Homme de peu de foi !

La principale richesse, appartenant aux deux mondes, l’ici-bas et l’au-delà, et la seule, nous emporterons outre-tombe, est la FOI !

Entendons-nous bien sur ce thème très galvaudé. La FOI dont je vous parle ; est aussi, c’est évident, la foi en LUI. LUI, ce principe fondateur de TOUT ce qui EST ici-bas et même au-delà ! C’est cette FOI-là, qui a été la plus galvaudée par ceux (uniquement des hommes, les femmes étant exclues de la religion) qui ont voulu se l’approprier, pour asservir autrui ! A l’inverse du principe même de la foi religieuse, celle de TOUTES les RELIGIONS !

avoir la foi
Homme d’une grande FOI !

Ce n’est pas d’elle dont je vous parle ici, je vous parle de « la foi en soi », de la foi en la vie, en TOUTES les formes de vie. Je vous parle de cette foi qui engendre la joie, joie de vivre, la joie de donner, de partager, la joie d’AIMER !

La FOI ne nous demande aucun sacrifice, aucune flagellation, aucun repentir, aucune souffrance pour être transcendée. Elle ne nous demande que de « la laisser couler » naturellement en nous, comme coule la sève dans l’arbre, sans opposition, sans chercher à savoir si elle bonne ou mauvaise pour nous, si nous devons ou pas la colorer d’une opinion, d’une couleur d’une chapelle ou celle de la « Sainte Laïcité » !

La FOI ne fait pas de politique, elle est commune à toutes les croyances et non croyances, elle est innée, que nous l’acceptions ou pas, c’est une offrande, un cadeau !

À toi de t’ouvrir ou pas à ce trésor offert avec amour, comme le sont tous les cadeaux, pour te permettre de vivre heureux ici-bas !

La FOI, et elle seule, peut donner un sens à ta vie, sans que tu en soi conscient, sans que tu la cherches à l’extérieur, car elle est en toi ! Il te suffit de lâcher prise, de la laisser couler !

  • Les scientifiques l’appellent « Vide quantique » ou « l’information primordiale »
  • Dans Star Gate, E2PZ (extracteur de l’énergie du point zéro)
  • Les chinois, les taoïstes la nomment « KI » (prononcer tchi)
  • Les Japonais, le « Reiki » (l’énergie divine)
  • Les Amérindiens, « le grand manitou » « le grand esprit »,
  • En Inde on la nomme « prana » (souffle et principe vital du souffle)
  • Chez nous, dans la bible, « le Verbe »

Ailleurs les noms sont aussi divers que variés, tu peux pour « briller » ou par « conviction », choisir celui qui te convient le plus, sans chercher à te l’approprier, car un concept « divin » (1) est inappropriable !

Tu as dû remarquer que l’humanité est malade, gravement malade, la cause majeure c’est « la perte de la foi » en TOUT et SURTOUT en SOI !

UN DRAME POUR L’HUMANITÉ ?

OUI, et NON !

OUI, si elle ne se réveille pas de son cauchemar dans lequel elle s’automutile !

NON, si elle prend conscience que le remède est en elle, et qu’il lui suffit de souffler sur les braises de la FOI, qu’elle a étouffé, pour enfin la ranimer (animer à nouveau) pour la raviver (vivre à nouveau).

Nous n’avons pas tué notre FOI, car elle est dans une partie FONDAMENTALE de NOUS, qui est immortelle, celle de l’ÂME qui NOUS ANIME !

Si tu souffles sur les braises, ton âme incarnée, qui n’attend que cela la ranimera en toi avec une grande joie, que tu ressentiras jusque dans tes tripes !

Si elle brule à nouveau en toi, tu renaîtras à la vie, la vie coulera à nouveau en toi simplement comme la sève de l’arbre ou de la plante !

Vivre où périr ne dépend donc que de toi, toi qui dors, qui cauchemardes, par peur de vivre !

Tout ce qui a peur de vivre est voué à l’extinction, nous ne sommes pas venues ici-bas pour trembler, mais pour vivre en symbiose avec TOUT, car tout VIT !

Comme tu ne crois plus en « Dieu », tu ne l’accuses pas de tes malheurs (ceux de Caliméro) pour ne pas paraitre aux autres comme un simple d’esprit, alors tu accuses autrui d’en être la cause (de tes malheurs).

Ne vois-tu donc pas, homme de peu de foi, ne ressens-tu pas, au plus profond de toi, que tu es LE SEUL responsable de tes souffrances par ton manque de FOI ?

(1) Ce que j’entends par divin, c’est tout ce qui est encore pour l’homme un « grand mystère » sur lequel il ne sait rien, mais qui ne l’empêche pas pour autant de donner son point de vue, ce qui est l’un des principes naturels inhérents à sa quête incessante !

Raymond MAGDELAINE

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