nourrir, nous nourrir.
Je ne suis pas un pique-assiette, je ne vampirise personne en me nourrissant des échanges, puisqu’ils sont à double sens, nourrissons-nous les uns les autres dans l’AMOUR, en le faisant nous ne vidons pas notre « coupe » nous échangeons leurs contenus.
Nourrissez-moi par vos échanges et vous me verrez revenir à vous, tout naturellement, par la loi universelle de l’attraction, le vide qui est encore en nous attirant le plein de l’autre, parce que la lumière qui est en l’autre transforme naturellement l’ombre qui peut subsister en nous !
« Comprenez-vous que l’échange est interactif et essentiel, qu’il est de nature divine et pas égoïste ? »
Nous sommes une parcelle de LUI,
Cette parcelle est logée en chacun de nous,
Ce n’est pas nous qui choisissons notre voie,
Mais LUI qui nous suggère vivement de l’emprunter, LUI qui nous guide sur la voie, quotidiennement.
Bien, alors pourquoi ne se passe-t-il rien ?
Suis-je différent des autres ?
Suis-je sourd et aveugle ?
Suis-je toujours dans la peur ?
Ou suis-je dans le lâcher-prise ?
Ai-je envie de subir ? Ou ai-je envie de vivre ?
Si j’ai bien tout compris,
Il ne se passera rien tant que je resterais dans le rêve ?
J’ai les mêmes capacités que les autres,
J’ai un « cœur » pour entendre et pour voir.
Si je reste dans mes peurs je reste cloué sur ma croix,
Si je n’ai plus peur, je me libère de mes clous,
Si je lâche prise, je m’extrais du rêve,
Si je sors du rêve, je ne subis plus, j’agis, Si j’agis, je vis intensément l’instant présent.
Alors si je comprends bien,
S’il ne se passe rien, c’est de ma faute ?
Si je souhaite voir s’opérer des changements, Faut-il que j’agisse ?
Dois-je comprendre que nous sommes ses mains ?
Que sans nous il est impuissant ?
Que ses dessins ont besoin de nous pour se manifester ici-bas ? Que c’est nous qui accomplissons ses miracles ?
Représentation symbolique et classique de son reflet
Au fait ! Qui est-IL ?
La force de vie qui nous incite à nous transformer et qui nous anime, sans que l’on arrive à s’entendre pour y mettre un Nom commun ?
Quand il te semble qu’il y a « trop » de choses dans ta vie, quand 24 heures ne te semblent pas suffisantes… Rappelle-toi du pot de mayonnaise et de café !
Il était une fois, un professeur de philosophie qui, devant sa classe, prit un grand pot de mayonnaise vide et sans dire un mot, commença à le remplir avec des balles de golf.
Ensuite, il demanda à ses élèves si le pot était plein.
Les étudiants étaient d’accord pour dire que OUI.
Puis le professeur prit une boîte pleine de billes et la versa dans le pot de mayonnaise. Les billes comblèrent les espaces vides entre les balles de golf. Le prof redemanda aux étudiants si le pot était plein.
Ils dirent à nouveau OUI.
Après, le professeur pris un sachet rempli de sable et le versa dans le pot de mayonnaise. Bien sûr, le sable remplit tous les espaces vides et le prof demanda à nouveau si le pot était plein.
Les étudiants répondirent unanimement OUI.
Tout de suite après le prof ajouta deux tasses de café dans le contenu du pot de mayonnaise et effectivement le café combla les espaces entre les grains de sable.
Les étudiants se sont alors mis à rire…
Quand ils eurent fini, le prof dit :
« Je veux que vous réalisiez que ;
le pot de mayonnaise représente la vie.
Les balles de golf sontles choses importantes comme la famille, les enfants, la santé, tout ce qui passionne. Nos vies seraient quand même pleines si on perdait tout le reste et qu’il ne nous restait qu’elles.
Les billes sontles autreschoses qui comptent comme le travail, la maison, la voiture, etc…
Le sable représente tout le reste, les petites choses de la vie. Si on avait versé le sable en premier, il n’y aurait eu de place pour rien d’autre, ni les billes ni les balles de golf.
C’est la même chose dans la vie. Si on dépense toute notre énergie et tout notre temps pour les petites choses, nous n’aurons jamais de place pour les choses vraiment importantes.
