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A propos Raymond

Savoir se poser, apprendre à lâcher prise, apprendre à s'aimer pour mieux aimer les autres, offrir son sourire, vivre intensément l'instant présent, ne jamais se retourner sur son passé ou le regretter, ouvrir ses mains et son cœur pour donner... Il est temps pour moi aujourd'hui de me tourner vers ceux qui souffrent, mes proches bien sûrs, mais aussi vers ceux qui approchent de la dernière épreuve. Ma phase de formation pour faire, à partir de juillet 2013, un accompagnement de fin de vie en EHPAD (Maison de retraite) est terminée. J’ai depuis commencé l’accompagnement de fin de vie, auquel s’ajoute tous les jeudis un atelier de lecture et de musique pour créer des liens et mieux connaître ceux que j’accompagnerais, un jour ou l’autre ! Je pratique cet accompagnement en trois temps forts, - Le premier temps : celui du lien créé par l’atelier de lecture — musique. - Le second temps : au cours de la dernière épreuve où je suis « présence aimante » et à laquelle peut s’ajouter le soin Reiki, pour faciliter la transition. - Le troisième : sous forme de prières pour inciter les âmes à entrer dans la lumière. ♥

L’église bâtie par Pierre

« Tu es Simon-Pierre », de son vrai nom Simon Bar-Jona « Simon, fils de Jonas », « Heureux es-tu, Simon fils de Yonas : ce n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais mon Père qui est aux cieux. Et moi, je te le déclare : Tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Église[1] ; et la puissance de la Mort ne l’emportera pas sur elle. », lui aurait dit Jésus, si j’en crois les quatre évangiles, choisis de manière collégiale par les Papes successifs !

C’est lui qui effectivement bâtit la première église où il y fut le premier Évêque, le premier Pape !

Mais contrairement à ce que souhaitait son maître qu’il avait reconnu comme étant le Messie « Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant ! », Simon-Pierre va construire la toute première église sur ce qu’il avait compris des messages du Messie, en y excluant la femme, toutes les femmes, aussi nombreuses, pourtant que les disciples hommes qui accompagnaient ce Messie sur les routes de la Judée, de la Galilée et de la Samarie…

Pourtant dans les évangiles canoniques, où la femme y joue un rôle très secondaire, il y est dit clairement que ce « Rabbi » avait deux disciples préférés en désignant Jean et Myriam de Magdala, autre preuve, à mes yeux, qu’elle était pour ce Jeshua de Nazareth, beaucoup plus qu’un disciple.

Tant que nous ne ferons pas entrer « complètement » la Femme dans l’église de Simon-Pierre, ou plutôt devrais-je dire celle « de l’église actuelle au cœur de Pierre », elle restera à mille lieues des messages d’amour, de paix, de liens fraternels (Religion signifiant ; créer des liens), qui sont les messages essentiels de ce Christ, de ce « Cristal » qui laisse passer la lumière, et qui devrait constituer la charpente fondamentale de son église à « LUI » et pas celle que les Hommes au cœur de pierre (le pouvoir patriarcal) ont construit et qui s’effondre sous nos yeux comme se sont effondrées les murailles de Jéricho !

« Errare humanum est, perseverare diabolicum »

Un très beau film que je vous conseille de voir « Marie Madeleine », revisite l’histoire des premiers disciples du christianisme en remettant la Femme, toutes les Femmes au cœur de cette phase primordiale d’un Christianisme dévoyé au fil du temps par l’hégémonie des Hommes d’Église !

Dialogue extrait du film Marie Madeleine :

Comment sera-t-il le royaume ?

« Il est tel un grain, un grain de sénevé qu’une femme ramasse et plante dans son jardin. Il grandit, il grandit… et les oiseaux du ciel viennent y faire leur nid dans ses branches. »

Mon interprétation de cette parabole :

« Il sera (le royaume) issu de la graine que vous ramasserez et planterez dans votre jardin (votre cœur), il y grandira, grandira… (sous-entendu si vous le vivez intensément dans votre corps) et alors… les enfants de la terre (ce qui est en bas sera comme ce qui est au ciel) pourront y vivre en paix (ils pourront y faire leur nid) ! »

Myriam de Magdala est la seule dans ce film à avoir compris la parabole utilisée par Jeshua, qui annonce à tous ces disciples l’arrivée du Royaume, en ajoutant même qu’il est déjà là au moment où il leur annonce !

Plus de deux mille ans plus tard qui a compris cette parabole-là, qui a compris toutes les autres paraboles de celui qu’on nomme le Messie, qui ?

Raymond MAGDELAINE


[1] Il ne lui dit pas de bâtir sa vision à lui de SON église, mais lui demande de bâtir celle qu’il enseigne… ce qui est loin d’être ce que les Hommes d’Église ont fait ! Hélas !

La route du soi…

l’unique voie menant vers soi !

Je la découvre pas à pas, l’air de rien, sans vraiment m’en rendre compte, même en cherchant ailleurs en pensant que l’herbe y est plus verte, même lorsque je me fourvoie ou que j’emprunte une impasse.

C’est en me fourvoyant même que je me rends mieux compte que ma quête ne peut aboutir, c’est là que les messages de mon soi profond, se font plus insistant, pour m’indiquer que je ne suis pas ou plus sur ma voie !

Au début nous pensons tous que c’est nous, notre petit moi, qui décide de mettre le cap sur l’Inde ou le Tibet, alors que nous sommes nés à Pantruche (Pantin en argot), pour y découvrir un dieu, une religion, une culture qui pensons-nous correspondra mieux que la nôtre !

