Réaction plutôt « agacée » de l’appropriation, qui se dessine de plus en plus nettement, d’un événement dramatique pour satisfaire un égo surdimensionné ou pour se fondre dans l’anonymat rassurant d’une masse informe appelée l’humanité !
Je ne dis pas que c’est mal ou bien de le faire, je dis seulement que c’est maladroit et que cela favorise les manipulations de personnes ou de groupes mal intentionnés !
J’ai été Charlie et je me suis trompé ! j’aurai dû être « indigné », je me suis laissé entrainer par une émotion collective dont, certains, ont utilisés ce slogan pour y mettre des idées détestables !
Je ne suis pas Charlie, dans le sens ou le blasphème, la caricature à outrance, qui ne fait rire que certains, s’est avérée être une arme redoutable, à l’apparence inoffensive, qui a offensé, blessé cruellement dans leur croyance ceux qui sont sincères !
Je ne suis pas non plus Paris ni la France, je suis français et jecompatis aux souffrances des victimes entre la vie et la mort, je compatis à la douleur de ceux qui ont perdu des parents des proches des amis, je prie pour ceux qui ont été arrachés si cruellement au nom d’un dieu qui est grand, certes, mais qui ne grandit pas ceux qui l’utilise.
Ces gestes sont odieux, abominables, inhumains, exécrables, les mots sont tellement faibles, pour exprimer mon indignation, ma souffrance par compassion envers celles et ceux qui ont été directement ou indirectement concernés par ces actes de guerre !
Je n’ai pas de leçon à donner à ceux qui utilisent leur dieu sans discernement, car je me rappelle que mon dieu a été utilisé dans des circonstances comparables à celles-ci pour exterminer les protestants lors l’innommable nuit de la Saint-Barthélemy, ou pour éradiquer les Cathares, tous deux issus de ce même dieu, et d’autres fatwas du même acabit !
Je suis terrien et toi mon frère ?
Je suis citoyen de la terre, je ne suis pas le propriétaire de ses ressources, je ne suis pas le Maître tout puissant adoubé par un dieu pour gouverner les êtres qui la peuple.
Je suis frère des hommes et des femmes qui peuplent la Terre.
Je ne suis pas propriétaire d’un dieu ni d’un territoire où j’habite et où cohabitent depuis la nuit des temps de l’humanité une multitude d’hominidés, d’animaux, de plantes… obligés par les circonstances climatiques de se déplacer pour assurer la survie de leur espèce !
Je suis indigné qu’à l’époque où nous vivons, que l’homme se comporte comme un irresponsable, les animaux dits sauvages, ceux que nous avons affublés du qualificatif de nuisibles ne se sont JAMAIS, comportés comme se comportent certains pseudo humains.
Je suis responsable, de mes écrits, de mes dessins, de mes paroles, de mes actes, de mes pensées…
Je ne récolte que ce que je sème !
Je ne m’en prends qu’à moi-même lorsque ma récolte ne correspond pas à mes attentes !
Les gouvernements français ont décidé, sans aucune consultation du peuple, pourtant souverain, de s’engager dans des guerres « illégales » (par référence à l’ONU), ne nous étonnons donc pas de récolter la guerre !
Dirigeons notre indignation plutôt vers les cibles responsables de ses conséquences, qui sont à l’origine de la tuerie aveugle qui elle aussi ne s’en prend pas aux racines, mais à d’innocentes victimes !
Autre synchronicité ! Cliquez sur l’image.
Je continue de prier, car le nombre de victimes croît chaque un jour, certains sont encore entre la vie et la mort, certains vont passer de l’autre coté, leurs parents, leurs amis souffrent, le peuple de la terre est compatissant à cette souffrance et manifeste sa solidarité, de manière sincère !
Le citoyen du monde que je suis les en remercie du plus profond du cœur, en leur demandant de se recentre sur l’essentiel, la compassion, l’AMOUR, et d’assumer notre responsabilité !
Nous sommes ce que nous pensons, disons et faisons !
Personne ne nous oblige à faire ce que nous n’avons pas envie de faire !
Soyons enfin conscients que nous devons TOUS prendre en main notre destinée, qui deviendra par conséquence celle de l’humanité !
Il faut à certaines âmes trois jours, pour leur permettre d’entrer dans la lumière, car elle n’y entre pas toutes du premier coup !
Trois jours où nous devons prier pour les y aider, les inciter à quitter l’ici-bas, trois jour pour aider les êtres de lumière, les anges, les défunts… venus à leur rencontre !
Trois jours essentiels pour libérer l’âme de ses émotions, de ses culpabilités… trois jours pour voir tous ceux qu’elles aiment, pour leur pardonner ou se faire pardonner, pour tenter de régler les affaires en cours… trois jours où l’âme, arrachée à la vie, va devoir se préparer à son entrée dans la lumière, ou à réintégrer son corps !
Elles n’y entreront pas toutes,
si nous ne les y aidons pas !
Comment faire Raymond pour les y aider, je n’ai pas envie quelles errent indéfiniment dans un no man land de souffrances, de désespoir ?
Prier c’est ce que nous devons faire, si nous voulons sincèrement les aider, prier !
Tu sais bien Raymond que je ne sais pas prier, je ne connais aucune prière, je ne trouverais pas les mots… aide-moi !
Les mots sont inutiles, ils ne sont pas assez forts, utilise le « silence » de ton cœur qui est beaucoup plus puissant !
