Le corps, la matière… sont constitués de 99,999 % de vide sidéral… sidérant, non ?
L’espace, le temps, n’existent pas, ils sont une construction de la conscience,
Le vide, extérieur à la matière est plein d’énergie qui assure la cohésion de la matière,
L’énergie, est le support d’une information qui communique avec les particules, la matière, les cellules…
L’information, extérieure à la matière est une conscience COSMIQUE, interagissant avec les grandes structures de l’univers,
L’univers, fournit les particules à la base des toutes les grandes structures de l’univers,
Les particules, en s’associant vont être à la base de toutes les cellules constituant le vivant, de l’organisme microscopique, aux plus grandes structures de l’univers.
Le vide, à l’intérieur du vivant communique en permanence avec le vide qui l’entoure,
Le langage, qu’ils utilisent est binaire, il est d’essence mathématique, c’est un langage universel,
Les diverses formes de vie sont la conséquence d’une adaptation du vivant à son environnement qui l’informe en permanence et à la tâche qu’elles doivent accomplir.
Cette conscience UNIVERSELLE mystérieuse a été interprétée par les consciences des espèces les plus évoluées, comme un DIEU TOUT PUISSANT, créateur (ce qui n’est pas faux !)
L’univers ou les univers, les galaxies, les étoiles (notre soleil), les planètes (la Terre) sont tous dotés d’une conscience, adaptée à la tâche qu’ils doivent accomplir,
La tâche peut être comparée ici-bas, à la graine d’une plante, le gland contient das sa graine la forme du chêne et la tâche qu’il va accomplir au cours de son existence, le zygote contient, le code génétique de la forme et de la tâche des animaux et celles des hominidés qui ne sont qu’une évolution de plus en plus complexe, d’un plan en continuelle évolution et qui n’est pas du monde où l’on vit.
Le début de la tâche et la fin de la tâche ne sont qu’un continuum qui échappe TOTALEMENT à nos capacités cognitives encore en chantier !
TOUT est CONSCIENT et communique avec TOUT, TOUT est INTERCONNECTE et INTERAGISSANT.
Le défi, de toute l’humanité est de finir par comprendre qui elle est vraiment et quelle est la tâche qui est inscrite dans son code génétique !
Le piège, dans lequel ses peurs de vivre l’enferment, c’est de croire qu’il est un DIEU et que tout ce qui l’entoure lui appartient,
Dit autrement, c’est de croire qu’il n’est qu’un corps putrescible et que sa conscience, meure en même temps que lui !
Autrement dit, sa croyance en sa MORT explique à elle seule, les puérilités d’un enfant qui se refuse ou qui a peur de grandir, d’évoluer.
Le cycle de la vie est un processus infini, incluant les deux étapes que l’on nomme la naissance (notre manifestation dans la matière) et la mort (notre retour à nos origines de pure conscience) !
Toi y en a compris Marcel (le) ?
….
Oui !
Alléluia !
Atèle-toi vite à ta tâche, nous avons besoin de tes bras !
Si
j’en crois les récits des mémoires du temps[1], visités ou plutôt revisités par Daniel Meurois dans les deux
tomes du « Livre secret de Jeshua », Jésus (Jeshua) serait la
réincarnation de Zarathoustra[2] !
Zoroastre,
aurait prêché en son temps des enseignements proches de ceux du maître Jeshua,
l’amour de soi, celui de son prochain quel qu’il soit… comme étant une
facette de soi et un miroir du grand tout.
Il enseignait la tolérance et un
roi dit on l’aurait pris comme conseiller pour transmettre à son peuple des
enseignements qu’il partageait complètement.
Il accepta cette offre du
souverain pour, pensait-il, enseigner à un plus grand nombre ce qu’il
faisait déjà à des groupes plus restreints.
