Archives de catégorie : Chroniques de l’Ame

Nouvelles chroniques, en cours d’écriture… cultivez la patience !

Epilogue

Du livre Le continent oublié

Que pouvons-nous tirer comme enseignement après la lecture de ces quatre chapitres du « Continent oublié ».

  • Qu’il a glissé inexorablement sous la zone la plus glaciale de la planète (l’antarctique) et que le réchauffement constaté par le GIEC accentue de plus en plus l’obliquité de l’axe de rotation de la planète ?
  • Le glissement de l’axe de rotation est le signe annoncé dans le calendrier des Mayas que le sixième soleil annonçant « le mouvement » est en train de se produire actuellement. Ce qui explique, à mes yeux, la présence de nombreuses nations de notre planète qui s’y sont installées, prétextes, pour s’approprier les richesses en s’entretuant joyeusement pour pouvoir les posséder, lorsqu’il aura quitté cette zone réfrigérante !
  • Le calendrier des Mayas nous indique donc des périodes dans le cycle de la précession des équinoxes[1] pendant lesquelles la planète va modifier son niveau vibratoire qui aura ici ou là des conséquences locales pouvant ressembler à la fin du monde, mais qui n’est que la fin d’un cycle.
  • Que ce « mouvement » prédit, de la lithosphère sur l’asthénosphère, ne s’est pas produit brusquement, mais a été étalé dans le temps, permettant ainsi aux « Atlantes » de sauver les meubles avant d’être congelés pour l’éternité !
  • Que cette civilisation, très avancée, non pas matériellement, mais spirituellement, a été capable d’agir sur la matière pour pouvoir bâtir des monuments cyclopéens capables de résister à des séismes cycliques dont Gaïa a le secret, lorsqu’elle veut se débarrasser de ses parasites !
  • Que ces hommes n’étaient pas des dieux, ni des extra-terrestres, mais des hominidés comme vous et moi, avec une sagesse et des connaissances que nous sommes encore loin d’avoir atteintes !
  • Que les mythes et les légendes qui courent encore sur la planète nous parlent toutes la même chose sur le fond, ce ne sont que des messages codés emplit de sagesse qu’ils nous laissent le soin d’interpréter !
  • Que la transmission de leur message s’est inscrite automatiquement dans les mémoires du temps[2], mémoires infalsifiables et qui nous sont accessibles !

Transmission des mémoires

Dans une lignée quelle qu’elle soit, il y a toujours des ascendants et des descendants !

La crypte de la grotte de la Sainte-Baume agit comme un athanor.

Ce sont les descendants de cette lignée qui ont commencé, chacun à leur manière, à sortir de l’ombre à l’époque dite de la Renaissance et qui se réveillent aujourd’hui en retroussant leurs manches pendant que l’Ancien Monde s’effondre sur lui-même, comme les villes de Sodome et Gomorrhe.

« Là où croît le désespoir, croît aussi l’espoir ! »

Vous allez sûrement vous sentir frustré(e), parce que je ne vous donne aucune recette !

« Pourquoi, Raymond, ne veux-tu rien nous dévoiler ? »

« Tout simplement parce qu’il n’y en a pas et surtout parce que c’est à vous, à nous tous de les découvrir. »

Nous avons tous et toutes en nous la capacité d’avoir toutes les réponses à nos quêtes, dès qu’on fait taire notre mental, pour que notre troisième œil et notre troisième oreille puissent voir et entendre le potentialités inépuisables des mémoires de l’akasha !

En plus de nos capacités sensorielles ordinaires, nous avons TOUS accès à nos capacités extrasensorielles, ce sont nos peurs et en particulier celle de la mort, qui nous nous en prive. La force est en nous, car nous sommes tous d’essence divine et nos âmes sont immortelles, souvenez-vous, nous nous sommes déjà rencontrés dans d’autres vies !

« Combien de fois devrais-je le répéter, pour que vous commenciez à le comprendre (à le faire vôtre, le prendre pour vous, vous en nourrir) !

« Combien de fois dites-moi ? 

Nous sommes les rois de nos royaumes que nous bâtissons sur les enseignements de la Nouvelle Alliance qui est basée exclusivement sur L’Amour et où la Haine y est honnie, parce que source de tous nos maux.

Il n’y a pas de potion magique, ceux qui prétendent la posséder sont de vulgaires charlatans, des illusionnistes, des menteurs ! »

Le vecteur de la transmission

J’espère que vous avez compris qu’il est dans le couple où le Féminin et le Masculin sacré ont décidé d’un commun accord de fusionner au saint des saints[4] (entendre sein) de la chambre nuptiale (notre temple).

Temple intérieur et temple de pierre extérieur !

Croire que le pouvoir est entre les mains des gouvernants, c’est oublier que nous le leur avons cédé par flemme d’exercer le nôtre ! Ne nous en prenons qu’à nous même, Dieu ne nous a pas donné des mains des pieds et un cerveau pour ne pas nous en servir !

Si vous ne comprenez pas qu’en cédant votre pouvoir vous vous rendez pieds et poings liés à tous ceux qui ne cherchent qu’à nous tondre et à nous plumer !

La femme ne sera l’avenir de l’homme que lorsque nous la reconnaîtrons comme une partie indissociable et complémentaire du couple qui exerce un pourvoir à deux, car à deux nous sommes complets et plus puissants !

Je le répète à nouveau, pour ceux et celles qui ne veulent rien voir ni entendre, il n’y pas de vérité détenue par les tout puissants, ils sont tout puissant car nous ne voulons ou nous n’osons utiliser la nôtre !

L’accès aux mémoires des temps est intemporel et inné

C’est phénoménal et intuitif, cela ne relève en rien d’un vouloir du mental, mais relève d’un phénomène intuitif inné et de l’ordre de la nature immortelle des âmes. Nos âmes retournent toutes les nuits pendant notre sommeil à la source, font le bilan de la journée, explorent les potentialités que nous devrions mettre en œuvre dès notre réveil pour pouvoir continuer à croître.