N’oublie jamais que nous sommes issues du règne animal, que le règne animal communique sans mot, il utilise la télépathie, les images qui se forment dans sa « conscience » d’animal !
Elle prie avec son « cœur » , car elle en connaît la puissance !
Fais comme l’animal, projette vers ceux que tu veux aider tes images d’amour, de compassion, de tendresse, offre-leur tes émotions d’amour, d’affection… offre-leur ton cœur… c’est ce dont ils ont le plus besoin !
Tu n’es pas seul dans ta prière silencieuse, d’autres prient, ailleurs, et comme nous ne faisons qu’un, les prières s’associent fusionnent pour former un égrégore(1) puissant.
Depuis la lumière, leurs parents, leurs amis, les anges, les êtres de lumière font la même chose que ceux qui prient ici-bas, ils prient eux aussi en silence, ils utilisent une faculté que nous avons oubliée, la télépathie, ils prient sans mots !
En priant de cette manière, en la manifestant, en l’encourageant, nous aidons aussi ceux qui sont restés ici-bas et qui les pleurent.
Ceux qui en ont le plus besoin, ce n’est pas la France ou Paris ou Untel à la tête d’un truc de pouvoir hypocrite, mais ceux qui sont dans la peine, les victimes et leurs proches, c’est vers eux que doit se former ce puissant égrégore, c’est eux qui en ont le plus besoin !
De partout dans le monde, et je les en remercie au passage, des cercles virtuels ou réels, de prière se forment, ces trois jours, sont réservés à cet usage, aider les âmes incarnées qui souffrent, et les âmes désincarnées qui errent désespérément ne trouvant pas le chemin de la lumière !
Tout le reste, je suis désolé de vous le dire aussi crument, n’est que paroles, promesses ou mensonges (c’est kif-kif), tours de passe-passe… qui ne servent que des intérêts particuliers, surtout en cette période d’élection et de COP21 qui s’approchent à grands pas !
Recentrons-nous sur ce que j’estime être le plus fondamental de la nature humaine, la compassion envers autrui, compassion qui est la manifestation de l’amour vrai, sincère, sans condition, l’AMOUR INCONDITIONNEL, l’AMOUR DIVIN !
Prions, ensemble, pour aider leurs âmes à quitter leurs corps, en les aidants, comme nous sommes tous interconnectés, nous aidons aussi ceux qui les pleurent, et si tu as envie de pleurer toi aussi, et bien pleure, pleurer est une autre forme de la prière !
DIEU ET LA PRIÈRE SONT UNIVERSELS, SANS TABOU NI BARRIÈRE D’AUCUNE SORTE !
(1) Un égrégore est, dans l’ésotérisme(2), un concept désignant un esprit de groupe, une entité psychique autonome ou une force produite et influencée par les désirs et émotions de plusieurs individus unis dans un but commun. Cette force vivante fonctionnerait alors comme une entité autonome.
(2) L’ésotérisme (du grec ancien esôteros, « intérieur ») est l’ensemble des enseignements secrets réservés à des initiés.
C’est un obstacle majeur à notre transformation et comme nous sommes tous inter relié les uns aux autres, c’est un obstacle pour la transformation de l’humanité, et comme l’humanité est une avec la planète et tout ce qui y vit c’est un obstacle pour sa transformation !
La peur abaisse de manière considérable notre niveau vibratoire, nous ramenant sans cesse aux balbutiements de l’humanité, nous éloignant de notre évolution et nous rapprochant d’une conscience animale basée exclusivement sur les instincts de conservation de l’espèce.
La peur de l’animal le protège de ses prédateurs, la peur de l’homme ne le protège pas de son unique prédateur, « lui-même », au contraire la peur nous rend encore plus vulnérables des autres !
Aujourd’hui, demain et les autres jours des semaines qui vont suivre, la peur va nous être insufflée, insidieusement, par ceux qui ont tout à y gagner, par nos prédateurs, ceux qui en vivent et qui ont intérêt à l’entretenir !
Le journal sud-ouest de ce matin titrait : « revivez le fil des évènements ! » plus de 120 morts écrit-il un peu plus loin dans un autre de ses titres, il voudrait nous faire « revivre » cet événement, comme si l’annonce n’était pas suffisante pour « faire vendre » sa feuille de chou et il va continuer à se complaire dans le morbide, pour être bien sûr que nôtre trouillomètre soit voisin du zéro absolu et nous ramène ou nous maintienne au stade de l’animal !
La peur provoque la colère, la colère engendre la haine, qui appelle à la vengeance, la vengeance reproduit la peur et le cycle infernal s’auto alimente, à l’infini…
C’est un cercle vicieux dans lequel l’humanité se complaît depuis la nuit des temps sans se rendre compte qu’elle ne résout pas ses problèmes, bien au contraire… et pourtant elle se prétend « évoluée ».
Ne pas tirer les leçons de nos peurs, c’est régresser, et dans la nature quand une espèce n’évolue plus ou régresse elle est vouée à la disparition, c’est peut-être ce qui nous attend dans cette sixième phase d’extinction des espèces (lire ou relire la Chronique !)
L’évolution ce n’est pas se complaire dans la peur, la peur c’est la stagnation, la régression !
L’évolution c’est oser affronter ses peurs pour les transformer en simple avertissement, nous indiquant que devons encore modifier nos comportements grégaires, afin de pouvoir prétendre mériter un jour le qualificatif « d’humain », dans le sens de : « Bienveillant ou compatissant aux malheurs d’autrui ».
