Tous les articles par Raymond

A propos Raymond

Savoir se poser, apprendre à lâcher prise, apprendre à s'aimer pour mieux aimer les autres, offrir son sourire, vivre intensément l'instant présent, ne jamais se retourner sur son passé ou le regretter, ouvrir ses mains et son cœur pour donner... Il est temps pour moi aujourd'hui de me tourner vers ceux qui souffrent, mes proches bien sûrs, mais aussi vers ceux qui approchent de la dernière épreuve. Ma phase de formation pour faire, à partir de juillet 2013, un accompagnement de fin de vie en EHPAD (Maison de retraite) est terminée. J’ai depuis commencé l’accompagnement de fin de vie, auquel s’ajoute tous les jeudis un atelier de lecture et de musique pour créer des liens et mieux connaître ceux que j’accompagnerais, un jour ou l’autre ! Je pratique cet accompagnement en trois temps forts, - Le premier temps : celui du lien créé par l’atelier de lecture — musique. - Le second temps : au cours de la dernière épreuve où je suis « présence aimante » et à laquelle peut s’ajouter le soin Reiki, pour faciliter la transition. - Le troisième : sous forme de prières pour inciter les âmes à entrer dans la lumière. ♥

Croyants or not croyants

Qu’est-ce qui différencie un croyant d’un athée ?

Le croyant est sûr qu’un « dieu » existe et que ce dieu est à la base de tout ce qui est, c’est mon cas !

L’athée est sûr aussi qu’aucune divinité n’est à la base de tout ce qui existe et que tout ceci n’est dû qu’au « hasard », c’est le cas de certains de mes proches !

Dans mon cas celui que je crois être à la base de tout ce qui existe s’appelle, pour moi, dieu !

Dans le cas des athées, il s’appelle hasard !

La belle affaire !

Science-Religion-Survey
Dieu or not Dieu ?

Est-ce une raison suffisante pour se livrer à une guerre de religion, même si celle dont je vous parle n’est qu’une guerre ou les deux camps s’assènent des évidences, pour leur camp respectif, en parole ou par écrit !

Je vous rappelle au passage que certains écrits, certaines paroles, certaines caricatures sont aussi meurtrières que des armes blanches ou à feu, des événements récents ont fait la démonstration de ce que peut engendrer la caricature et le blasphème !

Quittons la polémique stérile et assassine, pour revenir à mon propos, ou plutôt, à ma tentative de démonstration !

Dans cette tentative,  je ne cherche pas à imposer un point de vue, mais j’essaye d’exposer des faits, pour ouvrir une réflexion plus vaste que le point de vue de l’un ou de l’autre camp !

Autre précision importante, avant de l’aborder, j’appartiens bien à l’un des camps, mais, c’est important, me semble-t-il de le préciser,  je ne combats pas l’autre camp à coup de diatribes bien senties !

Qu’est-ce donc qui oppose les deux camps, deux mots ; « dieu » et le « hasard », entre l’Église catholique actuelle et les scientifiques modernes, deux autres mots ; le « verbe » et « l’Information » !

Reprenons les deux premiers ; « dieu » et le « hasard », qu’ont-ils en commun ; ils sont à l’origine de tout ce qui existe et que nous pouvons toucher, voir, sentir et entendre !

Pour les deux autres, ils évoquent tous les deux l’origine de la création ; ce sont tous les deux un principe impalpable, le verbe pour l’un, les nombres (1)  pour l’autre !

Dans les deux cas, ce qui nous opposerait, serait une question de terminologie !

Dieu ou le hasard ; sont donc à l’origine de ce que nous appelons « la réalité », mais je devrais plutôt dire ce nous appelons dans les deux camps, « notre réalité », puisqu’elle semble, en apparence, diverger !

Chacun des deux camps exprime une forme de foi, foi en dieu ou au hasard, mais se combattent en utilisant une mauvaise foi manifeste pour assoir leur potentat !

Si je regarde avec les yeux de l’athée, force m’est de constater que les résultats dus au hasard sont d’une beauté à couper le souffle et ne peuvent qu’occasionner l’émerveillement, à part d’être de mauvaise foi !

