Savoir se poser, apprendre à lâcher prise, apprendre à s'aimer pour mieux aimer les autres, offrir son sourire, vivre intensément l'instant présent, ne jamais se retourner sur son passé ou le regretter, ouvrir ses mains et son cœur pour donner...
Il est temps pour moi aujourd'hui de me tourner vers ceux qui souffrent, mes proches bien sûrs, mais aussi vers ceux qui approchent de la dernière épreuve.
Ma phase de formation pour faire, à partir de juillet 2013, un accompagnement de fin de vie en EHPAD (Maison de retraite) est terminée.
J’ai depuis commencé l’accompagnement de fin de vie, auquel s’ajoute tous les jeudis un atelier de lecture et de musique pour créer des liens et mieux connaître ceux que j’accompagnerais, un jour ou l’autre !
Je pratique cet accompagnement en trois temps forts,
- Le premier temps : celui du lien créé par l’atelier de lecture — musique.
- Le second temps : au cours de la dernière épreuve où je suis « présence aimante » et à laquelle peut s’ajouter le soin Reiki, pour faciliter la transition.
- Le troisième : sous forme de prières pour inciter les âmes à entrer dans la lumière. ♥
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Pour croire
tu veux toucher et tu veux voir les traces laissées par la crucifixion, et ceci
te suffit pour dire ; « j’ai vu, j’ai
touché et maintenant je crois ! ».
Ne crois pas très cher Thomas et très chère « Thomate », que je me gausse de ta
croyance à ne voir que ce tu vois et que ce que tu touches, pas du tout, je
cherche à te démontrer que ta croyance est uniquement basée sur notre ignorance, la nôtre, pas uniquement la
tienne, rassure-toi.
Car vois-tu cher
Thomas, tout ce que nous ne pouvons pas voir ni toucher, représente d’après nos
plus éminents scientifiques, accroche-toi bien aux branches, que 0,999 999 999 999 999…
% (2) de ce que nous croyons
être la matière visible et palpable.
Car vois-tu chère « Thomate »,
ce sont les photons contenus dans les rayons que le soleil darde tous les jours
sur la terre qui te font « rougir » (3), sans que tu ne les voies
ni ne puisse les toucher !
Tu
ne crois donc pas au soleil, aux parfums des fleurs, au vent, à l’air que
pourtant tu respires quotidiennement, à tes pensées, à tes peurs… ?
Ce n’est pas notre œil qui est limité, mais nos croyances qui le sont !
Ma très chère sœur, mon très cher frère, sais-tu que les
plus savants d’entre nous avouent ne connaître que moins de 5 % de ce qui
compose notre réalité !
Moins de 5 % ! Étonnant, non ?
Sur cette page j’essaye, encore et encore et toujours… car
même si parfois tu es désespérant ou désespéré, moi je ne désespère pas un jour
pouvoir te faire toucher du doigt que ce que tu ne vois pas existe bel et bien,
que tu y croies ou pas !
N’affirme jamais
toutes tes croyances si haut et si fort uniquement sur ce qui te semble
tangible, tu te limiterais considérablement, et cela pourrait t’empêcher de
mûrir au soleil, source de toute vie ici-bas !
(1) Oui, je sais qu’on dit Thomasine, mais là vois-tu je te taquine !
(2) À ce niveau colossal de pourcentage, certains scientifiques n’osent plus l’appeler matière, et préfèrent utiliser le vocable de vibration ! Tu es je suis constitué de vibrations, qui est la conséquence d’une énergie encore ni vue ni connue !À ce niveau colossal
de pourcentage, certains scientifiques n’osent plus l’appeler matière, et
préfèrent utiliser le vocable de vibration ! Tu es je suis constitué de
vibrations, qui est la conséquence d’une énergie encore ni vue ni connue !
(3) Bon, là tu comprends mieux ou je voulais en venir Thomasine ?
Je croyais te connaître et je me rends compte, en fait, que je ne connais rien de toi !
Je me croyais uni à
toi a minima par les liens du sang, des liens de fratrie, des liens de souvenirs,
des bons, comme des mauvais, des liens du cœur…
Je sais que ta maladie te ronge, que tu souffres d’un manque
d’amour, que tu caches derrière un comportement « excessivement agressif » envers ceux et celles qui ont pourtant
répondu présent à ton appel pressant pour un don de moelle !
Tu
es grand-père mon frère, ta fille ainée t’a fait un magnifique petit-fils,
qui a en lui des gènes qui sont aussi en partie les tiens, s’il te plait ouvre
ton cœur, je ne peux pas croire une seule seconde qu’il se soit desséché à ce
point.
Laisse l’amour des tiens, du sang de
ton sang te réhydrater, ne te laisse pas mourir.
La mort ne résoudra pas les problèmes que tu t’es créé ici-bas,
quoi que tu en penses, tes colères, tes souffrances… seront intactes et s’y
ajoutera une incommensurable culpabilité de n’avoir pas fait, quand tu pouvais
le faire, ce que tu aurais du faire !