Elles ne le font pas que la nuit dans la journée elles visitent la source dans un temps imperceptible (car hors de notre temps) pour trouver la solution en rapport avec une problématique du moment et à laquelle il nous faut trouver une réponse appropriée à notre légende personnelle !

Note de l’auteur :

Si vous voulez en savoir plus, je vous conseille de lire[5] ou de visionner les vidéos de Jean-Pierre & Lucile GARNIER MALET qui démontrent que ce phénomène de « dédoublement du temps » est naturel chez l’hominidé et à toutes les espèces un tant soit peu évoluées, et elles le sont toutes, chacune à leur manière !

Comment se perpétuent nos mémoires ?

Lorsque je parle de nos mémoires, j’évoque celles de toutes les espèces du vivant sur Gaïa, de la plus petite, celle du microcosme, à la plus grande (minéral inclus), celle du macrocosme (celles de notre oasis) qui nous héberge et qui nous nourrit, mais aussi celles de notre soleil et de celle de notre unique lune[6] ! Les mémoires de l’hominidé (celle du microcosme, soyons humbles) n’échappant pas à cette règle immuable et sur laquelle notre volonté ne peut agir, heureusement !

Dieu ou la « conscience immanente suprême, Celui qui est et qui crée[7] », n’est que le résultat de l’addition de toutes les mémoires. « Notre Père et notre Mère, le couple ultime » ne conservent que celles qui les nourrissent et rejettent toutes celles qui ne leur conviennent pas ! Ces mémoires sont infalsifiables et indestructibles, car elles appartiennent à une partie extérieure à la matière, que l’on nomme l’éther qui n’est composé que de photons, ceux de l’Au-delà interagissant avec l’eau d’ici !

L’Au-delà et l’eau d’ici, ne sont pas de même nature, mais étant conscientes l’une de l’autre, elles interagissent et s’enrichissent mutuellement. L’au-delà est immatériel, il est composé de photons, il est régi par d’autres lois que celle des lois qui régissent la matière, composée d’atomes. La frontière, s’il y en a une, est celle de nos perceptions, celles de nos cinq sens, les scientifiques la nomment « mur de Planck ».[8] Ce n’est simplement qu’une illusion que nos cinq sens imposent pour l’instant, à ceux qui sont mal entendant et mal voyants !

Il a été « interdit » aux scientifiques, sous peine « d’hérésie »,d’envisager une vie cohérente avant cet « horizon de nos événements », sous prétexte que nos connaissances du moment nous empêchaient d’effectuer des mesures de les quantifier et de les mesurer et donc de les prouver !

Depuis, heureusement, des scientifiques velléitaires ce sont affranchit de ces interdits et ont exploré ce continent interdit et y ont fait des découvertes intéressantes qui expliquent parfaitement cet au-delà qui est régit par d’autres lois d’une physique que nous commençons tout juste à explorer.

Figurez-vous que le temps ne s’y écoule pas de la même manière que celui de la matière (l’ici-bas), il y serait « imaginaire ».[9]

Temps réel, ici-bas, et temps imaginaire, au-delà !

Ce qui permet de mieux comprendre certaines manifestations comme celles des expérienceurs[10], des médiums… qui datent de la nuit des temps de l’humanité et que l’on a classés prématurément comme ésotériques dans le sens de « folie furieuse ou folie douce », qui se terminait souvent par une camisole de force ou le bûché pour sorcellerie, dont les femmes rousses ont été victimes et le sont encore ici ou là !

De plus en plus de scientifiques « ouverts », comme les regrettés Igor et Grichka Bogdanoff, Patrick Burensteinas, Philippe Bobola, Philippe Guillemant, le génial Nassim Haramein, Albert Einstein … et plein d’autres encore, qui ce son penché sur l’avant big bang pour tenter de comprendre ce concept des dieux de l’antiquité eu celui plus récent d’un dieu unique aux noms multiples qui évoque, pour moi, une immortalité de nos consciences et une conscience de l’univers contenu dans toutes choses, même celles du minéral qui nous paraît inerte !

L’eau d’ici-bas et le photon de l’au-delà sont le support de toutes les mémoires des univers et des planètes hébergeant, les expériences de toutes les formes de conscience, qu’un être un tant soit peu éveillé peut explorer pour continuer à évoluer harmonieusement sans risque de s’effondrer sur lui-même, comme un vulgaire soufflé au fromage sorti du four !

Dieu, ou une conscience immanente existe, même si personne ne l’a vraiment rencontré en chair et en os !

L’éveil de la conscience

Il ne peut pas se produire tant que nous restons les prisonniers de nos peurs qui nous empêchent de sortir des allégories préfabriquées et hig-tech des « Nouvelles cavernes de Platon » que j’ai évoqué ici !

Nous ne nous sommes pas incarné, pour nous lamenter tels les animaux de la légende amérindienne du colibris, ou critiquer ceux qui agissent mais pour faire notre part de colibri !

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt.

Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre qui s’étendait sous leurs yeux.

Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu.

Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation qui lui semblait dérisoire, lui dit :

« Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

Et le colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part. »

Personne d’autre que nous ne peut explorer à notre place notre légende personnelle !


[1] La précession des équinoxes provoque une rotation de l’axe des pôles et un déplacement consécutif du point vernal, selon un cycle d’environ 25 800 ans.

[2] C’est une forme de mémoire cosmique, de nature éthérique, qui, telle une pellicule sensible, enregistre les événements du monde et des espèces.

[3] Photographie prise là où Marie-Madeleine a terminé sa voie ici-bas entourée de ces plus fidèles disciple, car ne l’oublions pas elle a enseigné l’unique évangile nous conseillant de suivre la nouvelle arche d’alliance avec Notre Père qui est aux cieux !

[4] Le Saint des saints (latin : sanctum sanctorum) est la partie la plus sacrée d’un temple. Dans l’architecture antique, le saint des saints abrite le naos (le cœur de notre temple).