La transformation est notre seule issue, notre unique voie !
Informe-toi, mais ne te complais pas dans tes peurs, transforme-les en ce que tu veux, mais transforme-toi, ou prie pour le salut de ton âme, même si tu ne crois pas en avoir une, SURTOUT SI TU NE CROIS PAS EN AVOIR UNE !
Il n’y a pas de mots ce matin pour exprimer l’horreur d’attentats sans nom, sans âme, sans dieu, même s’il est invoqué par les auteurs !
Ce sont des actes qui vont à l’encontre du principe même de la vie, à l’encontre des principes mêmes d’une religion, quelle qu’elle soit !
Prions pour tous ceux qui ont rendu leur âme à Dieu,
Prions pour leurs proches, pour leurs amis !
Je prie pour alléger tes souffrances tes douleurs !
IIl est plus que temps pour l’humanité de se rendre compte que la violence, les actes désespérés, les guerres… ne sont pas une solution, n’ont jamais été une solution, ne sont pas un moyen de pression !
Le « Grand Dieu » invoqué ici, ne nous a pas doté d’une kalachnikov ou d’un crayon satirique, pour « blesser » l’autre, il nous a doté de la parole, utilisons là pour exprimer nos désaccords, soyons responsable de nos actes, de nos écrits, de nos dessins satiriques… soyons digne de l’humanité qui sommeille encore trop en nous, n’en soyons pas indigne, respectons-nous, respectons l’autre !
Prions pour que toutes ses âmes arrachées à leur incarnation puissent entrer dans la Lumière, celle de la vie éternelle, celle d’un « Dieu d’amour » !
Une particule, n’importe laquelle, appartenant à une forme, est dotée d’une charge (positive, négative ou neutre) elle est en mouvement constant, en rotation dans un sens ou dans l’autre (son spin) elle est précédée par une onde informationnelle (son psy) qui lui permet de se situer et de communiquer avec son environnement !
Rien que cela est du domaine de l’extraordinaire, non ?
C’est fini Raymond ?
Non, tu le sais bien si tu as lu attentivement la chronique « Le lien » rassemblée dans une forme (la rencontre) elles sont dotées de liens multiples et très entrelacés (intriqués) qui leur permet d’interagir ou d’inter réagir en fonction du contexte, de l’information du milieu où elles se sont rassemblées !
Waouh ! C’est tout Raymond ?
Non, en théorie quantique des « cordes(1) », la caractéristique essentielle d’une particule d’être à la fois « particule et onde » les dote d’une autre caractéristique qui est leur « niveau vibratoire », une particule isolée vibre à une fréquence qui lui est propre !
Oui, et après en s’en moque un peu, non ?
Non, pas du tout, car associées avec d’autres particules l’union, la symbiose de leurs vibrations est à l’origine de la forme élémentaire qu’elles vont ainsi créer, formes rudimentaires au début, mais qui en s’associant à leur tour vont former des formes de plus en plus complexes, de plus en plus sophistiquées, pour arriver au terme de la toute dernière forme qu’est l’Homme !
Ce n’est pas extraordinaire cela ?
Bof ! Est-ce vrai tout ce que tu nous racontes Raymond ?
Je ne te raconte rien, je te rapporte les découvertes scientifiques les plus récentes, tu saisis la nuance « Thomas » ?
Mais en plus ce n’est pas tout, je vais essayer d’épater le Thomas que tu es !
Oui, je sais ce sera difficile, mais plus rien ne me fait peur !
Un Mathématicien quantique, Peter Higgs avec deux autres de ses collègues, émet l’hypothèse, de l’existence d’une particule à l’origine de la masse, cette particule, au stade actuel de formation de l’univers, n’existe plus, elle a disparu corps et âme, du moins en apparence !
En apparence seulement, car des physiciens quantiques, du CERN, immense laboratoire, rassemblant des physiciens et mathématiciens du monde entier, vont ressusciter cette particule « divine » ou « particule de Dieu » c’est le surnom que certains, encore en capacité de s’émerveiller, lui ont donné !
La particule » Divine «
Ressusciter ! Tu n’exagères pas un brin Raymond ! N’es-tu pas en train de fumer la moquette ?
Je n’ai pas de moquette et ne suis pas encore gâteux, quoique tu puisses en penser !
Le 4 juillet 2012, un coup de tonnerre retentissant, ébranle tous les scientifiques et tous les non scientifiques de la planète, le boson de Higgs, à surgit de nulle part, pour y retourner instantanément !
La nouvelle se répand comme une trainée de poudre tout autour de la planète !
De nulle part surgit un aigle noir, chantait Barbara, ici c’est une particule « en sommeil » que les scientifiques ont extraite du vide apparent, le temps, ridiculement court, de cette fabuleuse expérience ! Étonnant non ?
Non, tu ne trouves pas !
Tu vois « Thomas » ton problème ici-bas c’est ton manque de foi !
Ma foi, c’est ton droit le plus strict !
C’est tout de même pour les scientifiques, une découverte majeure, qui remet en question certaines de leurs hypothèses et ouvre de nouvelles interrogations !
Une porte sur l’ailleurs s’est ouverte, cet ailleurs que l’on croyait vide et qui en fait est plein, mais de choses invisibles et ce n’est pas parce le Thomas que tu es ne les voit pas qu’elles n’existent pas !