Il s’appelle James,
réfléchis mon frère, je crois que c’est ton unique planche de salut !
Grand-Père je t’Aime !
Je sais que comme d’habitude tu n’as pas ouvert mon message,
que tu n’as pas vu la photo de ton petit fils !
Je sais que tu ne liras pas plus ce message sur ma page
Facebook, mais ce message n’est pas destiné à tes yeux physiques, mais à ceux
de ton âme, à ceux de ton cœur, et là je sais que j’ai atteint mon objectif, celui
de dire à ton inconscient qui le fera descendre ou pas dans ta conscience tout l’Amour que les tiens ont pour toi !
À toi et à toi seulement de
l’entendre ou pas !
Que la force de l’Amour fasse s’écrouler tous les murs de ta prison mentale dans laquelle tu t’enfermes, mon frère que j’aime !
Au
fait c’est quoi la nature, c’est quoi l’esprit ?
La nature, si j’en crois le dictionnaire, c’est ; le monde physique, l’univers, l’ensemble des choses et des êtres, la réalité. C’est aussi ; l’ensemble de forces ou principe supérieur considéré comme à l’origine des choses du monde, de son organisation.
L’étymologie du mot nature :
il est issu du latin natura
qui signifie « le fait de la naissance »
le « tempérament » « le cours des choses ». Le latin natura
est lui-même participe du verbe latin nasco issu de gnatus forme archaïque de
natus. Le natus latin
désigne « celui qui est né », celui « qui est » par naissance.
La
nature, c’est donc la
réalité dans laquelle vit l’ensemble des choses et des êtres, c’est une « force
supérieure » à l’origine des choses du monde et de son organisation. Le fait de
naître, le tempérament et le cours des choses, c’est ce qui est !
L’esprit, Partie incorporelle (1) de l’être humain, par opposition au corps, à la
matière. Principe de la vie psychique, intellectuelle ; capacités
intellectuelles, intelligence. Siège de la pensée, des
idées.
L’étymologie du mot esprit : Du latin spīrĭtus « souffle ». Substance incorporelle et
immatérielle. Âme désincarnée douée de pensée et de vie.
L’esprit, c’est donc une parcelle immatérielle des êtres « un souffle » celui d’une âme (2) douée de pensée et de vie ! Waouh !
L’esprit
de la nature, est donc une
essence immatérielle dont est dotée la réalité des choses et des êtres, qui
nous entourent et qui sont donc doués de pensée et de vie !
Je crois que les définitions ci-dessus, que tous les Thomas
peuvent vérifier dans un dictionnaire, sont suffisamment évocatrices par elles-mêmes,
mais je souhaite les compléter par la définition
du mot Vie : Activité spontanée
propre aux êtres organisés, qui se manifeste par les fonctions de nutrition et
de reproduction, auxquelles s’ajoutent chez certains êtres les fonctions de
relation.Et sonÉtymologie : état d’activité d’une
substance organisée, activité commune aux plantes et aux animaux.
L’esprit
ou les esprits de la nature ?
Vous avez compris j’espère que tout ce qui est vivant est
doté d’un esprit, d’un souffle de vie, qui est à la base de toutes nos
vibrations (3), nos actes, nos pensées, nos paroles, nos
écrits… enfin tout ce qui est à la base du mouvement incessant de la vie, qu’elle
soit ou pas apparente !
Bien sûr vous allez me dire que l’esprit n’est attribué dans les
dictionnaires qu’aux êtres humains !
Vous avez raison, mais qui a écrit ces définitions ?
L’être humain, bien sûr !
Pensez-vous vraiment qu’avec nos sens limités, les définitions dans nos
dictionnaires soient parole d’évangile ? Que tout est dit et que ce qui est
gravé sur le papier ou la pierre soit LA VÉRITÉ ?
C’est une vérité celle
de notre ignorance ou de notre volonté délibérée à ne pas voir ce qui pourtant nous
crève les yeux et que d’autres traditions de la planète ont pressenti depuis
l’aube des temps de l’humanité !
Oui des esprits gouvernent la nature
« toute la nature » parce que
l’univers dans lequel nous la vivons est
lui aussi doté d’un esprit incommensurablement plus vaste.
Oui,
c’est maintenant une évidence pour les scientifiques aussi, il y a un ESPRIT qui gouverne la
création de l’UNIVERS à la base de la nature que nous connaissons sur Terre.
Voici
ce que dit l’un des plus prestigieux scientifiques :
« En 1936 à Princeton, Einstein voit
apparaître devant lui un enfant, qui lui posa cette question : “Monsieur
est ce que vous croyez en Dieu ?”…
Albert Einstein lui dit : je
ne peux pas te répondre tout de suite, mais donne-moi ton adresse, je vais te
répondre… et une semaine plus tard, l’enfant recevra cette réponse :
“Tous ceux qui sont sérieusement impliqués dans la science
finiront par comprendre qu’un Esprit se manifeste dans les lois de l’univers,
un Esprit immensément supérieur à celui de l’homme.”
