« Que nul n’oppresse personne, qu’il n’y ait plus d’esclave, que la liberté soit gravée dans chaque cœur, que l’on dise non au vol ainsi qu’à la paresse, mais que l’on cultive l’abondance pour tous ; que l’on respecte nos frères les animaux et que l’on préserve la pureté du feu, de l’eau, de l’air et de la Terre…
Que l’on sache que tout homme, toute femme peut s’adresser directement à son Père céleste dans le fond de son propre cœur et que c’est son devoir…
Nous n’avons qu’un Père céleste Ahura Mazda ! Il est unique ni lumière ni ombre, car au-delà de tout… il a engendré deux forces comme deux esprits, non pas pour nous diviser, mais pour apprendre à choisir, à grandir.
Ces deux forces, entendez-le, ne sont pas dans les cieux, mais en nous… Vous nommerez Spenta Mainyu celle de l’esprit de lumière qui vous guide et Angra Mainyu celle de l’esprit sombre qui veut vous égarer… Elles sont jumelles en vous… Vous n’y verrez plus des idoles extérieures à vous.
Les marchands de la religion se nourrissent de votre ignorance, mais leur temps s’éteint maintenant. Ainsi, redressez-vous et parlez à votre Père d’abondance… Réunissez-vous et partagez le pain pour honorer votre union avec Lui. »
(1) Yeshoua (Jésus) serait sa réincarnation, mille ans plus tard, il serait revenu ici-bas pour achever l’œuvre commencée par Zarathoustra !
L’Étymologie du mot « couple » prend au féminin et au masculin un sens différent !
Un couple :au masculin, se dit de deux personnes unies ensemble par amour ou par mariage ; il se dit de même de deux animaux unis pour la propagation.
Une couple :au féminin, se dit de deux choses quelconques de mêmes espèces, qui ne vont point ensemble nécessairement et qui ne sont unies qu’accidentellement.
Donc ce sont deux personnes ou deux êtres d’une même espèce unis de manière consentie pour l’un ou par les circonstances pour l’autre !
En mécanique : ce sont deux forces égales, parallèles et de direction opposée.
Ce qui nous donne une vision plus large du couple humain, en général un homme et une femme, mais pas que, unis par amour ou par obligation et en apparence, mais en apparence seulement, en opposition de force.
Si on peut comprendre qu’en mécanique deux forces égales, parallèles, donc distinctes, et de direction opposée, une fois en couple, ne peuvent progresser ni dans un sens ni dans l’autre puisqu’elles sont de force égale.
Il est plus difficile en comparant le couple humain à un couple mécanique d’exclure chez les humains qu’un esprit de force « égale » (1) et opposée « en apparence » ne puisse trouver une solution pour contourner l’obstacle de la loi mécanique définie une fois pour toutes au couple mécanique !
Bien sûr l’humain a trouvé la solution du couple mécanique en attelant deux chevaux, côte à côte et dans le même sens, pour tracter une calèche où les deux forces supposées égales la tractent dans la même direction.
Lorsqu’un homme et une femme décident de se mettre en couple, on suppose qu’à terme, ce n’est pas que pour la procréation, mais aussi pour tirer le couple dans la même direction, direction choisie par les deux, et non pas imposée par un seul !
Bien sûr comme pour toutes les espèces, la fonction liée à l’espèce va les pousser à l’accouplement pour la survie de l’espèce, mais après cette perpétuation, il faut espérer que le couple va chercher une solution pour tirer la calèche dans la même direction.
Le couple humain, mais pas que… est dans le long terme une union de deux êtres qui vont se servir de leurs forces « égales » (2) pour choisir en commun la direction qu’ils veulent bien donner au couple (la calèche) qu’ils tractent ! Enfin ! Il faut l’espérer !
La problématique du couple « actuel » dans une société patriarcale ou même matriarcale, est qu’il y en a toujours un qui cherche à imposer à l’autre sa direction, au nom de ses croyances ou de sa conviction profonde d’avoir « toujours raison » !
Qui dit problème, dit recherche d’une solution, c’est élémentaire mon cher Watson !