Et tout cela nous mène où Raymond ?
Tout simplement au fait scientifiquement prouvé, à ce jour et jusqu’à preuve du contraire, que nous sommes TOUS intiment, inextricablement intriqué !
Oui, et alors ?
Et bien tout ce que tu fais, tout ce que tu dis, à une conséquence sur toi, bien sûr, mais aussi sur tous les autres !
D’où cette expression, tirée des conclusions des découvertes récentes des scientifiques « Le battement des ailes du papillon en un endroit peut déclencher un ouragan en un autre endroit de la planète ! »
D’où cette autre expression, tirée d’un vieux livre, que tu trouves enfantin, ou ridicule, j’évoque la « Bible », « Tout ce que tu fais au plus petit d’entre nous, c’est à moi que tu le fais ! » et par conséquent c’est à toi que tu le fais, car tu es, que tu le veuille ou pas, issu de ce principe évoqué dans cette chronique du jour et que j’appelle le principe divin, car il n’y a pas d’autres mots à ma disposition, pour exprimer le merveilleux de tout ce que je viens de te décrire !
Crois-moi ou ne me crois pas, cela ne changera pas la donne, le divin, n’a que faire de nos croyances, il nous insuffle son souffle qui est celui de la croissance !
Ne crois pas ! Si c’est ton choix, mais croîs, c’est vital, sinon meurs, car celui qui ne croît pas, au mieux il végète en transportant sa croix… au pire il meurt !
N’est pas peur ton âme est immortelle !
Ce vide qui nous entoure et qui n’est pas vide, n’est-il pas le royaume ou la demeure des âmes hors du corps ?
…
Tais-toi Thomas, continue à porter ta croix, tu me fatigues !
(1) La théorie des cordes est un domaine actif de recherche traitant de l’une des questions de la physique théorique : fournir une description de la gravité quantique, c’est-à-dire l’unification de la mécanique quantique et de la théorie de la relativité générale. La principale particularité de la théorie des cordes est que son ambition ne s’arrête pas à cette réconciliation, mais qu’elle prétend réussir à unifier les quatre interactions élémentaires connues, on parle de théorie du tout.
Non pas sur le « zizi», tu en sais déjà trop, mais sur l’étonnante capacité de la « conscience » d’une particule élémentaire !
Hier j’évoquais le lien entre deux particules faisant partie intégrante de toutes les formes de la matière, et Dieu seul sait qu’elles sont nombreuses !
Si deux particules appartenant à un corps physique sont reliées entre elles par un lien invisible, imagine le nombre de ces liens qui unissent toutes les particules qui leur permettent de communiquer entre elles. Cela doit ressembler à une inextricable toile d’araignée, que les scientifiques nomment « intrication ».
Aujourd’hui je vais évoquer une autre caractéristique liée aux particules, tout aussi intrigante, celle de modifier leur comportement lorsqu’elles sont observées !
C’est aussi une expérience maintes et maintes fois expérimentée en laboratoire et qui immanquablement produit toujours le même résultat, je parle de « l’expérience des doubles fentes de Young ! »
Pour en savoir plus, regarde cette vidéo réalisée à l’attention des non scientifiques !
L’objectif de l’expérience est de savoir si une particule microscopique constituant la matière agit comme une onde ou comme le ferait une bille. Je vais résumer brièvement l’expérience.
Lorsqu’on observe un objet macroscopique (1) comme une bille ou un berlon, que tu as sûrement utilisé étant enfant, projetée sur une surface capable d’enregistrer la trace laissée au travers de deux fentes permettant le passage des billes, on constate une forme caractérisant les particules macroscopiques.
La même expérience au niveau macroscopique, mais avec de l’eau à la place des billes donne invariablement la forme caractéristique de toutes les formes d’ondes.
C’est au « niveau microscopique » que les scientifiques eurent la surprise de leur vie, cette « microscopique particule » qu’ils comparaient tous à une bille ou un projectile de matière macroscopique se comportait de manière étrange, lors des expériences !
Sans observateur, la caractéristique de toutes les particules testées reproduisait invariablement une forme d’onde ! Laissant déjà à ce stade de l’expérience, tous les scientifiques très dubitatifs !
Avec un système d’observation, rajouté dans l’expérience, leur surprise, fut encore plus grande, lorsqu’invariablement ils obtenaient pour toutes les particules, la caractéristique des particules macroscopiques !!!
Leur conclusion unanime de nos jours, est qu’une particule, qui se sait observée, se comporte, comme l’observateur pense qu’elle devrait se comporter !
En plus d’avoir la possibilité d’être positive ou négative (d’avoir une charge), d’avoir une rotation dans un sens ou dans l’autre (un spin), ils leur ont ajouté la dernière fonction issue des expériences des fentes de Yong, qu’ils nomment (psy (2)) pour psychique !!!
Les particules au niveau atomique et subatomique auraient toutes une forme de pensée, rudimentaire certes, mais pensée intuitive tout de même !
Elles pensent donc elles sont ?
TOUT, ABSOLUMENT TOUT, dans l’univers, est constitué de ses mêmes particules, TOUT, ABSOLUMENT TOUT est connecté à TOUT, avec cette fonction « psy » !
L’association « mûrement réfléchie » de toutes ces particules élémentaires, pour réaliser une forme particulière, devrait nous faire réfléchir sérieusement sur le plan « divin » à l’origine de TOUT ce qui existe et que nous pouvons OBSERVER !