Il confondit, sûrement sur la fin
de sa vie, conversion librement consentie et forcée,
car parmi ceux qu’il tentait de convertir, certains étaient plutôt réfractaires,
et il prit, à contrecœur de ses convictions profondes, la décision de les
convertir de force en les menaçant du bûcher ou de la croix ?
Ainsi parlait Zarathoustra,
pendant sa vie !
L’échec « apparent »
pendant son incarnation finis par décider sûrement l’esprit de Zoroastre de se
réincarner en fusionnant son âme à celle du maître Jeshua, pour comprendre et
corriger l’erreur qu’il avait commise en tentant de convertir de force, ceux
qui n’étaient pas prêts !
Voici mon
interprétation, de ce que j’ai compris des derniers instants et des paroles du
maître Jeshua, prononcées sur le Golgotha !
Ce Jeshua de Nazareth enseigne lui
aussi l’amour de soi et de son prochain sans chercher à convaincre, pendant
trois ans. Les prêtres du temple, quant à eux, veulent lui faire renoncer à sa quête,
ne pouvant pas le condamner à la lapidation pour Blasphème,
ils le confièrent à Ponce Pilate, seule autorité en Judée capable de
rendre la justice, qui le condamna donc, contre sa volonté, à la
crucifixion[3].
Ce maître Jeshua, de mon
point de vue, dans son incarnation, n’avait plus qu’un voile à ôter
pour lui permettre de percevoir la réalité de l’être, la sienne bien entendu, c’était
la raison de son incarnation, mais aussi celle d’autrui, celle de son
père, celle de la création ?
Le voile se lève, lorsqu’il exprime à haute et intelligible voix (rapporté dans les évangiles) « Pourquoi m’as-tu abandonné ».
Au moment précis où le dernier voile se lève il comprend, quelle a été son erreur du temps ou il était Zoroastre ;
« Ils n’étaient pas
prêts ! ».
Immédiatement
après il va prononcer à haute voix « Pardonne-leur, ils ne savent pas ce
qu’ils font!
», c’est du moins ce qui est rapporté dans les quatre évangiles, mais de mon
point de vue ce n’est pas ce qu’il a dit ?
C’est ici que
commence mon extrapolation, si le voile s’est déchiré
à ce moment précis de sa vie, ce que je crois dur comme fer, si je mens je vais
en enfer, il a plutôt dit :
« Pardonne-moi, je ne
savais pas ce que je faisais en ces temps-là ! ».
C’est pour
cette raison, je pense, que le cycle de ses incarnations s’achève ici, sur ce
Golgotha !
Sa vie quant à elle continue, mais
sur une autre fréquence vibratoire, où il n’a plus besoin d’un corps
physique pour ôter ce qui cache la nature profonde de l’être !
D’autres
voiles seront encore à ôter, sur d’autres plans subtils, qui sont peut-être
infinis, pour dévoiler une réalité bien plus vaste qui échappe complètement
à notre entendement d’humain[4] !
Ainsi s’accomplit Jeshua sur le Golgotha !
[1]Récits dont
l’authenticité est tout aussi crédible que ceux des récits des diverses
croyances ou les assertions des non-croyants de la planète, où aucune preuve,
vérifiable scientifiquement parlant, ne peut accréditer ou discréditer
les écrits et les dires des uns ou des autres !
[2]Zoroastre, Zarathushtra
ou Zarathoustra (en persan : زرتشت ; en avestique : Zaraϑuštra ;
en grec : Ζωροάστρης, en kurde Zerdest) est un « prophète », fondateur du
zoroastrisme. Il est difficile, étant donné l’époque et l’importance du
personnage, sources de nombreuses affabulations, de donner des dates et des
lieux précis à son sujet. Il serait né dans le Nord ou l’Est de l’actuel Iran.
Traditionnellement, l’histoire de sa vie est présentée comme se déroulant entre
les VIIe et VIe siècles av. J.-C., mais de nouvelles études tendent aujourd’hui
à repousser cette estimation pour finalement situer sa vie entre les XVe et XIe
siècles av. J.-C.