C’est peut-être élémentaire, Holmes comme vous dites si bien… mais ce n’est pas facile à mettre en œuvre dans notre société !
Ceci, il est vrai, demande un « lâcher-prise » de la suprématie d’une force sur l’autre, qui je vous le rappelle sont deux forces « égales », et pour que le couple avance dans la même direction, il va falloir faire appel à l’intelligence de « l’esprit » qui anime tous les êtres vivants !
Le choix est simple, je dirige seul le couple, car je me crois supérieur à l’autre, ou je partage avec l’autre le choix de la direction à prendre, car j’ai enfin compris qu’un couple avance et croît harmonieusement lorsqu’il tire la calèche dans la même direction.
Si tu n’es pas d’accord sur la direction à prendre, alors ne choisit pas le couple et tire seul ta calèche, qui te conduira là où tu veux aller, mais seul ! Avec le sentiment qu’en toi tu t’es amputé, d’une force, opposée certes, mais enrichissante.
L’Harmonie du couple qui dure !
Utiliser les deux forces complémentaires du couple permet d’aller plus loin sur un chemin pris en commun, CQFD !
(1)L’égalité des deux sexes est basée sur l’égalité des deux forces, le féminin et le masculin, lorsqu’elles se complètent et non pas lorsqu’elles s’opposent !
(2)Je répète, pour bien enfoncer le clou, chez certains d’entre nous, égal dans ce contexte est synonyme de complémentarité, pas d’opposition ! Capito !
Il y a trois ans fin juin 2015 quelques jours avant l’assemblée générale ordinaire et annuelle de l’association où j’étais encore administrateur, j’écrivais le texte ci-dessous destiné à m’éclaircir les idées ;
« Après mûres réflexions, je constate aujourd’hui que l’aventure avec la maison Saint–Vincent (un EHPAD) vient de s’arrêter, quelque chose en moi que je n’arrive pas à définir s’est brisé.
Ce fut pour moi une belle aventure faite de belles rencontres.
D’autres m’attendent, certaines au coin du bois (1), j’ai besoin de toutes mes forces, de toute ma foi, de toute ma disponibilité, pour continuer ma route, celle de l’accompagnement des âmes, des âmes qui me sont chères, qui me sont proche.
Je souhaite à la Maison Saint-Vincent de conserver longtemps l’esprit insufflé par le bon Saint-Vincent de Paul.
Que le soleil brille jusqu’au bout pour tous les résidents et tous les personnels ! »
Le jour de l’assemblée générale 2015, j’ai fini par céder à la demande « insistante » de la direction de l’EHPAD pour que je poursuive mon mandat d’administrateur pendant encore trois ans !
« Errare humanum est, perseverare diabolicum ! »
J’ai pu vérifier en juin 2018, l’exactitude de cette citation latine, à mes dépens bien entendu, car c’est poussé par ceux qui voulaient à tout prix que je reste (2) que j’ai fini, par déposer les armes, usé par « tous ceux et toutes celles qui ne veulent rien voir ni rien entendre ! »
J’ai, à minima, au moins compris cela !
J’ai tout de même appris une chose lors de la dernière « année de galère », c’est qu’il ne faut jamais remettre au lendemain (et surtout pas dans trois ans) ce qu’on doit faire le jour même !
Penses tu vraiment que je suis incapable de percevoir les signes du changement sur ton corps, dans ta gestuelle, dans les expressions explicites de tes yeux, de ton visage, de la couleur subtile de ton aura… lorsqu’ils sont en contradiction complète avec les paroles ou les actes que tu exprimes ?
Penses tu vraiment que je sois dupe au niveau du langage lorsque les prétextes que tu utilises sonnent faux à mon oreille intérieure ?
Penses tu vraiment que je sois sourd et aveugle, au point de ne pas percevoir au niveau des vibrations que tu émets, que quelque chose en toi n’est plus en harmonie avec moi ?
Je sais, ce que tu essayes de faire, tu cherches à me ménager, oui, je sais !
Mais vois tu mon frère, ma sœur, tes petits mensonges, ne produisent jamais l’effet escompté, seule la vérité est préférable, enfin… si tu tiens un tant soit peu à moi ou aux autres !
