Le continent oublié
Ce qu’on peut décoder, chacun à nôtre manière, des mythes & légendes retrouvés dans des documents qui décrivent ce continent enfoui sous les glaces qu’une civilisation très avancée a été obligée de quitter rapidement pour des raisons qui semblent plus évidentes à ceux qui ont osé s’y pencher et que je tente de vous transmettre dans ce chapitre, sans chercher à vous imposer mon point de vue !
Il est en cours d’écriture et de relecture, il progresse au fur et à mesure de mes inspirations !
PARABOLE [1] Tirée de deux fictions
Sur une planète fictive du nom de Pandora, qui héberge des espèces aussi diverses que variées, vivant en parfait équilibre avec une espèce de « singes bleus » les Na’vi, jusqu’au jour où une autre espèce de guerriers les « crânes rasés » vont vouloir s’approprier par la force les ressources du sous-sol en détruisant tout ce qui les gènes, pour enrichir, encore plus, ceux qui ont déjà le cul cousu d’or ou de dollars !
Cela ne vous rappelle pas une autre histoire, non fictive elle, se déroulant sur une planète, de la bordure extérieure, d’une galaxie du nommé « Voie lactée » ?
Le pouvoir du côté obscur de la force brutale va y être chassé, par la résistance des Na’vi et le réveil des autres espèces, celles hébergées par Eywa l’Esprit ou la conscience de Pandora, pour préserver la vie sur un écosystème autonome qui ne supporte pas ce qu’on tente de lui faire subir !
Les Na’vi chez nous je l’es appelle les « Colibris », les parasites, les « Tontons Cristobal », les crânes rasés, les « Forces de l’ordre » et chez nous l’esprit, ou la conscience de notre planète s’appelle « Gaïa ».
Sur Pandora, ou dans la lointaine Galaxie de Star Wars, ce sont les Colibris des planètes de la galaxie en question qui renversent le côté obscur de la force, car la conscience des mondes et celle de l’univers (Dieu ou Vichnou) qui les hébergent vont réveiller toutes les consciences endormies, qui ne supportent plus qu’on les tonde ou qu’on les plume !
Citations :
L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. (Victor Hugo)
« Il est l’heure du « réveillage » (dialogue emprunté à un film de Disney « Dinosaure ») !
[1] Ceci est un « Avent » goût de ce qui vous attend courant 2022 !
Je récapépète
Le constat est le suivant :
Nous ne sommes pas la première civilisation d’hominidés (homo sapiens sapiens) à avoir existé sur la planète !
Des civilisations avant la nôtre, très avancées, dans tous les domaines, n’ont pas complètement disparu de la surface du globe !
Elles ont sûrement été obligées de quitter leur continent qui a glissé sous la zone glaciale dite de l’Antarctique.
Et/ou ont été contraintes de se déplacer à cause de la montée des eaux pour des raisons que nous n’avons pas encore découvertes de nos jours, ou qu’on nous cache !
Les survivants érudits (des initiés) ont transmis leur savoir à tous les peuples qu’ils ont rencontrés au cours de leur migration !
Elles ont mélangé leurs génomes avec les autres peuples qui ont survécu à la période du Dryas récent !
Elles ont laissé des traces, un peu partout, sur la planète et qui crève les yeux de tous ceux qui ont des yeux pour voir… sauf des aveugles, cela va de soi !
Ces hommes et ces femmes nous ont laissé aussi des messages cryptés, que certains ont commencé à décoder sans que pour l’instant nous les ayons bien tous interprétés correctement.
Cela exige du temps et des connaissances que nous n’avons pas encore, de mon humble point de vue, car il nous manque de nombreuses pièces à notre connaissance pour pouvoir lever le voile sur ces mystérieux dieux !
Ceux qui nous cachent ce qu’ils savent déjà, c’est un point de vue que j’argumenterais plus loin, le font avec l’intention de continuer à exercer leur pouvoir illégitime sur nous !
Là aussi je développerais plus loin cet aspect récurrent de nos gouverne-menteurs, dans ce chapitre.
Nous sommes tous et toutes leurs descendants, les initiés descendent de la lignée du couple mythique d’Osiris et d’Isis, tout comme le roi David et la reine de Sabbat descendent d’eux, ainsi que Jeshua et Myriam sont les descendants de cet arbre généalogique, d’initiés, même ceux qui sont restés figés dans le côté obscur de la dualité, qui n’est qu’un état transitoire de l’alchimie des âmes !
La dilatation des fréquences vibratoires de l’univers entraîne Gaïa, et toutes les créatures qu’elle héberge, vers un « festin »[1] auquel il faut nous préparer sur tous nos plans, du plus incarné au plus subtil !
[1] Lisez attentivement le titre suivant, comment dieu devint Dieu !
Comment dieu devint Dieu
Le titre est celui d’un des nombreux livres signés Daniel Meurois-Givaudan, qui se couvrent de poussière de soleils dans ma bibliothèque, qui a attiré mon regard pendant que j’écrivais le premier chapitre de mon prochain livre « Le continent oublié ».
Comme quoi la conscience de Myriam (ma muse qui m’amuse) est toujours présente et se manifeste lorsque je m’interroge, c’est-à-dire lorsque j’écris (entendre ; lorsque je cri, avant que les pierres ne le fassent à ma place) !
Il est, de mon point de vue, ESSENTIEL de comprendre ; qu’il n’y a aucune différence entre dieu, Dieu, nous, les autres formes de vie, et l’Univers.
Nous sommes un TOUT INDISSOCIABLE[1] !
Je vais vous livrer ce matin, ce que la veille au soir avant de m’endormir j’ai encadré dans ce livre pour ne pas l’oublier !
Tant ce passage répond à une préoccupation actuelle des âmes incarnées sur cette magnifique Oasis ou ce Paradis (que nous pillons sans vergogne, et sans même en être conscient).
Planète que nous appelons la Terre alors qu’elle est composée, en apparence, de 71% d’eaux et de glaces, sans comptabiliser, toutes les nappes phréatiques qui circulent sous la couche dite terrestre, qui doit approcher les 80% et plus, pourcentage dont tous les êtres vivants sont constitués !
« Écoutez ceci :
Vous êtes aujourd’hui tous invités à un incroyable et merveilleux repas… ou plutôt à un festin pour l’âme et l’esprit.
Y répondrez-vous présent ?
Il est bien évident que vous ne vous assiérez à sa table que si vous avez réellement faim et soif de la nature des mets qui vous y sont proposés :
Simplicité, vérité, joie, amour et… volonté.
Cinq qualités indispensables à l’obtention d’un vrai passeport pour le cœur, le seul passeport[2] requis pour l’inévitable mutation qui vous ouvrira ses portes… tout à l’heure.
Voilà pourquoi, mes semblables[3] et moi-même[4] n’avons de cesse de vous inciter à réinitialiser votre propre champ de conscience. »
Rien à voir, vous l’avez compris, avec ceux, auxquels certains d’entre nous courent, pour satisfaire les besoins organiques du corps, qu’on tente désespérément de limiter ou de frustrer, pour nous empêcher de penser !
Pendant qu’ils tente de châtrer nos consciences, ils œuvrent dans l’ombre et en toute impunité, pour nous ramener à la partie obscure de nos ombres, celle de nos instincts primaires de l’animal, que nous ne sommes plus, enfin je l’espère !
La civilisation, très avancée de ce continent, enfoui sous les glaces de l’Antarctique, n’a pas été exempte de ces dérives que nous connaissons avec la nôtre.
Elle était composée elle aussi d’êtres éveillés, et d’autres, qui pensent que vivre c’est se laisser conduire, comme chez les animaux, par un alpha qui va les conduire là où il veut les amener !
Oui, mais voilà, l’hominidé n’est plus un animal, il est doté d’une conscience beaucoup plus évoluée, certes, mais dont certains de nous n’avons pas conscience !
Comprenez-vous ?
Le festin auquel nous sommes tous conviés, ne recevront pas ceux qui cherchent en ce moment ce fumeux « pass-partout», qu’ils prennent pour une planche de salut, alors que ce n’est qu’un radeau de la méduse qui est en train de sombrer corps et âme !
Ces êtres de lumières, les Anges, les Élohim, les Guides… ne cessent de nous parler, quand ce n’est pas nous qui allons à leur rencontre, c’est eux qui frappent sans cesse à la vitre de nos Consciences !
Tendez l’oreille interne et vous les entendrez, ils sont là depuis la nuit des temps, pour nous guider !
[1] C’est ce que veut dire « Être UN »
[2] Le livre de Daniel Meurois a été publié en 2005 au Canada !
[3] Ceux que nous appelons, les anges, les guides, les Élohim… et de bien d’autre nom, qui sont des consciences non incarnées, d’une vie après la vie ici-bas !