[3]Résumé très
succinct d’une histoire que vous connaissez, croyant ou pas, aussi bien que moi
!
[4] Avec mon
entendement ou plutôt mes croyances ou non-croyances, ce serait présomptueux de
ma part d’affirmer que je connais la véritable nature de l’être qui m’habite,
je t’en laisse toute la responsabilité et attends de toi, avec impatience, une
démonstration magistrale de ta science infuse !
Que nous le voulions ou pas un jour ou bien une
nuit, venu de nulle part surgira notre « dernier Golgotha », notre
dernière épreuve, celle qui nous révèle à nous même et qui nous mène vers une
vie après la vie !
Oui, même le
maître Jeshua a craint cette dernière épreuve, oui il a douté « Père
pourquoi m’as-tu abandonné ?» pas de son Père, de Notre Père, mais de
lui, de ses capacités à surmonter cette épreuve du Golgotha, que nous associons
tous à la Mort !
Il a eu peur
que les souffrances que son corps physique allait subir ne l’empêchent de se
délivrer de ses peurs.
En cela, ce
Jeshua ne diffère de nous que dans la force innée de son esprit, lui permettant
d’accepter ce qui doit lui arriver afin de lui permettre de passer de l’état de
l’être à celui de l’esprit à re naître, que nous sommes tous !
OUI, tu as
bien lu, « Nous sommes tous ESPRIT » avant de nous incarner dans un
corps une forme où nous croyons n’être que ce CORPS cette FORME !
Il n’est pas le
premier ni ne sera le dernier à réapparaître aux autres sous la forme d’un
corps physique difficilement reconnaissable par eux pour qu’ils puissent le voir
avec leurs yeux, car il n’est plus corps de matière fait d’atomes, mais un corps
plus subtil fait de photons… de lumière visible !
Oui, comme
lui, nous comprendrons tout ceci après notre Golgotha, cette dernière épreuve,
ici-bas, qui nous révélera nos origines de lumière.
Quand dans le
livre de la Genèse il est écrit « Que la lumière soit et la lumière fut ! »,
il faut entendre quand la lumière, les photons apparaissent, alors les atomes
naissent et nous naissons avec eux !
Quand dans ce
même livre il est écrit « Au début était le verbe et le verbe était Dieu ! »
là aussi il faut entendre quand le « son » qui est une composante invisible,
mais audible de la lumière, des photons, l’esprit (Dieu) emplit (anime) la
matière et la matière devient consciente !
Waouh !
L’homme, comme
toutes les autres espèces, de la plus minuscule (la particule) à la plus gigantesque
(l’univers, les planètes, la matière…) est Verbe, ou Esprit ou Conscience, si
tu préfères !
Ne plus croire
en l’essence de l’univers et de tout ce qu’il contient est perdre le sens de la
création qui n’est qu’un esprit capable d’animer même la forme physique la plus
« athée » de la création !
Dieu,
l’Esprit, qui nous anime, n’a aucune chapelle, il anime, il vit et croît en
toutes les chapelles.
Croire que
nous ne sommes qu’un corps n’est pas la preuve de notre « bêtise », c’est
simplement la preuve de notre « incommensurable ignorance ! »
Que
l’esprit sein, qui nous anime te sorte, mon frère ma sœur, d’une torpeur qui
pourrait être funeste à ton corps composé d’atomes, qui pourraient redevenir
photons, plus vite que prévu !
«
Tu es Simon-Pierre », de son vrai nom Simon Bar-Jona « Simon,
fils de Jonas », « Heureux es-tu, Simon fils de Yonas : ce n’est pas la
chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux. Et
moi, je te le déclare : Tu es Pierre,et sur cette pierre je bâtirai
mon Église[1]
; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle. », lui aurait dit
Jésus, si j’en crois les quatre évangiles, choisis de manière collégiale par
les Papes successifs !