S’il te plait, petite sœur, petit frère, suis ta voie, même si elle n’est plus tout à fait en osmose avec la mienne, mais ne gâche pas au travers de tes petits « mensonges de finesse », de tes non-dits, ce qui nous a rapprochés pendant un temps !
L’amitié est un don du ciel, bien trop précieux, pour risquer de le perdre sur un ou des malentendus !
Je t’aime, mon frère, ma sœur, où que tu en sois dans ton cheminement !
Le lien entre nous est indestructible, comprends-tu ?
Le secret, c’est que rien ne t’appartient, mais que tout est à ta disposition dans la plus faramineuse banque de données de l’univers, connue depuis la nuit des temps de l’humanité sous les noms de mémoires akashiques ou mémoires du temps.
Le secret, c’est que tu n’es propriétaire de rien, car tu n’as jamais rien inventé, ou si peu ! tu n’as fait que piquer, ou redécouvrir ce qui est stocké dans ces mémoires par l’intermédiaire de l’un de tes sens les plus subtils, connu sous le nom d’intuition !
Le secret, c’est que cette intuition est à la portée de tous les règnes et pas une exclusivité du règne des hominidés issus du règne animal, qu’on appelle chez eux l’instinct !
Le secret, c’est que tout, absolument tout, possède cette faculté d’être informé par la voie de nos intuitions, car tout, absolument tout dans l’univers est constitué des mêmes particules constituant les formes les plus variées, de la plus petite, comme la cellule, aux plus grandes comme la Terre ou le Soleil.
Le secret, c’est que tout absolument tout est informé du plan de construction des nouvelles évolutions et révolutions de la vie par ses mémoires contenues, tout autour de nous, dans un vide, plein d’information.
Le secret, c’est que le langage utilisé par toutes les formes de vies est une langue universelle qui n’utilise pas les mots que nous connaissons, chacun dans sa langue natale, mais des intuitions, qu’ensuite, nous humain traduisons en mot ou en maux pour pouvoir les « partager » (1) !
Le secret, du langage ou plutôt la révolution du langage chez toutes les espèces c’est que c’est un moyen d’échanger, de partager ce que nous connaissons, pour accélérer, autant que faire se peut, le processus d’évolutions des espèces, qui est un processus exponentiel (en clair qui s’accélère de plus en plus rapidement).
Le secret, c’est que même si tu ni participe pas, même si tu fais de la rétention d’information, même si tu ne crois pas à toutes ces « inepties » (2), que je ne cesse d’essayer de te faire toucher du doigt… le secret, c’est que toutes les transmutations qui s’opèrent actuellement à toutes les échelles des formes de vie sont inéluctables !
Le secret, c’est que pour que ceci s’accomplisse sans trop de problèmes pour notre espèce, qui joue, avec les autres, sa survie sur Gaïa qui mets en œuvre le plan universel, c’est que tu entres dans la danse du partage sans essayer de contrôler à tout prix… tu partages simplement, tes échecs, comme tes succès !
Partager c’est enrichir la banque de données universelle, partager c’est t’enrichir en y puisant, ce qui te convient, ce qui te ressemble.C’est cela le secret !
Le temps des secrets est un temps révolu !
Le secret, j’espère que tu as compris est basé sur les échanges, le partage de l’information (3), aussi bien de nos échecs que de nos succès !
Le secret, c’est de le divulguer aux plus grands nombres de tes amis autour de toi !
Le secret, c’est la fin du secret, la fin d’une époque, la fin d’un monde, c’est la naissance d’un Nouveau Monde !
(1) Oui, je sais, tu commençais à te demander pourquoi j’avais mis ce titre à la chronique au lieu de « Le secret » !
(2) Oui, je sais, tu utilises un autre vocable pour dire, presque la même chose, en y apposant la marque d’un pseudo jugement !
(3) Le langage n’est qu’une invention d’un génial maître d’œuvre (4), pour accélérer les changements qui s’opèrent partout et à tous les niveaux dans l’univers.
(4) Tu as bien lu ! je n’ai pas dit « Dieu », moi aussi j’évolue, non ?
