Pâques chrétienne

Elle nous parle de la résurrection de Jésus, le troisième jour après sa crucifixion, les femmes se rendant au tombeau, ne retrouve plus de Jésus que son linceul, dont les Romain et le Sanhédrin, vont laisser entendre que les disciples ont emporté son corps pour faire croire ou laisser croire qu’il était bien le Messie.

Il suffit que l’autorité civile ou religieuse prétende une chose, pour que tout le monde ou presque pense que c’est la Vérité, et c’est effectivement la Vérité que ces prétentieux prélats veulent nous faire entendre et adopter de grès ou sous la force de l’excommunication ou pire du bûché !

La résurrection de Jésus de Nazareth trois jours après sa mort sur la croix est un processus physique, non encore prouvé scientifiquement parlant, qui met un point final à nos incarnations.

La résurrection suivie de l’ascension est le résultat final d’une succession d’incarnations ou l’âme qui anime un corps à terminé de purifier tout ce qui faisait obstacle dans l’âme et le corps au passage de la lumière, ce qui a pour conséquence de permettre au corps physique purifié de s’élever en même temps que l’âme, vers le royaume de la Mère (du Père).

Certains Saints comme Padre Pio, qui n’ont pas encore atteint le stade complet de la purification du corps et de l’âme laissent derrière eux une enveloppe corporelle qui ne se dégrade pas dans le temps, car leur niveau de spiritualité a transformé leur corps putrescible en matière non putrescible. Ceci est une preuve que l’esprit épuré d’une grande partie de ses scories est capable de transformer ou plutôt de transmuter la matière.

Pour citer un autre exemple dans une tradition orientale, ce phénomène est qualifié d’illumination, sorte d’état de grâce correspondant en tout point à l’ascension ou le Bouddha va terminer son cycle d’incarnation terrestre. Dans l’un ou dans l’autre cas, terminer le cycle des incarnations, ne veut pas dire mourir, mais vivre ailleurs à un autre niveau de conscience, cet ailleurs que dans notre tradition nous nommons le « Paradis » qu’en orient on nomme le Nirvana et ailleurs, l’au-delà, l’Olympe, le royaume des morts…

Les cloches de toutes les églises de France et de Navarre, qui se sont tues pendant trois jours vont ce matin carillonner, pour nous annoncer la bonne nouvelle, celle que nous sommes tous immortels. Oh ! bien sûr, son Église (celle du Christ ressuscité) ne nous en parle surtout pas, de peur, comme celle du temps où Jésus prêchait en Judée et en Galilée, de perdre son pouvoir sur ses ouailles.

Le temple de Jérusalem s’est effondré quelques années après la résurrection du Christ, comme il l’avait annoncé, depuis est né dans le cœur de tous les hommes et de toutes les femmes, une Jérusalem céleste indestructible, qui n’est plus soumis au dictât de ses prélats !

Que cette Pâques céleste illumine à jamais vos cœurs et vous permette d’épurer votre corps comme votre âme, pour enfin goûter pleinement à la joie de vivre ici-bas avant de goûter à celle de l’au-delà !

Raymond MAGDELAINE

Je n’ai pas d’égo !

J’ai entendu ici ou là des personnes qui proclamaient haut et fort cette illusion !

Le croire c’est être en plein dans l’égo, ce qui nous laisse à penser que nous n’en avons pas, si nous ne voyons pas la paille dans notre œil… cela ne veut pas dire qu’elle n’existe pas !

Représentation humoristique d’un égo surdimensionné !

L’égo est le plus puissant des outils dont nous a doté la nature (1) celui avec lequel nous allons ici-bas nous créer le paradis ou l’enfer. Outil très puissant, si puissant qu’entre les mains d’un apprenti (sorcier) il peut créer des séismes, alors qu’entre les mains d’un expert il peut réaliser des miracles.

Tu comprends mieux pourquoi maître Yoda te dit que la force est en toi Obi Wan mon ami(e).

  • Pourquoi, parce que nous avons trouvé la voie d’une spiritualité sincère qui nous fait grandir, pensons-nous que nous ne sommes plus habités par l’égo ?
  • Parce que nous arrivons à le laisser ne plus nous gouverner une partie du temps, parce que nous arrivons lors d’une méditation à le mettre en mode silencieux le temps de celle-ci ?

L’égo est la preuve que nous sommes incarnés ici-bas, c’est une partie de notre âme qui vient vivre ce qu’elle a décidé de venir épurer dans ce que nous appelons la matière, le monde visible à nos yeux de chair. La seconde partie nous l’appelons notre ange gardien chez nous ou le maître intérieur chez les taoïstes.