Le constat est exactement le même dans l’autre camp, à part d’être de mauvaise foi !

Pour ce qui est des religieux et des scientifiques, la divergence est la même, le verbe, les nombres, ce sont tous deux des concepts, immatériels, qui semblent s’opposer, mais qui en fait avancent ou disent exactement la même chose !

À la différence près c’est que le concept du « verbe » est très antérieur à celui tout récent de « l’Information » !

Que l’origine de tout ce qui est soit le fruit du « verbe » ou des « nombres » est déjà en soi une forme de miracle (2) qui devrait nous conduire, c’est mon point de vue, vers une plus grande humilité, plutôt que de jouer au plus érudit.

De l’aveu même des scientifiques modernes, ce que nous connaissons de la réalité dans laquelle nous vivons tous, est de l’ordre de 5 % approximativement, tout le reste nous est parfaitement inconnu !

Ce que je vais dire en conclusion, n’engage que moi, lorsqu’on n’en sait pas plus sur la réalité, et pour paraphraser plus poliment le grand Coluche, « on devrait avoir la pudeur ou la décence de se taire »

La foi est quelque chose de l’ordre de l’intime, de l’ordre du privé, cela ne devrait jamais être l’objet d’une querelle de chapelle, mais ce n’est que mon point de vue, et en l’état de nos connaissances, il en vaut bien un autre !

 Alors ;
Dieu or not dieu, verbe or not verbe ?
Ou
Hasard or not hasard, nombres or not nombres ?

Alors Mourir pour des idées ?

Oui, mais de mort lente !

(1) J’utilise ici le vocable de miracle pour désigner des choses extraordinaires qui dépassent pour l’instant, notre entendement !

(2) Il semblerait, pour certains scientifiques très sérieux, que ce soit les nombres premiers, qui sont à la base de l’information à l’origine de la matière et de toute notre réalité !

Raymond MAGDELAINE

 

 

 

 

Thomas, nous sommes tous

La réalité, pour un Thomas, même s’il s’appelle Albert ou Mauricette, c’est essentiellement ce qu’il peut voir, ce qu’il peut toucher, sentir et entendre, tout le reste n’existe pas !

Tu es bien d’accord Maurice ?

Donc si je te comprends bien, pour un aveugle les couleurs, les textes manuscrits, les photos, les paysages, les levers et coucher de soleil, les aurores boréales… n’existent pas, c’est bien cela Odette ?

Pour un sourd, ce sont tous les bruits, tous les sons qui n’existent pas, le tonnerre ne fait pas de bruit, l’avion ne passe jamais le mur du çon (non cherche pas Léon, j’ai fait exprès) n’existe pas, c’est bien cela Léontine ?

Je continue dans l’absurde si tu le veux bien
Édouard ?

Pour un enrhumé chronique, les odeurs n’existent pas et pour quelqu’un qui aurait perdu le sens du touché les objets les êtres seraient inconsistant, c’est bien ce que tu avances comme preuve irréfutable de la réalité Trucmuche, c’est bien cela ?

Pour un être imbu de son intelligence, de sa personne, de sa magnificence, tous les autres sont des CONS, c’est bien cela Patrice, je ne me trompe pas ?

tous des cons
Et toi, bien sûr !

À part toi rien n’est réel, c’est cela ?

Oui, j’entends bien ton jugement à trois lettres à mon égard, mon frère, ma sœur !

Pourtant, si je reprends les preuves que recherchent, tous les Thomas de la planète, tu entends bien ce que je dis, tu lis bien ce que j’écris, tu ressens bien le ton de cette chronique qui se gausse (je sais il t’énerve), tu peux me voir quand nous nous rencontrons, sentir mon odeur quand nous nous embrassons, etc. non ?

Comment ?

Non, tu ne veux rien voir et rien entendre de ce que je te dis, c’est bien cela ?

C’est bien ce qu’il me semblait !

Je comprends mieux le malaise qui anime les Thomas de la planète, majoritaires dans l’humanité, même avec les preuves tangibles qu’ils exigent, ils ne croient pas ce que disent les autres, qui sont tous forcément des cons, et qui en plus ne comprennent pas que ce sont les Thomas et eux seuls qui détiennent la VÉRITÉ, tellement ils sont CONS les autres !

