Archives mensuelles : décembre 2016

L’échelle de Jacob

Ceci qui va suivre est une métaphore qui tente de représenter ou d’imager devrais-je dire ce que Jésus exprime dans cette citation ;

« Il y a de nombreuses demeures au royaume de mon Père ! »

Analogie avec l’au-delà.

Au royaume de notre Père existe des niveaux vibratoires d’intensité différente où celui qui est par exemple sur le premier barreau de cette fameuse échelle de Jacob est capable de voir et d’entendre tous ceux qui sont au même niveau que lui, mais ne vois ni n’entends ceux qui sont logés sur le second barreau de l’échelle !

L’Échelle de Jacob, vue par Marc Chagall.

Enfin… tout le monde sur ce barreau n’est pas prêt à entendre ou à visualiser les messages, alors que tous en ont les capacités, certains d’entre eux, nommés médiums, communiquent avec les plus ouverts du second barreau. Ceux du second barreau de cette échelle comme ceux du premier barreau sont capables, pour certains d’entre eux de recevoir les messages des barreaux inférieurs.

Le nombre de barreaux de cette échelle est surement infini, mais plus on s’élève sur cette échelle plus nous nous rapprochons de Dieu, sans jamais l’atteindre, car il a et aura toujours un barreau d’avance sur nous, si ce n’est plus, puisqu’il se nourrit de nos transformations.

Ceux du barreau le plus proche de Dieu entendent et voient clairement ses dessins et sont vraiment les mieux placés pour les faire redescendre vers les barreaux inférieurs.

Depuis le niveau de nos chers défunts entrés dans la lumière de son royaume, jusqu’au niveau le plus élevé des anges, des séraphins, des archanges… chacun joue un rôle important pour l’accomplissement de SES dessins !

N’étant pas au courant de ce qui se passe dans la « Lumière » ou l’ayant oublié depuis mon incarnation, je ne saurais vous dire combien l’échelle de Jacob à de barreaux à l’heure actuelle, ce que je sais c’est que l’univers est en extension, il continue de croître, de se perfectionner, et que comme tous les êtres de l’au-delà ou d’ici-bas ne cessant de se transformer, cette échelle doit croître comme nous.

Analogie avec l’ici-bas.

Si comme le dis aussi Jésus ; « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas », il faut croire que la même échelle existe ici aussi et que l’on trouve aussi de nombreuses demeures dans le royaume de notre Mère (Gaïa).

La différence ici-bas, c’est que nos âmes sont toutes incarnées dans un corps visible par tous les yeux et entendu par toutes les oreilles !

Ah ! Tu vois bien Raymond que ce n’est pas pareil qu’au-delà !

Si bien sûr, ce que nos yeux voient et nos oreilles entendent, n’est pas la voix des âmes des autres, leur être profond, leur Soi, mais uniquement la petite voix de leur ego, leur petit moi !

Toi y en a comprendre ?

Je t’explique, ce que tu crois voir et entendre des autres n’est que l’expression de leur petit moi, qui à cause de ses peurs se cachent derrière ses masques et ses nombreuses armures, et qui cherche, pour se faire aimer des autres, à se faire passer pour un autre !

Si tu es un tant soit peu ouvert et attentif, tu es capable, comme tout le monde, de percevoir en autrui la dissonance entre ce qu’il croit être et ce qu’il est véritablement, comme tu es capable de percevoir toi-même que ce que tu dis ou fais n’est pas en adéquation avec ton être profond.

Sur les premiers barreaux de cette échelle stagne une humanité qui ne se résout pas à croître, ou que l’on maintient dans ses peurs pour l’empêcher de croître.

Cette humanité ne voit ni n’entend, à part de rares exceptions, ceux qui sont sur le second barreau, et ceux-ci ont beaucoup de difficultés à comprendre les raisons des actes de ceux du premier barreau !

Le bien et le mal ne sont qu’un point de vue de notre esprit qui n’a pas encore bien compris ce qu’il est venu faire ici-bas et qui n’essaye pas de s’ouvrir à l’invisible, qui l’entoure et qu’il ne voit pas.

Ce n’est pas parce qu’on ne voit pas le vent que le vent n’existe pas et ce qui est vrai pour le vent est vrai pour tout ce que nos yeux ne perçoivent pas, mais qui se manifeste d’une manière ou d’une autre !

Sur ces barreaux ici-bas existent des maîtres de sagesses, comme il en existe dans au-delà, ils se sont incarnés ici pour nous aider à croître, à nous ouvrir vers le subtil, vers l’invisible… c’est cette ouverture qui nous permet et qui permet à la nouvelle humanité de ne plus stagner sur les premiers barreaux.

