Archives mensuelles : avril 2022

Epilogue

Du livre Le continent oublié

Que pouvons-nous tirer comme enseignement après la lecture de ces quatre chapitres du « Continent oublié ».

  • Qu’il a glissé inexorablement sous la zone la plus glaciale de la planète (l’antarctique) et que le réchauffement constaté par le GIEC accentue de plus en plus l’obliquité de l’axe de rotation de la planète ?
  • Le glissement de l’axe de rotation est le signe annoncé dans le calendrier des Mayas que le sixième soleil annonçant « le mouvement » est en train de se produire actuellement. Ce qui explique, à mes yeux, la présence de nombreuses nations de notre planète qui s’y sont installées, prétextes, pour s’approprier les richesses en s’entretuant joyeusement pour pouvoir les posséder, lorsqu’il aura quitté cette zone réfrigérante !
  • Le calendrier des Mayas nous indique donc des périodes dans le cycle de la précession des équinoxes[1] pendant lesquelles la planète va modifier son niveau vibratoire qui aura ici ou là des conséquences locales pouvant ressembler à la fin du monde, mais qui n’est que la fin d’un cycle.
  • Que ce « mouvement » prédit, de la lithosphère sur l’asthénosphère, ne s’est pas produit brusquement, mais a été étalé dans le temps, permettant ainsi aux « Atlantes » de sauver les meubles avant d’être congelés pour l’éternité !
  • Que cette civilisation, très avancée, non pas matériellement, mais spirituellement, a été capable d’agir sur la matière pour pouvoir bâtir des monuments cyclopéens capables de résister à des séismes cycliques dont Gaïa a le secret, lorsqu’elle veut se débarrasser de ses parasites !
  • Que ces hommes n’étaient pas des dieux, ni des extra-terrestres, mais des hominidés comme vous et moi, avec une sagesse et des connaissances que nous sommes encore loin d’avoir atteintes !
  • Que les mythes et les légendes qui courent encore sur la planète nous parlent toutes la même chose sur le fond, ce ne sont que des messages codés emplit de sagesse qu’ils nous laissent le soin d’interpréter !
  • Que la transmission de leur message s’est inscrite automatiquement dans les mémoires du temps[2], mémoires infalsifiables et qui nous sont accessibles !

Transmission des mémoires

Dans une lignée quelle qu’elle soit, il y a toujours des ascendants et des descendants !

La crypte de la grotte de la Sainte-Baume agit comme un athanor.

Ce sont les descendants de cette lignée qui ont commencé, chacun à leur manière, à sortir de l’ombre à l’époque dite de la Renaissance et qui se réveillent aujourd’hui en retroussant leurs manches pendant que l’Ancien Monde s’effondre sur lui-même, comme les villes de Sodome et Gomorrhe.

« Là où croît le désespoir, croît aussi l’espoir ! »

Vous allez sûrement vous sentir frustré(e), parce que je ne vous donne aucune recette !

« Pourquoi, Raymond, ne veux-tu rien nous dévoiler ? »

« Tout simplement parce qu’il n’y en a pas et surtout parce que c’est à vous, à nous tous de les découvrir. »

Nous avons tous et toutes en nous la capacité d’avoir toutes les réponses à nos quêtes, dès qu’on fait taire notre mental, pour que notre troisième œil et notre troisième oreille puissent voir et entendre le potentialités inépuisables des mémoires de l’akasha !

En plus de nos capacités sensorielles ordinaires, nous avons TOUS accès à nos capacités extrasensorielles, ce sont nos peurs et en particulier celle de la mort, qui nous nous en prive. La force est en nous, car nous sommes tous d’essence divine et nos âmes sont immortelles, souvenez-vous, nous nous sommes déjà rencontrés dans d’autres vies !

« Combien de fois devrais-je le répéter, pour que vous commenciez à le comprendre (à le faire vôtre, le prendre pour vous, vous en nourrir) !

« Combien de fois dites-moi ? 

Nous sommes les rois de nos royaumes que nous bâtissons sur les enseignements de la Nouvelle Alliance qui est basée exclusivement sur L’Amour et où la Haine y est honnie, parce que source de tous nos maux.

