Archives mensuelles : octobre 2015

Le Doute

Le doute habite les certitudes, c’est un moteur puissant, qui permet aux êtres de ne pas s’enliser, de stagner dans leurs certitudes.

Il remet sans cesse les certitudes en question en formulant ou reformulant nos interrogations, il nous booste pour que nous continuions notre quête existentielle.

  • Une petite fille que sa maman retrouve noyée dans à peine trente centimètres d’eau d’un petit bassin portant protégé par deux grilles installées par le papi.
  • Un jeune adolescent que son père retrouve pendu dans la chambre de sa sœur ainée en stage à l’étranger.

Ces deux faits extrêmement douloureux m’ont fait douter, de l’existence de Dieu, ils ont réactivé ce puissant moteur, en me questionnant sérieusement sur son existence :

  • Pourquoi ce Dieu d’amour permet-il cela ?
  • Pourquoi rappeler à lui deux êtres chers, avant terme, à sa famille ?
  • Es-tu Dieu un Père cruel qui prend plaisir à torture tes enfants ?

Et tant d’autres qui me sont venus à l’esprit lors de ces épreuves !

À l’époque de ces événements j’ai fait, ce que tout le monde fait, je l’ai rejeté, je l’ai envoyé au diable, ce faux dieu, cet usurpateur !

Etres ou ne pas être, tel est la question !
Êtres ou ne pas être, tel est la question !

Le chemin fût long et semé d’embuches, d’autres pertes douloureuses, elles aussi, sont venues renforcer ce sentiment et où l’absence, le manque, l’injustice, la douleur,  sont venu alourdir mes deuils et confirmer mon choix de ne plus croire en LUI !

Lorsqu’aujourd’hui, je me retourne sur ces blessures, avec le détachement des deuils terminés, et le recul qu’ils permettent d’atteindre, je me dis que ma première réaction, le rejet, n’est que la phase immature de l’être, sa petite enfance, indispensable à sa croissance.

Ceux qui ont terminé leurs deuils vous le confirmeront, leur vision des choses a radicalement changé, grâce (le mot est faible) à la souffrance et à ces questionnements fondamentaux, que le doute engendre.

Viens alors aux êtres délivrés des souffrances, une vision radicalement opposée à leurs ressentis initiaux. Une plus grande maturité s’est installée en eux, une vision plus claire des événements passés se révèle à eux et leur apporte un plus grand détachement, par rapport aux événements du passé.

C’est à ce moment-là, que j’ai compris que ce dieu enfantin avait mûri dans mon esprit, sans être encore complètement défini (le sera-t-il un jour ?), Dieu avait changé de forme !

Dieu, de mon point de vue actuel, est un boomerang (c’est une image), qui lorsque vous l’envoyez au diable vauvert, vous revient en pleine conscience, complètement transformé !

Si vous me demandez aujourd’hui : « As-tu rencontré Dieu Raymond ? » je vous répondrais « Oui je l’ai rencontré et je le rencontre au quotidien et principalement dans le regard de l’autre ! » et j’ajouterais « Il est aussi dans tout ce que nous appelons la création, dans les formes animées comme les formes inanimées ! »

Aujourd’hui je comprends mieux ce qui est inscrit dans le livre de la genèse « Au début était le Verbe et le verbe est Dieu » qui est l’équivalent de cette autre affirmation de nos scientifiques quantiques : « Au début de l’expansion de l’univers était l’Information est cette information est le fondement de la matière ! »

« L’information » est l’équivalent du « Verbe » et la « Matière » où ce qui la constitue est l’équivalent de « Dieu » !

Le livre de la genèse est destiné aux hommes en devenir (les enfants que nous sommes encore) et les découvertes des scientifiques sont destinées aux Hommes en formation (ceux qui construisent la nouvelle humanité), ils sont déjà à l’œuvre !

« Tu penses de moi ce que tu veux, ton point de vue est équivalent au mien, seul diffère le niveau de perception où se situent nos points de vue respectifs.

Ce n’est qu’une question de maturité et la maturité, ici-bas, a besoin de temps !

Ne cultive pas ton doute à l’excès, laisse-le agir sans réagir, laisse la Vie couler naturellement en toi, ne t’y oppose pas ! En le faisant, tu t’opposerais à ta croissance ! »

 Raymond MAGDELAINE

Responsables, nous sommes !

Tu savais, belle âme incarnée dans le corps de ce petit garçon de deux ans, l’épreuve que tu venais vivre ici-bas !

Tu savais que dans cette incarnation, ton handicap serait lourd… très lourd… vivre à partir de deux ans sans ceux qui t’ont mis au monde !

Tu savais, qu’ils ne t’accompagneraient pas longtemps, qu’ils s’en retourneraient dans la demeure des âmes désincarnées, tu le savais et tu t’es tout de même incarné !

Ton âme savait le jour et l’heure, elle était déterminée à vivre cette épreuve, elle est venue vivre sciemment cette épreuve. Mais le petit garçon que tu animes se trouve fort dépourvu, à deux ans, face à la tâche « herculéenne » qui l’attend !

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Je lis dans tes yeux, toute ta détermination, mais aussi toute la charge qui pèse sur tes frêles épaules !

À deux ans, tu pressens, sûrement que tu n’es pas seul, tu sais encore que tes guides d’incarnations, s’occupent de toi, et vont t’envoyer, des âmes incarnées, pour t’aider et pour t’aimer ! Tu vas en avoir besoin, le petit garçon que tu es va en avoir besoin. J’espère que tu trouveras cette puissante énergie d’amour qui te permettra de vivre ce que tu es venu expérimenter ici-bas !