(Albert Einstein, Princeton,1936) »
…..
(1) Qui n’a pas de corps, d’enveloppe matérielle. L’esprit est incorporel.
(2) Une âme anime donc tout ce qui vit ? Objets inanimés en apparence, avez-vous donc aussi une âme ? Personnellement je pense qu’ils n’échappent pas à cette règle, même si leur mode de vie échappe à nos sens !
(3) Ce n’est pas parce que nos sens ne perçoivent pas les mouvements des objets dits inanimés, comme les minéraux ou des objets issus de cette même nature fabriquée par l’homme, qu’ils ne sont pas doté d’un esprit qui caractérise la nature, créée par LUI ou par Nous !
Les lettres de l’alphabet sont classées dans un ordre chronologique en rapport direct avec les différentes phases de l’évolution d’un être humain, la naissance, le bébé, l’enfant, l’adolescent, l’adulte… la mort (l’âme hors). Elles ont toutes une signification première et des significations dérivées de ce sens premier.
Les consonnes et les voyelles ont donc une signification
précise et sont placées dans un mot pour exprimer en premier lieu un sens au
travers de sa sonorité, petite musique qui doit aider les plus curieux d’entre
nous à y dénicher ce qui va les faire vibrer.
Il me semble aussi évident que ceux qui ont choisi d’écrire un
mot particulier (1) y ont disposé judicieusement les consonnes et
les voyelles pour qu’elles expriment une sonorité à l’oreille de ceux qui
l’entendent imageant son sens, ceci n’étant pas le fruit du hasard, mais une
volonté délibérée d’y inclure un sens ou une essence à découvrir !
Toutes les consonnes sont « muettes », pour les entendre (il faut les faire « sonner ») pour ce faire on leur associe
une voyelle (une sonorité qui génère une image
mentale, les voyelles ; elles voient). Elles ressuscitent
le texte.
Le langage est avant tout une sonorité, une petite musique entendue
qui va générer des images mentales. Images différentes d’un individu à l’autre,
ce
qui est à la base de tous les malentendus, de toutes les interprétations, mais
aussi de toutes les formes de manipulations et de formatages.
La langue des oiseaux
est un moyen individuel et personnel, ce n’est pas un outil linguistique ou
divinatoire, elle nous invite à être attentif aux sonorités du mot qui va
générer en nous une image évocatrice, pas avec nos facultés mentales, mais avec
nos intuitions, nous allons l’interpréter en fonction de notre niveau d’évolution
en lui donnant un sens différent de celui qu’on cherche à nous faire entendre.
La Torah au début n’était écrite qu’avec des consonnes, elle
était enfermée dans un coffre (un cercueil) car considérée comme langue morte.
Le Rabbin ou un récitant désigné par lui ajoutait les voyelles qui
l’inspiraient aux consonnes du texte, la Torah était, je crois, chantée… les
voyelles redonnaient vie au texte en évoquant des images chez ceux qui
l’entendaient et qui se nourrissaient de ses vibrations. C’était très gênant
pour les grands prêtres, qui avaient compris que chacun y entendait ce qu’il
voulait entendre et pas ce qu’ils auraient voulu qu’ils entendent. Ils ont donc
demandé aux scribes d’y ajouter les voyelles qu’eux voulaient faire entendre à
leurs ouailles, pour que où (ou) ils
aillent (ailles) ils répandent leur interprétation des textes sacrés !
La graphie
utilisée au court du temps pour représenter toutes ces lettres est toute aussi
évocatrice que leurs sonorités et sujette à une multitude d’évocations pour
chacun de nous.
Si le O pour
certain peut évoquer la fermeture, l’enfermement, pour d’autre elle peut représenter
l’œuf, l’ovule…
Le C peut
signifier l’ouverture, la naissance (la sortie du poussin), un arc, une arbalète,
elle peut aussi symboliser une bascule à 180 ° et bien d’autres choses en
fonction de chaque individu !
À chaque lettre est associé un chiffre ou un nombre, qui
peut aussi être décodé en utilisant la numérologie
ou la kabbale ! Je ne me suis pas encore trop penché sur cet aspect, j’explore
actuellement les potentiels des sonorités et de la graphie !
La position de la
lettre dans l’alphabet est en rapport avec un âge, un stade d’évolution de
l’être incarné. Sa position dans le mot
n’est pas non plus le fruit du hasard.
Si Annie, nie ou
renie la haine (n) elle ne le fera
qu’à la fin, car au début elle a (a) la haine (n), elle va commencer par l’explorer pour ensuite la (re) nier !
Dans toutes les langues, il existe dans les lettres, les
mots, les phrases (association de mots), un sens profond qui ne peut se révéler
aux hommes qu’après avoir exploré tous les niveaux de l’apprentissage :
Celui du
sens commun, sens global accessible aux enfants au tout début de
l’apprentissage de la langue maternelle. Il est intuitif et souvent déduit
d’une expression du visage, d’une posture ou d’une gestuelle.