Si une de ces microscopiques particules est capable de modifier son comportement lorsqu’elle se sent observée pour qu’il corresponde à la « croyance » de l’observateur, imagine la puissance surmultipliée par toutes les particules constituants ta forme, lorsque « tu crois » en quelque chose !
Tu es ce que tu crois être, ne t’en prends qu’a toi-même, si ta vie ne correspond pas à ce que tu désires être, change tes croyances, change tes modes de pensées, pour t’offrir la chance d’infléchir ta vie vers ce que tu espères !
Ce principe divin (je n’ai plus peur du mot) est offert à chacun de nous par « Dieu » (je viens de te dire que je n’ai plus peur du mot), croire en LUI (le principe divin), c’est croire en TOI, car tu es issu de ce principe divin !
J’aime ce schéma qui représente le principe scientifique (unanimement nommé « modèle standard») de l’expansion de l’univers, et qui laisse ouverte cette question fondamentale, qui est-il, celui qui insuffle ce principe commun à TOUT, TOUT, ABSOLUMENT TOUT !
Who is THAT guy ?!?!
TOUT, TOUT, JE VOUS AI TOUT DIT !
À vous de l’utiliser à bon escient !
(1) Qu’il est possible de voir, d’observer à l’œil nu ! (2) Un particule est toujours accompagnée d’une onde nommée psy, chargée de la renseigner sur son environnement énergétique, donc informationnel. En savoir plus ?
Je suis, tu es, nous sommes TOUS, constitués des mêmes particules de matières, et ceci est vrai que nous appartenions au règne, minéral, végétal, animal ou au nôtre !
Tout dans l’univers et ce qu’il contient est intimement lié, intiment « intriqué », disent nos plus grands savants, et les plus hardis vont jusqu’à évoquer l’UNITÉ !
Une expérience qui a été maintes et maintes fois réalisée par eux, car elle est intrigante et continue à les intriguer, a reproduit, toutes les fois, le même résultat dans tous les laboratoires de la planète !
Elle consiste, succinctement, à collisionner (rencontrer) deux particules, deux photons, qui sont les particules constituantes de la lumière, pour qu’elles prennent instantanément le même état.
Grand collisionneur de Hadrons à Genève
Un lien invisible s’est instantanément créé entre elles, qui fait que lorsqu’on change l’état de l’une l’autre prend le même état. La particule n’est pas douée de fonctions très sophistiquées, elle ne peut qu’être de charge négative ou positive, ou effectuer une rotation dans un sens ou dans l’autre, son « spin ».
Elles viennent donc de se rencontrer (de se collisionner), sans qu’on leur demande leur avis, et instantanément elles prennent la même charge, pour vérifier cette faculté les deux photons utilisés sont bien entendu au départ de charge opposée !
Les scientifiques se sont amusés ensuite à faire tourner l’une d’entre elles dans un sens pour constater que l’autre tournait bien de manière instantanée dans le même sens.
Ils ont continué l’expérience en les éloignant l’une de l’autre, à des distances de plus en plus grandes, l’une pouvant être observée par un laboratoire situé d’un côté de la planète et l’autre labo à son opposé sur la planète ! Ils les ont même éloignées dans l’espace, l’une pouvant être sur terre (dans un labo) et l’autre observée dans la station spatiale internationale (l’ISS) depuis l’espace, dans le sois disant vide interstellaire !
Quel que soit le lieu, l’action sur l’une produit instantanément la même action sur l’autre, ce qui leur a posé un nouveau questionnement, car dans ce cas la vitesse de réaction dépasse « le mur » sois disant infranchissable (dixit Einstein) de la vitesse de la lumière !!!
Tout cartésien, qu’ils soient, ils en sont tous tombés sur le cul, et se massent encore les fesses, tout en se grattant la tête pour trouver une réponse en adéquation avec le scientifiquement correct de tout cartésien qui se respecte !
L’expérience n’a pas été faite que sur des particules de lumière, mais sur toutes les autres particules constituant la matière et a TOUJOURS donné, le même résultat ! Étonnant non ?
Je suis fait, tu es fait, nous sommes TOUS faits avec ce « magnifique » conglomérat de particules, qui se sont rencontrées, mais cette fois, de manière délibérée, pour constituer les formes vivantes. Elles se sont aussi rencontrées de manière contrainte lorsque le maître menuisier les a assemblés, comme évoqué ICI ! Tu te souviens ?
Ces particules, sont aussi dotée, comme nous, d’une durée de vie, très courte, mais comme nos cellules, elle se régénèrent ou sont remplacées immédiatement par d’autres, tu dois le savoir, non ?
Oui, tu le sais ! Et cela ne te surprend pas outre mesure !
Sorti de nulle part, comme l’aigle noir, les particules sont ?
Oui, du vide qui nous entoure, et les scientifiques réalisent depuis peu que ce qu’ils ont appelé, très longtemps, le « vide » n’est pas vide et de plus ils prétendent que ce vide qui nous entoure n’est pas matériel, qu’il est immatériel.
En d’autres termes ce pseudo vide n’est pas de ce monde il vient d’ailleurs, l’ailleurs, où comme par hasard ils disent que la notion d’espace et de temps n’existe plus !
Notre monde ici-bas est celui de l’espace et du temps, l’autre monde est celui de l’information et du temps imaginaire, un monde qui vit et qui est dans l’instant présent, mais aussi dans le passé, comme dans le futur ! Étonnant non ?