C’est lui qui effectivement bâtit
la première église où il y fut le premier Évêque, le premier Pape !
Mais contrairement à ce que souhaitait son maître qu’il avait reconnu comme étant le Messie « Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant ! », Simon-Pierre va construire la toute première église sur ce qu’il avait compris des messages du Messie, en y excluant la femme, toutes les femmes, aussi nombreuses, pourtant que les disciples hommes qui accompagnaient ce Messie sur les routes de la Judée, de la Galilée et de la Samarie…
Pourtant dans les évangiles
canoniques, où la femme y joue un rôle très secondaire, il y est dit clairement
que ce « Rabbi » avait deux disciples préférés en désignant Jean
et Myriamde Magdala, autre preuve,
à mes yeux,qu’elle était pour ce Jeshua de Nazareth, beaucoup plus
qu’un disciple.
Tant que nous ne ferons pas entrer
« complètement » la Femme dans l’église de Simon-Pierre, ou plutôt devrais-je
dire celle « de l’église actuelle au cœur de Pierre », elle
restera à mille lieues des messages d’amour, de paix, de liens
fraternels (Religion signifiant ; créer des liens), qui sont
les messages essentiels de ce Christ, de ce « Cristal » qui laisse passer la
lumière, et qui devrait constituer la charpente fondamentale de son église à «
LUI » et pas celle que les Hommes au cœur de pierre (le pouvoir patriarcal) ont
construit et qui s’effondre sous nos yeux comme se sont effondrées les
murailles de Jéricho !
« Errare
humanum est, perseverare diabolicum »
Un
très beau film que je vous conseille de voir « Marie Madeleine »,
revisite l’histoire des premiers disciples du christianisme en remettant la
Femme, toutes les Femmes au cœur de cette phase primordiale d’un Christianisme
dévoyé au fil du temps par l’hégémonie des Hommes d’Église !
Dialogue
extrait du film Marie Madeleine :
Comment sera-t-il le royaume ?
«
Il est tel un grain, un grain de sénevé qu’une femme ramasse et plante dans son
jardin. Il grandit, il grandit… et les oiseaux du ciel viennent y faire leur
nid dans ses branches. »
Mon
interprétation de cette parabole :
« Il sera (le royaume) issu de la
graine que vous ramasserez et planterez dans votre jardin (votre cœur), il y
grandira, grandira… (sous-entendu si vous le vivez intensément dans votre
corps) et alors… les enfants de la terre (ce qui est en bas sera comme ce qui
est au ciel) pourront y vivre en paix (ils pourront y faire leur nid) ! »
Myriam
de Magdala est la seule dans ce film à avoir compris la parabole utilisée par
Jeshua, qui annonce à tous ces disciples l’arrivée du Royaume, en ajoutant même
qu’il est déjà là au moment où il leur annonce !
Plus
de deux mille ans plus tard qui a compris cette parabole-là, qui a compris
toutes les autres paraboles de celui qu’on nomme le Messie, qui ?
Raymond MAGDELAINE
[1] Il ne lui dit pas de bâtir sa
vision à lui de SON église, mais lui demande de bâtir celle qu’il enseigne… ce
qui est loin d’être ce que les Hommes d’Église ont fait !Hélas !
Je la découvre pas à pas, l’air de rien, sans vraiment m’en rendre
compte, même en cherchant ailleurs en pensant que l’herbe y est plus verte,
même lorsque je me fourvoie ou que j’emprunte une impasse.
C’est en me fourvoyant même que je me rends mieux compte que ma
quête ne peut aboutir, c’est là que les messages de mon soi profond, se font
plus insistant, pour m’indiquer que je ne suis pas ou plus sur ma voie !
Au début nous pensons tous que c’est nous, notre petit moi, qui
décide de mettre le cap sur l’Inde ou le Tibet, alors que nous sommes nés à
Pantruche (Pantin en argot), pour y découvrir un dieu, une religion, une
culture qui pensons-nous correspondra mieux que la nôtre !