Celui
d’un sens plus large, qui ajoute au sens originel, des sens dérivés qui
vont jusqu’à s’opposer à son étymologie. Une
manière d’emberlificoter les plus crédules !
Celui de
l’étymologie, de ses racines, grecques, latines… qui permet aux plus curieux de s’approcher du sens natif du mot et de
son message originel !
Celui de
l’initié, qui sait, ou commence à comprendre, qu’un autre message, une
autre essence est volontairement caché dans les mots.
Il fut trop
longtemps accessible à ceux qui détenaient un pouvoir quelconque sur les
autres, pour continuer à les manipuler.
Il
temps de le divulguer, temps de lever les secrets, d’en révéler toutes les
subtilités, qui doivent être découvertes par tous !
C’est ce que je me propose de vous faire découvrir au
travers d’exercices simples au départ et se complexifiant au fur et à mesure de
la progression du groupe. L’objectif étant d’y partager nos perceptions, nos
visions, nos ressenties, nos interprétations… ne pouvant qu’enrichir le groupe
qui voudra bien se pencher et s’épancher sur la découverte des codes subtils cachés
derrière un langage « académique » (entendre ou comprendre « figé, moribonde ») !
Mon souhait est que
les participants puissent « divulguer » à leur tour, les aspects évolutifs
d’une langue qui pourrait ainsi devenir plus universelle, comme elle
l’est déjà, à son niveau actuel, pour l’enfant en bas âge, qui ne connaissant
encore rien du langage est capable de comprendre pratiquement tout ce qu’on lui
dit. Tout comme le fait votre animal domestique !
J’aimerais que ceux
ou celles, à proximité de chez-moi dans un premier temps, qui sont intéressées,
me contactent par MP.
Pour les autres contactez-moi
si vous le souhaitez, mais surtout patientez, je cherche un moyen
d’apprentissage pratique et par correspondance et pourquoi pas audiovisuel…
plus tard !
(1) Pour tous les mots je n’en suis pas vraiment convaincu, mais pour un grand nombre d’entre eux, que je n’ai pas cherché à comptabiliser, ils détiennent une ou plusieurs clés, j’en suis intimement convaincu !
Petite extrapolation sur Dieu, qui signe, chez moi, un changement complet de paradigme à son sujet.
Dans
cette chronique de l’âme, je vais vous brosser le portrait, incomplet, de celui
que je continue à appeler « Dieu » contre vents et marées et qui se sépare définitivement
de la vision que toutes les religions monothéistes essayent de nous faire
croire et qui vont à coup sûr m’excommunier !
Tant mieux pour moi, car je ne
partage plus leurs points de vue !
Je
vais essayer ici de vous faire partager le mien !
Au début, quelques secondes avant
le fiat lux ou le big bang, Dieu observait le néant qui emplissait le vide tout
autour de lui en se disant qu’il s’y ennuyait mortellement !
Autour de lui il n’y avait rien à
observer, pas un troquet, pas une mob à chouraver, c’était un désert sans âme,
sans animation… une bouffée d’angoisse le submergeant subitement, il va, pour
sans délivrer, pousser le cri primordial avec l’intention d’animer ce vide déprimant.
Ce premier cri ; appelé le « verbe » dans la genèse ou « l’information » par ceux de nos
scientifiques les plus sérieux, fut à l’origine du fameux « fiat lux ! » (Que la lumière soit !) ou dit autrement du « Big Bang ».
Ce « cri » animé par une intention, celle de peupler le vide, désespéré
et désespérant, par une âme fondatrice, une animation porteuse d’espoir et de
croissance, généra les premières pièces fondamentales de ce que nous appelons
maintenant l’univers.
Je suis conscient, rassure-toi, que
ce que j’écris ici n’est qu’une vue de mon esprit (oui surement dérangé, tu as raison), mais qui ne se veut surtout
pas être parole d’évangile, ce n’est, j’en suis conscient (rassure-toi) que celle d’un esprit simple et pas d’un simple d’esprit, comme tu pourrais le
croire !
L’intention de « Dieu », que je ne prétends pas
connaître, à l’origine de son cri primordial, se révèle tout de même en moi en
observant attentivement tous les fruits engendrés par elle, et ce que j’y
constate c’est que « l’harmonie » y
règne majoritairement, même si je peux entendre quelques fausses notes ici ou là
qui sont le signe, non pas du « Diable »,
mais de ce qui est en cours de transformation.
C’à
y est ! maintenant, soit content dans cet univers il y des troquets et des Mobs
à chouraver, mais si tu es honnête avec toi-même tu y découvriras une
foultitude d’autres choses drôlement mieux foutues !
Si tu observes encore plus
attentivement, tu y rencontreras ou tu y découvriras, à ton tour, SON INTENTION,
qui est, sois encore une fois honnête envers toi-même, tout de même mieux
foutue que les plus belles que nous pouvons créer à notre niveau d’humain !
