Responsable je suis

Je ne suis ni devin ni prophète, surtout pas prophète et encore moins prophète en mon pays, comme l’a réalisé un homme du nom de Jésus il y a plus de 2000 ans.

Non, je ne suis qu’un être humain, comme les autres, avec mes défauts et mes qualités, comme tous les autres, ni meilleur ni pire (enfin je l’espère).

J’ai longtemps cru, moi aussi, que les autres étaient responsables, de mes malheurs, qu’ils s’ingéniaient à me vouloir du mal, mes amis, mes collègues, mes parents et tutti quanti !

J’en ai même voulu à « Dieu », c’est vous dire le désarroi dans lequel je me suis retrouvé, après les épreuves douloureuses que je subissais, que nous subissions avec Maryse.

Il m’aura fallu du temps, beaucoup de temps, pour comprendre, que ni les autres ni Dieu n’étaient responsables de mes malheurs, que le seul responsable, dans tout cela, c’était moi et uniquement moi.

Bien sûr, que pendant toute cette période, j’ai dit ou fait des choses, par réaction, qui ont eu des conséquences, sur mes proches, sur mes amis, sur mes collègues… car moi aussi j’avais oublié, ou pas voulu voir que nous sommes tous liés, très intimement, les uns aux autres !

J’en assume maintenant pleinement, toutes les conséquences, même les plus douloureuses, car je sais aujourd’hui que tous les hommes récoltent, ce qu’ils ont semé.
Quand finiras-tu par le comprendre ?

Je récolte donc, sans rancune, sans haine, dans l’amour, toutes les conséquences de mes, actes, de mes paroles, de mes écrits, de mes intentions… dans le pardon, sans attendre que l’on me pardonne mes crimes de lèse égo !

Je sais que tous les êtres humains, à part quelques très rares Saints (et encore), sont imparfaits, et qu’ils sont venus ici-bas afin de s’améliorer, ce qui n’est pas facile tous les jours, pour tout le monde, sans exception !

 « Oui, je l’affirme, tout peut-être pardonné à autrui, même ce que l’on a cru être, à jamais, impardonnable… et heureusement ! ».

Raymond MAGDELAINE

Avertissement solennel

Ce que tu dois comprendre, toi qui en 2017 vas prendre les rênes du pouvoir… qui que tu sois !

Le peuple de France en a marre qu’on le prenne pour un veau (pour rester poli) !

Il ne supporte plus les mensonges de tous ceux ou de toutes celles qui prétendent vouloir son bien !

Il n’en peut plus de toujours payer pour des faits qui ne sont pas de son fait !

Il n’en peut plus d’essayer de faire vivre sa famille de manière décente, avec des salaires gelés et une inflation galopante !

Il n’en peut plus de ce parcours du combattant qu’il est obligé d’effectuer pour exercer son droit aux soins les plus élémentaires, à un logement accessible à ses revenus, pour trouver un emploi en rapport avec sa formation, pour vivre décemment avec une retraite indécente…

Il ne veut plus d’une Union européenne manipulée par les marchés et les banques qui imposent aux peuples des pays y participant des restrictions de plus en plus draconiennes alors qu’elles et eux continuent à s’en mettre plein les fouilles !

Il n’en peut plus d’être plumé comme un pigeon, pressé comme un citron, d’être le dindon de la farce, en clair ; 

D’ÊTRE PRIS POUR UN PAUV’E CON !*

Message « pas subliminal » à celui ou celle qui ne veut rien entendre !

Il ne supporte plus que les partis politiques lui fassent sans cesse des promesses qu’ils ne tiennent jamais, que ses mêmes partis sachent mieux que lui ce dont il a besoin.

Il en a marre que l’expression de son vote lors des diverses élections ne soit pas prise en compte ou qu’il soit détourné par une figure de rhétorique toujours fallacieuse !

En clair ! 

IL VEUT QUE TOUT CELA CHANGE DE MANIÈRE RADICALE.

En clair ! 

IL VEUT LE RETOUR D’UNE VRAIE DÉMOCRATIE, CELLE DU PEUPLE SOUVERAIN.

C’EST CLAIR ?

 

* Traduction mal polie du « veau » empruntée à un « très grand » général !

Raymond MAGDELAINE

Croire

Croire au père Noël plutôt que de croire en Dieu semble être, de mon point de vue, le problème majeur de nos sociétés dites modernes et qui se croient évoluées.