Il n’y a pas de potion magique, ceux qui prétendent la posséder sont de vulgaires charlatans, des illusionnistes, des menteurs ! »

Le vecteur de la transmission

J’espère que vous avez compris qu’il est dans le couple où le Féminin et le Masculin sacré ont décidé d’un commun accord de fusionner au saint des saints[4] (entendre sein) de la chambre nuptiale (notre temple).

Temple intérieur et temple de pierre extérieur !

Croire que le pouvoir est entre les mains des gouvernants, c’est oublier que nous le leur avons cédé par flemme d’exercer le nôtre ! Ne nous en prenons qu’à nous même, Dieu ne nous a pas donné des mains des pieds et un cerveau pour ne pas nous en servir !

Si vous ne comprenez pas qu’en cédant votre pouvoir vous vous rendez pieds et poings liés à tous ceux qui ne cherchent qu’à nous tondre et à nous plumer !

La femme ne sera l’avenir de l’homme que lorsque nous la reconnaîtrons comme une partie indissociable et complémentaire du couple qui exerce un pourvoir à deux, car à deux nous sommes complets et plus puissants !

Je le répète à nouveau, pour ceux et celles qui ne veulent rien voir ni entendre, il n’y pas de vérité détenue par les tout puissants, ils sont tout puissant car nous ne voulons ou nous n’osons utiliser la nôtre !

L’accès aux mémoires des temps est intemporel et inné

C’est phénoménal et intuitif, cela ne relève en rien d’un vouloir du mental, mais relève d’un phénomène intuitif inné et de l’ordre de la nature immortelle des âmes. Nos âmes retournent toutes les nuits pendant notre sommeil à la source, font le bilan de la journée, explorent les potentialités que nous devrions mettre en œuvre dès notre réveil pour pouvoir continuer à croître.

Elles ne le font pas que la nuit dans la journée elles visitent la source dans un temps imperceptible (car hors de notre temps) pour trouver la solution en rapport avec une problématique du moment et à laquelle il nous faut trouver une réponse appropriée à notre légende personnelle !

Note de l’auteur :

Si vous voulez en savoir plus, je vous conseille de lire[5] ou de visionner les vidéos de Jean-Pierre & Lucile GARNIER MALET qui démontrent que ce phénomène de « dédoublement du temps » est naturel chez l’hominidé et à toutes les espèces un tant soit peu évoluées, et elles le sont toutes, chacune à leur manière !

Comment se perpétuent nos mémoires ?

Lorsque je parle de nos mémoires, j’évoque celles de toutes les espèces du vivant sur Gaïa, de la plus petite, celle du microcosme, à la plus grande (minéral inclus), celle du macrocosme (celles de notre oasis) qui nous héberge et qui nous nourrit, mais aussi celles de notre soleil et de celle de notre unique lune[6] ! Les mémoires de l’hominidé (celle du microcosme, soyons humbles) n’échappant pas à cette règle immuable et sur laquelle notre volonté ne peut agir, heureusement !

Dieu ou la « conscience immanente suprême, Celui qui est et qui crée[7] », n’est que le résultat de l’addition de toutes les mémoires. « Notre Père et notre Mère, le couple ultime » ne conservent que celles qui les nourrissent et rejettent toutes celles qui ne leur conviennent pas ! Ces mémoires sont infalsifiables et indestructibles, car elles appartiennent à une partie extérieure à la matière, que l’on nomme l’éther qui n’est composé que de photons, ceux de l’Au-delà interagissant avec l’eau d’ici !

L’Au-delà et l’eau d’ici, ne sont pas de même nature, mais étant conscientes l’une de l’autre, elles interagissent et s’enrichissent mutuellement. L’au-delà est immatériel, il est composé de photons, il est régi par d’autres lois que celle des lois qui régissent la matière, composée d’atomes. La frontière, s’il y en a une, est celle de nos perceptions, celles de nos cinq sens, les scientifiques la nomment « mur de Planck ».[8] Ce n’est simplement qu’une illusion que nos cinq sens imposent pour l’instant, à ceux qui sont mal entendant et mal voyants !

Il a été « interdit » aux scientifiques, sous peine « d’hérésie »,d’envisager une vie cohérente avant cet « horizon de nos événements », sous prétexte que nos connaissances du moment nous empêchaient d’effectuer des mesures de les quantifier et de les mesurer et donc de les prouver !