Comme dans l’au-delà, je ne connais pas le nombre de barreaux de cette échelle ici-bas, je ne sais pas sur lequel je me situe et ne cherche pas à le savoir, le plus important pour moi, mon être profond, c’est d’être curieux de tout et de continuer à ouvrir mon cœur vers, ce qui pour moi, est essentiel.

Mon hypothèse

L’ascension de Jésus évoquée dans la bible est l’ultime barreau de cette échelle ici-bas qui met fin à nos réincarnations, ou nous allons pouvoir enfin troquer notre corps de chair, de matière, par un corps plus léger, plus fluide, un corps de lumière. Ce qui aura pour conséquence de nous rendre invisibles aux yeux de ceux qui n’ont pas encore accompli leur ascension et nous donnera accès à une autre forme de croissance dans l’au-delà !

L’ultime barreau de l’échelle de Jacob dans l’au-delà est-il la dernière marche pour accéder à Dieu ?

Personnellement, je ne le crois pas, car Dieu continue de croître au travers de nos croissances, Dieu est infini, il est indéfinissable, et pourtant, n’en déplaise aux mécréants, il continue de se manifester au quotidien au travers de sa création.

Ce n’est pas parce que tu es sourd et aveugle qu’il n’existe pas, mais par contre ; c’est parce que tu es sourd et aveugle que tu stagnes sur ton barreau de l’échelle de Jacob !

 Raymond MAGDELAINE

 

 

Mes vœux pour 2017

Je cherchais à réaliser une carte virtuelle de vœux pour 2017 à vous présenter, une carte originale, mais aussi en rapport avec mes vibrations et en accord avec les transformations qui s’opèrent en moi de plus en plus fort, de plus en plus puissamment, et qui par moment me bluffent complètement et me questionnent, mais n’entrave plus ma progression.

Ce matin comme par hasard, j’ai trouvé le « cœur » de ma carte, un témoignage vidéo de la puissance de la vie, de la force qui nous habite et dont nous ne soupçonnons même pas qu’elle puisse nous booster à ce point, force à notre disposition, mais qu’à cause de nos formatages nous ne nous sentons pas dignes ou capables de l’utiliser.

Que la force soit avec nous en 2017 et au-delà !

https://www.youtube.com/watch?v=lnBuop8NrcU&feature=share

Je partage donc avec vous cette carte pour que chacun(e) de vous, de nous, puisse y trouver le courage et la force de se libérer de nos limitations, et ose les utiliser pour propager en lui et autour de lui la force de la lumière, la force de l’amour, afin que 2017 soit enfin l’aube concrète du Nouveau Monde déjà en construction.

Que la force soit avec nous!

Raymond MAGDELAINE

An de grâce 2017

Un peu partout dans le monde, au cours de cette année et des années précédentes, des initiatives citoyennes sont prises ici ou là par des individus, des groupes citoyens, des industriels, des artisans, des élus locaux et régionaux, des enseignants, des étudiants, des salariés, des chefs d’entreprise, des commerçants, des villes, des régions, des états, des gouvernements…
pour transformer une société qui a usé jusqu’à sa trame la corde sur laquelle elle n’arrête pas de tirer.

Ceci est fait dans le silence le plus absolu de nos médias censés nous informer, mais qui ne se consacrent qu’à une désinformation d’une ampleur jamais atteinte jusqu’à ce jour, preuve que ceux qui tirent les ficelles de leurs marionnettes sont aux abois !

Alléluia !

Voici un lien vers une vidéo illustrant, l’une des nombreuses actions citoyennes, action toujours pacifique organisée ici par des mères de deux petits états où se livre depuis des lustres une guerre sans nom, ou le seul dieu est l’Argent lié au Pouvoir !

Des mères des deux camps qui s’affrontent et auxquels elles fournissent, contre leur grès, leurs enfants, filles ou garçons, pour sacrifice au grand Mammon et qu’elles pleurent.

https://www.youtube.com/watch?v=YyFM-pWdqrY

Personne n’en parle, leur action est couverte par le bruit fait autour d’informations qui n’ont pour unique but que de réactiver la haine et les peurs, mais ce n’est pas le bruit que fait l’arbre complètement pourri en tombant, qui empêchera ou qui empêche la nouvelle graine, d’une société de tolérance et de solidarité, de lever et de croître.

Que cette année 2017 soit enfin l’aube tangible d’une nouvelle humanité plus solidaire, plus respectueuse, plus aimante, plus consciente de ses propres responsabilités vis-à-vis des générations futures qui nous survivront sur cette magnifique oasis que nous avons transformée ou laissée transformer au fil du temps en enfer !