[5] https://www.amazon.fr/force-lInvisible-science-d%C3%A9doublement-temps-ebook/dp/B089B5715J

[6] La lune et soleil sont le microcosme de notre galaxie, la voie Lactée, lactée étant son macrocosme. « Tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ! »

[7] YHWH

[8] En 1900, Max Planck émet la théorie d’une limite pour décrire l’univers, comme un mur. On l’appelle « Le mur de Planck » et cette période « ère de Planck ». Cette ère se situe après le Big Bang qui a eu lieu il y a environ 13,7 milliards d’années.

[9] Certains problèmes de physique quantique peuvent être résolus en représentant le temps sous forme imaginaire. Ainsi, par exemple, la notion est utilisée par Stephen Hawking pour expliquer certains événements qui se sont déroulés tout de suite après le Big Bang.

[10] (Anglicisme) Personne ayant vécu une expérience de mort imminente.

Raymond MAGDELAINE

Hors propos ?

Au bout de deux ans d’une Pandémie,[1] essayons de faire le point sur la situation actuelle

Au commencement

  • La distanciation était plus efficace que les masques[2] !
  • Les mesures classiques d’hygiènes étaient amplement suffisantes pour la juguler[3]
  • Un confinement drastique fut tout de même instauré, assorti d’une prune plutôt salée pour les plus récalcitrants.
  • Mise à part la nature qui respirait un air plus sain, rien n’empêcha une seconde vague de poindre à l’horizon !
  • Pendant que les Chinois construisaient, en dix jours et dix nuits, à un hôpital pour faire face aux besoins !
  • En France on continue à supprimer des lits et des moyens à l’hôpital, on refuse l’aide des cliniques privées et l’usage de certains médicaments, qui ne présentait pas de garantie suffisante, d’après l’OMS.

La seconde vague prédite déferlât, l’insoumise !

  • Les masques et des tests élaborés à la va-vite, étant enfin là, ils furent imposés sous peine d’amande amère !
  • L’autorisation à la vente de vaccines miraculeuse, fit naître l’espoir, qui pris le pas sur l’angoisse grandissante !
  • Hélas, trois fois hélas, très vite contrariée par l’annonce des descendants de Michel de Nostradamus, prédirent une troisième vague dévastatrice !!!
  • Imposant aux sauveurs de l’humanité de nous contraindre à un second confinement un peu moins drastique, mais toujours assortis de prunes !

Aujourd’hui nous subissons une cinquième vague impressionnante en cas mais pas méchante à la fois !

Nous ne sommes plus à une contradiction près, et cela n’empêchera pas nos gouvernants, qui ont plus d’un tour dans leurs sacs ; de publier d’autres mesures, à légiféré, à la mesure de leurs (in) compétences et de leurs appétences !

Conséquence  aussi vieille que le monde !

Moi, je ne sais pas pour vous, mais aujourd’hui je me sens vachement bien plus en sécurité qu’au début !

Histoire sans fin car très lucrative !

Ceci va clore un sujet que vous pourriez considérer comme hors propos dans le contexte de ce livre évoquant « Le continent oublié », alors qu’il ne fait qu’illustrer tout ce que nous avons oublié de ce que nous sommes et nous parle du complot mondial de ceux qui voudraient que nous soyons !


[1] Les pandémies surviennent lors de déséquilibres majeurs liés à des modifications sociales et environnementales au cours de l’histoire (révolution agricole, guerres et commerce, voyages et grandes découvertes, révolution industrielle et empires coloniaux, mondialisation…).

[2] Nous n’en n »avions pas encore en nombre suffisant !

[3] Les vaccins, n’avaient pas encore l’autorisation d’être distribués…

Sourd et aveugle ?

  • La caverne[1] à une sortie, non gardée
  • Nos garde-chiourmes sont virtuels,
  • Nos peurs préfabriquées,
  • Rien, absolument rien ne nous empêche de voir le réel !

Nous nous soumettons corps et âme à des « dieux » qui n’en sont pas plus que nous,

Mais auxquels nous avons remis toutes les clés de nos royaumes, même les plus intimes !

Splendide !

Joyeux Noël à toute la chiourme !

Ils n’ont pas fini de nous en faire baver !

Souquez ferme et en cadence matelots !


Tant que nous ne comprendrons que notre royaume, n’est pas celui que nous confions sans discernement aux gouvernants en leur confiant aveuglément tous nos pouvoirs, ne nous étonnons pas de vivre l’enfer qu’ils nous font vivre depuis deux ans !

[1] La prison, ou l’enfer…sont des synonymes de l’illusion de vivre !

Le fil d’Ariane

PETIT RETOUR AU FIL (1) DIRECTEUR DE MYRIAM DE MAGDALA
QUI M’INSPIRE TOUS LES JOURS.

Pourquoi Myriam de Magdala, Raymond, au lieu de Marie de Madeleine, que tout le monde utilise… à part toi ???

« Je vais vous répondre par une question ! »

« Aimeriez – vous qu’on utilise votre prénom, dans lequel on laisserait entendre ce que vous n’êtes pas et qui vous fait passer pour un homme ou une femme de mauvaise vie ? »

Mais de quoi parle-tu, Raymond, où vois-tu que cette sainte femme est dépeinte comme une femme de mauvaise vie, tu blasphèmes (2) Raymond !!!

• Sur les vitraux de la Cathédrale de Chartres, entre autres, où on représente Marthe et d’autres femmes avec l’auréole symbolisant la Sainteté, et Marie Madeleine sans auréole ???

• Dans les évangiles, tout simplement, ma très chère sœur, mon très cher frère, dans les églises, les cathédrales, les Basiliques et même à La Sainte Baume, où les officiants de son culte les reprennent, encore et encore, pour bien enfoncer le clou !

Oui le clou, les clous qui la crucifient encore et toujours… encore et encore de nos jours !

Écoutez, ou plutôt lisez ce qui va suivre :

Les clous enfoncés par les évangélistes et notre église :

Luc VII, 38-5 : « Dans la maison du Pharisien, […] Voici qu’une femme pécheresse dans la ville, […].

Luc VIII, 1-3 : […] Jésus prêchait et annonçait la bonne nouvelle du royaume de Dieu. […] une des rares femmes présente, Marie nommée la Magdaléenne, dont sept démons été sortis, […].