Ici-bas je suis égo et je resterais égo jusqu’à mon dernier souffle dans le véhicule que j’ai emprunté le temps de mon incarnation, ce n’est pas parce que j’ai réussi à le mettre le plus souvent en mode silencieux que je n’ai plus ou jamais eu d’égo, à moins de s’appeler Jeshua ou Bouddha et encore, l’un comme l’autre ne l’on perdu qu’a la fin de leur incarnation.

Même eux étaient sous l’influence de leur égo, l’un de leurs plus grands maîtres, qui leur a permis d’atteindre le stade de l’ascension pour l’un ou celui de l’illumination pour l’autre, ce qui est équivalent malgré des mots différents utilisés pour décrire le niveau atteint par l’un et par l’autre !

Croire que nous n’avons pas d’égo est une illusion engendrée par l’ignorance de notre condition d’incarné, ou le signe, non dramatique, d’un égo surdimensionné (2) qui nous aveugle.

Un égo discret, mais toujours présent est l’un des signes que nous accomplissons bien ce que nous sommes venus faire ici-bas, discret ne voulant pas dire absent, même si nous sommes sur notre voie, il se manifestera à nouveau lorsque nous fourvoierons !

Un égo puissant, est le signe que nous n’avons pas encore trouvée notre voie, ce n’est pas une maladie, c’est un avertisseur, bruyant je vous l’accorde, bruit qui nous rends sourds à  cause de ses cris, ses angoisses, à ses peurs… au point de nous empêcher d’entendre la voix insistante et toujours présente de nôtre double de lumière (notre ange gardien, notre maître intérieur) non incarné lui.

C’est notre égo qui nous permet ici d’effectuer la quête vers le soi, vers notre âme, celle qui cherche ici-bas à s’épurer pour arriver au même point, un jour, peut-être pas si éloigné, d’atteindre le niveau de l’ascension ou de l’illumination (raye la mention qui ne te parle pas), c’est-à-dire celle ou notre corps de matière se transforme en corps de lumière, comme celui de Jésus devenu Christ !

Ce sont la plupart du temps nos croyances erronées, nos échecs les plus cuisants, qui nous entraînent à « l’insu de notre plein gré », mais sans coup férir vers l’ascension, but ultime de toute incarnation.

La terre, un jour ou l’autre, aura l’allure de Mars, il faudra bien que ce jour-là que nous ayons atteint le niveau de l’ascension, pour pouvoir continuer à vivre dans le cosmos, sur Jupiter ou ailleurs ! Non ?

L’égo n’est-il pas aussi le signe ici-bas que nous sommes tous égaux ?

Le rôle de l’égo, ses petits jeux, ne sont-ils pas les moyens les plus puissants et les plus sûrs pour aller à la rencontre du JE ?

 

(1) Autre nom de celui ou celle que je continue à appeler Dieu, mais cela tu le sais déjà, si tu lis mes chroniques, non ?

(2) Qui prend toute la place nous empêchant d’entendre les conseils toujours judicieux de notre âme (l’ange gardien ou le maître intérieur). « Le syndrome de l’égo se manifeste parfois lorsque le disciple arrive à dépasser le maître ! »

 

Raymond MAGDELAINE

Sauf les aveugles cela va de soi !

De nos jours il est communément admis que :
« La nature des particules de lumière a été unanimement établie au début des années 1900 par de Broglie et Einstein, ce que Bohr a interprété dans son principe de complémentarité, indiquant qu’à n’importe quel moment, elle doit se comporter comme une onde (une vague) ou une particule, mais jamais les deux en même temps.
Il a suggéré que l’état observé est susceptible d’être déterminé par l’équipement faisant l’objet de la mesure. Cette réflexion, avec le principe de l’incertitude de Heisenberg et l’expérience de Schrödinger, ont conduit au consensus actuel de la théorie quantique, qui stipule que l’observation (l’observateur) affecte la réalité observée. »

(texte traduit de l’article suivant (en anglais) : https://resonance.is/particle-interacting-associated-wave-field/

L’expérience célèbre des fentes de Young

Cet extrait, dit de manière un peu obscure ce que je vais essayer de vous rendre plus clair afin de vous faire comprendre que la vision « mécaniste » de l’univers est obsolète et n’apporte aucune réponse satisfaisante à ses manifestations les plus visibles, non pas qu’à nos yeux de chairs, mais aussi avec nos yeux électroniques les plus sophistiqués :

Le consensus de nos plus grands scientifiques, dit en substance : Que l’observateur (la mesure effectuée par lui) influe sur le comportement de l’onduscul (1) de lumière.

Cet onduscul se comporte toujours comme une onde quand on ne tente pas de l’observer (pour la mesurer) et en particule lorsqu’on l’observe.