[4] La pure conscience qui entre en contact avec Daniel lorsqu’il fait une sortie de corps impromptue, comme celle qu’il raconte dans ce livre et qu’il délivre aux consciences les plus intrépides.
La preuve par neuf, qu’ils savent
Qu’ils savent quoi Raymond, toi qui sais tout et qui a pourtant l’air con (cela rime bien avec Raymond, non ?).
Je n’ai pas que l’air, mon frère, j’ai aussi les paroles de la chansonnette, qu’on nous fredonne tous les jours.
Que font toutes les nations (ou presque) sur ce continent glacial ou les températures minimales frise les -98°C l’hiver austral et les -20,75°C l’été[1]! Si vous ne supportez pas les chaleurs estivales, venez-vous rafraîchir sur un continent une fois et demie plus grand que l’Europe.
Oui, je sais lire la légende de cette carte d’occupation qui indique que ce sont des stations géophysiques[2], ou des scientifiques, les moins frileux, viennent observer, QUOI et observer QUI ???
Si les mythes qui circulent sur la planète, bien avant notre civilisation, celle à laquelle on nous demande de croire sur parole, sont des récits qui témoignent de cette civilisation de dieux faits hommes, et des événements cataclysmiques qui les ont forcés à quitter rapidement leur continent, car ils avaient les moyens technologiques de le faire ! Nous avons le droit de nous interroger sur cette présence suspecte des nations sur ce continent et de ne pas nous contenter de croire ce qu’ils y font, font, font… les petites marionnettes !
Si cette civilisation fut en ces temps-là plus avancée que la nôtre, ce continent doit regorger de richesses technologiques, conservées intactes, sur et dans son sous-sol, je comprends mieux la présence des nations et ce qu’en fait elles y convoitent !
Pas vous ?
Oui, c’est vrai, je sais, je suis un complotiste[3] !
Je le revendique !
Imaginez les profits colossaux qu’ils pourraient tirer des ressources aurifères, des matières précieuses, pétrolières et autre… que ces nations cherchent à s’approprier sans partage, car ce seront les plus puissantes qui s’empareront du jackpot, l’homme a toujours été un loup pour les hommes !
Ce ne sont pas les carottes de couches de glace qu’ils extraient du sol, pour amuser la galerie, mais bien d’autres carottes qu’ils convoitent avec avidité, car ces gens-là, Madame, Monsieur, n’en ont jamais assez !
…
Oui, je sais… c’est ce que vous ne voulez ni voir ni entendre, vous préférez pour l’instant vous gaver de leurs balivernes !
Bon appétit !
[1] Deux records vérifiés et certifiés !
[2] La géophysique concerne l’étude des propriétés physiques des sols et des roches dans le but de caractériser leurs constituants et leur géométrie. Elle permet, depuis la surface ou en forage, une reconnaissance non destructive du sous-sol ou d’un matériau donné.
[2] Le complotiste, c’est celui qui voitce que vous ne voulez pas voir !
[3] Le complotiste, c’est celui qui voit ceux que vous ne voulez pas voir !
Le couple, mythe ou réalité ?
Que vient faire le couple mythique ou pas… dans ce livre qui tente de nous parler d’une hypothétique « Civilisation » soi-disant bien plus en avance, sur bien des plans, que la nôtre Raymond ?
Le couple prépare notre civilisation, qu’on tente en ce moment de maintenir au moyen âge, vers la fusion de deux âmes pour prépare leur ascension, fusion qui passe par tous les trois états de « l’âme à tiers » ; le corps, le « cœur », et l’esprit !
Si les minéraux, les microzymas, les plantes, les insectes, les végétaux et les animaux jouent un rôle primordial dans le maintien d’un équilibre harmonieux, sur Gaïa. L’hominidé, lui, n’est pas fait pour ce rôle, il se prépare, sur tous les plans, à maintenir un autre type d’équilibre harmonieux dans l’univers pour que les planètes de notre galaxie et des autres puissent continuer à enseigner à ceux qui ont le cœur, l’œil et l’oreille ouverts, à se préparer à une ascension, vers quelque chose de plus grand qu’eux !
Pourquoi la femme et l’homme doivent-ils réapprendre à fusionner leurs deux corps ?
Pour pouvoir ensuite apprendre à fusionner leurs deux cœurs, puis leurs deux esprits, d’ascensionner vers un Être plus grand et enfin complet, leur permettant ainsi de ne plus avoir besoin de la matrice maternelle de Gaïa, les dotant d’ailes pour voyager dans l’éther, ce que certains d’entre nous font en quittant temporairement leur corps physique et que nous faisons tous lors de ce passage que nous appelons encore la MORT !
Les mythes, que j’ai évoqués dans le chapitre 1, parlent souvent d’un homme, barbu en général, rarement d’un couple ! Il y en a pourtant eu !
Le premier que je vais évoquer, plus loin, est celui d’Isis et d’Osiris, que l’on nous présente comme légendaire, et c’est sur le décodage de leur légende que je vais m’étendre, car elle est révélatrice de l’ascension qui remet en cause les dogmes patriarcaux où les femmes en sont exclues !
À partir de ce texte liminaire, je vais vous parler de ces couples qui ont tenté de changer la face du monde, mais qui ont été violemment pourchassés et brûlés vifs, pour soi-disant hérésie.
Hérésie déclarée contre toutes idéologies autres que les dogmatiques nous ont conduits là où nous en sommes aujourd’hui.
Ce sont ces couples mythiques qui nous ont montré la voie qui doit nous conduire là où nous devons aller, pour pouvoir y faire ce que nous avons à y faire, et ceci qu’on le veuille ou pas, car c’est un passage obligé et incontournable !
Faire ce que nous avons à faire, nous devons, où remette sans fin notre ouvrage sur le métier à tisser nos âmes, nous aurons !
Le couple est l’unique planche de salut pour l’humanité, qui deviendra grâce à lui pur esprit… ou pas !
Les nombreux échecs que rencontrent les couples ici-bas ne sont qu’une phase (la plus enrichissante) de cet « apprends-tissage » !
Comprenez-vous ! En vérité je vous le dis sans cette fusion (des couples) il n’y a point d’avenir ici-bas, si ce n’est celui que nous vivons en cette période charnière !
Le couple clé de voûte de la pérénité
Il est essentiel de comprendre que la « vie » (la vibration) est un couple, et n’est pas constituée d’un seul des deux principes de cette énergie vitale, c’est un tout insécable !
Penchons-nous au préalable sur l’étymologie du mot « couple » :
- (Nom 1 féminin) du latin copula (« lien, liaison »).
- (Nom 2 masculin) Dérivé du verbe coupler : « ce/ceux qui s’accouple/nt, copule/nt ».
Au féminin cela représenterait un lien, au masculin cela se résumerait, à un bref accouplement, point final ?
Deux visions qui divisent, depuis l’Adam et l’Eve primordiale, les deux synergies du masculin et du féminin sacré, du bien et du mal (du mâle) ; celle du yin et du yang…
Un barbu célibataire qui prêche dans le désert de notre ignorance crasse ne peut nous apporter qu’une moitié de sa vision du monde, la sienne !
Le même barbu (ou pas) en couple, va nous apporter une vision un peu plus complète du monde qui ne se limite à l’instant fugace de la copulation !
Patriarcat ou Matriarcat sont deux visions tronquées, qui ne créent que la division.
Le couple tente de créer des liens, en synergie avec les deux énergies (yin et yang) afin de pouvoir avancer dans la direction choisie en conscience ou pas…
Tout couple qui « tire à hue et à dia » se lasse plus ou moins vite, et finit par se séparer.
Vous savez, il n’est pas facile de tirer dans une même direction, s’il n’y a que la recherche du plaisir fugace, sans en assumer ensemble toutes les responsabilités.
Le Hieros Gamos, ne se pratique pas à la sauvette dans une chambre d’hôtel de passe, où dans les bois de trousse-chemises, mais dans le temple sacré qu’est la chambre nuptiale, où il n’y a pas que les corps qui fusionnent, mais aussi les deux consciences, c’est un acte sacré.
Tout le monde rêve de ce grand amour, mais pas grand monde ne veut en assumer les charges !
Ce sont pourtant ces charges assumées pleinement qui font grandir l’Amour mutuel et assurent notre continuité au travers de notre descendance ! Car à terme, qu’il y ait ou pas une apocalypse, nous devons tous laisser nos enfants, continuer à améliorer à leur tour l’ouvrage que nous avons entrepris, à leur manière, pour le temps venu passer le témoin à leur progéniture.
Si la femme est l’avenir de l’homme, le couple et sa lignée sont l’avenir de l’humanité !
La vague est à l’image de la synergie du couple, tantôt nous surfons à son sommet, tantôt pensons sombrer dans le creux, mais où que nous soyons nous avançons toujours vers la grève.