Ce point très précis que je viens d’évoquer, juste au-dessus, est très loin de faire l’unanimité des scientifiques, qui se livrent une guerre sans merci, comme du temps de Galilée lorsqu’il prétendait en parlant de la Terre « et pourtant elle tourne ».
Ce que je pressens, mais surtout ce que je ressens, c’est ce lien puissant et indestructible qui unit toutes les âmes, au grand tout, dans ce monde, monde des âmes incarnées, et dans celui de l’ailleurs, l’ailleurs des âmes désincarnées ?
Je te mets à l’aise, je ne suis sûr de rien, mais comme les scientifiques je suis intrigué, par l’intrication, elle doit nous inciter tous, à remettre en questions nos certitudes, et à chercher, chercher, encore, chercher toujours !
La création, l’apparition, si tu préfères de l’univers et de tous ses constituants, est tellement vaste, tellement mystérieux, que nous ne sommes pas près, loin de là, d’avoir des réponses à toutes nos interrogations !
Ne trouve-tu pas que c’est dans la quête, de qui nous sommes, d’où nous venons, où allons-nous, que se trouvent les clés de notre réalisation, de notre ascension, de notre révélation, de notre joie de vivre, de la quête de notre enfant intérieur ! non ?
Sais-tu que religion, veut dire « religare(1) » relier ?
Raymond MAGDELAINE
(1) La littérature latine de l’Antiquité a transmis plusieurs étymologies de religion. Les plus citées aujourd’hui sont relegere signifiant « relire » et religare signifiant « relier ».
J’ai emprunté l’image ci-dessous sur la page Facebook de mon amie Élisabeth
Elle représente très bien les tergiversations qui traversent notre esprit lorsqu’il nous faut tous les jours prendre une décision, cela a été mon cas, cela l’est encore parfois, lorsque le doute vient titiller mes certitudes !
Je vais le faire, représente le palier de la première marche à gravir.
Je l’ai fait, le sommet de la première marche que je viens, enfin, de gravir, dans la joie, comme le représente cette allégorie !
Je ne vais pas le faire… jusqu’à je vais le faire, c’est le temps que nous perdons ici-bas, pour croitre, pour élever notre niveau de conscience et par conséquent notre niveau vibratoire, ressenti au travers de la joiede l’avoir fait !
Souviens-toi le petit garçon ou la petite fille que tu étais, il n’a jamais réfléchit, comme tu le fais, pour savoir, s’il faut ou pas le faire, il le fait instinctivement, car au plus profond de lui il sait qu’il doit le faire !
S’il y arrive du premier coup, il ressent instantanément cette jubilation d’avoir réussi ce qui pour lui est de l’ordre d’un exploit.
La joie, la jubilation, c’est la récompense de l’âme pour nous encourager à gravir la marche suivante.
La marche ou tu te situes, représente le niveau où se situe ta conscience, es-tu au ras du sol le nez collé aux objets proches, telle la chenille, ou t’es-tu élevé tel le papillon avec sa vision panoramique de tout ce qui l’entoure, et qui lui donne des ailes, pour aller explorer l’au-delà, d’ici-bas !
Si l’enfant tombe en essayant de gravir sa première marche, il va se relever et essayer, essayer, encore, s’il est maladroit, essayer… jusqu’à ce qu’il y arrive. Dans ce cas précis, cela n’est pas un échec ni une perte de temps, c’est une épreuve pour tester sa ténacité et encourager sa persévérance.
L’enfant va se relever, peut-être sécher ses larmes, s’il s’est fait mal, mais il va persévérer et finir par réussir, il sera récompensé par une joie encore plus grande, encore plus forte, que s’il avait réussi du premier coup !
L’enfant n’a pas encore un égo puissant, qui va, s’il l’écoute trop, si nous nous écoutons trop, lui faire perdre son temps.
Un égo trop puissant est une entrave à notre élévation de papillon que nous sommes tous ou à celle de l’oisillon qui craint de quitter le nid.
Le rôle de l’égo est de nous inciter à préparer nos gestes, nos actions celles que nous devons faire pour nous éviter de trébucher, comme nous l’avons fait, peut-être sur la première marche, l’égo n’est pas fait pour nous tétaniser, mais pour nous rappeler qu’une action inconsidérée comme celle de mettre le doigt sur une flamme peut avoir des conséquences fâcheuses !
L’égo n’est pas notre guide, il est seulement là pour nous contraindre à analyser nos erreurs passées afin de ne plus les reproduire dans ascension, ce qui ne veut pas dire que nous n’en commettrons pas d’autres.
Nos erreurs, nos actes manqués, nos peurs, ont toute une raison d’être que souvent notre raison à beaucoup de mal à décoder, elles sont toujours porteuses d’un enseignement, qu’il nous faut intégrer, faire soi !
Lorsque nous avons bien compris cela nôtre ascension se réalise de manière plus spontanée, nos erreurs enrichissantes nous permettent de gravir plus sereinement, plus légèrement la marche suivante… jusqu’au jour où nos ailes peuvent se déployer comme celle du paillon, nous permettant de découvrir d’autres horizons de plus en plus grandioses.
Moi qui habite au pied d’une montagne comme le mont Ventoux, je sais que si je reste toute ma vie à son pied, que mon horizon sera restreint, je sais que je serai comme la chenille !