Cette partie est la plus claire du consensus scientifique, là où le bât blesse c’est l’intervention de l’observateur qui change le comportement de l’onduscul en particule !

Comment cela est-il possible ?

Ce qui va suivre n’est qu’un point de vue, le mien en l’occurrence :

L’observateur est une conscience (2) (un physicien ici) qui peut influencer d’autres consciences (d’autres scientifiques), pour que le physicien arrive à influencer le comportement d’un onduscul, il faut que cet onduscul soit conscient qu’il est observé et s’il change son comportement à chaque fois qu’il est observé, c’est bien qu’il est doté d’une forme de conscience « basique » certes, mais conscience tout de même.

Pour arriver au niveau de la conscience humaine, il faut des milliards, de milliards, de milliards… d’ondusculs qui en interagissant entre eux (en s’observant) arrivent au stade actuel de la conscience de l’être humain.

Si tout ceci n’est pas la preuve que l’univers est une « gigantesque conscience » des milliards, de milliards, de milliards… de fois plus sophistiquée que celle de l’homme, et que par manque de mots plus précis j’appelle puérilement « Dieu » !

C’est que tu es aveugle !

(1) Mot inventé par un scientifique réunissant la fonction d’onde et celle de la particule.

(2) Mot signifiant que l’élément qui en est doté est conscient de lui-même et de tout ce qui l’entoure !

Raymond MAGDELAINE

Aline Peugeot

D’après Doreen Virtue, il existe depuis toujours sur cette terre des âmes incarnées venue ici-bas pour aider l’humanité à se transformer, pour l’inciter à croître sans se décourager, elle les appelle « Les travailleurs de la Lumière ».

Sur ce Blog et sur ma page Facebook et au travers de mon premier livre « Les chroniques de l’âme hors », j’essaye avec mes moyens de diffuser un nouvel état d’esprit, d’induire une nouvelle vibration principalement axée sur l’Amour universel, sur la compassion envers autrui, sur le respect des différences de points de vue…

En bref, sur des énergies qui rassemblent au lieu d’éparpiller !

Depuis que j’ai construit ce Blog et dédié ma page Facebook à l’Accompagnement des âmes en utilisant la « Puissance du cœur », je ne cesse de rencontrer d’autres « Travailleurs de la Lumière », c’est l’une d’elles que j’ai décidé de vous présenter ce matin, dans cette courte rubrique qui lui est consacrée !

Elle se nomme
Aline Peugeot

Elle est Médium et conférencière, elle a accepté de vivre une incarnation très douloureuse, elle y a trouvé la force de transformer ses douleurs en « puissance du cœur », elle a écrit un livre où elle se délivre, où elle ose mettre son âme à nu et où elle y parvient parfaitement. Je suis heureux qu’elle fasse partie de mes amies.

Vous pouvez vous procurer son livre sur Amazon ;

https://www.amazon.fr/Au-del%C3%A0-mon-nom-chemin-lumi%C3%A8res/dp/B06WWHFDJZ

Voici la couverture de son livre que je vous conseille vivement de lire et de laisser sur cette page d’Amazon un commentaire pour l’encourager à persévérer sur sa voie.

Je vous invite aussi à vous rendre sur son site, pour mieux la connaître et pour utiliser ses talents de Médium !

http://www.alinepeugeot.com/

Que la lumière qui vibre intensément dans les yeux d’Aline qui est le reflet de son âme puisse vous permettre de trouver en vous la force qui vous habite, qui nous habite tous !

J’embrasse tendrement Aline et la remercie du fond du cœur pour l’amitié qu’elle m’accorde !

Raymond MAGDELAINE

La vitrine magique

Derrière toutes vitrines, derrière toutes apparences se cache toujours une réalité tout autre qui est ; ce que l’on peut y voir ou ce que l’on croit y voir !

Je m’explique :
Le monde dans lequel nous vivons n’est qu’apparences ou illusions si vous préférez, une grande partie de ce que nous prenons pour la réalité n’est en fait qu’une vue de notre esprit. C’est-à-dire que ce que je perçois de la réalité est très souvent le fruit de mon imagination, une construction modifiée par mon mental, qui insuffle à cette pseudo réalité et à « l’insu de mon plein gré » ses peurs, ses craintes… dans ma construction « mentale » ce que je crois percevoir (dur comme fer, si je mens je vais en enfer) comme étant LA réalité et qui n’est en fait que MA réalité !

Nous croyons toujours que l’autre cherche à nous duper, alors que c’est nous le plus souvent qui nous dupons nous-mêmes !

La vie est en train de m’apprendre, à l’heure où je tape ces lignes sur la page blanche de mon écran Word, qu’il me faut sans cesse chercher à voir ce qui se cache derrière toutes les vitrines, derrière toutes les apparences, enfin ne plus me laisser duper par une vitrine savamment conçue pour le faire, ou pour ne plus me laisser piéger par mes peurs.