Dieu est devenu au fil du temps un objet puéril qui est une marque, pour les plus « évolués » d’entre nous, d’une faiblesse de l’esprit, un manque de maturité pour ne pas dire une pathologie de type psychiatrique.

Par contre cette même société, n’hésite aucune seconde à laisser croire, à des esprits qui s’éveillent à l’existence, au père Noël, c’est-à-dire à un mythe, lui aussi, imaginé de toute pièce par l’humanité, pour créer pendant un temps limité, celui de l’enfance, un monde merveilleux, auxquels les adultes qui le propagent se laissent prendre à leur tour.

Ce mythe ancien perdure dans notre société avec son côté mercantile bien sûr, mais aussi son côté merveilleux, chargé de sens, aussi bien pour les enfants que pour les adultes qui se prêtent délibérément au jeu, sans se soucier du quand dira-t-on.

Pendant que se développe cette « croyance » librement consentie, l’homme rejette Dieu à qui, tel Carmentran (personnage en carton de tradition provençale), il attribue toutes les misères de l’humanité, comme si cette humanité ne se sentait à aucun moment responsable de tout ce qui lui arrive, comme si ses actes ne pouvaient avoir aucune conséquence sur elle ou son environnement !

Pourtant le père Noël, comme Dieu, contiennent des principes qui participent, chacun à leur manière, à l’évolution de l’humanité. Les deux sont chargés, initialement, d’intentions nobles qui devraient faire évoluer la société mercantile, vers plus d’humanité de solidarité, vers plus de liens qui unissent, qui rapprochent que d’indifférence qui sépare, qui divise les hommes et crée de la désespérance, de la souffrance.

Il nous suffit pour nous en convaincre de regarder dans les yeux des enfants, qui ouvrent leurs paquets, briller l’étincelle de joie, de lire sur leurs visages l’expression du bonheur de recevoir le fruit de l’amour de ceux qui leurs sont proches et qui sont l’émanation du père Noël ou de Dieu.

Le grand principe contenu dans l’un comme dans l’autre est identique, offrir son cœur, partager sa joie, consoler la peine de l’autre, soutenir celui ou celle qui en a le plus besoin… ce principe, pour moi, a pour nom « Dieu » sa manifestation et son intention est l’Amourl’amour de soi et celui d’autrui !

« Réfléchissez bien à ce que vous venez de lire, le principe est simple et élémentaire, il est contenu dans toutes les formes de vie, c’est un principe immuable, il est le constituant de toute évolution harmonieuse. »

« Appelez-le comme vous le voulez, cela ne regarde que vous, mais respectez son principe essentiel l’Amour et la vie prendra une signification plus profonde qui bouleversera et renversera toutes les idées reçues d’une humanité en perdition de sens profond. »

Raymond MAGDELAINE

To be or not to be

J’ai entendu et j’entends encore que l’égo serait une entité de type parasitaire extérieure à nous qu’il faut absolument éradiquer de nous, pour nous permettre de redevenir « normal » !

L’ange de Gitta Mallasz, à propos de son égo dont elle veut se débarrasser, lui réponds :

« Enfant stupide, ne voit donc tu pas que c’est l’un de tes plus grands maîtres ? »

Bernard Montaud nous dis qu’il se construit en quatre étapes fondamentales de notre personnalité, la première, à la naissance ou le bébé qui viens de naître va perdre 50 % de ses capacités extrasensorielles, la seconde étape, autour de 3-4 ans, la troisième, autour de 7-8 ans et la dernière, vers 12-14 ans, à chacune d’elles nous perdons 50 % de nos super capacités, ce qui a l’âge adulte, faites le calcul, ne nous en laisse plus que 6,25 % !

Ce qui explique notre aveuglement et notre surdité !

À ses étapes d’oublis de qui nous sommes, notre personnalité va ajouter des armures pour se protéger des autres dont elle pense qu’ils lui veulent du mal, nous ressemblons ainsi à l’âge adulte à un chevalier Bayard « peureux et pas du tout sans reproche », si vous voyez ce que je veux dire ?

Tout ce que je viens de décrire ci-dessus, correspond au plan mis en œuvre par notre âme incarnée, appliqué à la partie visible que l’on nomme le MOI, et que surveille avec une grande attention la partie invisible de notre âme que l’on nomme le SOI ou le maître intérieur.