Si j’ose gravir, par un moyen ou un autre sa pente pour atteindre son sommet, j’y découvrirai un horizon grandiose, celui que seul le papillon peut découvrir ! Et pourtant je suis toujours dans le Vaucluse, mais à 1917 mètres d’altitude !
Même avec nos yeux très limités, nous pouvons percevoir les bénéfices de cette conquête et la joie engendrée par l’élévation de notre conscience.
Ne tergiverse plus, n’hésite plus, n’est plus peur, fais comme l’enfant, ou comme l’oisillon, ose quitter ton nid douillet, ou tu ne fais que rêver, vit pour de vrai tes rêves, élance-toi sans crainte !
La joie n’est accessible qu’au sommet de toi, de tes mille neuf cents dix-sept mètres d’altitude, fais comme l’oiseau, envole-toi ! Croîs et surtout crois en toi !
Raymond tu débloques complètement les objets sont faits d’une matière inerte ; prélevés dans la nature, certes, mais ils sont mort, cette chaise par exemple a été fabriquée avec un chêne que l’on a abattu, débitée, travaillée et qu’un maître menuisier a assemblé en forme de chaises !
Tu vois bien Raymond que dans cet exemple très précis très concret, que cet assemblage aussi esthétique aussi harmonieux soit-il, ne peut pas avoir une âme, c’est un objet inerte ! Point final ! CQFD ! Fait pas scier !
Oui, effectivement vu sous cet angle, et celui de tes raccourcis saisissants, on pourrait croire, en apparence, que cette chaise est sans âme !
Je suis content d’ailleurs que tu aies pris cet exemple pour ta démonstration magistrale de l’inertie des objets. Si tu n’y vois pas d’inconvénient, je vais reprendre cette chaise en chêne pour te présenter mon antithèse !
Avant qu’on ne le débite le chêne est vivant, il est né d’un gland, qu’un écureuil avait enterré pour le manger plus tard puis oublié par distraction, un peu comme toi quand tu poses tes clefs de voiture dans un endroit improbable puis que tu recherches désespérément en accusant les autres de ta distraction !
Ce gland donc (je ne parle pas de toi), germe dans le sol, le transperce pour que sa partie aérienne puisse s’élancer vers la lumière de notre soleil, pendant que sa partie souterraine va s’enraciner dans la terre nourricière, toute sa forme apparente et invisible de chêne, va être parcouru, de ses racines au faite de sa ramure par la sève, liquide nourricier, qui va permettre à cette espèce du règne végétal d’être animé par un souffle de vie, je serais tenté de dire par un souffle divin, mais c’est un détail !
Si on le regarde d’un peu plus près, avec un microscope électronique, on s’aperçoit de manière très scientifique, très docte, qu’il est constitué des mêmes particules, des mêmes atomes, des mêmes molécules, qu’un être humain, dont tu penses, je suis sûr qu’il est le seul à avoir une âme, parce que tu pense qu’il est le seul à pouvoir penser !
Tu penses, donc tu es, ce qui est bien vu… mais qui te dit que le chêne, lui aussi, ne pense pas ?
J’entends bien ton objection suivante, le chêne dont tu me parles n’est plus la chaise sur laquelle je suis assis ! Et toc !
À bon ! Elle n’est plus constituée par les mêmes éléments les mêmes particules que le chêne majestueux dont elle est issue ?
Oh Raymond ! arrête de me prendre pour un c(censuré), tu comprends ce que je veux dire, la sève du chêne ne coule plus en elle, elle n’est donc pas vivante, mon Raymond !
La sève, le sang… ne sont pas les uniques preuves qu’une forme quelconque est vivante, ces fameuses particules ces atomes et autres constituants invisibles à nos yeux, sont toujours animés d’une vibration subtile qui les maintiens en vie.
Tu vois, si tous ces composants de la matière inerte « en apparence » avaient cessé de vivre, la chaise sur laquelle tu as déposé ton auguste derrière tomberait en poussière et tu te retrouverais assis le cul parterre en accusant Voltaire !
Cette chaise vois-tu à encore en elle, dans son bois, la mémoire du chêne, auquel le génie créatif (de créateur) de l’homme a donné la forme d’une chaise (sa création), et tu penses que cet objet commun pour ne pas dire vulgaire, ou tu passes des heures à travailler ou à rêvasser est sans âme, parce qu’il est en apparence inerte ?
Une âme même la plus sommaire, car toutes les âmes n’ont pas le même degré de conscience, préserve l’unité des constituants d’une forme, lorsque l’âme quitte la forme ses constituants se délitent et s’effondrent sur eux même.
TOUS les scientifiques du monde te feront cette démonstration, la seule différence qu’ils utiliseront, dans leurs démonstrations, par rapport à la mienne, ce sont les termes qu’ils emploieront, où ils éviteront consciencieusement de parler de divin, d’âme, d’immortalité voire même de conscience !
Cette chaise voit tu es une création de l’homme, elle est fabriquée avec une matière vivante, animée par une forme bien spécifique de conscience (d’âme) et hérite en plus du génie créatif de l’homme, l’homme qui est une forme animée par ce que le créateur a réalisé le nec plus ultra au niveau de sa conscience.
Ne gonfle pas ta poitrine en criant « cocorico » partout, j’ai dit la forme la plus « évoluée », je n’ai pas dit la plus « parfaite », si tu vois ce que je veux dire !