  • En clair ; dois continuer à me laisser abuser par ceux qui cherchent à me contrôler ?

Ou,

  • Dois-je encore longtemps, me laisser abuser par moi-même, à cause de mes peurs que je n’ose transformer par peur de me révéler ?

  1. Dois-je croire à tout ce que l’on me dit, tout ce que l’on me montre, comme étant la VÉRITÉ VRAIE des menteurs de tout poil qui ne pense qu’à nous plumer comme des oies (blanches) ?
  2. Dois-je croire aveuglément à mon peureux d’égo et végéter dans mon « enfer » en attendant des jours meilleurs, qui ne viendront jamais, surtout si je ne les crée pas ?

Au moment où j’écris, onze prétendants vont nous présenter leur vitrine, depuis le temps tout le monde devrait avoir compris, qu’une grande majorité d’entre eux ne nous vendent que du vent, ou de la poudre de perlimpinpin, non ?

Détrompez-vous, les trompeurs vont encore en tromper quelques-uns (de moins en moins nombreux je vous l’accorde) (1) qui ont encore besoin de maîtres (ou de se le faire
m[censuré] !

Si, si ! Ma prophétie va encore une fois se réaliser [je le crains, mais ne le souhaite pas] il faut avouer que leur vitrine attire encore l’œil gogos, ils s’en moquent tous, car l’un deux sera le « héros » d’une victoire sans gloire (sans majorité, sans légitimité, à part celle qu’ils s’accordent tous), mais ce n’est pas la gloire qui les intéressent, c’est leurs intérêts.

En continuant à croire à la vitrine qu’ils nous présentent ou à celle que nous croyons y voir, ils ont encore de très beaux jours devant eux, et nous serons encore une fois déçus par leurs promesses, qu’ils n’ont jamais eu l’intention de tenir, parce qu’eux ils savent qu’ils n’ont plus aucun pouvoir.

Il existe pourtant un contrepouvoir !

Celui de ne plus marcher dans leurs formatages ou de continuer à croire en leurs salades défraichies !

Ne me dites pas que nous n’avons pas le choix, il y a onze prétendants, dont on nous laisse croire qu’il n’y en a que quatre de sérieux et dont on tente par la « force » de la persuasion de pseudo-experts qu’il n’y en a qu’un de légitime.

Croyez en qui vous voulez, moi je ne crois qu’en moi et en la réalité d’une situation qui perdure et où l’on essaye encore de nous fais marcher au pas [gauche, droite, gauche droite…] ce jeu de dupe n’a plus prise sur moi !

Sortir de l’ornière et des sentiers battus nous devons ! Maître Yoda

Sachez aussi que depuis la nuit des temps TOUTES les Alouettes qui se sont laissé séduire par le miroir se sont TOUTES fait PLUMER !

Sachez aussi que le poudre aux yeux qui va nous être servie ce soir, n’est pas faites pour nous éclairer, mais bien pour nous aveugler !

Ne dites plus ; « nous ne savions pas ! »

Raymond MAGDELAINE

Explique-moi Papi !

Matt 10 ans, dans deux mois, me demande « dis-moi Papi pourquoi tu as écrit un livre “La puissance du cœur(1). »

Image de la couverture du livre.

« Pour essayer de faire comprendre à ceux qui vont le lire que la vie est belle, même si parfois elle peut sembler être très difficile ou souffrante ! »

Matt : « C’est à cause de l’accident que tu as eu Papi que tu as écrit ce livre ? »

« Oui, à cause d’un grave accident sur le gros intestin ! »

Matt : « Tu as failli mourir Papi ? Raconte-moi ton accident s’il te plait, oh oui raconte-moi ! »

« J’avais sur le gros colon de mon intestin une malformation (diverticule) qui a éclaté, et si je n’avais pas été opéré en urgence, je serais mort aujourd’hui, mais tu vois je suis encore là, bien vivant.
Depuis ce temps voit tu j’apprécie avec beaucoup de bonheur de vivre, d’être parmi vous, de profiter de tout ce que la vie m’apporte, de relativiser sur les petis bobos, les petites misères, en me disant, oui c’est un peu désagréable, mais tu es encore vivant Papi, tu respires, tu vis, tu es heureux, tu comprends mon petit fils ? »

Matt : « Je comprends Papi ! »

Je vais tenter à ce point de la conversation d’introduire une notion incontournable de la vie, qui est chez Matt la cause de cauchemars, mais sur laquelle il fait en kinésiologie un travail efficace pour transformer sa peur de la mort.