Luc X, 42 : […] Une femme du nom de Marthe le reçut dans sa maison. […] « Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et te troubles pour beaucoup de choses, mais une seule est nécessaire, c’est Marie qui à choisie la bonne part, elle ne le lui sera pas enlevée » (3).

Mathieu XXVI, 6-123 : […] dans la maison de Simon le lépreux, une femme vint à lui avec un parfum très précieux qu’elle versa sur sa tête alors qu’il était à table. […] les disciples s’indignèrent et dirent « A quoi sert ce gaspillage ? On aurait pu le vendre fort cher et donner la somme aux pauvres ».

Mathieu XXVII, 55-56 et Marc XV, 40-41, ce sont les seuls à rapporter ce qui va suivre et que vous pouvez lie dans les deux évangiles de l’un et de l’autre : […] Jésus lui dit « Femme pourquoi pleures-tu ? Qui cherches-tu ? » pensant que c’était le jardinier elle lui dit « Seigneur, si c’est toi qui l’as enlevé, dis-moi où tu l’as mis et j’irais le prendre. »
Jésus lui dit « Maryam. »
Elle se retourne et lui dit en hébreu « Rabbouni » ce qui signifie Maître !
[…] Jésus luis dit « Ne me retiens pas car je ne suis pas encore monté vers le Père, mais va vers les frères, et dis-leur : que je monte vers mon Père vers votre Père, mon Dieu et votre Dieu. »

Il n’y a que cela qui est rapporté sur Maryam de Magdala, qui la présente comme une femme de mauvaise vie, minimise la tâche colossale que lui confie Jeshua, après lui, qui n’évoque surtout pas, l’épouse qu’elle à été, ni ne parle des deux enfants qu’ils ont eu ensemble, une fille et un garçon !

Vous aimeriez vous que l’on discrédite, aux yeux de tous, le rôle primordial que vous avez joué auprès de lui, et surtout après lui ???

Je ne pense pas, voilà pourquoi, j’ai choisi de la nommer Myriam ou Maryam de Magdala, qui est le prénom qui est le reflet exact de ce qu’elle à été et que je cherche à rétablir, c’est ma façon à moi de ne pas la trahir encore et encore…

Commentaire sur le vitrail : Jusque dans le vitrail de l’Église de Kilmore en Écosse, qui illustre ce texte, et qui représente le couple Mythique, avec Myriam enceinte de leur fils.Le Maître ouvrier qui a créé ce vitrail sublime, la représente sans le symbole de Sa Sainteté !
Pour ne pas froisser les dogmes de l’église anglicane et être jugé pour hérésie (4) ?

Le couple mythique réprésenté à Kilmore Écosse, sur un vitrail unique en son genre !

—– note de bas de page —–

(1) Allusion au fil d’Ariane :
« Dans la mythologie grecque ; Minos, roi de Crète, devait faire une offrande de 7 jeunes garçons et de 7 jeunes filles au Minotaure enfermé dans le labyrinthe, et ce, tous les 9 ans. Ariane, la fille du roi, confia à Thésée dont elle était amoureuse, une pelote de fil qu’il devrait dérouler pour pouvoir trouver le chemin du retour. Grâce à ce fil, Thésée put tuer le monstre et retrouver son chemin. »
« Aujourd’hui, un « fil d’Ariane » est une ligne directrice, une conduite à tenir pour atteindre un objectif. »

(2) Tenir des propos injurieux contre des personnes ou des choses respectables : blasphémer contre la religion. Synonymes : injurier – insulter – profaner – renier.

(3) Ici c’est pus subtil, elle y est présentée, comme une femme qui tire la couverture à elle, au détriment de Marthe, présentée plus loin comme sa sœur, autre mensonge !

(4) C’est un formatage odieux persistant, inconsciemment, dans les mémoires du temps !

Raymond MAGDELAINE

Le guerrier de lumière

Croire qu’un guerrier de lumière se bat avec les mêmes armes que les guerriers des forces de l’ombre, celles du côté obscur des êtres malveillants, c’est ce que voudraient bien nous faire croire ceux qui les utilisent pour asseoir un pouvoir, uniquement « patriarcal » et axé sur « l’asservissement ».

L’Ange Mickaël, pour pouvoir, devenir un « guerrier » (1) de lumière, un Archange (2) à dû pacifier ses ombres (son dragon) avec un archétype de l’épée…

Entendre avec la « langue des oiseaux » ;
L’ « Elle » é « est » pée « paix » elle est pacificatrice.

Mickaël a été contraint, c’est mon point de vue, de déposer sur le bord de son chemin ascensionnel, ses armures trop lourdes, son bouclier inutile, ainsi que renoncer à l’épée qui a trop longtemps fait couler des larmes et versé le sang des innocents ici-bas.

Croire que les guerriers d’en haut sont comme les guerriers d’en bas est un tour de magie qu’on essaye de nous faire croire pour continuer à nous asservir, par ceux qui utilisent la « Haine » (3), pour nous diviser.

Vêtement de Lumière des Achanges

Les guerriers d’en haut, ceux faits de lumière, utilisent « l’Amour » pour nous « rassembler » pour nous « réunifier » et ils sont nus, sans quoi ils ne pourraient être le pont (l’Arc) entre LUI et les Anges, nos moitiés de lumière non incarnée, qui guide leur autre moitié incarnée dans la matière (nous qui « eûmes mains »).

Leur nudité complète que nous pourrions percevoir comme une faiblesse les rendent « Invincible », aucune arme des guerriers d’en bas ne peut atteindre leur « Vêtement de Lumière » qui pour dissiper nos ombres n’a besoin d’aucun filtre, pour être efficace !

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Quant aux guerriers de lumière d’ici-bas !

Le texte d’hier publié sur ma page Facebook parlait des esprits non incarnés qui sont des guides pour ceux qui ont choisi l’incarnation afin de poursuivre leur croissance ici-bas au-delà de la matière.