Peut-être avons-nous la sensation d’échouer alors que nous ne faisons qu’accoster.
Le couple se doit d’avancer vers le même but, celui d’assurer la continuité de la vie, après avoir fait son dernier saut quantique, ici-bas.
Car je vous rappelle que nos consciences sont immortelles, et qu’elles se rencontrent depuis la nuit des temps pour aboutir tôt ou tard, à la fusion !
Dieu n’est pas IL, elle n’est pas ELLE, c’est un TRAIT D’UNION de deux consciences qui veulent croître ensemble, le but étant le UN !
Osiris & Isis, décodés
Le Mythe d’Osiris
« Les prêtres égyptiens n’ont pas rédigé un récit suivi et cohérent du mythe d’Osiris car un tabou entourait la mort du dieu. Ils ont voulu garder un pieux silence sur tout ce qui touche à son décès brutal. Cependant, les écrits funéraires et magiques fourmillent de données éparses et les allusions au mythe sont de ce fait nombreuses. Les plus anciens textes, datés de l’Ancien Empire (-XXIVe siècle), sont les Textes des pyramides. Ils sont inscrits, à partir du pharaon Ounas, sur les parois des chambres funéraires royales autour du sarcophage. Le roi défunt, assimilé à Osiris, recherche l’ascension céleste pour rejoindre Rê et les étoiles considérées comme des entités immortelles. Par la suite, la ferveur osirienne se développe et prend de l’ampleur durant le Moyen Empire.
Les références à Osiris sont alors omniprésentes dans les Textes des sarcophages. Ce matériel funéraire n’est plus destiné au souverain, mais plus aux élites locales de la Moyenne-Égypte. Le Nouvel Empire puis la Basse époque ont laissé un important matériel d’écrits funéraires ; le culte d’Isis et d’Osiris étant alors à son apogée. Dans les hypogées de la vallée des Rois, le mythe s’expose dans les Livres du monde souterrain qui sont des sortes de cartes de l’au-delà. Les fouilles archéologiques, dans les tombes des particuliers, ont livré de nombreux rouleaux de papyrus, à présent conservés dans les musées contemporains. Le Livre des Morts et le Livre des respirations sont particulièrement instructifs.
Les scènes pariétales du temple de Dendérah gravées à l’époque ptolémaïque ont livré de précieuses données concernant les célébrations osiriennes du mois de Khoiak (Rituel des Mystères). D’autres temples ont livré des indications comme ceux d’Edfou, d’Al-Kharga, de Behbeit el-Hagar et les chapelles osiriennes de Karnak. »
Extrait de Wikipédia
Ma lecture, qui n’engage que moi, bien évidemment !
Première constatation, on ne dit rien concernant Isis, du moins dans cet extrait, comme c’est curieux, mon cher cousin !
Osiris, comme Jeshua, après lui, a aussi été élevé au rang de Dieu (Rè).
La réticence des prêtres à évoquer le « tabou » de la mort brutale d’Osiris, me rappellent d’autres réticences à évoquer les raisons qui ont conduit Jeshua au Golgotha ! Non ?
Isis ; est dans la représentation du couple royal est abaissé ou rabaissé au rang de mère, donnant le sein, point final, circulez il n’y a rien d’autre à voir ni à comprendre !
Je reviendrais plus loin, sur le rôle qu’a joué Isis après l’assassinat de son époux !
Ce couple appartient, à n’en point douter, à cette civilisation du « Contient oublié », peu importe son nom. Pour qu’Osiris est été élevé au rang de Dieu équivalent de « Ré », il a dû impressionner au plus haut point les Égyptiens, moins évolués, par ses prodiges technologiques qui ressemblait à des miracles que seul un Dieu peut accomplir. Le plus impressionnant, comme déplacer, entre autres, des blocs de granit pesant plusieurs tonnes pour construire une Pyramide comme celle de Khéops !
Les prêtres égyptiens ont fait rassembler par les scribes un nombre conséquent de points de vue convergents (Mythes) qu’ils ont fait conserver sur des papyrus, puis graver sur la pierre pour ne pas qu’ils se perdent. Ont-ils été partiaux ou impartiaux, connaissant un peu la nature humaine, j’en doute sérieusement.
Les prêtres sont comme les historiens de nos jours, ils lisent les témoignages, se rapportant à une époque ou à un personnage, et qu’ils soient intègres ou pas ils vont les coucher sur le papyrus ou les graver sur la pierre avec une touche de leur couleur, il n’y a au mieux pas d’autres intentions chez eux, mais cela n’est tout de même pas à prendre comme « paroles d’évangile », surtout quand sur le nombre important qui ont été retrouvés on n’en retient que quatre ?
Ce Mythe le plus répandu, exclu comme par hasard, le rôle joué par Isis, comme quoi la femme semblerait ne pas avoir été mieux considérée dans l’Égypte des Pharaons, à moins que… ce ne soient les historiens ou les prêtres de notre époque qui ont tenté d’effacer le rôle d’Isis, comme ils ont effacé celui de Myriam de Magdala (Marie Madeleine), ce qui me semble plus probable !
Le Mythe d’Isis
« Isis est une reine mythique et une déesse funéraire de l’Égypte antique. Le plus souvent, elle est représentée comme une jeune femme coiffée d’un trône ou, à la ressemblance d’Hathor, d’une perruque surmontée par un disque solaire inséré entre deux cornes de vache.
L’astucieuse Isis est l’une des divinités de l’Ennéade d’Héliopolis. Elle est la sœur et l’épouse du roi Osiris, un être généreux qui plaça son règne sous le signe de l’harmonie cosmique. Ce temps heureux prend subitement fin avec l’assassinat d’Osiris lors d’un complot organisé par son frère Seth, un dieu violent et jaloux. Isis retrouve le corps d’Osiris et le cache dans les marécages de Chemnis. Lors d’une partie de chasse, Seth trouve le cadavre et, fou de colère, le dépèce en plusieurs lambeaux. Durant une longue quête, Isis, secondée par Nephtys, Thot et Anubis, retrouve les membres disjoints et reconstitue le corps d’Osiris en le momifiant. Après avoir revivifié Osiris, Isis fait de lui le souverain éternel de la Douât, un monde paradisiaque peuplé d’esprits immortels. Pour assurer sa protection, elle le place sous la garde attentive du dieu canin Anubis, son fils adoptif.
Isis sous la forme d’un oiseau rapace s’unit à la momie de son époux et conçoit Horus. Élevé dans les marais de Chemnis et fortifié par le lait maternel d’Isis, Horus parvient à l’âge adulte. Durant de nombreuses décennies, Horus et Isis combattent Seth soutenu par Rê assez peu disposé envers Horus. Après de nombreuses péripéties, Horus réussit à se faire reconnaître comme le successeur légitime de son père, devenant ainsi le modèle du pharaon idéal. »
Extrait de Wikipédia
Ma lecture de ce mythe
Elle est l’âme sœur et l’épouse d’Osiris, c’est plutôt comme cela que je le ressens, mais ce n’est pas le plus important, elle règne au même titre qu’Osiris sur l’Égypte, elle n’est pas classée dans cette représentation du moins, comme une mère allaitante Horus, et tient dans sa main le symbole du pouvoir des pharaons, la croix ansée[1] le sceptre dans l’autre, et elle est coiffée du trône !
Elle aussi, comme Myriam de Magdala, découvre le corps de son époux mort. Seth son assassin, le démembre peut après, ce qui ressemble à s’y méprendre à une crucifixion, où l’on clou les membres de Jeshua sur la croix de l’agonie, ce qui dans les deux cas est une ignominie sans nom !
Elle est comme Myriam de Magdala, à avoir vu son époux ressuscité des morts, et comme elle va lui donner un fils Horus !
Vous allez me croire, ou pas…
Mais je ne connaissais pas les deux légendes ou les deux Mythes d’Osiris et d’Isis, avant de les coucher sur cette page et de les lire pour la première fois, mais j’en avais la certitude.
Je n’ai d’ailleurs pas revécu par hasard non plus, en même temps qu’une amie, qui se reconnaîtra, un court épisode d’une de mes vies antérieures[2] pendant une méditation accompagnée !
Comme les hommes, les prêtres ont aussi besoin de légendes, en Égypte ils ont déifié Isis en lui donnant les pouvoirs d’une déesse, ce qu’ils ont fait bien plus tard avec Jeshua en le décrétant fils de Dieu, les nôtres, par contre, ont pourchassé, bien plus tard les messages d’Amours de celle qui a été son épouse légitime devant témoins aux noces de Cana, qu’ils ont volontairement effacé des quatre Évangiles, comme ça, ni vu, ni reconnus, on ne pourra les accuser d’hérésie !