« Tu vois Matt, je suis vivant, mais un jour Mamie et moi nous allons comme Grand-Mamie mourir, mais dans très longtemps, pas tout de suite, tu le sais ? »

Matt : « Oui, c’est la vie, vous allez devenir des anges, comme Grand-Mamie. »

« Oui des anges comme Gand-Mamie, des anges qui continueront à vous protéger tous les deux (lui et Jodie sa petite sœur 6 ans 1/2) et avec lesquels vous pourrez continuer à parler, comme tu le fais avec Grand-Mamie qui te réponds dans tes rêves ! Tu as tout compris mon petit-fils ! »

Matt : « Oui Papi ! »

Si un petit garçon, de bientôt 10 ans, arrive à parler de la mort de manière aussi apaisée, comme il vient de le faire dans ce court échange avec son Papi, pourquoi, n’arriveriez-vous pas à votre tour à vous libérer de cette peur, qui vous pourrie la vie ici-bas ? Hum !

Raymond MAGDELAINE

 

(1) Le titre exact du livre est « Chroniques de l’Âme hors – Démystification de la mort », Matt fais référence ici à l’image de la couverture du livre ou est inscrit “La puissance du cœur” !

Adessias Alain

Je vais ici prêter ma voix à Alain, qui souhaite aujourd’hui vous parler d’espoir au travers de cette prière ;

Ne pleure pas si tu m’aimes » de Saint Augustin :

« Ne pleure pas si tu m’aimes.

Si tu savais le don de Dieu et ce que c’est que le Ciel. Si tu pouvais d’ici entendre le chant des Anges et me voir au milieu d’eux. Si tu pouvais voir se dérouler sous tes yeux les horizons et les champs éternels, les nouveaux sentiers où je marche ! Si, un instant, tu pouvais contempler comme moi la Beauté devant laquelle toutes les beautés pâlissent.

Quoi, tu m’as vu, tu m’as aimé dans le pays des ombres et tu ne pourrais ni me revoir, ni m’aimer dans le pays des immuables réalités !

Crois-moi, quand la mort viendra briser tes liens comme elle a brisé ceux qui m’enchaînaient et, quand un jour que Dieu connaît et qu’il a fixé, ton âme viendra dans ce ciel où l’a précédée la mienne, ce jour-là tu me reverras, tu retrouveras mon affection épurée.

À Dieu ne plaise qu’entrant dans une vie plus heureuse, infidèles aux souvenirs et aux vraies joies de mon autre vie, je sois devenu moins aimant. Tu me reverras donc, transfiguré dans l’extase et le bonheur, non plus attendant la mort, mais avançant d’instant en instant avec toi dans les sentiers nouveaux de la Lumière et de la Vie.

Essuie tes larmes et ne pleure plus si tu m’aimes. »

Saint Augustin (354-430)

Alain… Monsieur le Président de l’association « Maison Saint Vincent » je te demande de me rendre la parole que je viens de te prêter, pour pouvoir te dire du plus profond du cœur ;
À Dieu…
À dieu en deux mots, car comme tu l’as toujours su cet adieu cet
« adessias » n’est qu’un « Au Revoir »… ne t’attends pas à nous revoir tout de suite cher Alain… nous avons encore des choses à accomplir dans le pays des ombres…
Au Revoir Alain !

Raymond MAGDELAINE

La parole perdue

Je viens de terminer ce livre « curieusement » déposé sur l’établit de mon garage en face de la voiture qui devait nous emmener ce matin-là chez Béatrice pour le rêve éveillé de Maryse, pendant que je cherchais une lecture pour occuper les deux heures de travail sur la déprogrammation de ses problématiques.

Encore une fois ce que j’y ai découvert, sans vous révéler le dénouement de l’intrigue de deux personnages qui cherchent à transmettre aux apôtres Pierre et Jean « une phrase, un mot » que Jésus à écris sur le sol dans sa langue natale l’araméen et que seule la femme adultère a lu et a rapporté à Myriam de Magdala (dites Marie Madeleine) lors de son séjour à la Sainte Baume, ce que j’y ai découvert, donc, n’est pas ce que j’attendais ou du moins ce qu’attendait mon mental !

Myriam de Magdala l’un des disciple clé de celui connu sous le nom de Jésus !

Ce simple « mot ou cette phrase », en apparence insignifiante, est peut-être l’enseignement le plus important de Jésus qui n’a été destiné qu’a une femme qu’on disait adultère et que l’on voulait condamner à mort par la lapidation.

A y regarder de plus près rien que cela est pour moi très significatif des intentions que celui qui est devenu « Christ » après son calvaire sur la croix. Pendant ces trois années passées avec ses disciples, il a transmis la parole de notre «Père/Mère », on ne peut que constater que tout son enseignement n’a été diffusé que par le bouche-à-oreille, et exclusivement à des hommes et des femmes (1) au cœur pur, c’est-à-dire, aux cœurs non corrompus par la cupidité, revers de la médaille de ceux qui sont riches, ou du moins qui se croient riches.