Oui, je sais, ma chronique est outrancière ce matin, c’est parce que j’ai dû me lever du mauvais pied, et ces jours-là, je vois la réalité de l’humanité à travers le prisme déformant de ma mauvaise foi !

Tu vois Proserpine, tu vois Rodolphe, tu n’es plus seul(e), bienvenu chez les sourds et les aveugles, bienvenu chez les Thomas !

L’humanité a sûrement besoin de tous ces doutes pour grandir… à une condition, celle de ne pas s’y complaire, mais celle de chercher à les dépasser !

Comprenne qui voudra (1) !

(1) J’aurais pu rajouter comprenne qui pourra, si je ne l’ai pas fait, c’est que je sais que tout le monde, je dis bien TOUT LE MONDE, est en capacité de comprendre, toi y compris !

Raymond MAGDELAINE

Vœux du nouvel an

Nous ne savons pas de quoi demain sera fait!

Ce que nous savons c’est que nous vous aimons!

Même si vous êtes loin de nous,

Cela ne change rien à ce constat ;

Nous vous aimons!

illustration-nouvel-an-2016Nous ne savons pas si 2016 sera pire ou meilleur que 2015 !

Ce que nous vous souhaitons c’est que vous sachiez
en extraire la substantifique moelle !

Notre avenir dépend exclusivement de nos actes !

Notre libre arbitre gouverne seul notre destin !

Que votre destinée, soit à la mesure de vos
intentions
!

Ici c’est Raymond qui assume pleinement le souhait suivant;

« Si Dieu existe, et il existe, car je l’ai rencontré en chacun de vous, qu’il entende vos prières et qu’il les exauce…  mais souvenez-vous que le ciel ne vous aidera que si vous vous prenez en charge!»

Que cette année 2016 soit donc ce que vous souhaitez qu’elle soit!

Maryse et Raymond

Un seul être nous manque

Citation

« Un seul être nous manque et tout est dépeuplé ! »

Qui ne connaît pas cette citation ?

Mais qui en a vraiment saisi le pourquoi ?

Je parle d’un être cher, un être qui a compté pour nous, qui nous a quittés ou qui est parti pour un monde meilleur !

Si j’éprouve ce vide, ce manque, c’est souvent, je ne dis pas toujours, mais très souvent, parce que nous n’avons pas « pris le temps » avec lui, avec elle !

Le temps de quoi Raymond ?

  • Le temps de vivre pleinement avec lui,
  • Le temps de l’écouter,
  • Le temps de l’observer,
  • Le temps de lui dire plus souvent je t’aime,
  • Le temps de le remercier d’être ce qu’il est,
  • Le temps de se nourrir de sa présence aimante,
  • Le temps de le prendre dans nos bras,
  • Le temps de l’embrasser,
  • Le temps de rire,
  • Le temps de partager nos différences,
  • Le temps de partager nos joies, nos peines,
  • Le temps de lui prendre la main,

Pour faire plus court…

  • Le temps de l’aimer !

Si nous prenons le temps de faire tout cela et plus encore, avec lui ou avec elle, alors ce vide que nous ressentons à son départ, sera comblé par tout ce que nous avons fait et entrepris ensemble !

Cela ne nous empêchera pas le pleurer, mais en passant à lui, cela fera remonter à la surface de notre chagrin, tout ce qui nous avons traversés dans l’amour avec lui, avec elle, et séchera nos larmes, étanchera notre chagrin, qui se transformera en plénitude.

Pourquoi voulez-vous que le lien d’amour soit coupé simplement parce qu’il ou elle n’est plus à nos côtés ?

Je pose la question et je te propose une réponse !

Tout simplement parce que lorsqu’il, elle était là, nous avons pris le temps de nous nourrir de sa présence, pris le temps de l’aimer vraiment, à travers nos gestes, nos intentions, nos paroles ou mieux nos regards emplis de tendresses.

Je sais, sans aucun doute possible, qu’il ou elle est toujours là, près de nous, invisible avec nos yeux, mais toujours vivante dans notre cœur !