Ceux qui portent la lumière ici-bas, bien qu’étant d’un niveau vibratoire plus élevé que celui de la normale, qui s’élève lui aussi et continue sa croissance, en se réveillant, n’ont pas encore un corps fait exclusivement de la matière la plus subtile de l’univers qu’est le photon, ou dit autrement la lumière !

Dans leur incarnation, pour pouvoir éclairer les autres, ils doivent faire comme les Archanges, déposer leurs armures, ôter les masques derrière lesquels ils se dissimulent, ou croient se dissimuler et surtout ils doivent déposer les armes classiques terrestres !

Nous ne pouvons pas être des porteurs (guerriers) de lumière et utiliser les mêmes armes que celles utilisées par tous ceux qui tiennent absolument à rester dans l’ombre, afin que leur empire pyramidal ne s’effondre sur lui-même tel un château de cartes.

Utiliser les mêmes armes, consiste dans les faits à donner raison au côté obscur, de continuer à utiliser les leurs contre nous, les armes, quelles quelle soient sont toutes à doubles tranchants !

Nos ombres masquent notre Lumière !

La lumière à elle seule est suffisante, même ici-bas, pour faire reculer les ombres et mettre en lumière les projets de ceux qui se cachent dans l’ombre, pour exercer un pouvoir qu’ils n’ont pas sur les êtres qui ont fini par comprendre, que leur impuissance, n’est que la peur de leurs propres ombres !

En dissipant vos ombres, vous contribuez à l’éveil d’autres porteurs de lumière, et c’est le « nombre » de porteurs de la lumière, qui va faire s’effondrer sur elle-même l’empire des empereurs Palpatine, très inférieur en nombre !

Dans le dernier opus de la saga des Stars Wars, le Commandant des forces du côté obscur demande a ses lieutenants d’où vient cette « armée » qui vient à la rescousse de la résistance (4), s’entend répondre, ce n’est pas une armée mon commandant, ce sont des civils (5) !

La leçon de Stars Wars peut se résumer, dans ce dernier Opus par « Le réveil de la Force » et pas par celle des guerres fratricides, qui ne fait couler que trop de sang et de larmes en auto alimentant la HAINE au lieu de l’AMOUR !

Comprenez-vous ?

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  1. Guerrier : anagramme de guérir (pacifier) !
  2. Archange : intercesseur entre LUI/ELLE et les Anges, Mickaël qui signifie « qui est semblable à Dieu »
  3. La haine (N) est un passage obligé à toute l’humanité pour lui permettre de la transmuter en aime (M), dans l’ordre alphabétique le N, viens juste avant le M, curieux, non ?
  4. Résistance, qui utilise, au cas où vous ne l’auriez pas encore bien compris, les mêmes armes que le côté obscur !
  5. Civils, bien plus « nombreux » que ceux qui se cachent dans l’ombre, et qui s’arrangent à faire couler le sang, par des mercenaires à leur solde, pour ne pas se salir les mains !

Raymond MAGDELAINE

Tentative de démonstration

de la géométrie de l’espace et du temps dans la matière

La révolution (le cercle vicieux)

Fig 1 La révolution

Le cercle est la représentation en 2D du concept de la révolution que j’ai utilisé dans mon dernier billet, une révolution complète part toujours d’un point, nous donne l’impression d’avancer pendant le 180 premier degré, puis nous ramène TOUJOURS à notre point de départ et les trois quarts du temps en empirant les conditions initiales ayant provoquées la révolution.

Nous avons tous le sentiment d’avancer, alors que nous n’avançons pas d’un iota, et tout est à recommencer après chaque révolution.

C’est se laisser couillonner.

La bascule, loi fondamentale de l’évolution de la vie

Fig 2 La Bascule

La sinusoïde est la représentation en 2D aussi du changement et de l’ouverture des consciences, que j’ai nommés la bascule, représentée ici horizontalement (dans la matière, celle de notre temps et de notre espace) (1), elle commence par une demi-évolution, mais exige une bascule décalée si nous voulons corriger, lisser les injustices entres ceux qui pensent avoir gagné et ceux qui ont perdu quelque chose. L’objectif est de rétablir un juste équilibre

Dans ce sens c’est la forme de l’évolution de la vie et de toutes les espèces sur la planète, c’est la loi fondamentale générée partout dans l’UNIVERS, de la particule élémentaire aux plus grandes structures du cosmos !

Pourquoi nous obstinons-nous à imposer notre système d’évolution à courte vue de myopes chroniques, au lui de laisser l’univers de continuer à nous guider vers quelque chose qui se rapproche au fur et à mesure de ses évolutions successives vers la perfection !

Sommes-nous TOUS aveugles et sourds au point de ne pas nous rendre compte que nous n’avançons pas d’un iota et que nous engendrons de par ce fait nos souffrances !

Sommes-nous l’espèce la plus évoluée de l’univers, mais aussi celle qui est la plus ignare a vouloir se prendre à tout prix pour Dieu, alors que nous n’avons encore rien compris ou si peu de l’évolution, que les autres formes de vie appliquent sans essayer de faire mieux que Dieu où l’Univers, si tu es athée, ou le hasard, si tu es stupide !

Le cercle est une vue d’un esprit étriqué, alors que la vibration des bascules successives permet l’évolution que seuls les aveugles ne peuvent pas voir, ou que les myopes ne veulent pas voir le nez collé sur une infime partie de la réalité de l’évolution, la peur étant la cause principale de la myopie !

Fig. 3 L’exploration

L’onde sinusoïdale, que j’ai nommée « la bascule », pour illustrer ma démonstration, ci-dessus, doit être complétée par ce schéma, qui tente d’illustrer, au cours des incarnations, les plans successifs qu’une âme explore, pour continuer à croître et avoir ainsi la capacité de s’extraire à terme de la matière qu’elle a choisie d’explorer volontairement, pour pouvoir continuer après ses expériences dans les autres plans plus subtils, plus spirituels… de l’ange vers l’archange ?


Légendes des schémas

Figure 1 (le cercle) : La révolution échoue parce que nous ne nous prenons pas en charge, nous continuons à croire que les autres, nos maîtres, ceux que nous avons élus, vont faire ce que nous attendons d’eux !