Le livre qui reprend les évangiles canoniques, qui évoque Marie Madeleine, ne parle que de Marie de Béthanie sœur de Marthe et de Lazare !

Si c’est à elle que s’est confiée la femme adultère pour lui délivrer la « parole perdue » pourquoi la nommer Madeleine ?

Ne croyez pas que je sois obsédé par cet anachronisme, en apparence anodin et sans signification ou conséquence, détrompez-vous, ce point de vue qui se veut canonique, que les quatre évangiles tentent de nous faire croire, est une clé essentielle pour comprendre, non pas qui est Marie Madeleine, mais pour comprendre qui est le Christ, et ce qu’est son message, qui depuis plus de deux mille ans interroge les croyants autant que les sois-disant non-croyants.

Marie Madeleine ou Marie de Béthanie, peu importe, n’est que le témoin direct des enseignements de Jeshua, elle fait partie de celles et ceux qui l’ont touché, écouté, entendu ses paraboles, vu et rapporté les « miracles » qu’il a faits.

Cette parole écrite sur le sol et vue par la femme adultère est surement l’évangile (2) le plus court, mais le plus essentiel du message de Jeshua, message qu’il n’a voulu transmettre qu’à une femme, femme qui l’a confié à une autre femme très proche de lui, pourquoi ?

Pour rétablir la femme dans son rôle essentiel, dans sa dignité d’être humain, non pas égal aux hommes, mais complémentaire d’eux ?

Ce cinquième évangile est pour moi le plus important, cette parole écrite sur le sol ne peut que compléter le seul « commandement » du Christ « aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimé » et qu’il rappelle dans la prière du « Notre Père » et cette parole ce retrouve d’après moi dans cette prière qu’il a enseigné à ses disciples ; « Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ».

Lorsque nous récitons de manière automatique cette prière à notre Père, nous ne mettons jamais où presque jamais en œuvre, la seconde partie de cette « affirmation » essentielle, qui est de pardonner à ceux qui nous ont offensés !

Est-ce pour cette raison que notre demande de pardon n’est pas entendu par LUI, tant que nous ne mettrons pas en œuvre celle qui en découle en pardonnant aux autres le mal (le péché de la femme adultère) que nous croyons que les autres nous ont fait ?

Je pense que la clé est là.

C’est la révélation de cette « parole perdue » que j’ai ressentie au travers de ces deux histoires romancées, qui me saute aux yeux aujourd’hui !

Est-elle là, la puissance de la révélation divine ?
Je ne sais pas vous, mais moi j’en suis sûr maintenant !

Ma relation est maintenant plus apaisée avec celle que je persiste à appeler Myriam de Magdala, une « femme » que Jeshua a aimée, c’est une évidence, et qui n’était pas, comme tous ceux qui voulait lapider la femme adultère, sans péchés, comme le met en évidence l’évangile selon Saint Jean chapitre 8 verset 1 à 11.

De tous les disciples, Myriam de Magdala est celle qui est à mes yeux, est au plus près de l’enseignement de celui qu’elle n’a pas pu ne pas aimer et peut-être celle dont elle fut une épouse lui octroyant au yeux des romain le droit d’être présente avec les autres femmes et Jean au pied de la croix sur le Golgotha !

Ce livre essentiel pour moi, au niveau de mon parcours ici-bas, je vais le relire, car il contient d’autres clés, qu’il faut que j’intègre, pour pouvoir me libérer de mes doutes et pour ainsi goûter pleinement l’énergie de Myriam de Magdala, porteuse sans fard de l’enseignement de celui qu’elle a aimé sous le nom de Jésus ici-bas et qu’elle continue à aimer sous le nom de « Christ » tout en continuant de transmettre, sans la défigurer, l’énergie christique dont elle l’une des héritières du flambeau à transmettre !

(1) Jeshua réhabilite le femme en lui confiant les mêmes pouvoir qu’au hommes, c’est une première dans l’histoire des religions, que le christianisme, ne reprends pas à son compte, hélas pour elles !

(2) Évangile ; qui signifie la bonne nouvelle !

 

Raymond MAGDELAINE

La folie des grandeurs

Tout autour de nous, dans ce monde invisible, à nos yeux, cohabite une multitude d’esprits de toutes sortes, réels ou imaginaires, auquel viennent s’ajouter ceux qui nous ont quittés, ceux que l’on aime toujours et qui nous manquent !