« L’essentiel n’est visible qu’avec le cœur » ne l’oublie jamais !

Alors, s’il ou elle est encore de ce monde, prends le temps… prenons le temps… de l’aimer… de nous aimer… car aimer se conjugue au minimum a deux !

Raymond MAGDELAINE

Ensemble ici-bas

Ensemble ici-bas, ne signifie pas forcément ensemble dans l’au-delà !

Micheline a été accueillie par son Grand Père et son Mari Jean pour son entrée dans la lumière, cela ne signifie aucunement qu’ils sont ensemble sur le même plan vibratoire dans l’au-delà !

Jean qui est parti dans la nuit du 25 au 26 décembre, il y a de cela 14 ans, peut très bien œuvrer sur un plan vibratoire différent de celui de Micheline partie dans la nuit du 22 septembre de l’an dernier !

Jean et Micheline, deux cœurs dans la lumière !
Jean et Micheline, un seul cœur, une seule âme, dit le prêtre…

Avoir vécu toute une longue vie ici-bas ensemble n’est pas l’assurance de se retrouver à nouveau réuni sur le même plan vibratoire dans l’au-delà !

Ce qui est sûr, de mon point de vue, c’est que l’un comme l’autre, sont entré dans la lumière, avec un corps subtil où la souffrance physique n’existe plus, tous les témoignages que j’ai entendus dans la bouche des médiums le confirment !

Des médiums différents, ont pu se mettre en contact avec l’un comme avec l’autre, c’est pour moi la preuve qu’ils sont dans la lumière, les médiums ne pouvant capter les âmes de nos chers disparus qu’à cette condition !

Les âmes qui ne sont pas encore dans la lumière, ne sont pas en capacité vibratoire de communiquer avec des médiums, et vice versa !

Les médiums sont obligés d’élever leur niveau vibratoire pour entrer en contact avec les niveaux de la lumière, un niveau vibratoire plus bas, celui des âmes qui errent quelque part dans le bas astral, ne leur est pas accessible !

Hier, j’ai oublié que Jean était parti un 26 décembre, par contre sa fille Maryse, elle, ne l’avait pas oublié !

D’où ce petit texte ce matin, pour leur dire, combien nous avons apprécié, ici-bas, la manière dont ils se sont occupés de nous, combien nous les remercions, d’avoir fait ce qu’ils ont fait et d’avoir été ce qu’ils ont été !

Vivre dans l’au-delà à deux niveaux différents, ne veux pas dire qu’ils ne peuvent plus communiquer comme il pouvait le faire ici-bas, ils le font peut-être comme nous le faisons avec eux par télépathie, par médium interposée, par le rêve ou la pensée !

Il est plus facile dans des niveaux énergétiques plus élevés que les nôtres, ici-bas, d’être instantanément par la pensée ici ou là !

Être sur deux plans différents de la lumière « Il y a de nombreuses demeures au royaume du Père » ne les empêche pas de continuer à veiller sur nous et à nous aider, bien au contraire !

Je sais que le fait de penser à eux ou d’écrire cette courte chronique, pour leur rendre grâce, leur permet à tous les deux d’être instantanément auprès de nous, même si nous ne ressentons rien ou ne voyons rien, ils sont là ici et maintenant !

D’ailleurs le fait de penser à eux, de leur écrire, de se souvenir d’eux, ne les fait-il pas vivre dans nos cœurs ?

Maryse et Raymond

Qui est-il ?

Qui est-il ce divin enfant ?

Je n’évoque pas ici son origine controversée à la base des différentes scissions du christianisme, celle de sa conception, entre autres, mais de l’homme qui prêche un enseignement révolutionnaire du « Père » au point de s’attirer les foudres des grands prêtres qui vont exiger de Ponce Pilate qu’il soit condamné à mort !

  • « Es-tu Roi ? » lui demande Ponce Pilate ?
  • « Si tu le dis ! » lui répond Jésus !
  • « Où est ton royaume ? » redemande Pilate ?
  • « Mon royaume n’est pas de ce monde ! », lui répond Jésus pendant son
    interrogatoire !