Force m’est de constater que mon pouvoir de
création engendré par mes intentions n’arrive pas à la hauteur de sa cheville !
Force m’est de constater, honnêtement, qu’au
stade actuel de l’humanité, ne savons rien ou pas grand-chose de ce qu’est la
réalité de sa création et de ses intentions originelles.
Ce que je constate visuellement
au travers de l’Harmonie de ces créations c’est qu’elles ressemblent toutes au paradis,
et que les miennes, les nôtres ressemblent plus à l’enfer dans lequel certains
d’entre nous cherchent à nous y maintenir.
Là, je sais que je vais me fâcher
avec beaucoup de croyants honnêtes dans leur croyance, mais ce n’est pas « Dieu »
qui a le pouvoir de nous sortir de notre enfer (notre enfermement), mais nous
seuls et toutes les prières même les plus sincères que nous pouvons lui
adresser directement ou indirectement ne serons pas exaucés, comme nous
l’entendons, par lui !
Pourquoi ?
Tout
simplement parce qu’il est Amour et parce qu’il est Amour, qu’il est notre Père
ou notre Mère (c’est pareil), sont vœu le plus cher, et que nous trouvions en
nous-mêmes et par nous-mêmes, la force de nous délivrer d’un enfermement qui
n’est que le fait de nous et de nous seul.
Il n’est pas notre planche de salut, nous sommes, et j’en suis de plus
en plus persuadé, notre unique planche de salut !
Elle
le dit elle-même (notre Mère qui est aux cieux) dans ce conseil qu’il ne faut
pas qu’entendre, mais surtout comprendre « Aide-toi
et le ciel t’aideras ! ».
Nous sommes ses enfants, d’une certaine manière, nos intentions ont la même capacité que les siennes, celle de manifester notre propre univers (1) et de le peupler de nos pensées, croire que Dieu nous impose un chemin unique pour retourner à elle, c’est méconnaître notre pouvoir et celui de son intention primordiale de nous laisser le choix de nous forger un paradis plutôt qu’un enfer ou inversement !
(1) Univers : entendre « unis vers », unis vers quoi ? la clé est donnée dans l’adjectif universel ; entendre « uni vers celle » celle et pas celui qui a poussé le cri primordial (2)
(2) Je sais qu’en disant ceci je sors des dogmes de l’Église catholique, non pas qu’ils nous mentent, mais qu’ils ne nous disent pas tout, c’est pourtant ce que Jésus son fils est venu nous rapporter du message essentiel de sa Mère, de Notre Mère qui est aux cieux ! Les blasphémateurs, sont ceux qui ne nous disent pas tout sur la bonne nouvelle, celle de SON évangile !
Yeshoua savait que la grande majorité de ses disciples hommes principalement n’avait pas compris son message, celui de l’arrivée du royaume ! Tous pensaient que c’était lui le Messie, l’envoyé de Dieu qui le ferait apparaitre en prononçant un seul mot agissant comme un coup de baguette magique qui fait surgir la colombe du chapeau du magicien.
Yeshoua savait qu’ils n’étaient encore que des enfants qui le prenaient pour le fils de Dieu, des oisillons qui attendaient le bec grand ouvert que le royaume leur tombe tout cuit dans le bec.
Mais ils savaient aussi que quelques-uns avaient compris que
c’était à eux, et à eux seuls, de créer le royaume, qui de son temps n’en était
qu’au stade d’une graine qui ne demandait qu’à être planté dans le cœur des Hommes.
Yeshoua savait ce qui l’attendait au bout du chemin, il savait qu’il ne serait pas compris, qu’il souffrirait sous Ponce Pilate, qu’il serait crucifié à la place de Barabbas, qu’il serait renié par ses propres disciples et par les Grands Prêtres, insulté raillé, par ceux qu’il avait réconfortés, il savait qu’il souffrirait le martyre sur le Golgotha, que jusqu’au bout il douterait de sa tâche ; « Pourquoi m’as-tu abandonné Père », que jusqu’à son dernier souffle il continuerait à nous aimer ; « Pardonne-leur Père ils ne savent pas ce qu’ils font ! »
Ce n’est qu’au bout de l’ultime chemin de croix que l’essence de la nature humaine nous est révélée… enfin, si nous n’avons pas trop souvent cherché à éviter de traverser trop d’épreuves.
Oui vous avez raison, choisir de s’incarner sur Terre est
loin d’être une sinécure, mais si nous voulons un jour enfin connaître vraiment
le royaume ici-bas, ce n’est pas en fuyant dans notre incarnation ce que nous
sommes venus y faire que nous arriverons tous un jour à y construire ce royaume
ou chacun sera roi.
Dis autrement, où le roi serait à la foi le roi et le
serviteur de son royaume, sans céder à la tentation de gouverner celui des
autres. De quel droit d’ailleurs, pourrions-nous gouverner un royaume qui n’est
pas le nôtre, alors que nous n’avons pas la moindre idée de la tâche que viennent
y accomplir les autres !