Tous ceux qui perçoivent d’une manière ou d’une autre ce monde subtil sont souvent classés, par ceux qui sont aveugles et sourds, comme des fous furieux, qu’ils internent et abrutissent, soi-disant pour les protéger !

La puissance, le pouvoir ou Folie des grandeurs !

Le pouvoir de décider l’enfermement, ou pas, d’êtres aux capacités extrasensorielles développées, est donc entres les mains des sourds et malentendants, des aveugles et malvoyants, qui pour couronner le tout, sont intimement persuadés d’être des êtres parfaitement sains de corps et d’esprit, pour décréter sans autre forme de procès ou d’études poussées, que ces gens-là sont fous à lier !

De tout temps ces êtres aux capacités au-dessus de la norme (norme édictée par les sourds et les aveugles) ont existé et ceux qui ne les avaient pas ont compris intuitivement qu’ils pouvaient leur être utile pour améliorer leurs maigres capacités, ils les ont appelés, chamans, médiums, hommes médecine, sorciers… suivant les époques et les lieux.

La peur du « paranormal » des sous évolués a provoqué chez eux la chasse aux sorcières, ce qui a déterminé le sort d’êtres plus évolués, qui c’est souvent terminé par un internement dans une camisole de force ou pire sur le buché !

Satan, qui n’est que le fruit de la peur engendré par tout ce que nous ne comprenons pas encore, a été et est encore, hélas, le moteur des diverses sociétés créées par l’homme. C’est Satan (fruit de l’incompréhension des hommes) qui gouverne encore le Nouveau Monde qui heureusement se met en place.

L’Ancien Monde celui des poissons a été gouverné par les peurs (Satan) qui ont générés, le pouvoir, la cupidité qui à engendré la haine qui à son tour a provoqué la guerre… c’est l’impasse dans laquelle nous nous trouvons actuellement. Un monde où nous avons perdu la notion de ce monde invisible d’où émerge pourtant notre réalité, réalité basée sur nos intentions !

L’Ancien Monde prouve de manière indiscutable que les peurs, la cupidité, la jalousie, la haine… créent bien la réalité du monde dans lequel nous vivons ! CQFD !

La réalité du monde du Verseau qui s’installe progressivement, à compris depuis belle lurette que tout ce qui constitue le subtil des mondes de l’invisible est une source inépuisable de créativité et ce ne sont pas des anciens aussi illustres, que Léonard de Vinci, Shakespeare, Mozart, Galilée, Bouddha, Jésus et plein d’autres encore… qui me démentirons.

Ce ne sont pas les sourds et les aveugles qui ont laissé ici-bas une trace impérissable de leurs passages ici-bas, à part quelques-uns qui ont osé y accomplir l’horreur, je ne les citerais pas, mais tout le monde voit très bien de qui je parle !

Ce monde invisible (ce vide plein) qui nous entoure et qui compose aussi la matière existe, même si nous ne pouvons encore le voir ou le toucher, les scientifiques du CERN à Genève ont réussi en 2012 à y extraire une brique fondamentale à la base de notre réalité qu’ils ont appelée le boson de Higgs !

Ce Nouveau Monde et l’humanité qui l’anime, dépose « Satan » et ses valises qui sentent le souffre (la souffrance), pour y développer d’autres valeurs, basées sur les intuitions que l’on puise dans ce vide plein d’information, si j’en crois nos scientifiques les plus ouverts !

La sixième phase d’extinction des espèces qui est en cours sur notre belle planète bleue, va voir l’extinction d’espèces qui ne font que lui nuire afin de favoriser la croissance de la nouvelle humanité, l’ancienne humanité qui s’accroche encore désespérément à l’ère des poissons, pour ne pas perdre son pouvoir de lucre et de destruction, va enfin disparaître de sa surface, sans aucun regret pour ceux qui y resteront pour mettre en place l’ère du Verseau.

« L’humanité sera spirituelle ou ne sera pas ! » annonçait le prophète André Malraux !

Autrement dit, « Choisis ton camp camarade » comme le disent souvent les prophètes de la CGT.

Entre diable et Dieu (1), mon choix est fait depuis belle lurette.

Raymond MAGDELAINE

 

(1) Pour comprendre ce que j’entends derrière ce vocable de Dieu, reporte-toi à la chronique de l’âme intitulée « Imagine »

Imagine !

Petite extrapolation sur Dieu, qui signe, chez moi, un changement complet de paradigme à son sujet.

Dans cette chronique de l’âme, je vais vous brosser le portrait, incomplet, de celui que je continue à appeler « Dieu » contre vents et marées et qui se sépare définitivement de la vision que toutes les religions monothéistes essayent de nous faire croire et qui vont à coup sûr m’excommunier !

Tant mieux pour moi, car je ne partage plus leurs points de vue !

Je vais essayer ici de vous faire partager le mien !