Tu dois être une très vieille et une très grande âme, pour que « là-haut » ils aient mis la barre aussi haut !

Je pressens, au travers de ton regard, la détermination qui t’habite, je ressens aussi la présence des êtres incarnés ou désincarnés, qui vont te guider, pour te permettre d’accomplir ta tâche !

Responsables nous sommes, quelque part, de l’abomination, qui règne encore ici-bas, et des épreuves que nous faisons subir aux âmes qui s’incarnent dans les conditions haineuses actuelles.

Nous avons un travail considérable à faire ici-bas pour élever nos vibrations, ce qui aura pour conséquence d’élever celle de l’humanité, et évitera, peut-être, que des âmes soient obligées de porter une croix si lourde.

Que le regard de ce petit cœur meurtri, change notre regard et surtout nos actes sur ce que nous semons ici-bas.

Nous récoltons ce que nous semons !

Une légende amérindienne dit que « l’homme a en lui deux loups, un loup blanc, qui est bon, compatissant, respectueux des autres et un loup noir, belliqueux, féroce, insensible aux souffrances d’autrui. Les deux loups en nous sont en guerre ! » et la légende de conclure que celui des deux qui gagne « c’est le loup que nous nourrisson ! »

C’est ce que nous nourrissons qui est responsable du poids de la croix des âmes qui viennent s’incarner !

Ne rejetez pas la faute sur les autres, nous sommes TOUS RESPONSABLES, soit par nos actes, soit par notre indifférence !

Ce petit garçon désemparé et démuni, ce sera peut-être NOUS dans l’incarnation suivante !

Raymond MAGDELAINE

À la puissance Dys !

Il est clair pour moi, papi d’un petit fils « Puissance Dys », que cet enfant Crystal n’est pas malade ni dysfonctionnel, c’est un enfant de son temps en contact avec des humains un peu à côté de la plaque qui cherchent à le faire entrer dans un moule !

Pour qui, pourquoi ?

Il faudrait, de mon point de vue, s’interroger sur les raisons cachées de cet acharnement à vouloir mettre tout le monde dans le même panier… et pour le profit des dysthérapeutologues qui foisonnent !

L’enfant Crystal est un enfant normal adapté à la nouvelle ère du Verseau, il laisse passer la lumière, comme le fait la pierre du même nom. Ils s’incarnent ici-bas pour faire ce qu’ils ont à y faire, c’est-à-dire transformer une société qui se sclérose !

S’il doit y avoir une correction à apporter à des comportements que nous ne comprenons pas toujours, c’est sur nous qu’il faut intervenir pas sur eux ! Eux sont en harmonie avec les vibrations de la nouvelle ère, nous nous sommes en décalage avec celles-ci, c’est à nous à chercher à nous ré harmoniser à nous recaler, ou à essayer de le faire, pour pouvoir les accompagner.

Ce n’est pas aux enfants à s’adapter à l’école, mais à l’école à s’adapter aux enfants, ici c’est un enseignant à la retraite qui parle. Nos dirigeants nous enferment, pour des raisons obscures de soumissions des masses, dans un système archaïque, comme si tout, autour de nous, était figé, comme si l’évolution avait cessé, comme si le temps avait suspendu son vol !

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Nous, parents, grands-parents… avons un rôle primordial à jouer, celui de rassurer, d’encourager, d’être attentif à l’expression et aux attitudes révélatrices de l’enfant étiqueté dysquelquechoses !

Ne vous souvenez-vous pas qu’il fut un temps où le médecin employait le latin pour cacher son ignorance ?

Les dystérapeuthologues, n’en savent guère plus que le « Médecin malgré lui » de Molière !

Je fais confiance, j’encourage ces enfants, et en particulier mon petit-fils, à exprimer ses intuitions, ses ressentis, ses émotions… à son rythme. L’univers ne s’est pas fait en un jour. L’enfant Crystal vient ici pour s’adapter à l’état dans lequel est englué la société, puis, comme nous l’avons fait ou essayé de le faire avant lui, à chercher à la transformer !

La transformation, la nôtre, puis celle de la société est notre tâche. L’enfant Crystal, comme l’enfant Indigo venu avant lui le fait actuellement, est là, pour perpétuer l’évolution, pas pour l’asservir !

Si j’ai un conseil à vous donner, ne faites confiance qu’à votre intuition de mère de parents de grands-parents, ne laissez pas n’importe qui vouloir remodeler vos merveilleux enfants pour les faire entrer dans un moule. La nature a toujours su ce qu’elle faisait, il n’y a qu’à observer les merveilles qui nous entourent pour s’en convaincre. Par contre certains Hommes ne l’ont pas compris ou cherchent, pour assoir leur pouvoir, des moyens pour juguler l’insaisissable !

Que la force à la « puissance dys »
soit avec vous !

Papi Raymond

Le pardon

« C’est quoi Raymond le pardon ?

Parce qu’il faut que tu saches Raymond que je ne suis pas prêt à pardonner TOUT ! Sache qu’il y a des choses Raymond que je ne pourrai jamais pardonner ! »

« Tu sais je connais tous ces sentiments sur le pardon, pour les avoir vécus comme toi et pour avoir dit en son temps la même chose que toi, mais c’est parce que je n’avais pas encore compris la véritable signification de ce terme qui est la clé incontournable de la libération de l’électron libre que l’on enferme dans ses aprioris et ceux des autres ! »

Pardonner c’est finir par comprendre que le supposé bourreau n’est pas responsable de tes blessures et de tes ressenties.