Errare humanum est, nous ne
nous souvenons plus, qu’avant de nous incarner, nous avions choisi les parents
(le milieu social) leur culture (leur croyance) le pays et la région où va se
dérouler notre re découverte du soi afin de le faire croître dans les
conditions les plus favorables choisies d’un commun accord avec nos guides
d’incarnation, l’as-tu oublié ?
Perseverare diabolicum, vouloir
aller voir ailleurs si l’herbe y est plus verte n’est peut-être pas diabolique
dans le sens que l’on veut nous faire croire, le diable, Satan n’étant qu’un
obstacle mis sur notre chemin pour que nous nous en affranchissions, et nous
rendre compte que le bonheur est dans le près (tout près de nous), qu’en fait
il est en nous[1].
Imaginons que tu aies emprunté la route de la soie ou celle de
Lhassa… ou bien celle menant à Rome, à Saint-Jacques-de-Compostelle ou à la
Sainte Baume… imaginons !
Y as-tu trouvé ce que tu croyais y trouver ; l’herbe y est-elle
plus verte, y as-tu rencontré Dieu, la Vierge, Bouddha, Myriam de Magdala,
Padre Pio, le bonheur la joie de vivre, la foi en toi, t’est tu re trouvé[2]
?
Dis-moi pourquoi tu persistes à vouloir aller chercher ailleurs,
ce qui est déjà en toi, en nous.
Arrête de croire que tu es investi d’une mission divine, que tu es
le sauveur de l’humanité.
Ta quête est bien plus grande, bien plus noble, tout en restant
humble !
Te retrouver vois-tu, accroche-toi aux branches car cela va
secouer, c’est retrouver la parcelle du UN qui est toujours en nous et que nous
croyons avoir perdu, non ?
N’est-ce pas ce que tu allais chercher ailleurs ?
Et bien en te retrouvant tu re trouve Le/La, cette unité, but de
toutes les quêtes, c’est notre Graal pour les uns ou la Pierre philosophale
pour les autres !
Comprends-tu, comprenez-vous ?
Raymond MAGDELAINE
[1]Ta route de la soie est en toi, et ne peut pas être plus près du soi,
comprends-tu ?
[2]Si c’est oui, avoue humblement que les voies de « l’uni vers Lui/Elle »,
sont impénétrables pour notre petit moi, non ?
L’hominidé a toujours été fasciné par l’esprit de la nature, sa
beauté, ses énergies visibles, mais surtout les invisibles qui se manifestaient
ici ou là comme les éruptions volcaniques, les tremblements de terre, la pluie,
le vent, les ouragans, l’orage, le feu engendré par la foudre… et d’autres
manifestations encore plus subtiles, lui ont fait penser très tôt à des esprits
supérieurs qui était à l’origine de toutes ses
manifestations qu’il craignait.
Suivant sa localisation il lui a donné des noms différents, Dieu, Jéhovah… le Grand Manitou et une multitude d’autres, comme le hasard, qui comme chacun le sait, fait toujours bien les choses.
Très vite il en a fait des idoles auxquelles il faisait des offrandes ou des sacrifices d’animaux et même humains ! pour attirer sur lui leurs mansuétudes ou pour leur demander de triompher de ses ennemis, de pouvoir tuer le mammouth, le tigre à dents de sabre, ou le mari de sa maîtresse…
Il a inventé aussi les sépultures, les cultes, les religions… pour
que ses dieux ne le laissent pas pourrir dans la terre et se charge de sauver
ou d’épargner son âme pour service rendu !
En grandissant, il a fini tant bien que mal par abandonner un certain nombre de superstitions, pour un dieu unique !
Suivant sa localisation il lui a donné des noms différents, Dieu,
Jehova… le Grand Manitou et une multitude d’autres, comme le hasard, qui
comme chacun le sait, fait toujours bien les choses.