Nous sommes dans le rêve, ou sous péridurale, nous dormons à poings fermés, pendant qu’on nous plume !

Figure 2 (la sinusoïde) : La bascule consiste à s’extraire du cercle vicié de l’enfer-me-ment ou du confinement dans lequel on tente de nous maintenir, pour tracer sa route en se décidant à faire ce que nous sommes venus faire dans cette incarnation !

C’est redevenir un électron libre, c’est sortir de l’illusion de l’avoir s’extraire du cercle vicieux pour entrer dans l’être divin que nous sommes et agir au lieu de subir et avancer sur sa voie et être enfin le roi et le serviteur de son royaume !

Figure 3 (l’exploration) : Au terme des incarnations successives, je vois cette possibilité, comme un moyen explorer par les âmes de de s’enrichir tout en déposant au bord du chemin, tous ce qui est inutile à leurs croissance !

Je rappelle que ceci n’est qu’une vue de mon esprit (simple (2)) au vu de toutes mes expériences dans cette incarnation et de certains souvenirs d’incarnations plus anciennes que j’ai visualisés partiellement pour me permettre dans celle-ci de lâcher prise et d’y déposer ce qui ne m’appartenait pas et ne m’avait jamais appartenu !

Noms et significations de nos principaux chakras

Figure 4 (les sept marches) : De mon point de vue, ce sont les sept étapes, nos sept travaux, nos sept ombres que les âmes tentent d’épurer au cours de leurs nombreuses expériences pendant leurs incarnations sur notre planète, avant de pouvoir effectuer l’ascension ou d’atteindre l’état de l’illumination et de poursuivre leurs initiations sur des plans plus subtils, dont je ne sais pas grand-chose à par ce que racontent ceux qui en ont exploré !

Le 8e est un chakra capable de communiquer avec l’ange, qui est notre moitié de lumière non incarnée, si nos autres chakras sont ouverts et parfaitement alignés. C’est le canal de l’éveillé !

Une étape peut être rejouée un nombre de fois (que je ne connais pas) avant de pouvoir passer) la suivante, tout dépend de notre degré d’éveil !

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(1) La même représentation sur l’axe vertical agit sur l’âme qui est l’interface permettant de communiquer avec l’Esprit, le Saint Esprit, le Verbe (qui est Dieu) pour les croyants, pour d’autres ethnies le monde des esprits et pour nos scientifiques l’information…

(2) Ne pas confondre un esprit simple avec l’expression volontairement connotée de simple d’esprit, l’esprit peut être simple ou complexe… il est immatériel et rempli tout le vide et le plein dans l’univers, il est parcelle de ELLE/LUI !

Raymond MAGDELAINE

Révolution ou Bascule ?

  • Le principe de la révolution, de toutes révolutions, c’est, lorsqu’on est arrivé à un point intolérable d’enclencher une révolte (souvent sanglante et aveugle) pour sortir de l’ornière, ce qui nous semble bien fonctionner pendant les premiers 180° de la révolution, puisqu’à ce point-là nous atteignons l’opposé du point d’où elle est partie.

Cette première partie de la révolution, qui prend du temps, parfois beaucoup de temps continue à entretenir les clivages, les déchirements… avec un sentiment de « On a gagné ! » pour les uns et de « On a perdu ! » pour les autres !

Puis petit à petit, à ce point qui ressemble à celui de la bascule des paradigmes, nous revenons insensiblement, et irrésistiblement vers le point d’achoppement (retour à la case prison), où ceux qui avaient perdu du terrain récupèrent tous leurs acquis voire plus… et où tous les autres se retrouvent « gros Jean comme devant ! »

Le symbole de la révolution c’est le cercle (vicieux où vicié) !

Révolution !
  • Le principe de la bascule permet, comme dans la révolution, de sortir d’une situation intolérable, pour dans le temps tenter de trouver par des négociations, un point situé lui aussi à l’opposé, mais avec toujours des perdants et des gagnants !

Pour résoudre cette équation, il nous faut à nouveau effectuer une autre bascule à partir de ce nouveau point encore imparfait, et dans le sens opposé à la première bascule, ce qui permet, toujours par la négation pacifique de trouver des compromis, pour lisser les inégalités ou les injustices de la première bascule.

Ceci nous éloigne considérablement des premières inégalités, et bascules après bascules, nous rapproche de l’équilibre donc de la perfection.

Le symbole de la bascule, sur n’importe quel plan (horizontal ou vertical), est la sinusoïde, et dans la nature c’est la vague, le vent…

La vague !

La révolution est un leurre de l’Ancien Monde, il est générateur d’injustices flagrantes à la base de toutes fractures sociales, d’intolérance et de guerres perpétuelles, engendrant la haine entre les êtres, les clans et les nations.

  • La révolution est un système qui nous fait faire du surplace sempiternellement.
  • La bascule horizontale nous permet d’avancer en réduisant les inégalités, elle engendre dans les consciences un autre type de bascule (verticale) qui permet à nos âmes d’étendre dans un sens ou dans l’autre (vers le haut ou le bas) leur niveau de conscience.

Car nous avons toujours notre libre arbitre, celui de choisir de quel côté nous voulons croître (côté obscur ou lumineux), en sachant que d’un côté ou de l’autre nous œuvrons pour un même but, dont les objectifs nous sont, pour l’instant, inaccessible intellectuellement…

Mais l’objectif (conscient ou inconscient) est le même pour TOUS ; trouver un JUSTE ÉQUILIBRE entre les deux côtés de la force (l’équilibre fondamental du yin et du yang).

Raymond MAGDELAINE

Trois livres

Trois passages, d’une œuvre alchimique permettant à celui (celle) qui s’en délivre de se dévoiler.

Se voiler la face n’est pas un outrage à la loi du vivant, ne pas se dévoiler est un outrage au « Soi », à soi-même, que nous cachons derrière une multitude de voiles impénétrables, nous empêchant avant tout de nous voir tels que nous sommes !