Pardonner c’est comprendre que tu es le seul responsable de tes souffrances. C’est comprendre que ce que tu as pris ou interprété comme une agression de l’autre n’est qu’un des moyens que ton âme utilise pour t’inviter à te transformer.

« Je vais évoquer l’une de mes blessures fondamentales, pour te faire comprendre ou du moins essayer ! »

Ma blessure c’est la « non-reconnaissance » de ce qu’adolescent je souhaitais faire !

Elle s’est enkysté en moi, au moment de mon orientation scolaire, je voulais entrer à l’école des « beaux-arts » et mes parents, m’ont dirigé vers un métier qu’ils pensaient sincèrement plus lucratif pour moi et je suis devenu « horloger ! »

Pendant des lustres j’ai cru que mes parents n’avaient pas compris que mon désir n’était pas la petite mécanique, mais l’art du dessin et de la peinture. Inconsciemment j’en ai voulu à mes parents et j’ai mis du temps à comprendre le sens de cette blessure. C’est à ma Maman que j’en voulais le plus, car c’est elle qui m’avait encouragé dans ce domaine où j’excellais, elle m’a complètement trahie en se rangeant au même point de vue que Papa, niant ainsi mon désir d’adulte en devenir.

« J’étais la victime de deux bourreaux insensibles, en apparence, à mes talents. »

Tu vas me dire qu’il y a des blessures plus « graves » que la tienne Raymond !

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Je te répondrais « non », détrompe-toi, la gravité d’une blessure, n’est que le ressenti que nous en avons au moment où elle se forme, elle n’est qu’une illusion qui engendre une souffrance, incontestable, qui n’est qu’un « moteur » nous invitant à « démarrer » la transformation.

Ici, bien sûr je ne te parle pas des « sévices corporels », mais seulement des « blessures de l’âme ». Je ne peux pas témoigner de quelque chose que je n’ai pas vécu et encore moins affirmer que le pardon y est aussi facile à accorder. Ce que je sais pour l’avoir entendu de la bouche de ceux qui en ont subits, c’est qu’il est aussi possible et indispensable de pardonner pour en guérir !

Notre âme, uniquement elle, a planifié la blessure fondamentale, pour me dire : « Non, Raymond, ta voie, dans cette incarnation, n’est pas d’entrer aux beaux-arts, même si dans une vie antérieure tu as été surement un grand peintre, tu es venu ici pour expérimenter toute autre chose ! »

Lorsqu’enfin, beaucoup plus tard, tu comprends les raisons qui ont poussé inconsciemment tes parents à te diriger sur une autre voie que tu devais expérimenter, tu ne peux plus leur en vouloir, tu ne peux plus non plus, leur pardonner une faute qu’ils n’ont pas commise, mais par contre tu dois impérativement te pardonner de ne pas avoir compris le sens caché derrière les apparences (toujours trompeuses).

Comprends bien que le pardon n’est pas à accorder à ceux que tu as injustement pris pour tes bourreaux, mais que tu dois te l’accorder impérativement !

Les « bourreaux » ne sont qu’une vue de notre esprit, qui n’a pas encore bien intégré ce qu’il fait ou doit faire ici-bas, et la « victime » n’est qu’une illusion créée par notre âme pour nous inciter à transformer notre « haine » en « aime ».

« Lorsqu’enfin tu comprends tout cela, tu percevras clairement que « rien n’est impardonnable ! »

« Ne haï pas autrui, mais aime-toi, pour pouvoir ensuite aimer autrui comme toi-même. « Pardonne-toi tes erreurs de jeunesse« , et tout particulièrement celle d’avoir été aussi longtemps ignorant de la signification profonde du « pardon » !

Je ne te demande pas de me croire sur parole, mais simplement de croitre, pour que tu puisses valider ou invalider ma thèse et exprimer éventuellement ton anti thèse, afin que nous puissions en extraire une synthèse ! »

Raymond MAGDELAINE

L’accoucheur d’âme

J’ai donc, samedi 10 octobre (1), rencontré Max HERTER et sa douce et tendre Compagne Nicole.

Ils sont venus, dans le cadre d’une très belle association « Les Mimosas » d’Orange dans le Vaucluse, effectuer une initiation pratique à la « Bio respiration», le samedi et une conférence sur la « réflexologie pieds, mains, cerveau et la Bio respiration » le dimanche.

Hier j’ai été à la fois « spectateur et parturiente (2) » de cette thérapie qui m’a fait dire en rentrant chez-moi, Waouuuh !

Waouuuh !

J’ai été témoin et acteur de la faculté à la fois « spectaculaire » et « unique (3) » d’un corps physique à s’auto guérir, Max qui a le titre de thérapeute le dis lui-même, je ne suis que le « mécano » c’est le corps ou l’âme qui l’anime (va savoir Charles) qui fait la plus grande partie du travail.

Le rôle du thérapeute, fort de son expérience et de ses ressentis, est de construire son diagnostic sur des questions « d’apparence banale » du genre : « Ton prénom, ton âge, ton signe zodiacal… » de l’ordre intime ensuite : « Comment à tu ressenti ton père et ta mère… » je dois en oublier… » pour terminer par la plus fondamentale : « Que souhaites-tu changer dans ta vie ? »

La (le) « parturiente » s’allonge tout habillée, sur une table de soins, ferme les yeux et « respires par la bouche » en essayant de lâcher prise, ce qui n’est pas toujours facile à cause de nos formatages.

« L’accoucheur » laisse le temps au patient de faire le vide dans son esprit, puis avec ses mains ou ses doigts il va appuyer avec insistance là exactement ou cela fait très mal, et c’est ici que le spectaculaire est apparu aux quatorze observateurs, qui ont assisté à « l’accouchement de l’âme », l’âme qui ouvre l’écluse qui fermait la porte de sa ou de ses blessures karmiques (4).