Raymond MAGDELAINE

Je ne veux pas être un gourou

Il me vient cette image à l’esprit, vue dans une publicité sans doute : celle d’un homme perdu dans le désert. Devant lui, incongru dans un paysage de dunes à perte de vue, un panneau jaune avec un point marqué d’une flèche : « Vous êtes ici. » L’image résonne avec la situation présente, dans laquelle nos repères vacillent et perdent leur capacité à nous ancrer. Dans laquelle, pourtant, il importe plus que jamais de savoir se situer, ici et maintenant, en s’efforçant de trouver des réponses à quelques questions.

Quelles sont mes valeurs ? Quelle doit être la suite ?
Par où aller ?

Et vous où en êtes-vous ?

En ce qui me concerne, le Pierre Rabhi engagé sait à peu près où il en est. J’ai des convictions solides : l’agroécologie, l’humanisme. Je me sens à ma juste place. Et puis il y a le Pierre Rabhi intime, fragilisé par des interrogations profondes en lien avec son passé. J’ai beaucoup d’énergie dans ce que j’entreprends, mais je reste un enfant qui n’a pas connu sa mère.

Je n’ai même pas de photo d’elle. Faute de connaître celle qui m’a mis au monde, je me sens comme un clandestin sur cette planète. Par la suite, j’ai connu des arrachements successifs, j’ai peiné à trouver mon identité en ayant grandi dans une double culture. Ces vieilleries de notre grenier psychologique, nous les traînons alors qu’il faudrait apprendre à s’en débarrasser. C’est ainsi. On dit du chagrin qu’il émousse ou qu’il aiguise. Je crois qu’il m’a plutôt aiguisé. Mais, par moments, il m’émousse encore. Lors d’une réunion avec mes collaborateurs, il y a quelques jours, j’ai fondu en larmes. Je me sentais très chargé par mon histoire, par l’état du monde.

Certains voudraient faire de moi un maître à penser. Je me sens parfois happé comme un étendard lors d’événements où ma présence est souhaitée. Lorsque les gens viennent me dire : « Vous me faites du bien, vous me donnez du courage », je pourrais en profiter pour faire le gourou. Mais je réponds : « Ce n’est pas moi, je ne suis qu’un canal, un porte-voix. Pierre Rabhi, c’est 52 kilos tout mouillé. »

J’en reviens à mon petit panneau jaune. Savoir se situer, c’est bien sûr se situer dans ses valeurs. Mais aussi dans son histoire, dans ses relations aux autres. Il y a en chacun de nous un tyran et une victime. Ces failles, si nous ne les accueillons pas pour les panser, font le lit des idéologies, du dogmatisme religieux, du conformisme militant. On se cherche un sauveur, une appartenance, une ligne de conduite et l’on néglige de prendre sa part de responsabilité à l’égard de soi et des autres. Or le changement de société ne peut advenir sans un changement des individus. Il ne sert à rien de chercher à rafistoler le modèle sans travailler d’abord à se rafistoler soi-même. Mes chagrins me rattrapent en même temps qu’ils me font avancer.

Voilà où j’en suis.

Retour à l’expéditeur

Pour n’avoir pas assez aimé autrui,
par crainte ou par hostilité.

Pour avoir critiqué les actions des autres,
sans bouger le petit doigt.

Pour avoir remis les autres en cause,
sans jamais te remettre en question.

Pour t’être moqué de leurs défauts,
sans vouloir voir les tiens.

Pour avoir dit du mal des autres,
sans te rendre compte du mal que
tu leur fais.

Pour avoir condamné les autres,
en t’accordant l’absolution.

Pour avoir oublié que l’autre est à la fois ton égal
et ton miroir.

Pour d’autres choses peu avouables et que tu connais mieux que moi…

Souviens-toi d’une chose essentielle sur cette terre et dans ton incarnation ;
« Ce que tu fais au plus petit d’entre les hommes,
c’est à toi même que tu le fais. »

Oui je sais, tu vas me dire, ce n’est pas tout à fait SA citation, il dit,
« C’est à moi que tu le fais. »

Oui c’est vrai, mais comme LUI
c’est aussi TOI.

« C’est bien à TOI que tu le fais ! »

Dit autrement !

Médite !

Raymond MAGDELAINE

L’instant présent

Le temps qui reste,
c’est du temps qui nous est offert,
non pas pour qu’on le regarde s’écouler,
mais pour l’utiliser à bon escient.

Du temps pour essayer de réparer nos erreurs,
du temps pour aimer les autres,
du temps pour prendre soin de soi,
du temps pour donner un peu de son temps aux autres.