Que prêche-t-il pendant plusieurs années en Galilée et en Judée ?

L’amour, celui de son prochain !

Qui est son prochain ?

Son peuple, c’est évident, pour ses contemporains, mais il va plus loin avec eux, car il évoque aussi l’amour avec l’occupant de l’époque « les Romains ! », ce qui n’est pas pour plaire à tout le monde et en particulier aux « zélotes ! »

Mais il parle aussi de l’amour entre toutes les nations, ce qui pour l’époque est encore inaccessible au niveau intellectuel de tout un chacun, et ne l’est pas encore, loin de là ! plus de deux mille ans après ! hélas !

Par qui est-il entendu ?

Par les plus pauvres, les plus humbles, par ceux qui souffrent de la faim et de maux de leur âme et de leur corps !

Comment les convertit-il à ce nouvel enseignement ?

  • Il évoque l’amour infini du Père, contrairement à ce qui est enseigné par les Rabbis et les prêtres du Temple !
  • Il réalise ce qui a été rapporté comme des miracles ;
  • Il ressuscite « Lazare » mort depuis trois jours !
  • Il guérit les paralytiques, « lève-toi et marche ! »
  • Il guérit des enfants gravement malades, des aveugles !
  • Il sauve la femme adultère de la lapidation, et ne la juge pas, « va et ne pêche
    plus !
     »
  • Il multiplie les pains et les poissons, sur les bords du lac de Tibériade.
  • Il transforme l’eau en vin aux noces de Cana en Galilée !
  • Il s’entoure de disciples hommes et aussi de disciples femmes, une première !
  • Il enseigne l’amour de soi et de son prochain, au travers de paraboles.
  • Il conseille à chacun de mettre en œuvre la parole de Jéhovah transmise par les prêtres, mais les dissuades de ne pas agir comme eux, à l’inverse de ce qu’ils préconisent ! Aïe ! Cela ne plait pas au Sanhédrin (l’assemblée des grands prêtres) !
  • Il chasse les marchands du temple de Jérusalem ! Aïe ! Ils n’ont pas aimé non plus !

Jean le baptiste, et les zélotes laissent entendre qu’il est le messie, qu’il va prendre les armes contre l’occupant (surtout les zélotes) pour sauver le peuple de Palestine !

Il n’avait aucune intention de lever une armée, sa seule arme, à lui pendant toute cette période fût « l’amour de son prochain », et la force de sa parole porteuse d’un nouveau sens, il fût une sorte de « Bisounours » bien avant l’âge !

D’ailleurs Ponce Pilate ne s’y est pas trompé et son premier jugement fut de vouloir libérer Jésus, mais les prêtres ne l’entendant pas de cette oreille, exercèrent des pressions sur lui pour le contraindre à aller dans leur sens, en le menaçant d’en parler à l’empereur Romain Tibère, en personne !

N’êtes-vous pas impressionné, comme moi, que plus de deux mille ans après son enseignement n’ait rien perdu de sa force ?

Je ne vous dis pas le christianisme actuel se porte bien, je vous dis que l’enseignement de celui que l’on nomme le Christ est encore plus d’actualité de nos jours  !

Comprenez-vous cette nuance de taille ?

Il y a donc plus de deux mille ans ce Jésus de Nazareth, est venue nous offrir une clé, un remède à tous nos problèmes qui ne font que s’aggraver et qui continueront à se détériorer, tant que la « haine » ne sera pas transformée par l’humanité en « amour ! »

Je ne sais plus qui disait, « l’humanité sera spirituelle, ou ne sera pas ! » ceci résonne comme une « prophétie » en train de se réaliser au travers de la sixième extinction des espèces bien engagées de nos jours et qui risque d’être irréversible, si nous ne nous réveillons pas !

Entendrons-nous ce message porteur de l’unique clé pouvant transformer l’humanité et la sauver ?

Il est né, il y a maintenant plus de deux mille ans !

Sera-t-il né pour rien ?

Je ne le pense pas ni ne le souhaite pour les générations futures !