J’ai hésité pour le titre de cette mini chronique entre ; Stars Wars ou l’Apocalypse selon Saint Jean ! Un peu à cause de toi et de tes préjugés !
Oh non ! Je ne te juge pas, il fut un temps où j’ai eu les mêmes, ce n’est pas une tare, c’est un passage obligé de l’âme lorsqu’elle cherche à s’épurer.
L’un ou l’autre des titres, fait penser l’un à une fiction, l’autre à un illuminé !
Évoquer l’un, ou s’appuyer sur l’autre pour tenter de t’éveiller, va déclencher en toi (en nous) un réflexe presque irrépressible de rejet, soudainement… celui qui lit ce que j’écris ou entends ce que je dis, va se fermer telle une huitre à la vue du couteau à huitres d’un ostréiculteur.
Si tu ne vois pas dans Stars Wars, ou dans l’Apocalypse selon Jean des faits en rapport avec l’actualité de Gaïa, c’est que, malgré tes yeux et tes oreilles, tu ne vois ni n’entends ou du moins ne veut rien voir ni entendre.
Stars Wars ; c’est ce que l’homme fait subir actuellement à l’humanité tout entière, pour le profit de quelques états ou plutôt de quelques tontons Christobal !
L’Apocalypse ; selon Gaïa et annoncée par Jean est en train de se produire, mais comme tu ne vois rien ni n’entends rien tu laisses faire, tu te résignes, tu te lamentes, tu es tétanisé… c’est un le but de tous les tontons Cristobal de la planète !
Eh oui ! je sais ce que tu vas me dire !
° « Qui puis-je Raymond ? »
° « Agir, tout simplement ! »
Nous serons très prochainement huit milliards d’humains sur la planète, face à quelques milliers de Tonton Cristobal. Imagine une seule seconde, la déferlante qui se produirait sur Gaïa, si huit milliards de colibris faisaient leur part de travail… imagine !
Ouvre les yeux et observe, sur l’image ci-dessous, l’un des nombreux signes que nous envoie Gaïa, afin que nous nous préparions à la sixième Apocalypse selon elle !
°« Vois-tu ? »
Crevasse géante en formation sur la banquise en Antarctique
Réveille-toi, ouvre tes yeux, écoute les cris d’agonie d’une humanité tyrannisée, vois les signes que nous envoie Gaïa, fais ta part de colibri, comme tu le sens, à ta manière, arrête de te lamenter !
Celles que l’on sonne, En y ajoutant une voyelle (un son) pour les entendre dans un premier temps, tenter de les comprendre dans un second temps, puis chercher à y trouver ce qui s’y cache, plus tard, beaucoup plus tard.
Le nom de la divinité (théonyme) des Hébreux s’écrit Yhwh, chaque lettre de ce tétragramme (mot de quatre lettres) à la signification suivante en hébreu suivi de sa traduction dans notre langue et de son sens premier :
Y : Yod -> main -> donner & ou recevoir
H : Het -> barrière -> limiter ou « l’imiter LUI ? »
W : Waw -> clou, rame -> fixer, avancer
H : Het -> barrière -> limiter ou « l’imiter LUI ? »
La prononciation « exacte » de ce tétragramme, à supposer qu’elle soit possible, demeure incertaine, le doute ne portant pas sur les consonnes, qui ont un emplacement fixe, mais sur la place et le type de voyelles utilisées pour le rendre audible (perceptible à l’oreille) !
Notre Alphabet dérive de celui-ci !
Yhwh : « Deux mains, pour créer (avancer), ou pas (se fixer), dans le cadre d’une étique conforme à ce qu’attendrait de nous la divinité… ou que nous “l’imitions” en nous affranchissant de nos limites ? » cela étant mon interprétation de la signification, dans ma langue et celle des oiseaux, des consonnes composant ce théonyme (1) !
Pour entendre la lettre « L » dans notre langue nous y ajoutons la voyelle « e » qui située avant « el » sera entendu phonétiquement « èl ou èle » si nous l’ajoutons après, nous entendrons le son « le ».
