Ma page Facebook est dédiée depuis pas mal de temps déjà à mes chroniques sur l’âme hors, aux nouvelles chroniques de l’âme et mes essais sur la conscience.
Il est possible que l’on puisse y voir la Face du Bouc, c’est-à-dire celle du diable !
Je voudrais ici rappeler ou apprendre à ceux et celles qui ne le savent pas encore que Satan et Lucifer furent, parait-il ! les deux premiers fils de Dieu qu’il a envoyés ici-bas, avec son troisième plus récemment connu sous le nom de Jeshua !
Étymologiquement parlant
- Satan; est « Celui qui vient du ciel » (j’avoue humblement que celle-ci n’est la plus répandue), ou « L’adversaire » (celle-ci est la plus répandue, mais aussi la plus galvaudée !)
- Lucifer; est le « Porteur de la lumière »,
- Jésus ; qui signifie « Dieu sauve » auquel le vieux Siméon a ajouté lors de sa présentation au Temple de Jérusalem qu’il était ou est « La lumière du monde ».
Que pour les deux premiers, les hommes en aient fait avec Belzébuth les représentant du côté obscur de la lumière ne veut pas dire qu’ils sont ce que l’homme en a fait !
Le côté obscur de la lumière n’existe qu’ici-bas (1), c’est du moins mon point de vue, mais je ne suis pas devin ni prophète.
Oui Facebook, si nous ne surveillons pas nos pensées, nos écris, nos publications, peut devenir « Face de Bouc », de là à en faire un moyen uniquement réservé aux forces obscures, est un pas que je ne franchirais pas, ce serait porter un jugement sur celui ou celle qui l’utilise, sans que j’aie la moindre preuve de ses intentions, qui peuvent me plaire ou me déplaire, ceci est possible, mais je suis libre de les inviter ou pas à créer un lien avec moi !
C’est mon choix !
Ceci dit c’est bien la diversité de l’humanité qui en fait toute sa richesse, en bien comme en mal !
(1) Les christadelphes sont presque l’unique groupe parmi les chrétiens à énoncer comme article de foi que Satan n’existe pas en tant qu’entité surnaturelle et spirituelle à part entière ; le mouvement religieux rejette l’idée d’anges déchus et croit que le mot « satan » se rapporte simplement, dans la Bible, à n’importe quel adversaire et, au sens figuré, à la nature humaine corrompue et sujette à la tentation.
La croyance en un ange déchu tentateur et responsable du mal qui est répandu sur la terre est, selon eux, le produit d’une influence païenne, perse notamment, et si cette croyance est tellement répandue, c’est du fait d’une tendance naturelle de la nature humaine à rejeter sa culpabilité sur autrui, tendance à l’œuvre dès le moment où le péché originel est perpétré (Genèse 3:12-13). Les christadelphes estiment que la tentation du Christ dans le désert est tout simplement l’allégorie d’une période de préparation, de même que les trois tentations qui se trouvent dans l’Évangile de Jean.
Bon, ça c’est fait, à moi d’en tirer
la substantifique moelle !
Raymond MAGDELAINE