Au fait toi le (la) croyant(e), que j’aime profondément, toi
qui ne cesses d’attendre le retour du messie, pourquoi ne mets-tu pas en
pratique ce que ce Yeshoua est venu t’enseigner il y plus de deux mille ans,
pourquoi, ne laisses-tu pas croitre en toi ton propre royaume ?
Crois-tu un seul
instant que Yeshoua ne se rend pas compte que pas grand-chose en fait n’a changé
dans la nature humaine d’aujourd’hui qui attend toujours, que ce soit les
autres qui portent leur croix et la leur de surcroit ?
Dans mes deux dernières chroniques je vous ai parlé du rôle d’intercesseur de la femme entre la terre et le ciel, et celui aussi important que celui du créateur de mettre au monde, de fabriquer en son sein une miniature parfaite d’un être humain, mâle ou femelle (1). Et rien que pour ces deux points, mais pas uniquement que pour eux, je suis au regret de vous dire qu’elle est supérieure à l’homme, même si tout le monde je sais ne partage pas mon avis simplement par ignorance crasse le plus souvent, mais pas que !
Aujourd’hui je vais vous parler justement de ce qui en
chaque femme est bien supérieur aux hommes équipés d’un simple plantoir à
usages multiples certes, de ce qu’un peintre à représenté en nommant sont chef
d’œuvre « l’origine du monde », et ce qu’un autre a nommé « La Mandorle » (2)
ou « Mandorla », peinture un peu moins sulfureuse, mais tout aussi explicite, suivie
d’une représentation sous forme de mode d’emploi, mais réservée exclusivement
aux initiés qu’on nomme l’arbre des séphiroth (3) et qui
décrit les dix états permettant d’atteindre la perfection, rien de moins, ni
rien de plus, la connaissance étant le but ultime.
Si j’en crois Lars Muhl, c’est Miriam (4) qui enseigne à Yeshoua l’art d’utiliser « la porte » afin qu’il devienne complet et puisse poursuivre son enseignement jusqu’au bout. Pour cela elle va s’inspirer du nom imprononçable que Dieu lui-même donne à Moïse « YHWH » Yod, Hè, Vav, et à nouveau Hè, pour désigner les quatre protocoles (initiatiques) à respecter pour avoir un jour la joie ineffable d’atteindre le stade ultime de la connaissance ou de la reconnaissance de soi.
« La Porte » est
l’accès ici-bas à la voie, à la vérité et la vie éternelle (la reconnaissance).
C’est la porte que nous devons franchir pour accéder au Temple, Myriam
l’appelle « Yod » et Yod est Sagesse ; lorsque nous la
franchissons la sagesse est notre objectif.
Une fois franchi, une première
halte s’impose au point de la Reconnaissance
« Hé » ; il est nécessaire ici
d’y reconnaître les véritables raisons qui fondent notre quête avant de
poursuivre l’initiation.
À mi-chemin, une nouvelle
halte s’impose au point de la Grâce
et de la Compassion « Vav » ; celui qui est capable
de rester ici en conservant son équilibre, sera capable de métamorphoser le
désir, quel qu’il soit, en Amour Pur, Inconditionnel.
Arrivé au cœur le plus sacré du temple, la Chambre nuptiale « Hé » ; où l’union va être consacrée, devant Dieu en devenant
ainsi ses enfants, alors que dans le même temps le couple prend véritablement
conscience du sacré de cette union et de la charge qu’elle implique afin de ne
pas dénaturer le « sacrement » du mariage avec YHWH !
Le jour, où nous considèrerons, nous les hommes, l’acte
sexuel, comme un rituel initiatique, et pas simplement celui d’une salle de
jeux, alors, pourrons-nous commencer à envisager l’avenir sous de meilleurs auspices
et espérer voir un jour l’humanité sortir du son cycle infernal, pour s’engager
sur la voie, de l’équilibre des polarités, qui ne sont que complémentaires !
Pense ce que tu veux
de moi, ma sœur, mon frère, cela n’est plus mon problème pour moi, moi je « croîs » toujours en Moi !
Ne
profane plus, d’une manière ou d’une autre, ce temple, que la femme offre à
celui avec qui elle choisit de s’unir. L’accès au Temple ouvre la voie ;
à la vérité et à la vie éternelle.
Rappel
IMPORTANT ! On n’entre
pas dans un Temple, quel qu’il soit, et encore moins dans celui-ci, comme on entre et on sort d’un Moulin,
dit la sagesse populaire !
(1) J’ai fait exprès, j’aime BIEN t’entendre bougonner !
(2) La mandorle ici, exprime une autre dimension : c’est une figure géométrique dessinée à l’aide de deux cercles. À l’intersection de ces deux cercles est installée une personne. Elle indique donc la personne par laquelle il faut passer pour parcourir le chemin entre les deux cercles, les deux hémisphères ou les deux mondes, l’un terrestre et l’autre céleste. L’implantation d’une femme dans une mandorle révèle le symbolisme du passage de l’extérieur du temple à l’intérieur du temple sacré de la femme. La mandorle est utilisée alors à chaque fois pour exprimer un passage, une porte.