Le but est la perfection, et la perfection nous demandera de cheminer encore longtemps, pour pouvoir corriger toutes nos imperfections et Dieu seul sait combien nous en avons encore ! Ce qui ne l’empêche nullement de nous aimer, comme un père et une mère aiment ses enfants !
Parce qu’en fin de compte, je suis comme cette chaise un objet (une forme) animé par une âme, ce qui se fait de mieux à l’heure actuelle, et tu est fais de la même matière que moi, une matière pensante à qui je propose de mettre en œuvre au quotidien ses principes élémentaires du Reiki :
Juste aujourd’hui, je ne mets pas en colère,
juste aujourd’hui, je ne me fais pas de soucis,
juste aujourd’hui, je rends grâce à autrui,
juste aujourd’hui, je vis et je travaille honnêtement,
juste aujourd’hui, je suis bon avec tout ce qui vit (1).
Méfie-toi des apparences, elles sont trompeuses, tout ce vit n’est pas visible avec nos propres yeux, tout ce qui vit est animé et par conséquent à une âme !
Je me suis laissé dire que Dieu nous aurait fait à son image !
Comme je suis très fier de mon image, enfin celle que me renvoyait le miroir quand j’étais jeune, je trouvais qu’il avait du goût, que c’était un esthète !
Papa et Maman étaient aussi de mon avis, ils me trouvaient très beau !
Un jour, j’ai lu le chef-d’œuvre de Victor Hugo « Notre Dame de Paris », je dis j’ai lu, pour avoir l’air instruit, en fait j’ai vu sa version cinématographique avec « Anthony Quinn » dans le rôle de Quasimodo. Ce jour-là j’ai été saisi d’un horrible doute !
Quasimodo était-il un homme lui aussi
fait à son image ?
Mon Dieu ! Dieu pouvait aussi être laid ?
En fait en revoyant plus tard à la télévision ce joyau de la littérature française, je me suis rendu compte que Quasimodo était bien plus beau que l’amoureux d’Esméralda, et qu’elle aurait mieux fait de le choisir, car lui il l’aimait !
Alors comme cela on peut être très laid extérieurement et très beau intérieurement et être aimé pour sa beauté intérieure ?
Eh bien, ce n’est que justice !
Si l’on s’arrête à l’homme, qui est SA dernière création, la plus aboutie, je n’ai pas dit la plus parfaite, simplement c’est ce qu’IL a de mieux en vitrine actuellement, il ne faut pas non plus se cantonner à ses apparences, mais creuser un peu, sous ses oripeaux pour y découvrir sa véritable beauté !
Au fil du temps mon orgueil qui s’est amenuisé au fur et de mesure de la dégradation physique que me renvoyait l’insolent miroir ! J’ai commencé à percevoir ce que Dieu entendait par son « image » et surtout ce qu’il entendait par ce « NOUS », à l’origine de ma vision narcissique !
Le nous, ne parle pas que de « nous », sa dernière création, mais de TOUTES ses créations… de l’univers, en passant par les étoiles, les galaxies, la terre et tous ses règnes (minéral, végétal, animal, et nous) !
Je comprends mieux pourquoi, non pas qu’il est « interdit » de le représenter par une image, mais qu’il est « impossible » de vouloir représenter l’indescriptible, l’infini !
Tu te rends compte de la grandeur de la toile nécessaire pour tirer son portrait ! Tâche impressionnante ! même pour un impressionniste !
Celui qui « un jour » a essayé, « le pauvre », de traduire sa pensée, n’a pas bien pris la mesure de « SON IMAGE » ni de ce « NOUS » ! Ne lui jetons pas la pierre, les mots pour le décrire ne sont pas encore inventés, nos yeux ne sont pas encore capables de le percevoir ni notre mental de l’imaginer tellement son IMAGE est GRANDIOSEMENT INDÉFINISSABLE !
Ramenons un peu l’égo surdimensionné de l’homme a une plus juste mesure de ce qu’il est « un apprenti sorcier » un embryon de « Dieu » ou du moins « de son image », car il ne faut pas confondre son « reflet » avec LUI !
Un peu d’humilité que diable !
Par contre, nous avons tous rencontré ici-bas une parcelle de LUI !
Si, si, toi aussi le mécréant, le non croyant que tu crois être, tu l’as aussi rencontré !
Tu sais c’est cette petite étincelle qui brille dans les yeux de celle ou de celui que tu aimes, petite étincelle que chacun de nous peut voir briller dans tes yeux, même dans ceux de Quasimodo, je dirais même, « surtout » dans ceux de Quasimodo, et même dans ceux du très beau « Phœbus », mais où elle est très atténuée par son orgueil qui l’étouffait un peu (non, pas Phœbus, son étincelle ! Tu suis ?).
Tu le rencontre aussi, dans un coucher de soleil, dans les couleurs de l’arc-en-ciel, dans la forme des nuages, la magie d’une nuit étoilée… réfléchit bien tu dois l’avoir rencontré dans d’autres lieux ou dans d’autres circonstances, souvient toi, du temps où tu avais encore tes yeux d’enfants !
Parcelle de LUI nous sommes ! dirait maître Yoda. Humble nous devons être, rajouterait-il, faire confiance en la force (l’étincelle) qui nous habite et que nous ne devons pas utiliser à tort et à travers, au risque de nous y bruler ou de nous perdre dans son côté obscur !
Je ne sais pas si l’homme est destiné à devenir ; à terme, Dieu, ce que je sais c’est que pour l’instant il n’est qu’un pâle reflet de sa grande sagesse !