Le travail qui s’effectue à ce moment-là est intérieur, invisible à nos yeux d’observateurs, mais les effets de ce travail souterrain se manifestent à la surface du corps tout entier par, des tremblements, des agitations plus ou moins désordonnées, des crispations du corps, des expressions de douleur, de détresse qui se dessinent sur le visage, des rires ou des mots qui décrivent la scène revécue !

Je peux vous assurer que les observateurs que nous étions n’ont pu rester indifférents à ce « merveilleux » travail d’accouchement !

Waouuuh !

Pour avoir été observateur « compatissant » à l’accouchement de l’autre, puis « accouché » par ce « génial gynécologue » qui enclenche l’ouverture conscientisée de l’écluse qui va permettre à ma blessure karmique de se vider de son contenu mortifère « dans le sens “qui empêche de prendre la vie à bras le corps ».
Il m’est très difficile aujourd’hui de mettre des mots, sur ce que j’ai vécu hier, pour vous décrire les phases par lesquelles je suis passé, avant et pendant cette fabuleuse délivrance.

Peut-être plus tard, pourrais-je vous donner une misérable idée de l’indescriptible transformation cellulaire que j’ai vécue !

Au moment où je tape sur le clavier de mon ordinateur ce dernier paragraphe, mon corps tout entier est parcouru par des frissons de bonheur.

Et oui ! Le bonheur est frissonnant !

Raymond MAGDELAINE

(1) Jour à marquer d’une Pierre blanche !
(2) Celle ou celui, dans ce cas précis, qui accouche, se délivre !
(3) Aucun de nous n’a exprimé physiquement ou oralement la même sensation, la même réaction, à part une expression de « jubilation » après l’accouchement !
(4) Principe fondamental de la religion hindouiste selon lequel chaque vie est déterminée par la totalité des actes accomplis dans les vies antérieures.

L’accompagnement des âmes

Après avoir passé une très belle formation de l’accompagnement en fin de vie avec des formateurs d’une très haute qualité. Il m’a semblé que limiter l’accompagnement à la toute dernière transition n’est pas suffisant, et qu’il est URGENT, c’est mon point de vue, de l’étendre, avant, pendant bien sûr, mais aussi après cette période délicate. Période très déroutante et désespérante pour les âmes des proches qui tentent tant bien que mal d’accompagner les leurs dans cette ultime transition.
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L’accompagnement de la toute dernière période demande à l’accompagnant d’avoir réglé le problème de l’âme hors, et pour l’avoir constaté, les âmes ayant subi la formation ne sont pas prêtes à l’accompagnement, car elles sont chargées, très lourdement, suivant les cas, des aprioris de ce moment. L’association l’a d’ailleurs très bien compris et propose tous les mois aux accompagnants des groupes de paroles encadrés par un(e) psychologue.

Régler ses propres peurs, concernant ce que la majorité d’entre nous continuent d’appeler la mort, avec toutes les peurs qui y sont rattachées, me semble essentiel avant de se lancer dans cette aventure fondamentale de la vie. La future Maman est accompagnée pour l’aider dans cette transition qu’est la naissance, il me semble que « l’âme hors » devrait être aussi accompagnée, encore plus sérieusement !

Le constat des accompagnants est le suivant, qu’ils soient formés ou pas : ils ne sont pas prêts à le faire sans en subir les conséquences structurellement déstabilisantes pour leur corps et leur âme, et ceci, tant qu’ils n’auront pas réglé leur rapport avec « l’âme hors ». Tous sans exception sont touchés par ce passage de l’autre et en subissent indirectement les effets collatéraux.
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Leurs peurs de «  »l’âme hors », c’est que justement, ils doutent d’être des « âmes immortelles » », ils voudraient bien y croire, mais n’en sont pas sûr pour eux même, car il est plus facile de se « détacher » de la mort de l’autre que de sa propre mort.

Leurs formatages leur suggèrent que nous ne sommes que de vulgaires corps physiques, sur lesquels on peut remplacer un organe comme on le fait sur une automobile. Que notre conscience n’est que le produit d’une réaction chimique de notre cerveau, et qu’à la fin de cette réaction, elle se volatilise !

Ils ont peut-être raison, mais avouez que le sens que l’on peut donner à sa vie est triste, lorsqu’on est persuadé de vivre pour ce résultat final. Avouez aussi que dans ce cas, il est dur d’accompagner l’autre, en lui prenant la main, et en lui disant affectueusement, « Tu vas voir cela va bien se passer, n’est pas peur ! » alors que celui qui tiens la main se projette dans sa mort future et dans ses peurs.

L’hypothèse du cerveau produisant la conscience n’est pas prouvée scientifiquement !

L’Hypothèse de la conscience délocalisée, venant d’ailleurs que du cerveau, ne l’ai pas non plus !

« Nous devrions nous demander pourquoi des hommes instruits avancent de telles affirmations qu’ils n’ont pas encore réussi à prouver. Quels intérêts se cachent derrière ces affirmations péremptoires ? »

Une piste : la mort est lucrative, pour les hôpitaux, les cliniques, les médecins, les pompes funèbres, les maisons de retraite, les lieux de sépultures, les messes dites pour le repos de l’âme. Elle est comme pour la vie, un moyen de paraître « Il a eu droit à des obsèques en grande pompe ! »

L’accompagnement, avant d’être entrepris, nécessite de faire face à sa propre mort, pour la transformer en « âme hors du corps ». Sans vous soucier des affirmations péremptoires des uns et des autres ! « L’âme hors » est une conviction intime, basée essentiellement sur vos propres croyances et sur votre propre foi.