Faites attention aux choses qui sont cruciales pour votre bonheur. Jouer avec ses enfants, prendre le temps d’aller chez le médecin, dîner avec son conjoint, faire du sport ou pratiquer ses loisirs favoris.
Il restera toujours du temps pour faire le ménage, réparer le robinet de la cuisine… Occupez-vous des balles de golf en premier, des choses qui importent vraiment. Établissez des priorités, le reste n’est que du sable ».
Un des étudiants leva alors la main et demanda ce que représente le café.
Le professeur sourit et dit :
« C’est bien que tu demandes.
C’était juste pour vous démontrer que même si vos vies peuvent paraître bien remplies, il y aura toujours de la place pour une tasse de café avec un ami. »
Autrefois dans le salon trônait une pendule à balancier, qui égrenait les secondes avec son tictac lancinant et sonnait deux fois les heures et deux fois les demi-heures, pour bien nous faire sentir, je pense, que le temps s’écoule inexorablement comme de l’eau que l’on essaierait de retenir entres ses doigts mêmes bien serrés.
Tic, tac, tic, tac, …
Notre vie, ici-bas, commence par une naissance pour se terminer inéluctablement, par une autre naissance, dans l’au-delà, c’est du moins ce que mon esprit sûrement un peu simpletcroit… tic, tac, nous dit la pendule du temps qui passe.
Pendant cette incarnation, je peux choisir d’être dans l’amour de soi et de mon prochain, ou au contraire d’être dans la haine ou l’indifférence (ce qui est pire), de soi et de mon prochain et passer mon temps, suivant mon choix, à vivre intensément ou à me plaindre constamment… des autres, bien sûr !
Peu importe, le choix ne concerne que celui ou celle qui le vit et chacun d’eux porte sa croix ;
pour l’un, elle semble, peut-être, plus légère,
pour l’autre, elle lui semble, sûrement, très lourde…
mais ne dit-on pas que l’on récolte ce que l’on sème ?
Dans les deux cas de figure, le temps continue d’égrener ses secondes, ses minutes, ses heures, ses jours, ses mois, ses années… au rythme immuable du tictac de l’horloge du salon… tic, tac, tic, tac…
Un jour arrive l’heure de la dernière épreuve que nous subissons tous, ceux qui ont choisi d’être dans l’amour comme ceux qui ont choisi d’être dans la haine ou l’indifférence… c’est peut-être avec la naissance, la seule épreuve ou nous sommes « toutnu » sur le même plateau de la balance… que nous soyons riches ou misérables.
Alors tout seul, au milieu des nôtres impuissants, pendant cette dernière épreuve, nous sommes confrontés à notre bilan de vie, avec nos douleurs, nos peines, nos doutes, nos errements… et là, face à nous-mêmes pour unique juge, sans moyen de tricher, car on ne triche plus en face du destin de tout être humain, nous regretterons, mais un peu tard, comme le corbeau de la fable, de ne pas avoir essayé, d’avoir trop tardé à faire le premier pas, d’avoir trop tardé à lui dire je t’aime, de ne pas avoir su à temps luidemander pardon ou su pardonner à ceux qui, nous semble-t-il, nous ont offensés.
À ce moment-là on regrette que notre pendule s’arrête d’égrener ses secondes, comme on aimerait, à ce moment-là, que le temps suspende son vol, pour pouvoir dire ou faire ce que cette satanée pendule du salon nous incitait à faire ou à dire, tous les jours, sans arrêt, inlassablement, par son tictac, agaçant, obsédant, et que nous n’avons pas su décoder quand il en était encore temps.
Tic (pense à lui dire que tu l’aimes),
tac (pense à lui pardonner ou à lui demander pardon),
tic, tac (demain il sera peut-être trop tard pour le faire ou lui dire de vive voix)…
tic, tac, tic, …, …, …, le temps s’est arrêté… pour nous !
En Provence, s’il y a une pendule dans le salon, celui qui constate l’arrêt du souffle, signant l’envol de l’âme, immobilise le balancier de la pendule, pour suspendre symboliquement le temps !
Au fil du temps, sur cette terre, des êtres chers nous quittent, nous laissant seuls avec nos peines, notre chagrin et ce sentiment d’avoir été abandonné, complètement oubliés, d’être transparent, seul au monde…
Est-ce une vue de notre esprit, de notre égo ?