(3)L’arbre des Séphiroth ici, symbolise le rite initiatique s’accomplissant dans ce temple sacré pour aboutir à la reconnaissance de la complémentarité du couple.
(4) Lars utilise cette orthographe pour désigner Marie Madeleine.
Dès les premières images du film « Marie Madeleine », on entend la voix de Myriam (Marie Madeleine) dire « Il sera comment le royaume ? »« Une graine de sénevé qu’une femme ramasse et plante dans son jardin, elle grandit, elle grandit… et dans ses branches, des oiseaux viennent y faire leur nid ! » cette citation y est encore dite deux fois, je crois, elle est la clé permettant de décrire le royaume (que nous nous construisons) annoncé par Yeshoua à ses disciples, mais l’ont-ils tous bien interprétée ou bien comprise ?
Les péripéties du monde d’aujourd’hui me font dire que non,
les disciples de l’époque, les prêtres de la nôtre ne l’ont pas encore comprise,
ou n’ont pas voulu l’entendre !
Bien sûr, cette phrase évoquant le royaume qui était déjà là, il y a plus de deux
mille ans, utilise la parabole, non pas pour la rendre obscure, mais pour nous
inviter à la déchiffrer !
Ci-dessous, voici mon décodage :
C’est une graine de sénevé : entendre c’est avoir une « foi » pas plus grosse que l’une
des plus petites graines existant dans la nature, le sénevé est une moutarde
sauvage !
Qu’une femme ramasse et plante dans son jardin : là règne, sûrement, la plus grande
confusion chez les hommes qui pensent à leur sperme qu’ils plantent dans
l’ovule d’une femme… sans se rendre bien compte de la conséquence de cet acte (1)…
Errare humanum est, perseverare diabolicum!
Comprendre plutôt ceci nous devons :
ici c’est la femme qui accueille volontairement cette foi en elle, dans
l’unique temple (son jardin) qu’est son corps, car c’est elle qui a la charge et
le devoir de la transmettre à l’époux, pour que cette foi puisse se perpétuer
au travers de la procréation à la Nouvelle Humanité.
Nous avons, nous les hommes, oublié depuis trop longtemps
que la femme est l’intercesseur, le canal, entre le ciel et la terre, c’est en
cela, et bien d’autres choses qu’elle est complémentaire de l’homme, et qu’elle
offre à l’homme (à l’époux, au partenaire) ce qui lui manque le plus, l’esprit
sain(2) !
Elle grandit, elle grandit… : et de génération en génération le royaume
grandit avec elle. Cette foi (graine) toute minuscule au départ, va croître
dans le cœur des hommes (l’espèce) et finir par leur ouvrir la porte du
royaume.
Et dans ses branches des oiseaux viennent y faire leur
nid : de nombreuses demeures
(3)
vont se construire dans ce Nouveau Monde (le paradis ?) que certains d’entre nous
sont, à ce jour en train de mettre en œuvre… ou pas !
Il y a plus de deux
mille ans, en Judée et en Galilée, sont nés unnouvel Adam (Yeshoua)
et une nouvelle Ève (Myriam), à la
différence du premiers Adam et Ève, ils ne sont pas revenus, pour peupler la terre,
ceci étant fait et largement fait, non,
ils sont revenus pour y faire croître le
royaume (le paradis), avec la collaboration de la nouvelle humanité issue
de ces nouveaux Adam et Ève !
Si tu as des yeux et
des oreilles qui voient et entendent, tu te rends bien compte que depuis plus
de deux mille ans le royaume est en chantier ici-bas et qu’il contraint pas à
pas et pacifiquement l’enfer
à laisser sa place à un monde plus équilibré et harmonieux, donc pacifié, où le
partage et l’équité seront les nouvelles valeurs fondamentales.
Et si ma vision de
ce royaume annoncé est erronée, comme certains d’entre vous pourraient le
croire encore, je vous plains du fond du cœur, car entre l’enfer actuel et le
paradis en devenir, mon choix est fait et j’œuvre et œuvrerais jusqu’au bout pour
ce « royaume » où mes enfants, petits-enfants,
arrière-petits-enfants… pourront s’y épanouir, y seront les rois du royaume
qu’ils se construiront.
(1) Ici je n’évoque pas le risque d’avoir un enfant non désiré, mais de la responsabilité au travers de cet acte d’amour de transmettre, ou pas la « foi » qui est la graine en gestation du royaume.
(2) Ou Esprit pur, c’est l’esprit qui n’est pas pollué, par le mensonge, les peurs, les aprioris, les formatages de toutes sortes, l’oubli de notre véritable identité…
(3) Il y a de nombreuses demeures au royaume de mon Père, disait Yeshoua.
Je suis celui qui a
oublié qui il est, et
qui se cherche désespérément.
