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Fabuleuses fables

J’ai eu l’occasion ici de vous révéler en partie celle de la chèvre de Monsieur Seguin, je me rends compte aujourd’hui qu’elle est du même genre que de la fable de notre « Manu » !

Monsieur Seguin ne cherche pas à protéger sa chèvre du loup, comme il tente de le lui faire croire dans cette fable, il oublie tout simplement de lui dire qu’à la fin c’est lui et sa famille qui vont la dévorer goulument.

Par contre il lui explique que quand elle est dans le pré il faut qu’il l’attache avec un licou pour lui éviter d’aller explorer des herbages où il ne pourrait plus la contrôler, le licou étant, à l’époque, le « pass machin truc » utilisé de nos jours.

Lorsqu’on tente de nous enchaîner, de nous enfermer dans une caverne, demandons nous, toujours, qu’elle en est la raison qui anime tous ces braves Messieurs Seguin ?

Le loup est toujours le prétexte, pour contrôler tous ceux qui croient aux fables qu’on leur raconte, sans chercher à trier par eux même le bon grain de l’ivraie.

Pour que la fable puisse leur profiter, les bons Messieurs Seguin ont dressé des chiens de garde, dits chiens de berger, pour dissuader les chèvres et les moutons les plus récalcitrants à ne pas tenter sortir de l’enclos, sinon ils les lâchent pour ne pas se laisser déborder par le nombre d’insoumis que l’on contraint de vivre dans l’enclos, avant de les envoyer à l’abattoir.

Le loup de la fable sera gros Jean comme devant, car il ne ne pourra pas rassasier ses appétits ni ceux de son clan, car d’autres « loups » sont déjà à l’œuvre dans l’enclos ou la bergerie.

Le prétexte utilisé pour nourrir une population d’hominidé de près de 8 milliards d’individus, est aussi une fable, une fable qu’on peut ne peut faire entendre qu’à des hominidés, qui s’attardent dans le nid de l’asservissement alors qu’ils sont en capacité de voler de leurs propres ailes.

Dit autrement, des enfants qui croient encore au père Noël.

Les loups de la planète à col amidonnés, cravaté et décoré d’une légion de pacotilles, nous prennent pour des chèvres, des brebis… et autres bétails destinés à les enrichir, à nos dépens.

Vous avez bien lu, ils sont TOUS reconnaissables, au niveau vestimentaire, mais aussi au fait qu’ils n’ont jamais de sang sur les mains, car ils trouvent toujours des « bourreaux », pour accomplir les basses œuvres.

Allons nous comprendre un jour que toutes ces fables n’ont qu’un seul objectif, les enrichir encore plus, alors qu’une minorité grandissante des leurs sont déjà des Tontons Cristobal !

Un certain, Monsieur Jean de la Fontaine a tenté de nous permettre d’en tirer un ou plusieurs enseignements. Les deux plus connues de lui sont celle du corbeau et du renard[1], et celle de la cigale et la fourmi[2].

Son objectif n’était pas de chercher à nous endormir, mais de tenter à nous réveiller !

Les privations de nos libertés fondamentales ne sont pas celles que nous imposent les cols amidonnés, elles sont essentiellement de notre fait, tant que nous ne comprendrons pas, qu’elles sont utilisées, pour nous distraire de nos taches, avec une pseudo-pandémie, qui au niveau mondial, n’a pas fait plus de « victimes » que la dernière « gripette », qui a par enchantement ; disparue des actualités, pour que l’on se focalise bien sur cette fable des temps modernes d’un obscurantisme revisité, par nos fabulistes décorés à nous.

Le choix nous appartient !

Le Nouveau Monde sera ou pas « spirituel », tant que nous ne sortirons pas de l’enclos, de la caverne dans laquelle on nous prive de notre « humanité » en nous traitant comme du bétail !


[1] Mon bon Monsieur, apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute !

[2] Vous chantiez ? j’en suis fort aise. Eh bien ! dansez maintenant !