Depuis, heureusement, des scientifiques velléitaires ce sont affranchit de ces interdits et ont exploré ce continent interdit et y ont fait des découvertes intéressantes qui expliquent parfaitement cet au-delà qui est régit par d’autres lois d’une physique que nous commençons tout juste à explorer.

Figurez-vous que le temps ne s’y écoule pas de la même manière que celui de la matière (l’ici-bas), il y serait « imaginaire ».[9]

Temps réel, ici-bas, et temps imaginaire, au-delà !

Ce qui permet de mieux comprendre certaines manifestations comme celles des expérienceurs[10], des médiums… qui datent de la nuit des temps de l’humanité et que l’on a classés prématurément comme ésotériques dans le sens de « folie furieuse ou folie douce », qui se terminait souvent par une camisole de force ou le bûché pour sorcellerie, dont les femmes rousses ont été victimes et le sont encore ici ou là !

De plus en plus de scientifiques « ouverts », comme les regrettés Igor et Grichka Bogdanoff, Patrick Burensteinas, Philippe Bobola, Philippe Guillemant, le génial Nassim Haramein, Albert Einstein … et plein d’autres encore, qui ce son penché sur l’avant big bang pour tenter de comprendre ce concept des dieux de l’antiquité eu celui plus récent d’un dieu unique aux noms multiples qui évoque, pour moi, une immortalité de nos consciences et une conscience de l’univers contenu dans toutes choses, même celles du minéral qui nous paraît inerte !

L’eau d’ici-bas et le photon de l’au-delà sont le support de toutes les mémoires des univers et des planètes hébergeant, les expériences de toutes les formes de conscience, qu’un être un tant soit peu éveillé peut explorer pour continuer à évoluer harmonieusement sans risque de s’effondrer sur lui-même, comme un vulgaire soufflé au fromage sorti du four !

Dieu, ou une conscience immanente existe, même si personne ne l’a vraiment rencontré en chair et en os !

L’éveil de la conscience

Il ne peut pas se produire tant que nous restons les prisonniers de nos peurs qui nous empêchent de sortir des allégories préfabriquées et hig-tech des « Nouvelles cavernes de Platon » que j’ai évoqué ici !

Nous ne nous sommes pas incarné, pour nous lamenter tels les animaux de la légende amérindienne du colibris, ou critiquer ceux qui agissent mais pour faire notre part de colibri !

Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt.

Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre qui s’étendait sous leurs yeux.

Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu.

Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation qui lui semblait dérisoire, lui dit :

« Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

Et le colibri lui répondit : « Je le sais, mais je fais ma part. »

Personne d’autre que nous ne peut explorer à notre place notre légende personnelle !


[1] La précession des équinoxes provoque une rotation de l’axe des pôles et un déplacement consécutif du point vernal, selon un cycle d’environ 25 800 ans.

[2] C’est une forme de mémoire cosmique, de nature éthérique, qui, telle une pellicule sensible, enregistre les événements du monde et des espèces.

[3] Photographie prise là où Marie-Madeleine a terminé sa voie ici-bas entourée de ces plus fidèles disciple, car ne l’oublions pas elle a enseigné l’unique évangile nous conseillant de suivre la nouvelle arche d’alliance avec Notre Père qui est aux cieux !

[4] Le Saint des saints (latin : sanctum sanctorum) est la partie la plus sacrée d’un temple. Dans l’architecture antique, le saint des saints abrite le naos (le cœur de notre temple).

[5] https://www.amazon.fr/force-lInvisible-science-d%C3%A9doublement-temps-ebook/dp/B089B5715J

[6] La lune et soleil sont le microcosme de notre galaxie, la voie Lactée, lactée étant son macrocosme. « Tout ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ! »

[7] YHWH

[8] En 1900, Max Planck émet la théorie d’une limite pour décrire l’univers, comme un mur. On l’appelle « Le mur de Planck » et cette période « ère de Planck ». Cette ère se situe après le Big Bang qui a eu lieu il y a environ 13,7 milliards d’années.

[9] Certains problèmes de physique quantique peuvent être résolus en représentant le temps sous forme imaginaire. Ainsi, par exemple, la notion est utilisée par Stephen Hawking pour expliquer certains événements qui se sont déroulés tout de suite après le Big Bang.

[10] (Anglicisme) Personne ayant vécu une expérience de mort imminente.

Raymond MAGDELAINE