Le Mythe d’Isis évoque aussi une période où il est dit qu’elle essaye avec l’aide de quelques-uns de rassembler les membres d’Osiris épars, après sa mort !
Ce qu’il faut lire ou comprendre, c’est qu’elle va s’atteler après l’accession d’Osiris, comme Myriam de Magdala la fait, à reconstituer l’unité éclatée des soi-disant douze[3] apôtres, tous des hommes. Encore plus clairement elle va avec ceux qui partage les enseignements d’Osiris, poursuivre son œuvre ce qui est le rôle fondamental du couple royal qu’ils ont été ou pas !
À part les interprétations des uns et des autres qui relatent à leur manière cet épisode de la légende d’Isis et d’Osiris, je ne vois pas de différence fondamentale avec celle de Myriam et de Jeshua, à part que dans notre légende les grands prêtres ont demandé aux scribes d’occulter ou de tordre le récit pour taire ce qui ne les arrangeait pas !
Les hérétiques sont toujours ceux qui dénoncent l’hérésie chez les autres !
[1] La croix de vie (ankh) : Elle est directement associés aux dieux, aux déesses et à l’éternité. Le pharaon la porte souvent dans sa main en signe de son appartenance divine. Son symbole hiéroglyphique signifie « vivre » ou « vie ».
[2] Cela a été une première pour moi, mais pas la dernière fois !
[3] Ses disciples étaient beaucoup plus nombreux et n’était pas constitués que d’hommes, comme on essaye de nous le faire croire !
[4] Ses disciples étaient beaucoup plus nombreux et n’était pas constitués que d’hommes, comme on essaye de nous le faire croire !
Le règne civilisateur d’Osiris
« D’après une allusion issue des Textes des pyramides, quatre enfants sont issus du couple formé par Nout et Geb. Il s’agit des dieux Osiris, Isis, Seth et Nephtys.
Plutarque en ajoute un cinquième, Haroëris. Cette lignée remonte à Atoum-Rê, le créateur du monde. Prenant la suite de son père, Osiris règne sur l’Égypte. Selon le Grand Hymne, Geb a transmis le trône à son fils de son vivant, car « comme celui-ci a vu sa perfection, il a ordonné qu’il guide les pays pour une heureuse réussite ». Son épouse est Isis tandis que Nephtys est celle de Seth. Les sources égyptiennes ne livrent que peu d’informations sur le règne d’Osiris ; l’accent est bien plus mis sur sa revivification par son épouse après sa mort. Le Grand Hymne indique toutefois que « les plantes poussent selon son désir et pour lui la terre productive fait constamment naître les aliments ». Osiris incarne le pouvoir politique bienfaisant qui suit les préceptes de justice enseignés par les Sages : « Il établit solidement l’ordre dans toute l’Égypte ». Cet ordre naturel idéal est la Maât dont l’entretien est un objectif fondamental dans la culture égyptienne. Au contraire, Seth est étroitement associé à la violence et le chaos ; il est le Rebelle, l’ennemi à terrasser. Par conséquent, le meurtre d’Osiris symbolise la lutte entre l’ordre et le désordre, la perturbation de la vie par la mort. En suivant les auteurs gréco-romains, Osiris a enseigné aux hommes l’agriculture et l’élevage et a interdit l’anthropophagie : En montant sur le trône, Osiris fit renoncer aussitôt les Égyptiens à leur existence de privations et de bêtes sauvages. Il leur montra comment on se procure les fruits ; il leur donna des lois, et leur apprit à honorer des dieux. Plus tard il parcourut l’univers entier, y portant les bienfaits de la civilisation. Il n’eut que très rarement besoin de recourir aux armes : ce fut par la persuasion, le plus souvent (Plutarque, sur Isis et Osiris, § 13). Son épouse Isis leur a inculqué la fabrication du pain, le tissage des vêtements et les principes de la bonne justice :
Osiris ayant épousé Isis et succédé au trône de son père, combla la société de ses bienfaits. Il fit perdre aux hommes la coutume de se manger entre eux, après qu’Isis eut découvert l’usage du froment et de l’orge, qui croissaient auparavant inconnus, sans culture et confondus avec les autres plantes. Osiris inventa la culture de ces fruits, et par suite de ce bienfait, l’usage d’une nourriture nouvelle et agréable fit abandonner aux hommes leurs mœurs sauvages. (…) On rapporte aussi qu’Isis a donné des lois d’après lesquelles les hommes se rendent réciproquement justice, et font cesser l’abus de la force et de l’injure par la crainte du châtiment. »
Si vous lisez attentivement, ce texte extrait de Wikipédia, vous pouvez constater par vous-même que cette Isis et Osiris savaient des choses qu’ignoraient les Égyptiens et que leurs comportements à cette période de leur civilisation étaient encore à un stade grégaire, qui ne pouvait leur permettre de construire ces trois monuments cyclopéens du plateau de Gizeh !
Par contre sur certains des temples de pierres construits en Égypte on trouve des traces incontournables et infalsifiables, sur lesquelles je reviendrais plus loin que la civilisation dont est issu ce couple mythique était d’un autre degré, au niveau technologique, et spirituel, élevé et que notre civilisation est encore loin de maîtriser de nos jours.
La sauvagerie de notre civilisation n’est guère éloignée de celle de l’Égypte dans ces temps reculés.
Cette période du Dryas récent a permis à une civilisation perçue comme des « Dieux » de rencontrer notre civilisation encore au stade de chasseurs-cueilleurs.
Cette rencontre a créé sur Gaïa un mixage « terrestre » des deux civilisations, qui explique bien, du moins de mon point de vue, le fossé, non encore comblé de nos jours, entre les descendants des dieux et celle d’homo sapiens n’ayant pas encore atteint le même degré d’évolution, mais qui sortent lentement mais sûrement de l’enfermement dans lequel, certains, tentent de les empêcher d’en sortir.
C’est cette dichotomie dans laquelle l’humanité d’aujourd’hui se débat consciemment ou inconsciemment, car elle sent bien au plus profond d’elle-même qu’elle se fourvoie ou que l’on cherche à l’engluer dans une impasse mortifère.
L’important à retenir, a ce stade de notre exploration, n’est pas de savoir qui à raison ou à tort, mais comment nous pouvons réussir à fusionner progressivement, à trier le bon grain de l’ivraie, deux aspects d’une vibration à la fois unique et variée cherchant sans cesse à transformer un chaos apparent en équilibre capable d’engendrer l’harmonie vers laquelle tout ce qui est conscient de vivre tend !
Pourquoi évoquer Isis & Osiris
Pourquoi pas !
Oui, mais c’est un peu court.
Sûrement parce que, comme tout le monde, ou presque, je suis curieux, en plus de savoir qui je suis, d’où je viens et où je vais !
Pas vous ?
Sans aucune vanité, sur cette planète j’ai l’impression d’être un extraterrestre, de ne pas être compris par une grande majorité de gens qui me regardent comme une bête curieuse, une espèce « d’être angé » (d’étranger), comme ceux qui passent à côté de moi sans me voir, alors que je ne suis, comme tout le monde, que le reflet (le miroir) de ce qu’ils sont !
Au début je trouvais cela étrange, mais au fil du temps, je me suis rendu compte qu’effectivement, si nous étions tous sur la même planète, nous n’étions pas tous sur la même longueur d’onde vibratoire ! Je le répète, cela n’a rien de péjoratif, ni dans un sens ni dans l’autre, c’est juste une constatation.
Lorsque vous écoutez à la radio « Rires et Chansons », vous ne pouvez pas entendre, celle que j’écoute sur « France-Musique » ou d’une autre !
La raison essentielle, c’est que je bâtis ici-bas ma légende personnelle, sur l’une des fondations préexistantes de cette planète, et celle des Enseignements d’ISIS & d’OSIRIS parle plus à mon âme que celles de nos gouvernants ou de nos religions (pardon à tous les croyants, ce n’est pas vous qui êtes visés), qui dénaturent tous ce qu’ils touchent et tout ce qu’ils disent !
Non merci, sans façon, ce n’est pas sur ces fondations-là que je souhaite, bâtir le royaume où nous allons croître avec notre descendance, sans renier notre lignée qui s’est battue contre vents et marées afin que nous puissions perpétuer leurs enseignements tirés de leurs propres expériences !
Si vous avez lu attentivement, la légende de leurs enseignements, vous avez pu constater qu’ils étaient, et son toujours à notre époque, les précurseurs d’une civilisation qui est en train de se mettre en place et qui ne pourra plus être sous je joug d’une dictature quelconque !
Désolé pour tous ceux qui pensent, encore pouvoir continuer à nous tondre et à nous plumer, vos corps physiques sont mortels comme les nôtres et vos consciences qui perdures depuis l’âge de la pierre, vont se fossiliser, comme se sont fossilisé les dinosaures !