La foi en soi, la foi en ses intuitions, la foi envers autrui, la foi en une vie après la vie, construite sur les pistes que vous aurez explorées, la foi en vos certitudes, la foi en la force du doute qui doit vous permettre, sans cesse, d’explorer d’autres pistes et d’éliminer les impasses.

N’écoute pas les conseils du « Grand Mammon » c’est un menteur qui cherche à t’emberlificoter pour mieux te mener par le bout du nez ! Forge-toi tes propres opinions, elles seules sont la source de ton indépendance. Soit un électron libre qui vit sa vie d’électron !

Lorsque tu seras près, alors tu pourras accomplir cette nécessité d’accompagner les âmes vers leur retour dans l’une de leurs nombreuses demeures.

Sache aussi que toutes n’y entrent pas directement, c’est pour cela qu’il est nécessaire de les accompagner après !

Comme il est nécessaire, de mon point de vue, et par mon vécu dans une très belle maison de retraite, de les connaitre avant, pour pouvoir efficacement leur tenir la main et leur insuffler en silence les mots qui panseront leurs maux !
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Nul besoin de grand discours, ton assurance de la vie après la vie est suffisante pour apaiser les âmes en transitions, âmes qui communiquent très facilement avec la tienne par télépathie.

Seuls les êtres humains ont besoin de la parole pour communiquer leurs intentions aux autres. Les âmes savent parfaitement ressentir la paix et la compassion qui habite la tienne.

Une âme en transition est une âme qui a pratiquement retrouvé toutes ses perceptions extra-sensorielles si ce n’est toutes. Dans la prochaine chronique, je vous parlerais de quelques exemples vécus !

Que la force soit avec toi !

Raymond MAGDELAINE

Les Médiums

Les Médiums sont, de mon point de vue, une source fiable d’information, prouvant la persistance de l’âme après « l’âme hors » !

C’est quoi un médium Raymond ?

Le terme désigne une personne qui perçoit des informations des deux mondes, l’ici-bas et l’au-delà. Il est entre les deux mondes et joues le rôle d’interprète, c’est un médiateur. Tu y crois-toi au médium Raymond, c’est sérieux un médium ?

Je n’y croyais pas trop, tu sais je suis un peu un Thomas au fond de moi, je doutais de leur sérieux, comme toi ! Tu as raison d’ailleurs de te méfier, car il existe chez eux des profiteurs de faux médiateurs.

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Mon premier contact avec un médium, ma littéralement scotché, il s’appelle « Christophe JACOB » et faisait à l’époque une séance de médiumnité en salle, à partir de la photo d’une personne. Aucune simagrée de sa part, il se concentrent sur les photos étalées en face de lui, en saisie une et la montre à la salle. La personne concernée se manifeste, et le dialogue s’établit entre lui, la personne et le défunt.

La photo d’un petit neveu, parti prématurément à l’âge de douze ans, que j’avais déposés sur sa table, n’a pas été choisie en séance publique, mais le médium m’a fait après la séance des révélations stupéfiantes, qu’une simple photo, un peu floue de surcroit, ne pouvait lui révéler. Il me l’a décrit comme s’il le connaissait aussi bien que moi, sa personnalité, son hypersensibilité et les circonstances qui l’ont conduit au geste fatal. Il m’a même décrit son activité dans l’au-delà, c’est aspect est pour moi invérifiable, me direz-vous, oui, mais la suite est aussi époustouflante, lorsqu’il me parle d’une tante qui l’accompagne là-haut, et cette tante était ici-bas une jolie petite fille partie prématurément elle aussi à l’âge de deux ans et demi !

Tu vois, lorsqu’on te fait ce type de révélation, à partir de presque rien, une toute petite vue un peu floue, et que l’on te révèle exactement la personne que tu connais parfaitement, tu vois ton doute fondre comme neige au soleil !

Pour répondre à ta seconde question : « Oui, j’y crois, et c’est du sérieux ! »

Pour avoir observé d’autre médium, homme ou femme, procéder en séance publique, en me focalisant sur les réactions de celui ou de celle qui recevait les messages ou les descriptions du Médium, je peux t’affirmer que c’est du très sérieux, c’est du lourd. Le Thomas que j’étais a pu voir et presque toucher du doigt l’existence de cette vie après la vie ici-bas. Je n’ai rien à gagner dans ce témoignage que je te livre, bien au contraire, je risque de te perdre, car tu vas me prendre pour un illuminé et cela me désolera ! Pourquoi je témoigne malgré tout ?

Pour te mettre un peu de baume au cœur, pour t’empêcher, si cela est encore possible de te voir sombrer dans le désespoir, au fur et à mesure que tu te rapproches de « l’âme-hors », la tienne ou celle de ceux que tu aimes !

Oui, moi aussi je suis fait du même bois que toi, c’est « l’âme hors » de ceux que j’aime qui m’effraie encore aujourd’hui, tu vois, moi aussi j’ai encore du chemin à parcourir ! C’est la peur de perdre un être cher qui est la cause de mes angoisses, c’est sur cette peur que je travaille !

Comment ?

Je t’offre la clé : « En lui faisant face » comme le taureau le fait instinctivement dans l’arène, comme le Christ l’a fait il y a plus de deux mille ans, sur la croix !