L’égo est-il un moteur que nous nous sommes fabriqué dans notre incarnation pour souffrirou pour nous accomplir?
Notre égo, qui construit notre personnalité unique, nous entrainerait-il volontairement vers la souffrance, vers le bas, le désespoir, la rupture du lien avec le « divin » (dans le sens de « mystère » qui dépasse notre entendement) … pour nous inciter à réagir, nous pousser à la transformation à l’élévation ?
J’ai lacertitude maintenant que les êtres humains ont besoin de souffrir de l’absence, de la perte du lien, de la douleur du corps physique, de subir les peurs… pour pouvoir trouver au plus profond d’eux même une force insoupçonnée qui leur permettra de transformer leur souffrance en bonheur.
J’ai lacertitude que tout le monde peut réussir cette transformation, cette mutation, tout le monde sans exception, car nous sommes tous d’essence divine, que nous pouvons tous nous transformer petit à petit, pas à pas, au fil du temps, courageusement au début, car c’est le premier pas qui est le plus difficile à mettre en œuvre, pour qu’ensuite la dynamique de la transformation nous emporte sur la voie de la guérison de nos maux, de tous nos maux.
Cette transformation nous révèle, petit à petit, pas à pas… que nous ne faisons qu’UN avec TOUT, que nous ne sommes jamais seuls, que nous sommes tous liés les uns aux autres, avec les âmes incarnées comme avec celles qui ont rejoint l’autre rive.
Il n’y a pas de séparation, ce que nous appelons la mort, n’est qu’une illusion d’un égo qui a peur, parce qu’il s’identifie « uniquement » au corps et qu’il nie ou renie l’âme immortelle qui l’anime.
Telle la cigale qui sort de terre à la fin juin… s’extrait péniblement de sa mue et s’élève dans le ciel bleu des régions du sud, notre dernière épreuve n’est en fait que l’extraction, certes souvent douloureuses, de notre corps physique, à cause de nos peurs de nos craintes, d’un accouchement à l’envers, pour pouvoir nous élever vers un autre niveau de conscience, un autre plan de vie. Léger comme le papillon ou la cigale, car libéré d’un corps lourd, massif, qui, si nous sommes honnêtes, n’est plus qu’un véhicule hors d’usage, qu’il faut savoir quitter sans regret, pour continuer vivre autrement, sur l’autre rive, celles des âmes désincarnées
Pour ceux qui observent la vie par le gros bout de la lorgnette ou si vous préférez ceux qui croient mieux la percevoir en ayant le nez collé dessus, je voudrais qu’ils sachent que tout, absolument tout est composé, fabriqué avec les mêmes éléments contenus dans notre univers (1) !
Mon ami Fabrice parlait lors de la soirée mensuelle « communion d’âmes » (2) que nous sommes tous poussière d’étoiles ! Il a tout à fait raison, mais il me semble qu’il faille en préciser le sens exact.
C’est dans les nébuleuses, les « pouponnières d’étoiles » que naissent les étoiles, qui comme nous, naissent, croissent et meurent (en apparence).
C’est en « expirant » qu’une étoile va essaimer dans le cosmos toutes les particules élémentaires dont les toutes les formes de vie apparentes et non apparentes sont constituées !
« Rien ne se perd, rien ne se crée tout se transforme » disait très judicieusement Monsieur de Lavoisier, nous sommes tous issus de ces fameuses poussières d’étoiles, particules qui en s’associant, se combinant, vont après des siècles et des siècles, réaliser ce qu’IL a de mieux en vitrine, du moins sur la planète Terre, c’est-à-dire « MOI », pardon je voulais dire « nous » les hominidés.
Pour ceux qui lisent mes « Chroniques de l’âme hors », ou mes « Essais sur la conscience et ses états modifiés », vous savez déjà que cette poussière d’étoiles, ces briques fondamentales de TOUT ce qui existe, possède des propriétés que nos scientifiques cherchent à découvrir, propriétés ordinaires, et d’autres, plutôt extraordinaires !
Des briques de la matière aux briques du vivant !