Pere-NoelVous qui vous émerveillez ce matin, devant les réactions de bonheur de vos enfants et petits-enfants, prenez conscience du rôle important que vous devez jouer, pour leur laisser une planète où ils trouveront plaisir à vivre et à continuer d’y prospérer, sinon, après nous, cela risque d’être le déluge pour eux !

Raymond MAGDELAINE

Ce que nous croyons être

Ce que nous croyons être et ce que nous sommes sont à la fois complètement différents et complètement semblables, tout en nous est inextricablement lié !

Je m’explique !

Celui que je crois être, est celui que je veux montrer aux autres, et celui que je désire montrer peut présenter différentes facettes, suivant à qui je le montre !

Ces personnages que je compose, correspondent à ma « personnalité » et sont fonction de mes peurs ; peur d’être ce que je suis, peur du regard et du jugement des autres !

Pour être accepté, c’est du moins ce que je crois, je vais développer des comportements, des attitudes, des paroles… corriger ce que je crois être la perception des autres à mon égard !

Comme mes personnages sont multiples, il m’arrive, c’est un classique, de me prendre pour eux, sans d’ailleurs que les autres soient dupes le moins du monde des rôles que je joue, car en fait, je ne suis pas un bon acteur, quoi que j’en pense !

Et pourquoi je ne serais pas un bon acteur dit-moi Raymond ?

Parce que le rôle que je joue, que tu joues, que nous jouons est développé par le moi (l’égo) pour cacher aux autres sa véritable identité, et que pour être un bon acteur il faut être sincère !

Le meilleur des acteurs c’est celui qui ne triche pas avec lui-même !

Ne croit surtout pas qu’il faille tuer celui qui joue ce rôle de composition, car ce rôle est nécessaire pour redécouvrir celui qui s’y cache derrière, pas pour que les autres le découvrent, mais pour que celui qui joue le rôle découvre que la comédie qu’il joue sonne faux !

Le piège classique de l’égo (du moi), c’est de croire au rôle qu’il joue, à l’importance qu’il donne à son personnage, sans se rendre compte qu’il ne leurre personne à part lui-même !

L’être magnifique qu’est chacun de nous, le soi, crée les personnages joués par le moi, pour nous permettre dans cette incarnation de redécouvrir, petit à petit, en nous débarrassant couche, par couche des peaux qui nous masque l’être divin (le Soi), le joyau de l’aboutissement, pour l’instant, de la création divine.

Le petit moi, va expérimenter ici-bas des situations, qu’il va créer de toute pièce (de théâtre) pour se rendre compte ou pas, à terme, qu’il n’est pas bien dans la peau du personnage qu’il joue.

Ce qui devrait, devrait… j’insiste, ce n’est pas systématique, l’inciter à se révéler tel qu’il est !

Nicolas Flamel
Nicolas Flamel affirme avoir achevé le Grand Œuvre et obtenu la Pierre Philosophale !

Cette révélation, ne peut pas s’effectuer dans une seule incarnation il nous faudra, surement plusieurs incarnations pour atteindre le niveau ou le soi sortira de sa gangue, révélant ainsi le véritable joyau qu’elle contenait, ce que les alchimistes appellent la pierre philosophale !

Tous notre mal-être, toutes nos maladies (mal a dit) tous nos maux, proviennent exclusivement des « mots » qui sonnent faux dans notre rôle de composition !

Pour guérir (gai rire), retrouver la Joie, il nous faut redécouvrir notre « Soi » en devenant le Pèlerin, celui qui se découvre (qui se pèle) tout au long de son voyage personnel à Compostelle (1), but ultime du voyage initiatique qui permet à celui qui ose se peler de dévoiler celui qu’il est et qu’il a toujours été, en découvrant aussi toutes les autres facettes de la réalité tangible et intangible !

Alors, être ou ne pas être ?

En d’autres termes :

Naître ou ne pas naître ?

(1) Compostelle, (2) en langue des oiseaux « composte Stella » la terre (la gangue) qui renferme l’étoile, le joyau, la pierre philosophale des alchimistes, le Soi des psychanalystes l’être véritable, l’âme qui anime notre corps physique ?