Aujourd’hui il a commencé à abandonner cette idée puérile,
croit-il d’un dieu unique improbable, car il pense dur comme fer, si je mens je
vais en enfer, qu’il est le seul dieu véritable et que tous ses semblables sont
des imposteurs !
Oui ce ne sont pas les Dieux qui sont tombé sur la tête, mais les
faux dieux (les hommes) qui sont devenus fous, voir même fous furieux[1]
!
Il a donc des fous, des fous furieux plus précisément, qui ont
inventé de toute pièce une idole unique, à laquelle ils se vouent corps et âmes
et à laquelle ils cherchent à nous forcer à croire et à qui ils ont donné le
pouvoir qu’ils n’avaient pas, celui de s’enrichir sur notre dos (les faux
dieux) !
Le Dieu Argent, qui lui aussi a plusieurs noms, l’or, l’argent, les assignats, l’Euro, le Dollar, le flouze, le grisbi, les espèces sonnantes et trébuchantes, la Roupie de sansonnet, la monnaie de singe…
Une idole qui leur apporte, croit-il, la toute-puissance, car ils
lui font des offrandes régulières, et de plus en plus fréquentes, avec la sueur
de notre front et la « crédulité » qui nous caractérise un peu (moi
j’utilise un autre mot, mais bon… tu me connais !).
Les marchands du temple ont pris un autre visage aujourd’hui, mais ils sévissent toujours sur notre planète, devenue la cour de leur temple !
Plus pour longtemps heureusement, pour notre planète et pour notre dos !
Raymond MAGDELAINE
[1]Dis autrement « les
culs cousus d’or » ou « les puissants de ce monde » !
à savoir, qui des partisans ou des détracteurs du climat, cherchant chacun à prouver leur thèse ou leur antithèse, sans s’efforcer à aucun moment à en produire une synthèse, ont raison ou pas !
Ce que je sais, c’est que toutes les différentes formes de vies existantes ou disparues de la planète ont toutes, sans exception, joué un rôle fondateur dans les conditions de vie et la croissance que nous connaissons actuellement sur notre planète.
La planète grâce à toutes les espèces qu’elle abrite a, quand on
ne bouscule pas son équilibre, produit les conditions optimums et les
provisions suffisantes capables d’héberger les myriades de formes de vies !
Ce que je sais, en observant simplement nos comportements d’hominidé, c’est que nous participons tous et toutes, consciemment pour certains et inconsciemment pour la plus grande majorité des autres[1], au déséquilibre que toutes les autres espèces continuent de créer elles !
Ce que je sais, c’est que si nous nous refusons de voir ce qui crève les yeux de tous ceux qui ne se voilent pas la face ou créent des écrans de fumée, nous courrons à notre propre perte, celle d’une espèce qui ne sait pas ou ne veut pas s’adapter à la loi de l’équilibre et de l’harmonie que Gaïa, va finir un jour ou l’autre par rétablir ici-bas !
Libre à chacun de vous de croire ou de ne pas croire à la thèse
des uns ou à l’antithèse des autres, et de ne pas chercher à en construire une
synthèse !
Je ne cherche pas à convaincre le Tatou ou le Thomas que vous
êtes, je fais ou essaye de faire ma part de Colibri, contre vents et marées
infécond.
Ai-je
tort, ai-je raison, je ne sais pas… l’avenir me le dira !
Ce qui doit arriver arrivera, certes, mais si nous ne faisons
rien, à part nous asséner nos vérités… le pire est à craindre.
Dans les neuf phases d’extinctions massives des espèces, qui ont précédé celle que nous vivons, et que l’hominidé a recensé, ce sont les espèces qui n’ont pas su s’adapter à la loi de l’équilibre et de l’harmonie qui ont disparu!
Crois-moi ou ne me crois pas ce n’est pas mon problème, c’est le
tien, moi je vais tenter de continuer à croître sur Gaïa !