Il n’y aura personne ici-bas pour vous pleurer ou vous regretter, la vie se charge toute seule comme d’une grande de recycler ses propres déchets !
Le petit dieu Mammon qui se croyait grand, le dieu argent, a d’ores et déjà perdu la bataille !
Alléluia !
Ceci n’est pas, vendre la peau de l’ours, puisqu’il n’y aura plus rien à en tirer, après son recyclage !
Alors pourquoi Isis & Osiris ?
Parce que c’est un couple, et que dans un couple avec l’amour, où il y a autre chose que du sexe, où il y un partage des connaissances de chacun, sans contrôles de l’un sur l’autre, où il a bien évidement l’envie d’avoir une descendance pour qui soit un prolongement de l’œuvre commencée par des parents qui envisage la mort comme une renaissance et pas une fin en soi.
Parce que l’enseignement de l’un complète celui de l’autre, mais aussi parce qui les unis incitent la descendance à poursuivre à leur tour une exploration où se cache ce qui fait grandir, là où il n’y pas de tabou, pas d’interdit, pas de limite, lorsque l’on sait qui ont est, d’où on vient et surtout où l’on va !
Le continent de Mu ou des Atlantes ?
Sur ce continent une fois et demie plus grand, que l’Europe, que j’appelle ici l’Atlantide faute de mieux, mais qui est peut-être celui d’une autre civilisation ? Une civilisation bien plus en avance que la nôtre sur bien des plans, sociétal, technologique et bien plus avancé que nous sur le plan de l’esprit[1], donc de sa spiritualité, y a prospéré.
Si l’on en croit les fouilles qui ont été réalisées là où l’on peut accéder aux couches géologiques non-prisonnière des glaces et accessibles a notre technologie et à nos connaissances, on y a constaté ceci :
« Extraits du site National Géographique
L’Antarctique est sans doute l’une des terres les plus hostiles de la planète. Continent le plus froid et le plus sec de la Terre, c’est un monde d’extrêmes.
[…} Il y a des centaines de millions d’années, le continent faisait partie du supercontinent Gondwana.
[…} Les arbres fossilisés ressemblent beaucoup aux forêts pétrifiées du parc national de Yellowstone. Avant cette expédition, les scientifiques ignoraient si l’intervalle permien avait été préservé dans les roches sédimentaires de l’Antarctique. Pour les membres de l’expédition, la succession sédimentaire qu’ils ont découverte s’est produite en même temps que l’intervalle d’extinction. Cela signifie que ces nouvelles forêts fossiles auraient connu et survécu à l’épisode d’extinction, représentant trois niches écologiques distinctes vieilles de 251 millions d’années.
[…} Les plantes de l’époque permienne ne ressemblent à aucune espèce vivante connue. Patricia Ryberg, professeure de biologie à la Park University, étudie l’anatomie et la morphologie de la paléobotanique ou des plantes fossilisées et notamment un groupe de feuillage du genre Glossopteris, caractérisé par des plantes ligneuses datées d’environ 300 à 200 millions d’années. »
Vous pouvez, ou vous vous devez de lire l’annexe 4 de ce chapitre 2, si vous ne voulez pas mourir inculte !
Ce continent détaché du super continent Gondwana, c’est retrouvé, semble-t-il, brusquement et brutalement retrouvé dans cette zone glaciale de Gaïa, au point qu’on y à découvert des mammouths et des hominidés brisés et congelés instantanément, au point d’interrompre leur digestion !!!
Les travaux de recherche d’Hapgood
Après la Seconde Guerre mondiale, Hapgood enseigne l’histoire au Collège de Springfield dans le Massachusetts.
Il étudie avec ses élèves les théories sur le continent perdu Mu ainsi que sur l’Atlantide.
En 1955, Hapgood publie son premier livre, The Earth’s Shifting Crust. La préface est écrite par Albert Einstein, peu de temps avant sa mort en 1955. Dans ce livre, ainsi que dans deux autres livres, Les Cartes des anciens rois de la mer (1966) et Le Chemin du Pôle (1970), Hapgood propose la théorie que la croûte terrestre s’est déplacée de nombreuses fois au cours de l’histoire géologique en glissant sur le magma interne. Hapgood n’est pas le seul géologue à avoir fait cette hypothèse qui n’a pas reçu de confirmation et n’est plus considérée aujourd’hui.
Pour son livre intitulé Les Cartes des anciens rois de la mer, Hapgood utilise de nombreuses archives cartographiques trouvées notamment à la Bibliothèque du Congrès américain de Washington, y compris la carte de Piri Reis, dont il prétend qu’elle montre le vaste continent antarctique et la Sphère du monde du nommé Oronteus Finæus datant de 1531 (en latin ; 1549 en français). Il indique que les pôles avaient varié de 15 degrés vers 9600 av. J.-C., et qu’une partie de l’Antarctique était libre de glaces à l’époque, suggérant implicitement qu’une civilisation glaciaire pourrait avoir cartographié la côte à ce moment-là.
Les hypothèses géologiques de Hapgood ont été infirmées par les recherches géologiques et climatologiques récentes : l’analyse des carottes glaciaires montrant que l’Antarctique serait couvert de glace depuis au moins 800 000 ans. Néanmoins, certains auteurs actuels, comme Graham Hancock, évoquent toujours son travail et démontrent à quel point « l’avis conventionnel » accepté par les orthodoxes peut être dénué de bon sens logique face aux vestiges de l’histoire.
Note d-humeur de l’auteur
Les plus sceptiques des scientifiques, qui s’en sont pris à lui, l’ont fait sans véritablement avoir étudié sur le terrain les traces laissées par cette ancienne civilisation, et n’ont apporté aucune démonstration sérieusement étayée par des antithèses à la thèse présentée par Hapgood et approuvé par Albert Einstein.
Si vous lisez attentivement ce résumé des recherches d’Hapgood, elles s’appuient rigoureusement sur des cartes troublantes, comme celles décrites dans son livre « Les anciens rois de la mer » et la carte de Piri Reis évoquée dans l’annexe 3 du premier chapitre.
Par contre ils osent nous faire croire que Khéops aurait été construit sur une durée de de 20 à 40 ans, en comptant plusieurs milliers d’ouvriers selon Simon Thuault, égyptologue à l’université de Berlin. Tout cela pendant les périodes de crues du Nil, avec des outils plus que rudimentaires. Il faut oser le faire, surtout lorsqu’il s’agit de transporter sur plus de 900 km des blocs de calcaire de plusieurs tonnes, puis de les empiler avec une grande précision sur les 146,60 mètres de hauteur de la grande pyramide , à l’aide de palans, de cordes, de bœufs… et des milliers de bras nus d’humble cultivateur !
[1] L’esprit est la totalité des phénomènes et des facultés mentales : perception, affectivité, intuition, pensée, jugement, morale, etc.
Dans de nombreuses traditions religieuses, il s’agit d’un principe de la vie incorporelle de l’être humain. En philosophie, la notion d’esprit est au cœur des traditions dites spiritualistes. On oppose en ce sens corps et esprit (nommé plus volontiers conscience par la philosophie et âme par certaines religions). En psychologie contemporaine, le terme devient synonyme de l’ensemble des activités mentales humaines, conscientes et non-conscientes.
Pour la taille en trois dimensions de ces blocs gigantesques et de leur ajustement au millimètre près ils font encore plus fort en osant nous présentant les outils high tech qu’utilisaient ces habiles ouvriers dirigés par des contres maîtres munis de fouets pour les motiver, et le tout, sans aucun plan d’architecte retrouvé sur les lieux, mais pour eux cela n’est un détail !
Depuis nos meilleurs compagnons Tailleurs de Pierres qui ont construit nos plus belles cathédrales, nous n’avons toujours pas la technologie adéquate pour reconstruire à l’identique la colossale pyramide de Khéops !!!
Mais nous avons les meilleurs baratineurs de la Voie lactée !
Pendant que les plaques de la lithosphère glissaient brusquement comme un seul homme et que le continent de Mu ou des Atlantes allait être enseveli par les glaces et découvert tardivement par nos navigateurs. À l’opposé du continent antarctique, en Sibérie, des fouilles archéologiques récentes ont conduit à des découvertes stupéfiantes, qui viennent confirmer, c’est mon point de vue, l’hypothèse émise par Hapgood !
Voici un petit extrait de l’annexe 5, que je vous suggère de lire attentivement dans les annexes de ce chapitre 2, elle apporte d’autres hypothèses tout aussi convaincantes, me semble-t-il ! Non ?
« L’Énigme du mammouth gelé »
Ce dossier n’a pas pour but d’essayer de démontrer qu’une théorie est vraie ou non pas plus que d’affirmer qu’un fait non expliqué est obligatoirement un mystère. C’est avant tout une réflexion sur un thème qui fait couler beaucoup d’encre : le refroidissement de la planète ou période glaciaire.