(2) Tous les chemins mènent à Compostelle, ou à Rome si vous êtes croyant, ou au SOI si vous êtes allergique à la religion ; qui je vous le rappelle veut dire « relier » c’est-à-dire se relier au SOI. La boucle, le ruban de Möbius est ainsi bouclé.

Raymond MAGDELAINE

Joyeux Noël

Noël approche à grands pas, et au fil du temps il a perdu son essence, je trouve !

Noël c’est à la fois la fête du solstice d’hiver, la nuit la plus longue et le retour de la lumière, c’était une fête païenne avant de devenir une fête religieuse, celle de la naissance à Bethléem d’un enfant du nom de Jésus.

À y regarder de plus près le choix du Pape Jules 1er n’est pas aussi incohérent qu’il semble, c’est du moins mon point de vue !

Les jours qui s’allongent, ce retour vers la lumière donc, liée à celle de la naissance d’un enfant qui va apporter à l’humanité l’éclairage d’une FOI nouvelle basée sur « l’amour de son prochain ! »

Trois rois mages, qui vont offrir des présents à ce nouvel enfant roi annoncé par une prophétie, connue du roi Hérode le grand, entre autres, et qui lui fait peur !

Le père Noël, considéré en Allemagne, comme le quatrième roi mage, qui va aussi offrir des cadeaux à nos enfants rois, héritier du Christ !

Je trouve que cette « double magie de Noël » n’a rien à voir avec le hasard, ou alors comme le pensait
Albert Einstein
« Le hasard, c’est Dieu qui voyage incognito ! »

CrècheJe vous souhaite, nous vous souhaitons tous, de Joyeuses fêtes de Noël, que vous soyez croyant ou pas, avec la joie du retour des deux lumières, celle des jours qui s’allongent et celle de la Foi, la foi en l’homme, la foi en Jésus Christ, ou la foi de votre choix, mais la « FOI en quelque chose », pour qu’elle puisse donner un sens à votre incarnation a votre vie ici-bas !

Lorsqu’on demandait à Carl Gustav Jung s’il croyait en Dieu, il répondait, « Je n’ai plus besoin d’y croire…
Je sais ! »

Je vous embrasse tous très fort et très tendrement !

Raymond MAGDELAINE

Ils sont présents

À l’occasion de l’anniversaire de sa sœur, Jodie, Matt me parlait en aparté de sa grand-mamie, partie l’an dernier sur Jupiter !

Ce matin voici ce qui m’a été inspiré à mon réveil, surement par Micheline !

Lorsque nous pensons à eux, lorsque nous sommes dans la peine, lorsque nous pleurons, lorsque nous sommes désemparés face à des situations qui nous semblent inextricables ils descendent instantanément vers nous !

Instantanément ils sont là, même lorsqu’ils viennent de Jupiter, ils voyagent plus vite que la lumière, car ce qui pour nous est l’espace et le temps, pour eux cette illusion n’existe pas, pour eux il n’y a ni espace (distance) ni temps.

Ils viennent, nous caressent, nous prennent dans leurs bras, nous consolent, nous chantent une berceuse, nous offrent leur amour en guise de baume pour notre âme, bref ils sont là !

Nous ne les voyons pas, mais nous pouvons ressentir leur présence, sentir leur odeur, ressentir leurs caresses, entendre leurs mots silencieux avec l’oreille de notre cœur !

Cela se manifeste, le plus souvent, par le calme revenu, nos larmes qui ne coulent plus, notre peine qui s’estompe, notre respiration qui devient plus calme, nos yeux qui se ferment nous entrainant doucement vers le sommeil !

Leur présence se manifeste dans nos rêves, où ils viennent nous rendre visite, ils y sont souvent silencieux et souriants, leur présence, leur manifestation agissent comme un véritable baume qui soulage immédiatement toutes nos peurs, toutes nos peines, toutes nos tristesses !

Ils ne viennent pas seulement lorsque nous sommes tristes ou malheureux, ils viennent aussi lorsque nous sommes heureux, joyeux, nos rires les attirent comme un puissant aimant, instantanément !

Ils aiment lorsque nous sommes dans la Joie, et sont joyeux lorsque nous le sommes, comme ils peuvent être tristes et malheureux lorsque nous le sommes !