Au début, quelques secondes avant le fiat lux ou le big bang, Dieu observait le néant qui

emplissait le vide tout autour de lui en se disant qu’il s’y ennuyait mortellement !

Autour de lui il n’y avait rien à observer, pas un troquet, pas une mob à chouraver, c’était un désert sans âme, sans animation… une bouffée d’angoisse le submergeant subitement, il va, pour sans délivrer, pousser le cri primordial avec l’intention d’animer ce vide angoissant.

Ce premier cri ; appelé le « verbe » dans la genèse ou « l’information » par ceux de nos scientifiques les plus sérieux, fut à l’origine du fameux « fiat lux ! » (Que la lumière soit !) ou dit autrement du « Big Bang ».

Ce « cri » animé par une intention, celle de peupler le vide désespérant par une âme fondatrice, une animation porteuse d’espoir et de besoins de croissance, généra les premières pièces fondamentales de ce que nous appelons maintenant l’univers.

Je suis conscient, rassure-toi, que ce que j’écris ici n’est qu’une vue de mon esprit (oui surement dérangé, tu as raison), mais qui ne se veut surtout pas être une parole d’évangile, ce n’est, j’en suis conscient (rassure-toi) que celle d’un esprit simple et pas d’un simple d’esprit, comme tu le crois dur comme fer !

L’intention de « Dieu », que je ne prétends pas connaître, à l’origine de son cri primordial, se révèle tout de même en moi en observant attentivement tous les fruits engendrés par elle, et ce que j’y constate c’est que « l’harmonie » y règne majoritairement, même si je peux entendre quelques fausses notes ici ou là qui sont le signe, non pas du « Diable », mais de ce qui est en cours de transformation.

Ç’a y est ! maintenant, soit content dans cet univers il y des troquets et des Mobs à chouraver, mais si tu es honnête avec toi-même tu y découvriras une foultitude d’autres choses drôlement mieux foutues !

Si tu observes encore plus attentivement, tu y rencontreras ou tu y découvriras, à ton tour, SON INTENTION, qui est, sois encore une fois honnête envers toi-même, tout de même mieux foutue que les plus belles que nous pouvons créer à notre niveau d’humain !

Force m’est de constater que mon pouvoir de création engendré par mes intentions n’arrive pas à la hauteur de sa cheville !

Force m’est de constater, honnêtement, qu’au stade actuel de l’humanité, ne savons rien ou pas grand-chose de ce qu’est la réalité de sa création et de ses intentions originelles.

Ce que je constate visuellement au travers de l’Harmonie de ces créations c’est qu’elles ressemblent toutes au paradis, et que les miennes, les nôtres ressemblent plus à l’enfer dans lequel certains d’entre nous cherchent à nous y maintenir.

Là, je sais que je vais me fâcher avec beaucoup de croyants honnêtes dans leur croyance, mais ce n’est pas « Dieu » qui a le pouvoir de nous sortir de notre enfer (notre enfermement), mais nous seuls et toutes les prières même les plus sincères que nous pouvons lui adresser directement ou indirectement ne serons pas exaucés, comme nous l’entendons, par lui !

Pourquoi ?

Tout simplement parce qu’il est Amour et parce qu’il est Amour, qu’il est notre Père ou notre Mère (c’est pareil), sont vœu le plus cher, et que nous trouvions en nous-mêmes et par nous-mêmes, la force de nous délivrer d’un enfermement qui n’est que le fait de nous et de nous seul.

Il n’est pas notre planche de salut, nous sommes, et j’en suis de plus en plus persuadé, notre unique planche de salut !

Elle le dit elle-même (notre Mère qui est aux cieux) dans ce conseil qu’il ne faut pas qu’entendre, mais surtout comprendre « Aide-toi et le ciel t’aideras ! ».

Nous sommes ses enfants, d’une certaine manière, nos intentions ont la même capacité que les siennes, celle de manifester notre propre univers (1) et de le peupler de nos pensées, croire que Dieu nous impose un chemin unique pour retourner à elle, c’est méconnaître notre pouvoir et celui de son intention primordiale de nous laisser le choix de nous forger un paradis plutôt qu’un enfer ou inversement !

Raymond MAGDELAINE

 

(1) Univers: entendre « unis vers », unis vers quoi ? la clé est donnée dans l’adjectif universel ; entendre « uni vers celle » celle et pas celui qui a poussé le cri primordial (2)

(2) Je sais qu’en disant ceci je sors des dogmes de l’Église catholique, non pas qu’ils nous mentent, mais qu’ils ne nous disent pas tout, c’est pourtant ce que Jésus son fils est venu nous rapporter du message essentiel de sa Mère, de Notre Mère qui est aux cieux ?