La politique de l’autruche, que tu emploies peut-être, est le pire des remèdes, elle ne fait qu’accroître tes peurs en t’enfonçant de plus en plus dans l’impuissance. Savoir, ou croire, qu’il existe une vie après la vie, que « l’âme-hors » n’est qu’un passage, la regarder en face, savoir que tu pourras, si tu doutes encore, communiquer avec par l’intermédiaire d’un médium sérieux, efface tous les doutes.

Oui, je comprends… cela demande du courage ! Mais c’est cela vivre, vivre c’est affronter toutes nos épreuves en leur faisant face. Leur tourner le dos, ou mettre la tête dans le sable, ne résout rien !

Tu vois, il existe de nombreuses pistes qui convergent toutes vers la certitude d’une « vie éternelle ». Tu peux continuer à les ignorer ou alors oser les explorer, enfin, si tu as une âme d’explorateur, bien sûr !

Cherchonscherchons encorecherchons toujours c’est pour cela que nous nous sommes incarnés, pour explorer tous les possibles et même l’impossible (qui n’est qu’illusion). Ce magnifique verbe se conjugue au présent, au singulier comme au pluriel, mais c’est au pluriel qu’il est le plus puissant !

Raymond MAGDELAINE

D’où viennent les âmes ?

Oui, dis-nous Raymond d’où viennent les âmes ?

Je pourrais te répondre : « Honnêtement je ne le sais pas avec certitude » et ma chronique du jour s’arrêterait faute de preuves. Car vois-tu se sont les preuves qui me manquent, mais je peux te proposer quelques pistes de réflexion !

Tu veux bien me suivre sur ce chemin pavé d’incertitudes ?

Bien commençons et revenons un peu sur le livre le plus vendu au monde un peu avant celui du « Petit Prince » de Saint Exupéry, je veux parler de la « Bible ». Ne fuis pas ! Évoquer la bible, ce n’est pas faire du prosélytisme, c’est simplement appuyer sa réflexion sur les premiers écris qui en parle, c’est tout, tu vois, ici rien d’effrayant !

La bible raconte au travers de l’enseignement de Yeshoua (Jésus) que les âmes retournent au Royaume de son Père, dont il nous dit qu’il est aussi le nôtre (Père). Notre Père serait un Roi et son Royaume serait aux cieux, si j’en crois la prière du « Notre Père » qu’il nous a aussi enseigné !

Petit arrêt sur image, pour expliciter certains termes employés par ce Jésus de Nazareth. Pour Jésus le Royaume signifie le lieu où réside son Père. Ce Père qui doit être le Roi de ce royaume, c’est-à-dire celui qui dicte sa loi à ses sujets (à toute sa création). Mais lorsqu’il parle de ce roi, il dit mon Père, donc la relation serait une relation Père fils (enfants) et sa Loi, la plus importante qui englobe toutes celles qui vont en découler est ; « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous aime » !

Les âmes retourneraient donc dans un lieu où règne l’amour de soi et de son prochain, ce lieu est situé dans les cieux, dit la prière du Notre Père. Les cieux ne sont pas de ce monde, c’est ce que répond Jésus à Ponce Pilate qui l’interroge ; « Mon royaume n’est pas de ce monde ! »

Ce monde, c’est la Terre, le royaume de la Mère, Gaïa la mère nourricière, c’est ici-bas, le royaume du Père c’est l’au-delà, mais on dit aussi de l’autre côté du miroir, où derrière le voile !

Tu comprends bien qu’étant né en occident, avec une initiation au catéchisme dans ma tendre jeunesse, je ne peux te parler que de ce que l’on m’a enseigné. Mais les autres traditions racontent, à peu de choses près, la même histoire. Notre royaume est ici, celui des âmes est ailleurs !

Tu veux une autre démonstration, moins connotée religieuse, c’est cela ? Tu es allergique et cela te file des boutons ?

Très bien ! Les scientifiques, disent que l’univers, que toute la matière qui le constitue et dont nous sommes aussi constituées, est né à partir de rien, d’un point mathématique, de taille et de dimension nulle ! Ils disent encore que ce point, cette singularité, vient d’ailleurs ! D’où ? Ils n’en savent que pouic !

Pour eux, l’univers c’est ici-bas, la Terre est le royaume des âmes incarnées. Tu remarqueras, au passage, que le royaume c’est la planète Terre, pas un Pays ni une Nation, au sens étriqué ou compulsif des hommes.

Pour eux, la singularité, à l’origine de l’univers contenant notre royaume, et d’autres sûrement, qui vient d’ailleurs, serait l’équivalent de l’au-delà !

Petite remarque, qui me démange, tu remarqueras que les scientifiques font comme toi, ils évitent scrupuleusement les termes qui pourraient les faire passer pour des Mystiques. Non pas par conviction personnelle, mais simplement pour ne pas encourir le risque de n’être pas subventionné pour leurs recherches, ou pour ne pas être exclus d’un prix Nobel toujours gratifiant !

Revenons à nos brebis, si j’ose ce doux euphémisme qui nous caractérise, les âmes incarnées retourneraient donc ailleurs, dans l’au-delà ! Où ? Mon petit-fils Matt, me suggère Jupiter, qui est une hypothèse qui en vaut une autre, non ?

Des récits, de tout temps, de toute époque, racontent que ceux qui ont subi, une expérience de mort temporaire, qui semble de nos jours être très courante, pour ne pas dire banale, évoque la lumière, une lumière très intense, mais qui ne brule pas la rétine. Certains la comparent à un océan d’AMOUR !

De cette lumière sortent des parents des amis, mais aussi des êtres « habillés » de lumières, des guides, qui TOUS, leurs disent qu’il n’est pas l’heure de retourner dans la lumière. Même si tous les expérienceurs ne souhaitent pas retourner dans leur corps.