Trois livres qui sont trois passages de l’œuvre de toute une vie des alchimistes, que nous sommes sans le savoir, qui en nous dévoilant (en nous délivrant) vont nous permettre de nous retrouver, ou de trouver au plus profond de notre être la Pierre philosophale, l’esprit « sein » (1) le mystérieux Graal !

  • L’œuvre au noir, fut chez-moi l’occasion de publier mon premier livre, celle de la dissipation des ombres qui viennent occulter et déformer la réalité des lois fondamentales qui régissent tout l’univers, tout le vivant, matière comprise !
  • L’œuvre au blanc, fut celle de mon second livre, celle de mes transmutations successives permettant d’ôter, l’un après l’autre les voiles qui masquaient mon « être » d’origine « divine », dans le sens de « surnaturel ! »
  • L’œuvre au rouge, c’est le troisième livre, encore sur mon métier à tisser l’âme (2), il agit en ce moment même où j’écris ces quelques lignes, et devrait aboutir à terme, en l’enracinement de l’esprit dans la matière !

Vous pouvez vous les procurer ici : Page de l’auteur Éditeur

Je vous les dédicacerais si vous le souhaitez !

Trois livres, qui comme les trois mages, l’un à la peau noire (Balthazar), l’un aux cheveux blancs (Melchior) et l’autre vêtu de rouge (Gaspard), comme par hasard… qui délivrent trois présents ; la Myrrhe qui symbolise la mort permettant une renaissance, l’Encens symbolisant l’origine divine des êtres et l’Or symbolisant la transparence (3) laissant passer la Lumière à l’issue de l’œuvre

Ne LUI demandons pas de nous délivrer du mal, il ne sait pas de quoi nous parlons, par contre demandons-lui de « nous délivrer de nos ombres, de nos voiles », pour nous permettre, un jour, d’accéder à la Pierre philosophale « rouge » signant la fin de notre quête tout en nous faisant découvrir un horizon encore plus vaste que celui dans lequel nous avons erré si longtemps, trop longtemps !

L’œuvre au rouge au cœur de toute révélation !

(1) Au cœur, au centre, de toute matière, de toute forme de vie, même celle qui nous semble inerte, comme ce rubis qui n’est pourtant que vibration dans un espace et un temps que nous ne pouvons percevoir !

(2) Un brouillon de ce troisième opus est disponible sur Amazon, il sortira un jour, le jour où je serais prêt à me délivrer, jour qui coïncidera pile poil au jour où vous serez prêt(e) à vous y ouvrir !

(3) Une transmutation des apparences nous évoque la langue des oiseaux !

Raymond MAGDELAINE

L’univers océan de pensées ?

J’ai évoqué récemment dans une de mes chroniques, ici et sur Facebook, la traversée du désert où nuit noire de l’âme !

J’y ai évoqué les raisons existentielles que nous traversons toutes et tous un jour ou l’autre et qui ne cessent de se répéter de manière récurrente tout au long de notre incarnation et qui nous font penser que nous sommes seuls, si au lieu de les accueillir nous cherchons à les éviter !

La traversée du désert, c’est le creux de la vague qui nous permet d’y déposer la partie la plus encombrante qui ralentit notre ascension, celle du degré d’ouverture de notre conscience qui nous rapproche de la Sagesse, bût de tout apprentissage !

C’est une des phases d’un mouvement alternatif incessant de forme sinusoïdale, qu’on compare souvent à celui des vagues d’un océan et que l’on nomme aussi vibration, palpitation, respiration ou plus prosaïquement « vie », celle de la goutte d’eau constituant l’océan et qui y vogue avec ses propres pensées, et si cette minuscule goutte pense c’est qu’elle EST parcelle de cet Univers océan conscient de ce qu’il EST et de ce qu’il FAIT en explorant tous les possibles, car il est lui aussi un être pensant  !

Tous les jours  nous traversons des phases ascensionnelles et ascendantes, ou tantôt nous sommes les rois du monde en surfant sur la crête de la vague et où nous nous sentons des moins que rien lorsque nous sommes au creux de la vague, TOUS LES JOURS !

Tous les jours, sur cet océan les courants qui nous mènent là où nous devons aller, nous sommes soumis aux divers degrés de pressions de dépressions que traverse le courant qui nous transporte. Notre vie de goutte d’eau peut alors ressembler à un long fleuve tranquille, ou à un maelstrom qui n’est que le fruit de nos pensées et de celles des autres gouttes d’eau qui voguent avec nous sur ce courant où nous participons tous à l’enrichissement ou à l’appauvrissement des pensées de l’Univers océan.

Se croire seul c’est oublier ce que nous sommes une goutte d’eau pensante et agissante, qui sans nous, assécherait, épuiserait l’essence même de l’Océan univers, tout comme les cellules de notre corps en s’asséchant le détruisent.

Mais si un océan ou un corps peut s’assécher, par contre ses pensées, nos pensées, elles nous survivent et s’intégreront dès que l’opportunité se présentera à celles d’un autre Océan-Univers et à ses gouttes d’eau !

L’eau est une association de trois atomes deux d’hydrogène et un d’oxygène.

L’eau de là, ou plutôt d’ailleurs est constitué en grande majorité d’hydrogène qui cherche à s’associer à l’oxygène dès que les conditions le permettent.

L’eau d’ici est à la base de l’apparition de toutes les formes de vie sur la planète, conditions idéales pour permettre à une forme de vie « carbonée » de s’y développer !

Pierre Teilhard de Chardin (1) disait à son époque, pas si lointaine (1881 – 1955), que si la matière n’était pas pourvue d’un esprit, cet esprit qui caractérise les humains n’aurait pas pu émerger chez nous !

Je compléterais son analyse, en ajoutant que si cet esprit n’avait pas émergé chez nous, nous ne pourrions pas forger nos pensées. La soi-disant matière n’aurait pu s’adapter aux hautes et basses pressions (vibrations) de l’Univers planète, voguant sur l’Océan univers de notre Galaxie !

Ne nous focalisons, ne nous figeons pas sur les difficultés que nous traversons, essayons de comprendre, ce qu’elles tentent de nous enseigner, car c’est en saignant que nous nous purgeons de tout ce qui nous entrave !

