Je suis toujours dans la phase de l’inspiration, une nouveauté surprenante au début, accompagnée par celle du partage en essayant de rendre accessible à un grand nombre de personnes mes « Chroniques de l’âme hors » en les publiant au format numérique à la portée des jeunes générations et au format papier plus adapté pour d’autres !
Les textes de toutes mes « Chroniques » sont « inspirés », comme celui-ci, par « l’au-delà », je ne sais pas encore par qui, il ne s’est pas présenté, peut-être parce que je ne lui ai pas demandé qui il était ?
Ce n’est pas le plus important, les textes que je tape sur mon clavier et qui s’affichent sur la page blanche de mon écran ne sont pas planifiés, le sujet m’arrive vers les quatre heures du matin sous la forme d’une ou deux idées « concises » et les phrases se forment au fur et à mesure que je les tape, le plan n’est pas de moi et certains termes employés ne sont pas de mon vocabulaire courant !
L’inspiration vient au fur et à mesure sous mes doigts, cela me demande tout de même de me relire, pour reprendre quelques tournures de phrases que ma dyslexie emmêle un petit peut, et aussi pour corriger quelques fautes orthographiques ou grammaticales que mon niveau scolaire me fait encore commettre malgré mon âge avancé, chassez le naturel et il revient au triple galop !
Écrire fut longtemps pour moi un obstacle occasionné par les critiques des autres, je suis du genre sensible aux regards et aux appréciations des autres sur moi-même, nature humaine oblige !
Je me suis décidé tout de même à essayer de surmonter ce handicap pour pouvoir transmettre ce que je pense indispensable de « partager » avec les autres pour que cet échange, inné à toutes les formes de vie, puisse murir dans d’autres esprits et ainsi les nourrir, contribuant ainsi à l’évolution de notre espèce qui n’est pas différente des autres et qui a besoin comme les autres de ces interactions pour croitre !
En me rendant sur la page d’un auteur, dont j’ai acheté le livre numérique, je suis tombé sur une évaluation de son ouvrage par un lecteur qui semble, c’est mon point de vue, s’être plus attardé sur la forme que sur le fond de son ouvrage.
J’y vois ici deux avantages ;
- Celui de mettre le doigt sur le point faible de l’auteur, afin qu’il puisse le corriger, même si la critique était plutôt faite, de mon point de vue, pour démontrer la supériorité du lecteur sur l’auteur !
- Celui de contraindre l’auteur à passer du temps sur la relecture de son ouvrage, pour que le lecteur ne se laisse pas distraire du fond par une forme pas bien maitrisée !
J’y fais aussi la constatation suivante ;
un texte, quel qu’il soit, offre au lecteur la possibilité de découvrir son niveau vibratoire ; « suis-je dans un niveau ou la forme à plus d’importance que le fond ou inversement ? »Ce n’est pas à l’auteur d’en juger ni de le savoir, mais au lecteur de le percevoir !
Raymond MAGDELAINE