Le royaume du Père, les cieux, l’au-delà, l’ailleurs des scientifiques, la lumière décrite par les expérienceurs sont synonymes… Comment tu préfères que je dise serait… si tu veux, serait donc synonyme de demeure où retournent les âmes.

J’entends bien ce que tu n’oses exprimer à haute voix… Tu n’es pas plus avancé, tu n’es sûr de rien !

Je comprends, tu voudrais être assuré être sûr que ce que je te suggère est bien LÀ, tu veux comme Thomas pouvoir voir et toucher ?

Désolé, je ne suis pas Jésus de Nazareth, et ne suis capable d’aucun miracle, je suis comme toi dans l’incertitude, mais peut-être à la différence toi et du Thomas qui sommeille en toi, moi je n’ai plus besoin de preuve pour croître !

Je sais, je suis naïf!

Et toi tu es quoi?

Ne te précipite pas pour répondre à ma question, prend le temps de réfléchir, de tourner sept fois ta langue dans ta bouche, sinon tu risques de sortir une platitude empruntée à la pensée unique, celle qu’on essaye de te faire ingurgiter, comme si tu étais une Oie (blanche ?) !

C’est, pour moi, une piste prometteuse, une piste qui donne un sens à ma vie, une piste qui m’aide à la remplir, dans la joie, celle d’un retour à la maison, avec la certitude d’y retrouver tous ceux que j’ai aimés ici-bas, et qui commencent à y être très nombreux, plus j’avance en âge ! Mais quel bonheur !

E-T.jpgCitation, en guise de conclusion, d’un personnage étrange, qui montre du doigt, à des enfants, une étoile précise sur la voute céleste, en disant tristement et d’une voix rocailleuse « Maison… maison ! »

Si les âmes retournent toutes, un jour où l’autre, dans leur maison, c’est, tu l’as bien compris, qu’elles viennent de là, de cet ailleurs insaisissable et indescriptible. Crois bien que je suis sincèrement désolé de ne pouvoir t’en apprendre plus !

Cherche de ton côté, et dès que tu trouves une piste, reviens sur mon Blog ou sur ma page Facebook, m’en faire part, nous en faire tous profiter, ne gardes rien pour toi, partage, je te promets de le publier en te citant !

Raymond MAGDELAINE

Vibration

Dans ma chronique précédente, je t’ai parlé du spectre étendu des couleurs et des sons, que nos yeux et nos oreilles ne captent que partiellement, t’en souviens-tu ?

Les couleurs font partie du spectre de la lumière, la lumière est une onde et de sa fréquence vibratoire, vas correspondre une couleur qui va des infra rouge pour atteindre les ultras violets et dont nos yeux ne sont capables d’en discerner que sept que tu connais parfaitement et qui sont les composantes de base de l’arc-en-ciel.

Le son est aussi une onde qui passe des infrasons aux ultrasons et dont notre oreille ne capte qu’une infime partie.

Tous deux font partie de ce que nous croyons être la réalité, alors que cette réalité est beaucoup plus vaste que ce que nous percevons avec nos cinq sens. Les trois autres sens viennent tout de même enrichir nos perceptions visuelles et sonores, mais sont très loin de capter toutes les subtilités de ce qui nous entoure et surtout de ce qui nous est invisible et inaudible.

Le « verbe » dont parle le livre de la genèse, la parole donc à besoin d’un support vibratoire (ondulatoire) comme moyen de transport, tout ce qui est sonore voyage à la vitesse du son (environs 340 m/s).

L’information dont nous parlent les scientifiques et qui peut être de nature visuelle, sonore, olfactive, sensitive, et tactile, utilise nos cinq sens comme moyen de transport. Les couleurs voyagent à une vitesse proche de la lumière, qui serait la limite haute d’un déplacement, jusqu’à preuve du contraire.

L’expérience des doubles fentes de Young, mainte fois vérifiée, en physique quantique, prouve qu’une particule de matière, comme l’électron, le photon, le proton… agissent comme des ondes, sauf lorsqu’elles sont observées, ce qui n’est pas encore trop bien compris par nos chers scientifiques, qui n’osent pas dire que la matière possède une forme de conscience !

Une théorie, pas encore prouvée, suppose que ces mêmes particules vibrent et que leur niveau vibratoire déterminerait la nature de la matière, étonnant non ?

Tout semble laisser croire que l’univers, et tout ce qu’il contient est de type vibratoire et se propage, s’étend, s’expanse, sous forme d’ondes que même une matière très dense n’arrête pas, étonnant non ?

Je vibre, tu vibres, nous, vibrons tous, car TOUS, sans exception, matière comme antimatière, sommes constitués de ces mêmes particules, qui ne sont visibles pour certaines qu’avec des microscopes électroniques très sophistiqués, les autres, restent encore invisible, mais peuvent être détectée lorsqu’elles se manifestent.

Ce fut le cas pour le célèbre « Boson de Higgs », qui s’est manifesté comme prévu par le mathématicien Higgs et qui a été mesuré dans le grand collisionneur d’Hadrons, par des physiciens, en 2012, à Genève !

La planète terre est en train d’élever son niveau vibratoire, comme encore jamais vu par l’humanité, je n’en connais pas les raisons, mais la terre à ses raisons que la raison ignore !

Ignorant je suis !

Ace-tree.jpg

Notre planète est en train de connaître une élévation progressive de sa fréquence vibratoire fondamentale que les physiciens et les géophysiciens connaissent sous le nom de « Résonance de Schumann ».