  • Pierre Teilhard de Chardin, né le 1er mai 1881 à Orcines (Puy-de-Dôme) et mort le 10 avril 1955 à New York (États-Unis), est un prêtre jésuite français, chercheur, paléontologue, théologien et philosophe. Scientifique réputé, théoricien de l’évolution, Pierre Teilhard de Chardin est à la fois un géologue, spécialiste de la Chine du Carbonifère au Pliocène et un paléontologue des vertébrés du Cénozoïque. Sa fréquentation régulière des paléoanthropologues qui étudiaient les premiers hominidés, tout juste découverts, l’incita à réfléchir à l’encéphalisation propre à la lignée des primates anthropoïdes.
    Dans Le Phénomène humain, il trace une histoire de l’Univers, depuis la pré-vie jusqu’à la Terre finale, en intégrant les connaissances de son époque, notamment en mécanique quantique et en thermodynamique. Il ajoute aux deux axes vers l’infiniment petit et l’infiniment grand la flèche d’un temps interne, celui de la complexité en organisation croissante, et constate l’émergence de la spiritualité humaine à son plus haut degré d’organisation, celle du système nerveux humain : pour Teilhard, matière et esprit sont deux faces d’une même réalité.

Raymond MAGDELAINE

Le passage à vide

L’illusion que les autres, s’éloignent de nous, ne nous comprennent plus, comme si nous parlions chinois, ne répondent plus à nos courriels, partagent de moins en moins de choses avec nous sur nos pages, peut nous faire croire qu’ils ont des griefs (non-dits) contre nous, ou que nous avons dit ou fait quelque chose dont nous n’avons pas conscience.

Cette impression, n’est que passagère, enfin quand on ne se focalise pas dessus, ce qui est difficile à réaliser, surtout lorsque nous attendons qu’ils nous en expliquent les raisons, car à ce moment-là nous pensons qu’ils en sont la cause directe.

Bien que passagère, elle est aussi récurrente pendant la durée de cette illusion, elle revient sans cesse à des moments nous paraissant insignifiants, mais qui sont pourtant très « signifiants » le jour où le temps est venu à nous de le comprendre.

Rien n’arrive au hasard ; la rencontre, l’amitié, l’amour, la séparation, le divorce, la naissance, l’âme hors (la mort), la solitude, la traversée du désert, nos joies nos tourments, nos maux nous disent ce que nous n’entendons pas…

Tout absolument TOUT est un message adressé par notre ange (notre Soi), la partie la plus lumineuse de nous, non incarnée et qui nous guide jour et nuit, message adressé à la partie incarnée dans un corps (le petit moi), qui attend les messages (souvent sans les entendre) venu éclairer nos parts d’ombres.

L’illusion se dissout, le jour où nos croyances en la faute d’autrui ou à pas de chance, finit avec le temps nécessaire à la re connexion à l’âme immortelle qui nous guide, le jour où nous cessons de construire des scénarios illusoires qui ont engendré le passage à vide.

En principe il nous faut atteindre le fond du gouffre, du trou noir qui nous avale et nous effraye tant que pendant toute cette descente aux enfers, nous n’entendons plus notre âme qui ne cesse jamais de nous parler.

Lorsque nous touchons le fond de ce trou noir de la partie incarnée de nos âmes, la grâce divine nous autorise à voir la lumière, à reprendre contact avec la partie lumineuse de notre âme. Au fond de toutes les nuits noires, des âmes incarnées se trouvent un trou blanc, une porte, un passage, un tunnel extrêmement lumineux, qui nous invite à entrer à nouveau dans la lumière, à reprendre contact avec notre guide d’incarnation.

C’est ce matin, où je viens d’atteindre, le fond de la nuit noire de mon âme, que je viens d’entendre l’invitation de ma moitié de lumière à franchir le seuil des enfers (de mon enfer).

En franchissant ce seuil, je vais m’affranchir de tous les obstacles (de tous mes diables, mes ombres), car la lumière va enfin me révéler ce que je dois y faire pour pouvoir les transmuter en force lumineuse.

Ce passage à vide, cette chute dans la nuit noire de mon âme, est une des nombreuses petites morts, de notre vie qui nous font renaître à chaque fois dans un univers de plus en plus lumineux, qui est la croissance des âmes incarnées.

Dans quel but ?

Je ne le sais pas encore vraiment, mais au fur et à mesure des mes apprentissages ici-bas, j’en ai une petite idée que je partagerais avec ceux et celles qui sont en capacité de l’entendre, avant de pouvoir le comprendre !

On me demande quelquefois (en MP) de faire des soins à distance pour soulager une âme qui traverse un passage à vide une nuit noire de l’âme, je refuse rarement de le faire gracieusement pour mes ami(e), mais je les préviens tout le temps que ce n’est qu’une béquille, le temps de soulager un moment pénible, et je rajoute que la seule personne capable de se guérir, c’est nous et nous seuls, en ne résistant pas à toutes les petites morts que nous devons traverser, pour nous permettre de croître !

J’ai, comme tout le monde du mal à porter ma croix, et pourtant, ce n’est pas à Simon de Sirène (aux autres) de la porter à ma place, mais bien à moi de la porter jusqu’à mon Golgotha, car au bout, j’y rencontrerais toujours une renaissance sur un plan encore plus élevé, encore plus lumineux que celui que je suis en train de quitter, sans aucun regret, enfin, si j’ose en franchir le seuil, m’affranchir de mes entraves !

Tu ne peux traverser aucune nuit noire de l’âme, si tu ne crois pas en toi et en tes capacités de te guérir tout seul, si tu n’as même pas foi en toi !

Ne crois pas en Dieu, si c’est ton choix, ne crois pas en moi, si tu doutes de moi, ma sœur, mon frère, mais crois au moins en toi !

Le vide t’effraiera tant que tu ne comprendras pas qu’il est empli de toi (de ta partie de lumière) et qu’il conspire pour toi, en attirant vers toi toutes les potentialités qui te permettront de croître !

Raymond MAGDELAINE