Ce que l’on a appelé le « mystère des mammouths gelés » est intéressant du fait qu’il nous oblige à nous poser un certain nombre de questions sur les causes de ces bouleversements climatiques qui semblent cycliques.
Je vous invite donc à partager cette réflexion et éventuellement à y apporter des réponses.La théorie de la surfusion est très plausible et pourrait bien expliquer ce gel instantané qui a entraîné la mort des mammouths. »
Ce qu’il nous faut comprendre
Gaïa est un être vivant à part entière, hébergeant une multitude d’espèces vivantes de la petite à la plus grande, l’hominidé n’est pas propriétaire des terres sur lesquelles il vit, il n’en est qu’un des nombreux locataires gracieusement hébergés par elle !
Si l’on compare notre taille à celle de Gaïa, nous ne sommes pas plus gros que la cellule[1] d’un organe participant au maintien de la cohésion du contenu dans l’enveloppe humaine dans laquelle elle vit et fait ce qu’elle a à y faire, sans se demander si demain sera un autre jour !
Lorsqu’elle ne fait pas son job, elle est recyclée par l’organisme qui va la remplacer par une autre cellule, pour ne pas sacrifier l’intégrité de l’être dans lequel elle ne fait plus son travail.
Le problème des hominidés, me semble-t-il, est de se prendre pour des dieux afin d’avoir le pouvoir sur les autres hommes, et d’autres hommes, déboussolés, qui se laissent manœuvrer par ces faux dieux, qui les rabaissent au rang de sous dieu, ce que naturellement ils trouvent odieux[2] !
Les terres et les eaux de Gaïa hébergent une multitude d’êtres qui ne sont que des cellules participantes chacune à leur manière aux fonctions principales d’un des nombreux organes de Gaïa !
Lorsqu’un de ses organes est malade, l’être conscient de son état qu’est Gaïa va réparer, comme notre corps le fait, ses organes dysfonctionnels, et pour une cellule, qu’elle soit celle de notre corps ou une de son corps, cela ressemble à s’y méprendre à la fin du Monde, alors que cette fin du monde n’est qu’une phase de la guérison pour que toutes les cellules qui vont rester et celles qui vont être remplacées puissent continuer, à faire ceux pour quoi elles ont été créées !
Se prendre pour dieu n’est pas signe de folie, mais le signe d’un mal être d’une cellule qui pour une raison que seule sa raison ne peut pas comprendre à perdu le lien avec son cahier des charges !
Allo, Maman, bobo !
Les cellules malades ou déboussolées de Gaïa, sont les hominidés, qui semblent avoir complètement perdu de vue ce qu’ils sont, ce qu’ils doivent faire, et pourquoi ils doivent absolument le faire !
La petite cellule ne sait pas qu’elle est hébergée dans une plus grande et ainsi de suite !
Rassurez-vous Maman veille et nous remplacera, en temps voulu si c’est vital pour elle, par des cellules hominidés plus conscientes de leurs responsabilités !
Et quand Maman à des coliques je peux vous assurer que cela secoue sérieusement !
Ceci dit, je ne cherche pas à vous faire peur, vous n’avez pas besoin de moi pour cela, je cherche simplement à ramener vos pieds sur terre à et vous encourager à y faire ce que vous devez y faire sans contraintes, de votre plein gré, en suivant vos intuitions et sans vous poser de questions existentialistes d’un hominidé qui cherche à faire autre chose que sa part qu’il ne fait plus !
C’est donc si difficile que cela à comprendre, ma sœur, mon frère ?
« Ce que l’homme est venu apprendre sur Gaïa, c’est à devenir un Homme !
Les Matriochkas sont une des manières imagées de représenter le principe de l’intrication quantique qui régit tout le vivant de la plus grande structure[3], à la plus petite[4] !
Si tu es capable de concevoir ce principe tu sais où situer Dieu[5] !
Là encore, comprendra qui pourra ! »
[1] Qui est aussi un être organisé participant à une tâche qui est la sienne, elle !
[2] Je ne fais pas des jeux de mots pour me faire mousser, mais pour tenter de vous faire comprendre ce que chaque sonorité de chacun peuvent vous révéler si vous y êtes un tant soit peu attentif !
[3] L’univers !
[4] Le quanta !
[5] Plus haut, encore plus haut, toujours plus haut !
L’univers c’est quoi ?
La plus grosse des poupées gigognes[1], est une conscience gigantesque contenant tous les projets de l’être supérieur qu’il va mettre en œuvre, et toutes les mémoires de ses apprentissages, de ses expériences les plus abouties, mais aussi celles de ses échecs… C’est, d’ailleurs, de tous nos échecs que l’Univers apprend le plus sur lui-même. À l’inverse de nous, l’une des plus petites Matriochkas, il n’a pas d’ego, il ne se prend pas pour un « dieu » et ne connaît pas la peur, que nous connaissions bien, et qui nous empêche de croître.
L’univers contient tous les plans « du grand architecte » qui l’héberge à l’intérieur de lui et qui apprends lui aussi à mieux se connaître au travers des exploits ou des échecs, de tous les autres univers, ou royaumes qu’il contient, ce qui lui permet, sans cesse, de remettre ses ouvrages sur le métier à tisser dieu afin qu’il devienne Dieu !!!
…
Où, je cherche à t’entraîner, ma sœur, mon frère Homme ?
Souviens-toi, toi seul sais, qui tu es, d’où tu viens et où tu dois te rendre pour y faire ce que tu dois faire !
…
Quel rapport avec le continent oublié et sa civilisation dont Gaïa a remis presque tous ces compteurs à zéro ???
C’est le sujet de ce livre que je te délivre morceau par morceau, afin que tu les mettes bout à bout, pour y voir plus clair !
Rien, absolument rien dans l’univers et tous les univers imbriqués dans les plus grands n’est un obstacle à nos expansions, tout est « expérimentation » nous permettant de nous enrichir mutuellement, et par conséquent de grandir grâce à nos échecs[2]. Nos réussites, ce sont les conséquences des leçons que nous avons tirées de nos expériences inabouties !
Tout ce qui se passe aujourd’hui sur l’intégralité de notre planète et exclusivement au niveau des hominidés, ces épreuves à laquelle Gaïa nous invitent à plancher, avant une Sixième « remise à zéro partielle » de toutes nos expériences, toutes nos erreurs, tous nos échecs dont nous n’avons tirés aucune leçon.
Ceux qui arriveront à le comprendre seront ou pas… ceux qui ne disparaîtront pas de Gaïa[3] afin de transmettre les leçons qu’ils ont su tirer de leurs propres expériences, c’est pour cette raison qu’on les appelle des « Enseignants », des Rabhi, des « Prophètes » et que les plus ignorants prennent pour des dieux où les élèvent à ce rang, qui n’existe pas !
Oui, je sais tout cela, lorsque Gaïa se gratte, ou secoue ses puces, les puces n’apprécient pas du tout !
Mais avant de les secouer, Gaïa, notre Mère, tente de nous faire comprendre, que nous ne faisons pas ce que nous avons à faire.
[1] Celle dans laquelle nous commençons à comprendre qu’elle est le royaume de tous les autres royaumes, « Il y a de nombreuses demeures dans le royaume de mon Père » disait Jeshua !.
[2] L’échec est l’un de nos plus grands maîtres, répète sans cesse maître Yoda à tous ces disciples !
[3] Mais comme le disait le bon Monsieur de Lavoisier, « Rien ne se perd, rien ne se crée, tous se transforme ! » que nous confondons avec l’anéantissement !
Avant le passage du seuil suivant
Les futurs chapitres, qui sont en phase de germination, vont explorer des voies que j’ai déjà évoquées sur Facebook et sur mon blog, et que je vais approfondir.
Vous pouvez vous procurer actuellement, le contenu intégral des deux premiers chapitres, de cette exploration sur nos origines, à la fois terrestre dans nos incarnations successives, mais aussi divines, dans le sens d’immortalité de nos consciences, auxquelles nous avons tous accès, car elles sont toutes imbriquées, ou intriquées, les unes dans les autres dans tous nos hologrammes.
Ce qui fait dire à ceux qui l’ont réalisé que nos singularités ne font qu’UN avec toutes les autres !
Arrêtons de nous singulariser en nous prenant, ou en prenant certains pour nos dieux, nous ne sommes que des hommes apprenant à devenir des Hommes !
Lorsque je jugerais que mon livre pourra vous être délivré, je reviendrais vers vous, pour vous le faire savoir !
Pour l’instant, tapez dans un moteur de recherche de votre choix : Le continent oublié de Raymond MAGDELAINE[1].
En attendant, je publierais quelques extraits « signifiants » sur Facebook et sur mon blog, soyez attentif !