Inch’Allah !
Si l’erreur est humaine, persévérer dans l’erreur n’est peut-être pas diabolique, mais c’est une preuve, à mes yeux, d’immaturité, pour rester courtois avec toi, mon frère, ma sœur !
[1] Quelques milliers (tout au plus)
d’individus au cul cousu d’or, pillent les ressources communes de la planète,
plumes toutes les espèces et font « s’entre plumer » les hominidés
entres eux pour mieux régner et en avoir toujours plus !
ou l’utilisation de notre force vitale pour exercer notre pouvoir.
Le pouvoir entre les mains d’une ou de quelques personnes, ne donne que ce que nous pouvons constater au quotidien aujourd’hui, il ne satisfait que leurs besoins au détriment du besoin de tous les autres !
Pour pouvoir s’exercer, il a besoin d’être imposé par la force, au travers de gens d’armes et d’autres serviteurs pour faire appliquer des lois sur mesures qui leur donnent tout pouvoir sur les autres.
Chez ces gens-là
Madame, on appelle ce type de pouvoir la « démocratie », car ils ont
Madame, Monsieur, un sens très aigu de la dérision et du foutage de gueule !
Ce type de pouvoir qui ne peut perdurer que s’il est imposé par la
force doit exister sur notre paradis terrestre depuis l’apparition des
hominidés est encore en œuvre après l’achèvement de l’ère des Poissons !
Un bail !
Il est la cause principale d’un enfer dans lequel ils endoctrinent la plus grande majorité de leur semblable et de toutes les autres formes de vie !
L’enfer n’est pas une punition divine comme ils essayent de nous
le faire croire, mais bien une création lucrative de tous les tontons Cristobal
de la planète qui nous privent du paradis qu’ils se sont approprié indûment !
Ne leur dites surtout pas qu’ils sont des dictateurs, ils n’aiment
pas et vont se fâcher !
Restez bien au chaud dans vos inconforts, continuez à courber
l’échine, pour ne pas attirer l’attention sur vous et montrez-leur du doigt,
ceux qui ne veulent plus de ce système inique !
Les puissants aiment beaucoup ce type de servilité, mais n’en sont
pas pour autant reconnaissants !
Parmi les plus des sept milliards d’hominidés asservis est en
train de naître un Nouveau Monde, silencieusement, courageusement, et
inéluctablement…
Nouveau Monde qui utilise le pouvoir d’une force intérieure existant chez tous les hominidés, force innée, leur permettant de se réapproprier leur propre pouvoir, non pas pour contraindre les autres, mais pour collaborer avec tous les autres à créer de toute pièce le Nouveau Monde.
Croyants ou pas croyants nous assistons tous en ce moment à une nouvelle forme d’apocalypse annoncée par Saint-Jean, une nouvelle forme de Sodome et Gomorrhe, ou de l’effondrement des murailles de Jéricho.
Tout ceci n’étant que des images pour tenter de te faire comprendre que ce n’est pas une apocalypse divine à laquelle nous assistons tous en ce moment, mais une apocalypse engendrée par une minorité d’êtres abjects.
Une coupe qui déborde, et que plus rien ne peut plus endiguer, car
elle a atteint son paroxysme au niveau de l’insupportable !
Dans ton enfer tu peux prier et attendre indéfiniment une
intervention divine qui ne viendra pas te tomber toute cuite dans ton bec
d’oisillon qui devrait depuis longtemps avoir quitté son nid douillet, certes,
mais surtout trop étroit !
Mais bon, c’est aussi un choix que tu as, celui de faire l’autruche
en maudissant ce Dieu que tu as renié depuis belle lurette, mais dont tu
espères tout de même qu’un jour, il finira par entendre au moins tes prières !
J’invite tout hominidé un tant soit peu « humain » (1) à se mobiliser, comme le fait la jeune égérie du Nouveau Monde, au niveau de colibri (2) qui est le vôtre, et d’utiliser à bon escient toute la force qui est en vous pour coopérer avec toutes celles et tous ceux qui ont commencé à le faire un peu partout sur cette planète.