Nous pourrons la comprendre de plusieurs manières « elle » « aile » « hèle », etc. ou « le » ou « lé » si nous prononçons le « e » é ou è ce qui pourra donner « lé » « lait » « laid » « lès », etc.
C’est en partie sur les sonorités obtenues, en disposant les voyelles avant ou après les consonnes que l’on tire en grande partie les subtilités d’interprétation de la Langue des oiseaux.
Derrière un son, une vibration se cache une forme pensée différente d’un individu à un autre, les interprétations peuvent être différentes dans le cas d’un mot comme « idéal » lorsqu’on le décompose en deux sons « idé » et « a l » que l’on peut comprendre comme étant une « idée » à elle (ou à lui), un idéal personnel donc, et si le « al » est compris comme signifiant en hébreu « dieu » l’idéal peut aussi être interprété comme d’origine divine, ou comme n’étant pas l’objet de notre volonté !
La Thora était composée à l’origine de mots, de phrases, n’utilisant que les consonnes, donc, de par ce fait, impossible à prononcer. Seul l’officiant désigné par le prêtre rajoutait ses voyelles à lui, en les plaçant aux endroits qui résonnaient harmonieusement à ses oreilles et sûrement aussi avec sa propre foi, idée qui avait dû ravir Yhwh en son temps !
Lue de cette manière, d’un officiant à l’autre, elle devait avoir une « évocation» différente, ce qui, ce n’est que mon point de vue, devait la rendre plus vivante, ou du moins plus vibrante et à minima à l’unisson de la foi de l’interprète.
Les hommes sont ainsi, prêtres ou pas prêtres, ils ont exigé des scribes qu’ils rajoutent leur propre interprétation, c’est-à-dire leurs propres voyelles. La Thora est passée ainsi d’une interprétation « inspirée » par la foi de chacun à une lecture « imposée » (dogmatique) c’est comme cela qu’il faut l’entendre et pas autrement, sinon vous êtes un « hérétique ! »
Heureusement, dans notre temple intérieur, nous pouvons continuer à lire et à vivre l’enseignement originel du livre sacré en fonction de notre inspiration et de notre foi personnelle, qui, toujours de mon point de vue, est plus proche de CELUI que dit à Moïse « je suis celui qui est » Yhwh, qui, toujours d’après moi, n’a rien imposé aux hommes si ce n’est d’éviter de déformer l’essence de sa création dont la « base fondamentale », toujours d’après moi, est fondée sur l’Harmonie, l’Amour si vous préférez !
(1) Pour ne froisser personne, ceci n’est que mon point de vue, qui n’engage que moi, qu’on se le dise !
Le nouveau défi de la Vie ne se situe plus au niveau des nouvelles formes du corps des différentes espèces qui croissent, à n’en plus douter, sur les milliards de milliards de Gaïa composant l’univers.
Le nouveau défi se situe sur un plan beaucoup plus « discret » celui de nos corps subtils invisibles ou imperceptibles à la majorité d’entre nous, mais sensibles par ceux qui s’ouvrent aux capacités phénoménales de l’esprit qui les animent !
La nouvelle humanité se prépare avec Gaïa à franchir, consciemment ou inconsciemment, un portail incontournable, celui de l’intensification de l’expansion de la vie à TOUT l’Univers.
Après avoir appris à fabriquer un espace harmonieux sur une planète au développement de la vie, l’univers conspire à continuer de fabriquer des conditions idéales à de nombreux organismes capables de s’adapter, pour vivre et croître dans le cosmos.
L’univers prépare, entre autres, l’Homme nouveau, à s’affranchir de son mental chargé d’un nombre incalculable de peurs engendrant la haine pour utiliser ses autres capacités chargées d’amour et d’harmonie (armes honnies), celle du côté lumineux de la VIE !
Toi, mon frère, ma sœur, qui te complais ou qui t’agites frénétiquement du côté obscur d’une vie sans issue, par peur d’être qui tu es, prépare-toi à la transmutation de ton espèce, ou prépare-toi à disparaitre, sous la forme à laquelle tu t’accroches encore désespérément, car elle va définitivement être effacée des mémoires de l’univers, qui ne conserve uniquement que tout ce qui tend vers son harmonie et son équilibre !