Le Moi est aussi nommé la partie consciente, et le Soi la partie inconsciente de notre âme, le Soi est cette partie de nous qui connaît parfaitement notre chemin de vie et cherche sans cesse à essayer de nous ramener sur notre voie.

Au plus profond de nous nous avons relégué inconsciemment notre enfant intérieur « divin » en l’étouffant, non pas que nous soyons des brutes, mais parce que notre programme d’apprentissage ici-bas a besoin d’être coupé du divin pour expérimenter ce qui le nourrit et éliminer ce qui le détruit.

De mon point de vue, au fil de mes expériences, j’ai de plus en plus la conviction, que notre égo est ce petit garçon ou cette petite fille que nous avons été et qui ne demande qu’une seule chose au travers de toutes ses manifestations, à être aimé, plutôt qu’à être étouffé.

Ses manifestations parasitaires qui polluent considérablement notre conscience, nous empêchant d’être dans l’instant présent et de le vivre pleinement, n’est que le fruit de notre surdité, il cri ! il hurle ! et il criera et hurlera tant que nous ne prêterons pas attention à ses appels à l’aide !

Surtout ne le tuez pas, surtout n’essayez pas d’étouffer ses cris, surtout ne le considérez pas comme une entité externe à vous, il est vous, il est ce qu’il y a de plus précieux en vous, il est ce Graal que vous cherchez à l’extérieur, il est la lumière de votre âme qui cherche à vous éclairer !

Ouvrez votre oreille, ouvrez votre œil, ouvrez votre cœur, prenez le dans vos bras, consolez-le, rassurez-le, aimez-le, et tel le bébé qui pleurait la nuit il va se calmer dans les bras de sa maman. La voie de l’éveil ou plutôt du réveil c’est aussi simple que cela ; écoutez ses pleurs, prenez-le dans vos bras, consolez-le et aimez-le !

Notre carburant c’est l’Amour, sans amour nous sommes en panne de sens !

Alors oui Raymond c’est moi et parfois, je suis conscient que je peux vous agacer vous décevoir… il faut me prendre tel que je suis ou me tourner le dos… ce n’est pas mon problème, c’est le vôtre !

Un grand maître inspiré et inspirant !

Alors ! Raymond or not Raymond  ?

Raymond MAGDELAINE

Remise à l’heure des pendules

Le débat autour des évangiles canoniques ou apocryphes est un débat sans fin, qui au lieu d’unir divise.

Depuis plus de deux mille ans donc des théologiens, des historiens,  des hommes, des femmes… se sont penchés très sérieusement sur ces textes retrouvés du côté de Qumrân et ailleurs sans jamais tomber d’accord sur leurs origines et leur authenticité, pourquoi ?

Le premier obstacle, c’est la traduction de ces textes écrits en araméen, en hébreux ou en grec ancien, traduits ensuite en latin, sans oublier ensuite les traductions du latin vers le français l’anglais et autres langue.

L’obstacle majeur d’une traduction, c’est que dans les langues plus modernes il est très difficile de traduire les racines des mots extraits de l’araméen ou de l’hébreu, car nos langues n’ont pas d’équivalence à ces mots !

L’autre obstacle c’est la qualité de la traduction et l’interprétation du traducteur qui en face d’un mot peut préférer une interprétation plutôt qu’une autre !

Au fil du temps les traductions du grec, langue la plus rependue, fût tout aussi problématiques et engendra des interprétations aussi diverses que variées, phénomène qui va aller en s’amplifiant avec les traductions du grec ou du latin vers les autres langues !

Autre obstacle ; l’origine des textes, ils sont soit issus des témoins ayant connu directement Jésus, ce qui est le cas de ses disciples ou des personnes de son entourage. Plus tard vinrent les témoignages indirects de personnes n’ayant jamais rencontré le Christ et qu’on nomme des apôtres, ses apôtres eurent à leurs tours de nombreux disciples, disciples ou apôtres qui furent à l’origine des premiers évangiles et en particulier des canoniques et d’autres dites apocryphes.

Le problème des évangiles c’est qu’ils ne sont absolument pas issus des disciples directs de Jésus, qui diffusèrent en Gaule et ailleurs sont enseignement de bouches à oreilles, sous forme de transmission orale, ce n’est que bien plus tard que vont apparaître les premiers textes d’apôtres ou de disciples d’apôtres et vont constituer les bases de l’enseignement propagé par l’Église catholique, qui va après maints débats plutôt houleux n’en préférer que quatre.