Je suis le feu intérieur
qui m’anime,
la braise qui cherche à renaître de ses cendres.
Je suis chenille rampante
rêvant d’avoir des ailes.
Je suis l’ange déchu qui
a perdu de vue sa voie.
Je suis démon par manque
de foi en moi
et par peur de l’étranger.
Je regarde sans voir, et
suis sourd à autrui.
Je contemple mon nombril
ou mon reflet,
en oubliant que l’autre c’est aussi moi.
J’enfonce des portes
ouvertes, je m’enferme
dans mes croyances ou mon ignorance.
Je combats les moulins à
vent, alors que c’est
en moi que souffle la tempête !
Je juge autrui sans rien
savoir de lui !
Je critique l’incompétence
des autres, assis
confortablement devant la « lucarne magique » ouverte sur l’illusoire.
Je crois tous les « menteurs »
de la terre et doute de mes propres certitudes !
Je ne crois plus en Dieu,
mais je l’accuse de ne rien faire
pour moi « pauvre pécheur ! »
Je détourne mon regard de
celui ou de celle
qui sur le bord du trottoir me tend sa main !
Je me sens seul au milieu
de la foultitude…
…
Qu’essayes-tu de faire Raymond, tu cherches à nous démoraliser aujourd’hui ?
Non Maurice, non Marcelle,
je te montre, une infime partie de tout ce qui en toi, en moi, en nous, est
encore à purifier, pour t’inviter à prendre ta destinée par les cornes, ou à
bras le corps !
Une des raisons profondes du mal-être de l’humanité actuelle est le sentiment d’incomplétude que peuvent avoir ici-bas les hommes (les mâles) et les femmes (les femelles) chez l’hominidé branche un peu plus évoluée (1) que celle du règne animal.
Je m’explique, chez l’animal, la femelle et le mâle
sont conçus afin de perpétuer l’espèce, même si ces êtres sont doués comme nous
de conscience et ont donc une âme, ils n’ont pas été conçus, comme l’Homme
(l’espèce humaine) pour devenir complémentaire.
L’humanité actuelle, explore, toujours de mon point
de vue, les différentes voies qui vont à terme la conduire à former un être
complet ayant fini de fusionner son principe masculin avec son principe
féminin.
Les voies que l’humanité explore, sont dues à une prise
conscience que quelque part au plus profond de lui-même l’Homme est incomplet,
quelque chose en lui est atrophiée et ne peux se développer, ou plutôt essaye
de se développer, mais n’y arrive pas encore, car le processus de transmutation
n’est qu’à l’état embryonnaire, au stade de la germination de la graine. Cela
explique ou peut expliquer, le choix de certains d’explorer sciemment ou pas la
voie de l’homosexualité !
À terme la voie qui s’ouvre à nous actuellement est
celle d’un être complet, dont le principe masculin et féminin ne font plus
qu’un, un être androgyne en quelque sorte, dont la fonction de procréation ne
ressemblera plus à celle que nous avons hérité du règne animal.
Ne me demande pas Marcelle,
quelle sera la nouvelle manière de perpétuer notre espèce, cela m’est
impénétrable pour l’instant !
Il y a maintenant, plus de deux mille ans, un homme du nom de Yeshoua et une femme du nom de Myriam de Magdala, deux êtres prédestinés, nous ont montré, ou ont tenté de nous démontrer que la voie que nous devons explorer n’est plus celle de la division entre l’homme et la femme, mais celle de sa complémentarité.
C’est le principe divin (celui d’un dieu, quel que
soit le nom qu’on lui donne) qui est à la fois Père et Mère, ce principe qui
n’a plus besoin du sexe pour se perpétuer, mais simplement de l’esprit qui
l’anime. Esprit que nous avons tous en nous sous une forme qui dépasse, de mon
point de vue celle de l’embryon, en s’approchant du terme de sa naissance !
Il va naître le divin enfant pur esprit !
Pour
que « la bonne nouvelle » annoncée par cet homme et cette femme soit
enfin assimilée et puisse se mettre en œuvre, il nous faut comprendre (intégrer
en nous) que l’Homme (la nouvelle espèce issue de l’hominidé) de demain doit
fusionner en lui ses deux principes, illusoirement séparés, par notre ignorance
crasse.
Nous
assistons en ce moment à cette prise de conscience qu’il est plus que temps de
réunir en nous ce que nous avons trop longtemps dissocié de nous et qui nous a
conduit là où nous en sommes !
Si
le Temple de « pierre » (2)
à Rome ne le comprend pas et bien tant pis pour lui (pour eux), qu’au moins
notre temple intérieur lui le comprenne et mette en œuvre cette réunification
de deux principes destinés à la fusion en utilisant l’Amour pour seul ciment !
(1) Évolué, ne veut pas dire forcément plus intelligent, loin de là
hélas !
(2) Ici je fais allusion au disciple Pierre qui s’est octroyé le droit
inique de transmettre son propre évangile !