[1] Les deux formats (numérique, et papier) sont actuellement a prix coutants chez Amazon, et le resterons le temps nécessaire à la maturation de livre !
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Annexe 4
Cinq Nouvelles forêts fossilisées découvertes
Il y a des centaines de millions d’années, l’Antarctique était tapissé de verdure. Les scientifiques tentent désormais de comprendre quelles ont été les causes de la fin du Permien.
Perché à mi-chemin du Promontoire McIntyre, le scientifique Erik Gulbranson admire l’étendue glacée de l’Antarctique. Ici, il a trouvé un grand nombre de souches d’arbres fossilisées datant de l’âge permien (250 millions d’années).
L’Antarctique est sans doute l’une des terres les plus hostiles de la planète. Continent le plus froid et le plus sec de la Terre, c’est un monde d’extrêmes. Les puissants vents catabatiques qui déferlent du plateau polaire sur les côtes abruptes de la côte continentale peuvent provoquer des tempêtes de neige pendant des jours voire des semaines. Ce terrain infiniment aride vaut à l’Antarctique le titre de plus grand désert du monde, à juste titre.
En ce moment, l’été polaire inonde le continent de lumière 24 heures sur 24. Pendant six mois le soleil brillera avant de disparaître pendant six mois et de plonger le continent dans un hiver polaire fait d’obscurité totale. Indépendamment de la saison, les températures sont constamment au-dessous du point de congélation, ce qui rend les excursions inimaginables pour quiconque n’a pas le cœur bien accroché.
Mais il n’en a pas toujours été ainsi en Antarctique. Il y a des centaines de millions d’années, le continent faisait partie du supercontinent Gondwana. Le Gondwana est un supercontinent formé à la toute fin du Néoprotérozoïque et qui a commencé à se fracturer au Jurassique. Il était humide et jonché de plantes rustiques très résistantes.
Mais c’est alors qu’un événement d’extinction massive a frappé la Terre. Plus de 90% des espèces du monde de l’époque ont été décimées.
Ce qui a causé l’extinction Permien-Trias, ou extinction permienne, est toujours un mystère. Des indices sont connus sous la forme d’arbres fossilisés, mais la plupart des raisons de cette extinction restent encore à déterminer. Et c’est pourquoi quelques scientifiques intrépides ont mené une expédition en Antarctique cet hiver, curieux de collecter des indices sur ce qui a pu, entre autres, provoquer la fin des forêts du continent.
« Notre objectif cette année était d’étudier les écosystèmes fossiles datant de l’époque du Permien tardif », explique Erik Gulbranson, professeur à l’Université du Wisconsin-Milwaukee et l’un des trois chefs d’équipe d’une expédition conduite en Antarctique fin 2017. « Pouvoir voir et étudier ces écosystèmes fossiles est quelque chose d’inédit en Antarctique. »
L’équipe de chercheurs a découvert cinq nouvelles forêts fossilisées datant du Permien et qui auraient pu survivre à l’extinction Permien-Trias. C’est le plus grand nombre de forêts fossilisées mises au jour en une saison, et cette découverte double le nombre de forêts fossilisées connues en Antarctique.
« Ces récentes découvertes nous montrent que ces organismes réagissaient ou répondaient aux changements climatiques et environnementaux liés à ces extinctions de masse », explique Erik Gulbranson. « Avoir des traces fossiles datant de cet intervalle de temps est notre seul moyen de comprendre comment la vie sur notre planète survit ou périt à ce genre de changements brutaux. ».
Ces travaux de recherche répondent à une urgence scientifique : pour beaucoup de scientifiques, la sixième extinction massive a déjà commencé.
De nouvelles forêts
Bien qu’elle ait déjà été visitée par d’autres géologues, Collinson Ridge a produit une quantité inattendue de nouvelles découvertes, comme cette souche d’arbre fossilisé qui a été mesurée et échantillonnée par Gulbranson.
Des vents soufflant jusqu’à 48 kilomètres par heure ont freiné l’équipe pendant plusieurs jours, pendant parfois plus de douze heures consécutives. Alors qu’ils étudiaient les roches fossiles dans le premier camp, l’équipe a découvert cinq nouvelles forêts fossiles dont personne ne soupçonnait l’existence sur le continent. Ils ont trouvé quelques restes fossiles sur le second site, mais rien de comparable.
Les arbres fossilisés ressemblent beaucoup aux forêts pétrifiées du parc national de Yellowstone. Avant cette expédition, les scientifiques ignoraient si l’intervalle permien avait été préservé dans les roches sédimentaires de l’Antarctique. Pour les membres de l’expédition, la succession sédimentaire qu’ils ont découverte s’est produite en même temps que l’intervalle d’extinction. Cela signifie que ces nouvelles forêts fossiles auraient connu et survécu à l’épisode d’extinction, représentant trois niches écologiques distinctes vieilles de 251 millions d’années.
Ce lien entre les plantes et les écosystèmes au cours de l’épisode d’extinction n’avait jamais été constaté jusqu’à présent. La vie microbienne ancienne a peut-être joué un rôle important dans la résistance au phénomène d’extinction massive.
Des plantes permiennes pétrifiées
Les plantes de l’époque permienne ne ressemblent à aucune espèce vivante connue. Patricia Ryberg, professeure de biologie à la Park University, étudie l’anatomie et la morphologie de la paléobotanique ou des plantes fossilisées et notamment un groupe de feuillage du genre Glossopteris, caractérisé par des plantes ligneuses datées d’environ 300 à 200 millions d’années. Les archives fossiles nous apprennent que les plantes Glossopteris ont souvent des feuilles trouvées dans des tapis épais, ce qui pousse les scientifiques à penser qu’ils étaient caducs.
« Ces plantes sont si étranges », ajoute Brian Atkinson, doctorant à l’Université du Kansas. « Il y a de nombreuses morphologies différentes, que vous ne constatez pas dans les plantes modernes. Plus nous en apprenons sur ces plantes, plus elles nous paraissent étranges »
En étudiant ces changements passés, les scientifiques espèrent avoir une meilleure vision de notre avenir. Pour les écologistes, il y a urgence : d’ici 300 ans, 75 % de toutes les espèces de mammifères auront disparu de la planète. En 2060, certains disent que 30 % de toutes les espèces auront déjà disparu. Alors que d’autres phénomènes d’extinction ont été provoqués par des causes naturelles, celui dans lequel nous nous trouvons est probablement dû à la destruction de l’habitat, aux changements climatiques et à la pollution, créés ou aggravés par l’activité humaine, entre autres facteurs.
L’extinction Permien-Trias pourrait nous en apprendre davantage sur la manière dont les espèces réagissent – et parfois s’adaptent – à ces épisodes d’extinction. Tant que le mystère autour de cet épisode d’extinction massive ne sera pas résolu, des scientifiques curieux continueront de mener des expéditions au bout du monde pour interroger le passé de notre planète.
Note de l’auteur
Visitez le site National Géographique en suivant ce lien : https://www.nationalgeographic.fr
Annexe 5
Énigme du mammouth gelé
Ce dossier n’a pas pour but d’essayer de démontrer qu’une théorie est vraie ou non pas plus que d’affirmer qu’un fait non expliqué est obligatoirement un mystère.
C’est avant tout une réflexion sur un thème qui fait couler beaucoup d’encre : le refroidissement de la planète ou période glaciaire.
Ce que l’on a appelé le « mystère des mammouths gelés » est intéressant du fait qu’il nous oblige à nous poser un certain nombre de questions sur les causes de ces bouleversements climatiques qui semblent cycliques.
Je vous invite donc à partager cette réflexion et éventuellement à y apporter des réponses.
La théorie de la surfusion est très plausible et pourrait bien expliquer ce gel instantané qui a entraîné la mort des mammouths.
Je me suis surtout intéressée à la dernière période glaciaire. Dans les nombreux ouvrages de référence que j’ai lus, je me suis rendu compte que finalement nous n’avons que des estimations concernant la fin de la dernière période glaciaire.
Si on s’en réfère à la faune de cette période, notamment le mammouth, on sait que l’homme l’a côtoyé. Les peintures rupestres et les abris en os de mammouths sont là pour le prouver. Cependant, ces peintures et vestiges ne nous donnent pas le moyen de déterminer la fin de l’époque glaciaire en terme chronologique.
Officiellement, on nous dit qu’il y a environ 15 000 ans, la température générale du globe commença à s’élever.
La fonte des glaces provoqua l’extension des océans.
Il y a environ 11 000 ans, le climat se refroidit brutalement. Cette période appelée Dryas III ou dernier stade tardiglaciaire dura environ 500 ans.
Cet épisode glaciaire s’acheva presque aussi abruptement qu’il avait commencé, il y a environ 10 000 ans.
Sa fin marque la limite entre le Pléistocène et l’Holocène.