Quatre évangiles très contestés, et qui ont provoqués des débats qui n’ont pas pris fin, et qui au fil du temps ont provoqués des scissions au sein de l’église catholique qui vont créer les courants du christianisme que nous connaissons tous, le protestantisme, l’anglicanisme, l’orthodoxiepour les courants majeurs qui me reviennent en mémoire, et d’autres courants mineurs, comme ceux des témoins de Jehova ou celui des Cathares… entre autres !

L’une des nombreuses victimes des guerres de religions !

Construire un dogme sur des textes aussi contestés et contestables et propager une doctrine sur des textes que l’on va imposer par la force du genre ; « tuer les tous Dieu reconnaître les siens ! » ou de celui de l’inquisition ayant conduit, entre autres, à l’extermination des cathares ou ayant conduit Jeanne d’Arc au bucher pour hérésies !

De mon point de vue, cela n’a rien à voir avec des paroles d’évangile, censées relier (religare (1)) les personnes pour leur transmettre les enseignements du Christ.

Il y a belle lurette que je ne crois plus que l’église apostolique, catholique et romaine, soit la dépositaire « légale » de ses enseignements, et personnellement je privilégie à l’heure actuelle d’autres sources plus fiables, à mes yeux, que sont les mémoires du temps (ou akashiques) dont certains, de plus en plus nombreux sont capable d’y accéder, même si elles sont contestables comme toutes sources d’informations, pour l’instant celles-ci parlent plus à mon cœur et ceux qui les diffusent ne me contraignent pas à les adopter de grès ou de force, c’est ce qui à mes yeux en fait toute leur force.

Mon seul temple aujourd’hui est celui de mon cœur, si Dieu existe, c’est dans le cœur des hommes qu’il habite et son nom est FOI, celle qui nous anime, celle qui nous fait croire en nous et pas en LUI, Dieu ne s’impose pas il nous laisse le choix de de croire ou pas en NOUS, et comme il ne fait qu’UN avec nous en croyant en NOUS nous croyons consciemment ou inconsciemment en LUI, c’est mon point de vue, et ce point de vue n’est pas parole d’évangile !

 (1) Religare ; mot latin qui veut dire relier et qui est à l’origine du mot religion !

Raymond MAGDELAINE

La calomnie

Vous êtes-vous demandé, un jour, si ceux qui pensent vous connaître ou qui le croit dur comme fer, vous dépeignent comme la femme adultère, dit autrement ; comme une prostituée, une femme de mauvaise vie, ou une femme à la vie dissolue, simplement parce que vous avez quitté un mari qui vous brutalisait.

Mari, qu’au demeurant vous n’avez pas choisis, mari que vos parents vous ont imposé sans aucune discussion possible, pour votre plus grand bien… car il n’y avait chez eux aucune mauvaise intention, vous concernant, mais quand même !

Imaginez que ceux qui pensent vous connaître vous décrivent comme une autre femme de même prénom, issue d’une autre famille plus exemplaire (plus riche, plus noble) que la vôtre et qui correspond aux mœurs et à l’image qu’ils auraient voulu que vous ayez !

Imaginez que vous fûtes devenue plus tard la femme de quelqu’un que vous avez choisis et qui vous a choisi pour être son épouse, et parce qu’on vous a collé au dos cette étiquette de femme « sulfureuse », on parle bien de vos « noces », en évoquant les noms de votre amoureux, ceux de vos parents qui étaient présents

… sans jamais évoquer le vôtre !

Imaginez quelques secondes, les situations dépeintes plus haut !

Comment vous sentiriez-vous ?

Vous n’êtes plus de ce monde, depuis plus de deux mille ans, et on continue de parler de votre amoureux comme celui qui est venu porter la lumière ici-bas, on le vénère, on le couvre de louanges, à juste titre, et de vous on continue à vous faire passer pour comme une femme étrangère à sa vie, et on continue à vous présenter comme une femme qui n’est pas vous !

Comment pensez-vous que cette femme réagisse dans cette lumière, d’où nous venons tous, comment peut-elle de là-haut rétablir la vérité ici sur sa vraie personnalité qu’on lui a usurpée ?

Je vous le demande ?