Ils ont été réalisés par les toutes premières formes de vie, maritime et peut-être terrestre, par les tout premiers êtres unicellulaires apparus sur terre. Leur tâche principale fut, entre autres, de créer dans l’eau et dans l’atmosphère de Gaïa des conditions propices au développement de la vie. Les plus grandes formes de vie se nourrissant des plus petites, emmagasinant, inconsciemment, les mémoires des formes plus petites en même temps qu’elles nourrissaient leur forme (leur corps rudimentaire en ce temps-là).
Un travail réalisé sur de nombreux millions d’années de la planète, qui préparait le passage d’un portail vers un degré dévolution plus élaboré, celui des êtres multicellulaires. Un beau jour, ou bien une nuit… un être unicellulaire de grande taille décida avec le consentement d’un autre être plus petit de s’unir avec lui ou elle au lieu de le/la dévorer pour se nourrir de ses mémoires. La fusion des ces deux êtres, créa les premières formes d’une nouvelle génération d’êtres vivants qui décident de s’unir pour commencer la conquête d’un espace aquatique et terrestre, là où les pionniers unicellulaires avaient créé un lieu respirable où tous pourraient vivre, croître et se multiplier.
Se multiplier fut aussi l’occasion pour Gaïa de franchir un autre portail, celui de l’invention de nouvelles formes sexuées. Oui, car j’ai oublié de vous dire que les premiers êtres unicellulaires puis multicellulaires étaient asexués et utilisaient la méthode de division des cellules pour croître.
Plusieurs millions d’années plus tard une forme multicellulaire très complexe imagina de se dédoubler pas tout à fait à l’identique, en introduisant dans les deux nouveaux êtres un chromosome particulier qui fit toute la différence entre un être mâle porteur de la semence et celui de la femelle porteuse de l’ovule (un œuf au tout début, l’ovule fût l’occasion pour Gaïa de franchir un autre portail de son évolution.)
Depuis, sur Gaïa les nouvelles formes de vie sont de plus en plus complexes, de plus en plus sophistiquées et surtout de plus en plus conscientes d’elle-même et du rôle qu’elles ont à jouer ici-bas, enfin pour celles qui sauront s’affranchir du prochain portail évoqué dans la mini chronique d’hier « Le nouveau défi de la vie ».
J’aime à croire que ce qui s’est réalisé ici-bas est à l’identique de ce qui se réalise au-delà, c’est-à-dire que la vie dans l’univers, où qu’elle se situe, sur une des nombreuses Gaïa ou quelque part dans le vide sidéral, s’organise pour y créer des conditions optima à son développement. Ces formes ce sont adaptées aux milieux où elles se développent, un corps de matière, sur les nombreuses Gaïa, une forme plus subtile, comme un corps énergétique (astral ?) dans les nombreux royaumes du « Créateur » (1).
Je suis de plus en plus enclin à croire d’ailleurs, que la vie, telle que nous la connaissons, ici-bas, n’est pas le premier essai de notre Gaïa, qui a dû fabriquer de nombreuses autres formes de vie, beaucoup plus évoluée que la nôtre (du genre Atlantes, Lémurs et d’autres…) qui ont ensuite essaimé l’espace, en utilisant un autre processus de l’adaptation de la vie à toutes les autres conditions dans l’univers. Ce processus est connu depuis la nuit des temps de l’humanité sous le vocable de « l’ascension » (transmutation d’un corps de matière en un corps énergétique), la matière n’étant qu’une énergie plus dense que la subtile où perdure la conscience, ou si vous préférez, l’esprit et sa forme énergétique subtile, sont tous deux immortels !
Gaïa a hébergé d’autres civilisations humaines plus évoluées que là notre, si l’on en croit les vestiges parsemés çà et là sur le globe, comme l’énigme de la raison de la construction de Khéops en Égypte, et d’autres tout aussi interrogatives, remplies de prouesses techniques, que nous sommes à ce jour en incapacité de reproduire !
Apprendre l’humilité nous devrions, mais surtout apprendre à vivre ensemble nous devons « impérativement », si nous voulons franchir le nouveau portail de l’évolution de la vie qui se profile à l’horizon de la nouvelle ère du « Verseau » !