Du temps pour vivre tant qu’il en est encore temps !

Du temps pour vivre ses envies,
du temps pour faire plaisir et se faire plaisir.

Le temps est précieux, mais il s’écoule… inexorablement,
le temps perdu ne se rattrape jamais, affirme un vieil adage !

Alors, ne perdons pas un seul instant de ce précieux temps,
si nous ne voulons pas l’achever avec plein de regrets !

Le temps qui reste, c’est l’instant présent,
pour le vivre pleinement et intensément, il nous faut,
l’alléger des regrets du « passé » et des peurs du « futur ».

C’est aussi mon jours préféré !

C’est un cadeau, c’est pour cela qu’on l’appelle « présent » cet instant !

C’est ce temps présent que je souhaite vivre pleinement, auprès de de celle et de ceux qui me sont chers !

Raymond MAGDELAINE

Un fête essentielle

Trois Mages, pour rendre hommage à un enfant Roi venu s’incarner comme nous ici-bas pour tenter de nous transformer, tentative avortée ; prétendent ceux qui ne souhaitent pas la transformation de l’humanité pour mieux l’appauvrir et par conséquent s’enrichir sur son dos, tentative réussie ; pour des observateurs qui ne se laissent plus berner par les mensonges de Mammon !

Laissez venir à moi les petits enfants !

Un Père Noël, quatrième roi mage, qui perpétue l’hommage rendu au premier en célébrant les enfants roi qui lui ont succédé, la boucle est ainsi bouclée, et n’en déplaise à l’humanité de l’ère des Poissons, l’ère du Verseau se dresse fièrement pour la remplacer par une ère ou l’esprit christique de l’Enfant Jésus anime cette nouvelle humanité, étincelle de vie que l’on peut voir briller dans les yeux des nouveaux enfants roi, à ne pas confondre avec les « despotes » de l’ère révolue.

En fait le Pape Libère, n’as pas si mal choisis, de vouloir rassembler en une seule ces deux fêtes, qui au travers de l’enfant célèbre l’Homme en devenir ! Non ?

Que sa volonté soit «Fête !»

Responsable je suis

Je ne suis ni devin ni prophète, surtout pas prophète et encore moins prophète en mon pays, comme l’a réalisé un homme du nom de Jésus il y a plus de 2000 ans.

Non, je ne suis qu’un être humain, comme les autres, avec mes défauts et mes qualités, comme tous les autres, ni meilleur ni pire (enfin je l’espère).

J’ai longtemps cru, moi aussi, que les autres étaient responsables, de mes malheurs, qu’ils s’ingéniaient à me vouloir du mal, mes amis, mes collègues, mes parents et tutti quanti !

J’en ai même voulu à « Dieu », c’est vous dire le désarroi dans lequel je me suis retrouvé, après les épreuves douloureuses que je subissais, que nous subissions avec Maryse.

Il m’aura fallu du temps, beaucoup de temps, pour comprendre, que ni les autres ni Dieu n’étaient responsables de mes malheurs, que le seul responsable, dans tout cela, c’était moi et uniquement moi.

Bien sûr, que pendant toute cette période, j’ai dit ou fait des choses, par réaction, qui ont eu des conséquences, sur mes proches, sur mes amis, sur mes collègues… car moi aussi j’avais oublié, ou pas voulu voir que nous sommes tous liés, très intimement, les uns aux autres !

J’en assume maintenant pleinement, toutes les conséquences, même les plus douloureuses, car je sais aujourd’hui que tous les hommes récoltent, ce qu’ils ont semé.
Quand finiras-tu par le comprendre ?

Je récolte donc, sans rancune, sans haine, dans l’amour, toutes les conséquences de mes, actes, de mes paroles, de mes écrits, de mes intentions… dans le pardon, sans attendre que l’on me pardonne mes crimes de lèse égo !

Je sais que tous les êtres humains, à part quelques très rares Saints (et encore), sont imparfaits, et qu’ils sont venus ici-bas afin de s’améliorer, ce qui n’est pas facile tous les jours, pour tout le monde, sans exception !

 « Oui, je l’affirme, tout peut-être pardonné à autrui, même ce que l’on a cru être, à jamais, impardonnable… et heureusement ! ».

Raymond MAGDELAINE

Avertissement solennel

Ce que tu dois comprendre, toi qui en 2017 vas prendre les rênes du pouvoir… qui que tu sois !

Le peuple de France en a marre qu’on le prenne pour un veau (pour rester poli) !

Il ne supporte plus les mensonges de tous ceux ou de toutes celles qui prétendent vouloir son bien !

Il n’en peut plus de toujours payer pour des faits qui ne sont pas de son fait !