Notre pouvoir, notre puissance… c’est le Nombre !
Lâchez sans regret la planche pourrie de l’Ancien Monde (et de son
enfer) pour contribuer à construire l’unique planche de salut qui nous est
offerte, par un univers, une planète en pleine mutation !
(1)Humain : Être qui éprouve un minimum de compassion, si ce n’est pas trop vous demander ?
(2)Colibri : Être responsable de tout ce qu’il fait et entreprend, si ce n’est pas le cas reste au pied de ton mur des lamentations !
Comparable sur
le fond à celle des Gilets jaunes et autres manifestants, où tout ce qui est
dit, montré, ou écrit dans les médias sur les réseaux sociaux est fait,
sciemment, pour les discréditer aux yeux des « gogos », mais surtout pour éviter
d’évoquer le fond des problèmes soulevés par eux.
Je voudrais
avant d’aller plus loin dire quelques mots sur cette petite fille de 16 ans
Elle est
autiste, certes, mais pas décérébrée ou écervelée, l’autisme est une des formes
manifestées par de plus en plus de nouveau-nés lorsqu’ils réalisent avec leurs
sens subtils (1) dans quelle galère ils vont
mettre les pieds.
Son visage figé, comparé à un Cyborg, ne fait qu’exprimer les craintes d’un(e) enfant de vivre dans un monde apocalyptique, à tous les niveaux, et dans lequel les hommes qui tiennent les manettes du pouvoir font semblant ou font la sourde oreille.
Alors, n’est-il pas souriant, n’est-il pas malicieux le visage de cette fabuleuse enfant de l’ère du Verseau porteuse de tous les espoirs d’une humanité que ne veut pas baisser et qui ne baissera pas les bras ?
Ne sommes-nous
pas nous même plus qu’inquiets pour le monde dans lequel nous allons
contraindre nos enfants et petits-enfants à tenter de survivre, combien de
temps encore… au rythme actuel des dégradations ?
Au lieu de la critiquer, sur son âge, sur sa figure, sur les manipulations dont elle ferait l’objet et dont elle ne se rendrait pas compte ! Comme si nous adultes, enfants nous n’avions jamais été dupes des manipulations que nous avons subies et que nous continuons à subir au travers des outils de propagande et des médisances des uns ou des autres. Faisons-lui, faites-lui mesdames messieurs « Je me gausse », la démonstration magistrale et scientifique qu’elle se trompe, que les Gilets jaunes se trompent… si elle, ou eux se trompent.
Démontrez-nous
mesdames messieurs, preuves scientifiques à l’appui que tout va pour le mieux
dans le meilleur des mondes !
Démontrez-nous, que le réchauffement climatique, les pollutions du sol, des mers et océans, celles des nappes phréatiques, la destruction accélérée des forêts, des écosystèmes, l’extinction des espèces végétales et animales, qui contribuent toutes à rendre viable notre planète, n’est qu’une vue de complotistes simples d’esprit et autistes de surcroît, que nous serions ?
Oui Marcelle,
oui Maurice, j’entends cinq sur cinq, tu va quitter ma liste d’ami…
Fais-le mon ami, ma sœur, mon frère, si tu penses que c’est ce que tu as de mieux à faire… fais-le !
Si tu le fais, je te souhaite bon vent dans ce meilleur des mondes, auquel tu continues à t’accrocher comme un pétoncle à son rocher, accroche-toi bien, mon ami, ma sœur, mon frère, car je pense que cela va secouer !
——————–
(1) Les sens subtils, que je ne citerais pas ici, sont pratiquement les seuls qui permettent aux nouveau-nés de communiquer et de ressentir les émotions, les joies, comme les peurs des adultes, leurs sens ordinaires n’étant pas encore tous achevés.