Après la conquête des Gaïa, faut-il nous préparer à la conquête de l’univers ?
Personnellement, je n’en doute plus !
Au fait ! J’ai oublié de vous dire que Dieu (2) continue le processus de sa création, d’une part et que d’autres part, sur toutes les Gaïa de l’univers, il compte sur nous, ses enfants, pour l’aider dans cette tâche incommensurable !
(1) Ou « Dieu » dit autrement ! Oui je sais que tu n’aimes pas entendre ce nom, trop galvaudé il est vrai, mais là je le fais exprès, parce que je t’aime mon frère ma sœur, et qui aime bien châtie bien, c’est connu !
Myriam après avoir dit à Jeshua que les femmes ne pouvaient pas le suivre ni se faire baptiser au milieu des hommes, va se voir confier cette tâche au même titre que les autres disciples qui au demeurant ne voient pas cela d’un très bon œil.
… début des dialogues (1)
Après avoir entendu Myriam, Jeshua, s’arrête au milieu d’un groupe de femmes qui l’observent un peu sur la réserve, il se tourne vers Myriam et lui demande « Que dois je enseigner ? »
Myriam, « sommes nous si différentes des hommes qu’il faut nous apprendre autre chose ? »
Une femme du groupe, « Nous sommes des femmes, notre vie ne nous appartient pas ! »
Jeshua, « Votre esprit vous appartient, et c’est vous seule qui en répondez. Votre esprit est précieux à Dieu… aussi précieux que celui de votre mari ou de votre père ! »
La femme, « Alors à qui faut-il obéir ? Si Dieu commande une chose, mais que notre mari ou notre père en commande une autre ? »
Jeshua, « Vous devez suivre Dieu. »
Myriam, « Devons-nous les défier et abandonner notre vie pour toujours ? »
Jeshua, « Oui, même s’ils vous jugent, s’ils vous persécutent, vous devez leur pardonner ! »
La femme, « Il faut leur pardonner ? »
Un silence pesant s’installe…
La femme reprend la parole et raconte l’histoire d’une femme surprise par un homme en flagrant délit d’adultère, ses frères l’emportèrent de force au bord de la rivière, où ils la violèrent et la noyèrent. Au procès, continue t-elle, l’un d’eux fut saisi de repentis, et supplia Dieu de lui pardonner ses crimes.
La femme ajouta en fixant Jeshua droit dans les yeux « Mais moi je ne suis pas Dieu ! »
Un temps s’écoule…
Jeshua, « Qu’est-ce que ça fait de porter cette haine dans ton cœur ? Est-ce qu’elle s’éteint au fil des mois ? »
Se tournant vers les disciples « Elle suinte partout et envahit vos jours, vos nuits, et elle finit par dévorer tout ce que vous étiez. Ces hommes eux aussi étaient emplis de haine. »
Silence… la femme et Jeshua se regardent intensément.
Jeshua reprend « Tu es forte ma sœur ! Mais il faut pardonner !
C’est le seul chemin vers le royaume de Dieu ! »
« Allez-vous vous joindre à nous ? Allez-vous naître à nouveau ? »
Un groupe de femmes suit Myriam jusqu’à la rivière où devant Jeshua et les disciples hommes elle va procéder à la cérémonie du Baptême sur les femmes.
Myriam procède au baptême des femmes !
Myriam, « Je te baptise de cette eau pour te purifier. Je te baptise de lumière et de feu. Je te baptise pour que tu renaisses éveillée, prête pour le jour qui vient ! »
… fin des dialogues
Une véritable « révolution », pour l’époque, évolution qui de nos jours reste encore « lettre morte ! »
Jeshua ici reconnaît en Myriam la part du féminin sacré qui complète sa part de masculin sacré, là aussi, il y a encore de nos jours un long chemin à parcourir pour le reconnaître !
Alors qu’attendons-nous pour naître éveillé, prêt pour le jour qui viens ?
(1) Ce texte est un extrait des dialogues du film « Mary Magdalene » qui n’a pas fini pas de résonner en moi !