Comprenez bien que tout ce qui est en bas est comme tout ce qui est en haut et tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, comprenez-le bien c’est une clé primordiale !

Pour celui ou celle qui a perdu un enfant qui a mis brutalement fin à ses jours, il faut savoir, qu’immédiatement après son acte il le regrette amèrement, il éprouve une culpabilité monstrueuse en se rendant compte du mal qu’il fait à ceux qu’il aime, et qui l’aiment, ceux qui le pleurent, ceux qui se sentent coupables de ne pas avoir compris son malaise, malaise d’un être, qui n’a pas encore atteint son stade de maturité.

Là-haut ils seront malheureux tant que les leurs le seront, ils crient là-haut, ils demandent qu’on les pardonne, ils regrettent amèrement leur geste de désespoir, ils souffrent le martyre…

Parents, vous qui souffrez atrocement, la clé est dans le pardon et dans l’amour, pardonnez-leur ce qu’ils ont fait, pardonnez-vous ce que vous ce que vous n’avez pas fait, continuez à les aimer et ils continueront à vous aimer, sachez que lorsque vous retrouverez la paix ils retrouveront la paix de leur côté, ce qui est en bas est semblable à ce qui est en haut !

Les deux mondes ne sont séparés que par l’illusion du temps et de l’espace, si les corps, si les formes de matières sont limitées à la vitesse maximale de la lumière, ce qui est déjà phénoménal, les pensées, les intentions, la conscience, n’a aucune limitation !

Ne vous interdisez pas pour autant d’être triste ou malheureux, ils aiment vous consoler, ne vous interdisez pas d’être joyeux et de rires aux éclats, de tous sûrs, c’est ce qu’ils préfèrent le plus, tout autant que vous !

Je vous le répète, il n’y a aucune différence, dans le domaine des émotions, des sentiments, des ressenties, du plaisir, de la peine… entre ici et l’au-delà, si ce n’est que notre point de vue, nos préjugés !

Si nous nous croyons coupés d’eux, ils ne peuvent pas nous communiquer leurs intentions, si nous croyons être toujours unis à eux alors la Joie peut s’installer progressivement, dans notre relation avec eux !

Je ne sais pas où ils sont vraiment physiquement, ici je parle de leur corps subtil, sont-ils sur Jupiter ou sur Vénus, je ne sais pas, ils sont dans la lumière, la lumière invisible avec nos yeux, c’est le vide qui nous entoure, ils sont donc tous près de nous, même sur Jupiter ou Vénus, le vide qui semble nous séparer d’eux n’est qu’apparent, ils sont là dans notre cœur, et comme le dit le Petit Prince à Antoine de Saint-Exupéry le soir lorsque tu seras triste en pensant à moi, regarde le ciel la nuit et tu entendras rire les étoiles !

Rions en regardant les étoiles et ils riront avec nous, soyez heureux, écoutons les rires, ils sont vivants dans « Eywa » (1) !

avatar
Neytiri

Superbe synchronicité en rapport avec cette chronique !

(1) Eywa, divinité Na’ vi qui personnifie la nature, dans le film de fiction « Avatar »

Raymond MAGDELAINE

 

Toi qui juges

Toi qui portes un jugement sur tout le monde, sur tous les cons qui t’entourent, qui te cernent !

Qui es-tu pour juger ?

Es-tu l’élu ?

L’omniscient, l’omnipotent ?

Le détenteur de la vérité ?

Tu te prends pour « Dieu » ?

Que sais-tu de l’histoire des autres ?

Que sais-tu des souffrances, des épreuves, qu’ils endurent ou qu’ils ont endurées ?

Crois-tu que les tiennes soient plus douloureuses, plus importantes que les leurs ?

Es-tu sûr que ce sont eux qui sont responsables de tes souffrances ?

Es-tu absolument sûr de n’y être pour rien, de n’être qu’une malheureuse victime de tous les cons qui t’entourent, qui te haïssent, qui te veulent du mal, ou qui ne partagent pas tes points de vue ?

Oui ?

Je te plains !

pas-contentIl est parfois nécessaire de vider son sac !

Raymond MAGDELAINE