Les ordinaires :
Elles effectuent unerotation tantôt dans un sens tantôt dans l’autre, ouais bof ! Attends ce n’est pas tout elles possèdent toutes unecharge électrique, tantôt neutre, tantôt positive ou tantôt négative, ouais, bof !
Dis le blasé lit ce que je viens d’écrire, je te parle des propriétés ordinaires, et j’utilise l’expression « tantôt » ; pour ordinaire, je veux bien que tu dises « oui bof ! », mais pour tantôt, ne pressens-tu pas qu’il se cache quelque chose qui va faire que tantôt elles font ceci et tantôt cela, c’est ce qui intrigue le plus nos chers scientifiques, alors ici ton bof, n’est pas bien approprié !
Les extraordinaires :
La toute première, c’est qu’elles sont sensibles à l’observateur ou à ses intentions, en passant de la forme d’onde de probabilité à la forme de particules manifestées (seule capable d’être observée par nos appareils de mesures les plus sophistiqués, comme le grand collisionneur de hadrons) !
Fais attention tu baves !
La seconde, c’est qu’elles vibrent toutes, à une fréquence qui permet de créer les briques élémentaires de ce que nous appelons la matière, matière apparemment inerte ou apparemment vivante, mais souviens-toi que « les apparences sont souvent trompeuses ! » Oui, je sais, ton niveau vibratoire frise le zéro absolu !
La troisième, mais pas la dernière, c’est qu’elles sont toutes conscientes d’elles-mêmes et de tout ce qui les entourent, matière ordinaire comme matière dite noire, et qu’elles réagissent et interagissent entre elles et avec leur environnement !
Ferme ta bouche tu vas avaler des mouches !
Il y en a d’autres, car celles déjà citées ici ne répondent pas encore toutes aux interrogations de nos valeureux scientifiques, qui continuent inlassablement de rechercher celles qui pourraient expliquer ce qui pour l’instant est encore pour eux une vaste énigme.
Ils reconnaissent tous qu’ils connaissent à peine 5 % de ces mystérieux mystères.
Tout a une origine, nos diverses formes de vie terrestre sont issues de ces poussières d’étoiles, les nébuleuses sont à l’origine de la naissance des étoiles, les scientifiques en sont intimement persuadés, même si pour l’instant ils n’en ont qu’une sérieuse présomption.
Ce qui est encore très nébuleux pour eux c’est l’origine de ses fameuses nébuleuses (jeux de mots) et ce qui reste encore un « BIG mystère » ;
« C’est qui c’est » (3) qui est à l’origine de tout cela !Non ne dit rien, je préfère, quand tu te tais tu dis moins de « çonnerie » !
De la particule la plus élémentaire à la forme de vie apparente la plus sophistiquée en passant par les autres formes non apparentes, tout à une âme, plus ou moins rudimentaire, je te l’accorde, mais une âme tout de même, capable, par association, par combinaison, de former le nec plus ultra de la création, je parle de MOI bien sûr, ne te fâche pas Maurice, je parle aussi de toi, tu ne vois pas que je t’aime ? Et qui aime bien taquine bien !
Oui, bien sûr… c’est évident, tu as une âme dotée d’une conscience, tu es conscient de toi et des autres… comment ?
Oui tu as raison, plus conscient de toi que des autres, mais là tu parles pour toi !
Nous sommes le « fruit » le plus élaboré de cette conscience qui est capable de s’observer et de continuer sa transformation au fil des temps, et ce fruit cherche depuis la nuit des temps de l’humanité, « l’arbre » qui lui insuffle cette capacité « miraculeuse » à tendre vers la perfection !
Moi je continue à l’appeler « DIEU », tant que le mystère sera pour moi inaccessible à ma compréhension, et surtout je ne cherche pas à couper la branche qui le produit. Tu appelles bien notre planète « Terre » alors qu’elle est constituée à plus de 70 % « d’eau ».
Laisse-moi l’appeler comme je le comprends mon frère et continue à ne pas l’appeler si cela te chante !
(1)Je dis notre univers, car les scientifiques, enfin certains, pensent qu’il n’est pas unique et qu’il pourrait y en avoir une myriade d’autres !
(2)Celle qui l’anime parle d’une soirée prière, je t’avoue préférer communion d’âmes !
(3)J’essaye de me mettre à ton niveau ! Rigole Marcel, je déçonne !