Je pense, si vous lisez mes textes sur cette femme ; Myriam de Magdala, que vous avez compris que cette situation m’est intolérable et je pense qu’elle doit difficilement la tolérer elle-même, ce sont peut-être ses émotions que je perçois chez moi et qu’elle me renvoie ici-bas où je suis un canal capable de les percevoir ?

Avant de porter un jugement, fabriqué indéniablement de toute pièce (j’en suis intiment convaincu), sur une personne, pensez à vous mettre quelques instants dans ses chaussures et demandez-vous si ce qu’on dit de
« vous » vous blesse ou vous valorise, si cela correspond ou pas à ce que vous êtes, avec vos défauts et vos qualités ?

Toute calomnie agit sur nous comme un poison insidieux !

Peut-être comprendrez-vous que la « calomnie », même affublée des meilleures intentions du monde catholique, reste toujours de la calomnie et qu’elle est « poison » !

Raymond MAGDELAINE

Que ta volonté soit fête

Marie Madeleine
ou
Myriam de Magdala ?

Épouse de Paul de Tarse, celui qui allait devenir
Saint Paul ?
ou
Sœur de Marthe et de Lazare ?

Si oui pourquoi rajouter à son prénom Madeleine ou de Magdala, Marie, sa sœur Marthe et son frère Lazare sont de Béthanie, on devrait donc ajouter à son prénom son lieu de naissance, Marie de Béthanie ?

Cette Myriam a épousé très jeune Paul de Tarse, qu’elle a quitté pour brutalité en lui abandonnant l’enfant qu’ils avaient eu ensemble !

Même de nos jours, voyez-vous, c’est encore un motif suffisant pour la faire passer pour une femme aux mœurs dissolues, pour une femme de mauvaise vie, l’église apostolique et romaine condamne encore aujourd’hui le divorce sous toutes ses formes et bien sûr c’est la femme qui hérite du péché !

Mais tout ceci est-il important, si c’est la femme adultère telle que nous la présente les quatre évangiles canoniques, n’a-t-elle pas était « Pardonnée » par celui dont elle allait devenir l’une de ses plus grandes disciples.

Trois femmes et deux hommes très importants, au pied de la croix !

N’a-t-elle pas eu le courage avec la Vierge Marie, Jean, Marie Salomé et Joseph d’Arimathie, d’être présente au pied de la croix pendant son martyre et de recueillir son corps meurtri ?

Après la mort de celui qu’elle a aimé (peu importe la forme de cet amour), n’est-elle pas partie en Gaule porter avec de nombreux autres apôtres la parole d’amour de Jésus-Christ ?

Il est dit qu’a la Sainte Baume elle a reçu après sa mort la visite des plus grands de ce monde, des rois, des princes, des évêques, des papes, des compagnons du Tour de France, les futurs maîtres ouvriers… pas les coureurs cycliste !

La Sainte Baume fut, dit l’historien, la seconde destination sacrée empruntée par les pèlerins du monde entier après celle de Saint Jacques de Compostelle, destination qui existait bien avant le christianisme.

Plus de deux mille ans après, sa vibration est encore plus forte, encore plus nourrissante, pour ceux qui ont soif d’amour, de l’amour du prochain.

Ce jour-là, un vieux couple de Chinois a monté, avec nous les sentiers de la Sainte Baume pour aller s’abreuver à cette source inextinguible et qui monte en puissance, dans les cœurs de ceux qui sont la nouvelle humanité, ils sont là ne vous y trompez pas, ils ne s’affichent pas comme tel, mais ils se nourrissent de sa vibration !

Cette vibration puissante qui émane de Marie Madeleine est incontournable, car elle fait partie d’un dessin divin, celui mystérieux de l’évolution harmonieuse de toute forme de vie, l’humanité incluse !

Que ta volonté soit fête !

Raymond MAGDELAINE

A toi mon frère ou ma soeur

Toi qui es de ma famille
ou
qui dis être mon ami
!

 Sais-tu ce qu’écouter veut dire?

M’écoutes-tu avec tes oreilles,

ou m’écoutes-tu avec ton Oreille ?

Entends-tu les maux qu’expriment mes mots,

ou ne t’intéresses-tu qu’à tes réponses ?

Sais-tu ce que j’attends de toi?

En tous les cas pas les recettes ou les solutions,

que tu n’arrives pas à mettre en œuvre pour toi !

Je n’attends rien de toi, si ce n’est :

Que tu me prêtes une Oreille attentive,

sans commentaires, sans jugements.