Il n’en peut plus d’essayer de faire vivre sa famille de manière décente, avec des salaires gelés et une inflation galopante !

Il n’en peut plus de ce parcours du combattant qu’il est obligé d’effectuer pour exercer son droit aux soins les plus élémentaires, à un logement accessible à ses revenus, pour trouver un emploi en rapport avec sa formation, pour vivre décemment avec une retraite indécente…

Il ne veut plus d’une Union européenne manipulée par les marchés et les banques qui imposent aux peuples des pays y participant des restrictions de plus en plus draconiennes alors qu’elles et eux continuent à s’en mettre plein les fouilles !

Il n’en peut plus d’être plumé comme un pigeon, pressé comme un citron, d’être le dindon de la farce, en clair ; 

D’ÊTRE PRIS POUR UN PAUV’E CON !*

Message « pas subliminal » à celui ou celle qui ne veut rien entendre !

Il ne supporte plus que les partis politiques lui fassent sans cesse des promesses qu’ils ne tiennent jamais, que ses mêmes partis sachent mieux que lui ce dont il a besoin.

Il en a marre que l’expression de son vote lors des diverses élections ne soit pas prise en compte ou qu’il soit détourné par une figure de rhétorique toujours fallacieuse !

En clair ! 

IL VEUT QUE TOUT CELA CHANGE DE MANIÈRE RADICALE.

En clair ! 

IL VEUT LE RETOUR D’UNE VRAIE DÉMOCRATIE, CELLE DU PEUPLE SOUVERAIN.

C’EST CLAIR ?

 

* Traduction mal polie du « veau » empruntée à un « très grand » général !

Raymond MAGDELAINE

Croire

Croire au père Noël plutôt que de croire en Dieu semble être, de mon point de vue, le problème majeur de nos sociétés dites modernes et qui se croient évoluées.

Dieu est devenu au fil du temps un objet puéril qui est une marque, pour les plus « évolués » d’entre nous, d’une faiblesse de l’esprit, un manque de maturité pour ne pas dire une pathologie de type psychiatrique.

Par contre cette même société, n’hésite aucune seconde à laisser croire, à des esprits qui s’éveillent à l’existence, au père Noël, c’est-à-dire à un mythe, lui aussi, imaginé de toute pièce par l’humanité, pour créer pendant un temps limité, celui de l’enfance, un monde merveilleux, auxquels les adultes qui le propagent se laissent prendre à leur tour.

Ce mythe ancien perdure dans notre société avec son côté mercantile bien sûr, mais aussi son côté merveilleux, chargé de sens, aussi bien pour les enfants que pour les adultes qui se prêtent délibérément au jeu, sans se soucier du quand dira-t-on.

Pendant que se développe cette « croyance » librement consentie, l’homme rejette Dieu à qui, tel Carmentran (personnage en carton de tradition provençale), il attribue toutes les misères de l’humanité, comme si cette humanité ne se sentait à aucun moment responsable de tout ce qui lui arrive, comme si ses actes ne pouvaient avoir aucune conséquence sur elle ou son environnement !

Pourtant le père Noël, comme Dieu, contiennent des principes qui participent, chacun à leur manière, à l’évolution de l’humanité. Les deux sont chargés, initialement, d’intentions nobles qui devraient faire évoluer la société mercantile, vers plus d’humanité de solidarité, vers plus de liens qui unissent, qui rapprochent que d’indifférence qui sépare, qui divise les hommes et crée de la désespérance, de la souffrance.

Il nous suffit pour nous en convaincre de regarder dans les yeux des enfants, qui ouvrent leurs paquets, briller l’étincelle de joie, de lire sur leurs visages l’expression du bonheur de recevoir le fruit de l’amour de ceux qui leurs sont proches et qui sont l’émanation du père Noël ou de Dieu.

Le grand principe contenu dans l’un comme dans l’autre est identique, offrir son cœur, partager sa joie, consoler la peine de l’autre, soutenir celui ou celle qui en a le plus besoin… ce principe, pour moi, a pour nom « Dieu » sa manifestation et son intention est l’Amourl’amour de soi et celui d’autrui !

« Réfléchissez bien à ce que vous venez de lire, le principe est simple et élémentaire, il est contenu dans toutes les formes de vie, c’est un principe immuable, il est le constituant de toute évolution harmonieuse. »

« Appelez-le comme vous le voulez, cela ne regarde que vous, mais respectez son principe essentiel l’Amour et la vie prendra une signification plus profonde qui bouleversera et renversera toutes les idées reçues d’une humanité en perdition de sens profond. »

Raymond MAGDELAINE