Pendant des milliers d’années elle était de 7,8 hertz, depuis 1987 cette fréquence vibratoire s’est accélérée lentement puis, à partir de 1997, de plus en plus vite. Aujourd’hui, elle atteint la valeur record de 13 hertz !

Or, à partir de 13 hertz, la Terre commence à basculer dans la 4e Dimension !

Toutes les espèces vivantes vont devoir dans un laps de temps plutôt court, mais pas du jour au lendemain non plus, élever leur fréquence ou disparaitre. Ce n’est pas la première fois que cela arrive à la planète et les spécialistes, parlent de cette mutation, comme étant la sixième période d’extinction des espèces.

Élever notre niveau vibratoire ou accepter de disparaitre de sa surface est notre défi.

Toi tu fais ce que tu veux, moi je vais chercher à élever le mien, si je le peux, au niveau de la quatrième dimension, celle du Nouveau Monde, celle de l’ère du Verseau !

Met toi vite en œuvre pour mijoter la recette de l’élévation de tes vibrations, en utilisant les ingrédients listés dans la chronique précédente, la liste est loin d’être exhaustive !

Accroche-toi ! La période transitoire vécue par l’humanité risque d’être agitée, mais ne perds jamais de vue l’espoir, qui tu le sais fait vivre !

Raymond MAGDELAINE

L’âme ?

C’est quoi l’âme Raymond ?

Il est difficile de répondre à cette question en occident où la grande majorité de l’humanité s’est coupée du subtil, le niant. L’occident renie l’âme, il ne reconnaît que nos cinq sens. Je ne sais pas si tu te rends bien compte combien cette manière d’observer le vivant est réductrice ?

L’enfant à sa naissance possède toutes ses capacités extra sensorielles, pendant que les capacités sensorielles du corps continuent de s’affiner.

Les capacités dites extrasensorielles sont la précognition, la télépathie, l’empathie, la clairvoyance, la clairaudience, la vision des auras, j’en passe… Elles sont toutes présentes en nous, mais la grande majorité d’entre nous les ignorent et ne savent ni les utiliser ni les ressentir !

Les capacités sensorielles, vous les connaissez tous, sont : la vue, l’ouïe, l’odorat, le touché et le goût. Les plus utilisées, la vue et l’ouïe permettent de voir ou d’entendre une très faible partie du spectre des couleurs et des sons existants !

À la naissance l’enfant va perdre 50 % de ses capacités extra sensorielles, vers l’âge de trois, il va encore en perdre 50 %, vers sept ans, même perte et la dernière perte se produisant autour de quatorze ans… à cet âge l’humain, n’as plus que 6,25 % de ses capacités, et ses autres sens sont en principe achevé !

Pour schématiser, l’humain est doté de cinq sens, auxquels s’ajoutent 6,25 % de capacités extrasensorielles.

Quand je dis que nous perdons, nos capacités extrasensorielles, il faut entendre qu’elles s’effacent, qu’elles passent au second plan, elles sont simplement enfouies en nous, la perte n’est qu’une illusion, elle n’est pas effective, nos capacités végètent dans notre subconscient.

Pour essayer de répondre à la question soulevée dans l’entrée en matière, et de mon point de vue, l’âme : c’est toutes ses capacités extrasensorielles, capables d’animer un corps physique, même avec les 6,25 % qui subsistent. Sans cette fraction d’âme, j’ai peur que le corps physique ne puisse plus être animé et qu’il ait l’aspect d’un légume ou d’une plante !

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En occident, on commence à peine à s’intéresser à ces supra capacités, que l’on qualifie de paranormales, parce que nous ne les comprenons pas. Nous ne les comprenons pas à cause de notre manque d’humilité. Soyons humbles et sachons reconnaître que nous ne savons rien ou si peu qu’il me semble ridicule de vouloir affirmer ou infirmer ce que nous ne connaissons pas !

Pour avoir des réponses, il faut, c’est mon avis, se poser des questions et chercher… chercher encore… chercher toujours.

Tu es donc un corps physique animé par une âme qui va essayer de te guider sur ta voie avec les 6,25 % restant. C’est te dire comme tu es sourd et aveugle à ses messages. Surtout si tu crois ce qu’on t’a enseigné, c’est-à-dire que ta conscience (autre nom de l’âme) est localisée et produite par ton cerveau !

Tu es comme Don Camilo, avec Jésus, qui n’a jamais cessé de répondre à ses questions et qu’il n’entendait plus.

« Sourd et aveugle, nous sommes… » dirait Maître Yoda, et fait dire aussi au prophète Isaïe : « Ils ont des yeux et des oreilles, mais ne voient ni n’entendent » !

Cet aveuglement et cette surdité sont notre défi ici-bas !

Souhaites-tu le relever ?

Si oui, ton travail ici-bas doit consister à te reconnecter à ton âme en augmentant ton niveau vibratoire.

Je t’avais dit que je te donnerais la recette pour augmenter ce niveau vibratoire, je vais essayer de te faire toucher du doigt cette possibilité que tu es le seul à pouvoir mettre en œuvre.

Les ingrédients de la recette :

  • L’humilité,
  • la compassion,
  • l’amour de toi et de ton prochain,
  • la confiance en toi.
  • Fais du passé tes fondations,
  • construis l’avenir dans l’instant présent,
  • forge tes propres opinions,
  • laisse-toi guider par tes intuitions,
  • vit pleinement, intensément
  • laisse couler la vie sans offrir de résistance,
  • ajoute d’autres ingrédients !

Accommode ces ingrédients à ta sauce, car toi seul es le maître d’œuvre.

Bon appétit belle âme !

Raymond MAGDELAINE