Pourquoi tous ces bouleversements climatiques
Les oscillations climatiques ont été nombreuses depuis que la Terre est née. Glaciations et stades interglaciaires se sont succédé.
Apparemment, la raison de cette alternance cyclique reste confuse. J’ai trouvé plusieurs explications, dont une qui semble faire l’unanimité ou du moins qui est officiellement reconnue :
Citation issue de Berceaux de l’humanité aux Éditions Larousse. Ouvrage conçu avec l’aide de MM. Yves Coppens et Pascal Picq. P 82.
« Les glaciations, plus ou moins longues, font partie de l’histoire de notre planète. L’ère de glaciation la plus récente, le Pléistocène, commença il y a environ 2,5 millions d’années. Cette ère connut une série de fluctuations froides, glaciales, _ les glaciations _ interrompues par des périodes de réchauffement appelées interglaciaires.
La fréquence et le rythme de ces importants refroidissements seraient dus à trois cycles d’exposition terrestre au rayonnement solaire, déterminés par les changements d’inclinaison du globe et les oscillations de son orbite autour du soleil. »
Comme on peut le constater, cette théorie est énoncée au conditionnel et reste donc une hypothèse.
On peut d’autant plus s’interroger que certains scientifiques ont fait remarquer que pour que de telles masses de glaces se forment à la surface du globe, il a fallu une augmentation considérable des précipitations. Cela implique donc une augmentation de vapeur d’eau dans l’atmosphère.
On peut donc en déduire qu’il a fallu également une évaporation accrue à la surface des océans. Pour qu’une telle évaporation se produise, il faut une augmentation de la chaleur.
Plusieurs scientifiques ont calculé que, pour former une nappe de glace aussi vaste que celle de l’époque glaciaire, la surface des océans a dû s’évaporer jusqu’à une assez grande profondeur.
Cette évaporation des océans, suivie d’un rapide processus de congélation, aurait produit l’époque glaciaire.
Ces dernières hypothèses ne sont pas officielles, mais de simples remarques qui ne manquent pas de bon sens.
La question est : quels phénomènes auraient pu provoquer cette évaporation et la congélation qui la suivit immédiatement ?
Le Mammouth gelé
Le grand public connaît bien les mammouths grâce aux nombreux corps découverts en Sibérie. Un point a retenu mon attention dans toutes ces découvertes.
Le Magazine Dossier pour la science a consacré un numéro spécial aux mammouths ‘La vie au temps des mammouths’ (Dossier N° 43 avril/juin 2004).
On peut y lire :
« En 1804, un mammouth, complètement dégagé, vient s’échouer sur la berge près de l’embouchure de la Lena. Quand le botaniste M.Adams arrive sur les lieux, l’animal a déjà été très mutilé par les bêtes sauvages et les Yakoutes qui en ont dépecé les chairs pour nourrir leurs chiens. »
Un autre témoignage confirme cette parfaite conservation de la viande. D.F Hertz écrit en 1926 : « La chair paraît aussi fraîche que du bœuf bien congelé ».
De nombreuses autres découvertes ont été effectuées depuis. Des dizaines de mammouths ont été retrouvés avec les parties molles parfaitement conservées.
Si actuellement la Sibérie est l’une des régions les plus froides du globe, cela n’a pas toujours été le cas. Le climat semble avoir changé radicalement à la fin de la dernière période glaciaire.
Pourtant, on sait que le climat a dû être tempéré grâce aux fossiles de plantes et d’animaux comme la hyène des cavernes, très proche de la hyène tachetée actuelle, ou le lion des cavernes qui ont côtoyé les mammouths.
Le climat était donc beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui.
Le lion et la hyène tachetée vivent aujourd’hui en Afrique subsaharienne. Le lion des cavernes avait un territoire qui s’étendait de l’Europe à la Sibérie et en Amérique du Nord. Ce lion était jusqu’à 10% plus gros que le lion actuel. La hyène des cavernes habitait en Europe, en Sibérie et en Chine méridionale.
Les théories officielles sur les périodes glaciaires nous expliquent que les processus géologiques sont d’une extrême lenteur.
Ces théories sont d’ailleurs confortées par la théorie de l’évolution de Darwin. On peut dire que d’une manière générale, la communauté scientifique n’est pas une adepte du catastrophisme subite.
Pourtant, ces mammouths gelés me semblent poser un problème.
En me documentant, j’ai appris que :
‘La putréfaction est la conséquence de la pullulation des bactéries et des champignons au niveau du cadavre. Elle est plus rapide au niveau du tube digestif et surtout le cæcum.
La vitesse de l’autolyse et de la putréfaction varie selon :
- La température ambiante : la température élevée contribue à accélérer l’autolyse et de la putréfaction
- L’humidité : un milieu humide favorise la décomposition du cadavre
Le cadavre humain constitue, comme tout autre type de cadavre, une source alimentaire pour une multitude d’insectes et d’animaux aquatiques et terrestres dits nécrophages.’
Ces indications sont issues d’un cours en médecine légale.
Donc, un corps se décompose rapidement, plus ou moins vite selon la température. Cependant, quelques heures après la mort suffisent pour que le processus de décomposition commence.
Les organes internes tels que l’estomac sont particulièrement vulnérables à cette décomposition.
Pourtant, on a retrouvé dans l’estomac de nombreux mammouths de l’herbe et des feuilles non digérées.
Les organes internes étaient très bien conservés. Ces animaux ne sont pas morts de faim de toute évidence. Par contre, la mort est intervenue avant même qu’ils aient le temps de digérer leur dernier repas.
Si les mammouths n’avaient pas été gelés aussitôt après leur mort, la putréfaction les aurait décomposés.
De plus, il est tout de même étrange qu’aucune trace de blessures faites post-mortem par d’autres animaux n’ait été relevée.
Mâchoire de mammouth. Moins haute que celle des éléphants actuels, elle était en outre rattachée au crâne par des muscles verticaux. Ces caractéristiques la rendaient plus puissante,
Cuvier écrit à ce propos :
« C’est donc le même instant qui a fait périr tous les animaux, et qui a rendu glacials les pays qu’ils habitaient. Cet évènement a été subit, instantané, sans aucune gradation ».
Cette théorie déjà avancée par J.A Deluc (1727-1817) dans Lettres physiques et morales sur l’histoire de la Terre, et reprise par Cuvier au 20e siècle n’a pas convaincu la communauté scientifique.
Pourtant, ces mammouths semblent avoir été littéralement pétrifiés par le froid alors qu’ils étaient tranquillement en train de manger. Des brindilles ont même été retrouvées entre leurs dents.
Ces animaux étaient pourtant bien adaptés au froid. Il a fallu que la température baisse d’une manière incroyable et instantanée pour qu’ils meurent en quelques minutes et que leurs corps soient automatiquement congelés.
Le schéma traditionnel d’un changement climatique graduel ne paraît pas du tout correspondre.
Je reste donc dans l’expectative sur le phénomène qui a pu créer une telle catastrophe. Et je ne peux m’empêcher de me demander si ce phénomène pourrait se reproduire.
Peut-être que parmi vous, certains pourront apporter des réponses à ces questions.
Théorie de la surfusion (envoyée par Manny le 13.07.2007)
Dans son roman Kaputt (1943), l’écrivain italien Curzio Malaparte relate l’anecdote suivante, présumément survenue en 1942 lors du siège de Leningrad : le troisième jour un énorme incendie se déclara dans la forêt de Raikkola. Hommes, chevaux et arbres emprisonnés dans le cercle de feu criaient d’une manière affreuse. (…) Fous de terreur, les chevaux de l’artillerie soviétique – il y en avait près de mille – se lancèrent dans la fournaise et échappèrent aux flammes et aux mitrailleuses. Beaucoup périrent dans les flammes, mais la plupart parvinrent à atteindre la rive du lac et se jetèrent dans l’eau. (…)
Le vent du Nord survint pendant la nuit (…) Le froid devint terrible. Soudainement, avec la sonorité particulière du verre se brisant, l’eau gela (…)
Le jour suivant, lorsque les premières patrouilles, les cheveux roussis, atteignirent la rive, un spectacle horrible et surprenant se présenta à eux. Le lac ressemblait à une vaste surface de marbre blanc sur laquelle auraient été déposées les têtes de centaines de chevaux. (Curzio Malaparte, Kaputt)
L’astrophysicien et vulgarisateur Hubert Reeves reprend ce récit et le tient pour véridique dans son livre L’Heure de s’enivrer (1986).
Il émet l’hypothèse que le gel quasi instantané de l’eau du lac était causé par un changement de phase rapide dû à l’état présumé de surfusion de l’eau au moment de l’incident.
V.Battaglia (02.2005) M.à.J 07.2007
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Raymond MAGDELAINE