Que tu me souris pour toute réponse,

ou que tu prennes ma main sans dire un mot.

Cela s’appelle faire preuve de compassion.

Si l’Amour est l’arbre, la Compassion est le fruit à offrir !

Chacun doit porter sa croix,

je ne te demande pas d’être Simon de Cyrène,

juste être là,
lorsque j’en ai le plus besoin.

Raymond MAGDELAINE

Que dois-je faire ?

Que dois-je faire pour tout ce qui souffre sur cette planète ?

J’ai bien dit TOUT et pas seulement toutes et tous !

Alors que je n’ai que deux mains pour servir !

Deux bras pour consoler les peines !

Un cœur pour AIMER sans perdre la raison !

Que doit faire le petit colibri que je suis ?

La réponse est contenue dans la légende amérindienne !

« Je fais ma part »

Ni plus ni moins !

Je fais du mieux que je peux !

Avec mes faibles moyens, en apparence !

Mais faire ma part, je dois !

Plus de sept milliards de frères et de sœurs !

Imaginez une fraction de seconde,

Le pouvoir colossal de ceux qui font leur part !

Colibri je suis !

Colibris, nous sommes !

Titans, nous serons…

Si nous agissons !

Arrête de te lamenter et agis!

Raymond MAGDELAINE

La rencontre

Qu’est-ce qu’une rencontre ?

Est-ce une circonstance purement hasardeuse qui forcément n’aurait aucune signification particulière à par une rencontre fortuite ?

Est-ce une attraction irrésistible de deux êtres en osmose avec leur niveau vibratoire, qui s’aimantent mutuellement sans se consulter simplement par le fait que leurs intentions s’attirent comme deux aimants, pour s’enrichir de leurs expériences ?

Dans le premier cas, je peux être séduit par l’apparence de l’autre, un temps… le temps de me rendre compte, que je cherchais en lui ou en elle ce qui est déjà en moi, mais que j’ignore, ou que je n’ai pas encore trouvé ! Alors je le quitte ou il me quitte dans l’illusion qu’il ne m’a pas compris, que nous ne nous sommes pas compris, alors que c’est moi qui n’ai pas encore compris qu’il est moi.

Dans le second cas, je n’attends rien de lui et il n’attend rien de moi, nous apprécions simplement le fait qu’il fait bon être ensemble à s’imprégner en silence de nos lumières, sans nous sentir obligés de discourir, être avec lui ou avec elle et laisser nos deux énergies se mélanger intimement suffit au bonheur d’être un !

Je te vois, mais toi, me reconnais-tu ?

Regarder vivre l’autre, c’est se regarder vivre, c’est se remplir mutuellement des énergies que nous offre la vie, s’en chercher à les comprendre ou à les intellectualiser, en se contentant de nous sentir vivre, de nous sentir en harmonie avec lui sûrs et certains que la symphonie de la vie est en train de s’infuser tout en nous vivifiant.

L’autre c’est moi et moi je suis l’autre, naturellement sans chercher à me l’approprier, en comprenant bien qu’il est moi et que sans lui je suis amputé de quelque chose de fondamental en moi qui ne peut que m’empêcher de vivre pleinement, l’autre est mon complément d’objet direct, sans lui je ne suis qu’un handicapé, je suis en panne d’essentiel !

Une rencontre c’est une grâce divine, nous permettant de nous découvrir dans son regard, d’y découvrir un jumeau, notre reflet, pour tout au fond y percevoir une parcelle de LUI, l’autre est l’instant présent, la quintessence de SA création, que nous le voulions ou pas SA création est DIVINE, car elle est le résultat d’une alchimie qui dépasse notre entendement !

Remercions l’autre d’être ce qu’il est, car il apporte une image de nous que nous ne connaissons pas encore et sur laquelle il nous faut travailler encore et encore, nous apportons à l’autre une image de lui sur laquelle il doit aussi travailler, car il nous faut sans cesse remettre notre ouvrage sur le métier !

Cet ouvrage-là n’est plus du ressort du Créateur, il est du ressort de la créature… c’est ainsi depuis la nuit des temps… accueillons l’ouvrage que nous avons à faire et remercions l’autre de nous montrer ce qu’il nous reste à faire avant de pouvoir atteindre la perfection, activons-nous, car nous avons encore beaucoup de pain sur la planche !

Raymond MAGDELAINE