Errare humanum est, nous ne nous souvenons plus, qu’avant de nous incarner, nous avions choisi les parents (le milieu social) leur culture (leur croyance) le pays et la région où va se dérouler notre re découverte du soi afin de le faire croître dans les conditions les plus favorables choisies d’un commun accord avec nos guides d’incarnation, l’as-tu oublié ?

Perseverare diabolicum, vouloir aller voir ailleurs si l’herbe y est plus verte n’est peut-être pas diabolique dans le sens que l’on veut nous faire croire, le diable, Satan n’étant qu’un obstacle mis sur notre chemin pour que nous nous en affranchissions, et nous rendre compte que le bonheur est dans le près (tout près de nous), qu’en fait il est en nous[1].

Imaginons que tu aies emprunté la route de la soie ou celle de Lhassa… ou bien celle menant à Rome, à Saint-Jacques-de-Compostelle ou à la Sainte Baume… imaginons !

Y as-tu trouvé ce que tu croyais y trouver ; l’herbe y est-elle plus verte, y as-tu rencontré Dieu, la Vierge, Bouddha, Myriam de Magdala, Padre Pio, le bonheur la joie de vivre, la foi en toi, t’est tu re trouvé[2] ?

Dis-moi pourquoi tu persistes à vouloir aller chercher ailleurs, ce qui est déjà en toi, en nous.

Arrête de croire que tu es investi d’une mission divine, que tu es le sauveur de l’humanité.

Ta quête est bien plus grande, bien plus noble, tout en restant humble !

Te retrouver vois-tu, accroche-toi aux branches car cela va secouer, c’est retrouver la parcelle du UN qui est toujours en nous et que nous croyons avoir perdu, non ?

N’est-ce pas ce que tu allais chercher ailleurs ?

Et bien en te retrouvant tu re trouve Le/La, cette unité, but de toutes les quêtes, c’est notre Graal pour les uns ou la Pierre philosophale pour les autres !

Comprends-tu, comprenez-vous ?

Je te vois !

Raymond MAGDELAINE


[1] Ta route de la soie est en toi, et ne peut pas être plus près du soi, comprends-tu ?

[2] Si c’est oui, avoue humblement que les voies de « l’uni vers Lui/Elle », sont impénétrables pour notre petit moi, non ?

La nouvelle idole…

ou le dernier nom du dieu tout puissant !

L’hominidé a toujours été fasciné par l’esprit de la nature, sa beauté, ses énergies visibles, mais surtout les invisibles qui se manifestaient ici ou là comme les éruptions volcaniques, les tremblements de terre, la pluie, le vent, les ouragans, l’orage, le feu engendré par la foudre… et d’autres manifestations encore plus subtiles, lui ont fait penser très tôt à des esprits supérieurs qui était à l’origine de toutes ses manifestations qu’il craignait.

Suivant sa localisation il lui a donné des noms différents, Dieu, Jéhovah… le Grand Manitou et une multitude d’autres, comme le hasard, qui comme chacun le sait, fait toujours bien les choses.

Très vite il en a fait des idoles auxquelles il faisait des offrandes ou des sacrifices d’animaux et même humains ! pour attirer sur lui leurs mansuétudes ou pour leur demander de triompher de ses ennemis, de pouvoir tuer le mammouth, le tigre à dents de sabre, ou le mari de sa maîtresse…

Il a inventé aussi les sépultures, les cultes, les religions… pour que ses dieux ne le laissent pas pourrir dans la terre et se charge de sauver ou d’épargner son âme pour service rendu !

En grandissant, il a fini tant bien que mal par abandonner un certain nombre de superstitions, pour un dieu unique !

Suivant sa localisation il lui a donné des noms différents, Dieu, Jehova… le Grand Manitou et une multitude d’autres, comme le hasard, qui comme chacun le sait, fait toujours bien les choses.

Aujourd’hui il a commencé à abandonner cette idée puérile, croit-il d’un dieu unique improbable, car il pense dur comme fer, si je mens je vais en enfer, qu’il est le seul dieu véritable et que tous ses semblables sont des imposteurs !

Oui ce ne sont pas les Dieux qui sont tombé sur la tête, mais les faux dieux (les hommes) qui sont devenus fous, voir même fous furieux[1] !

Il a donc des fous, des fous furieux plus précisément, qui ont inventé de toute pièce une idole unique, à laquelle ils se vouent corps et âmes et à laquelle ils cherchent à nous forcer à croire et à qui ils ont donné le pouvoir qu’ils n’avaient pas, celui de s’enrichir sur notre dos (les faux dieux) !

Le Dieu Argent, qui lui aussi a plusieurs noms, l’or, l’argent, les assignats, l’Euro, le Dollar, le flouze, le grisbi, les espèces sonnantes et trébuchantes, la Roupie de sansonnet, la monnaie de singe…

L’Idole des culs cousus d’or !

Une idole qui leur apporte, croit-il, la toute-puissance, car ils lui font des offrandes régulières, et de plus en plus fréquentes, avec la sueur de notre front et la « crédulité » qui nous caractérise un peu (moi j’utilise un autre mot, mais bon… tu me connais !).

Les marchands du temple ont pris un autre visage aujourd’hui, mais ils sévissent toujours sur notre planète, devenue la cour de leur temple !

Plus pour longtemps heureusement, pour notre planète et pour notre dos !

Raymond MAGDELAINE


[1] Dis autrement « les culs cousus d’or » ou « les puissants de ce monde » !

Je ne cherche plus…

à savoir, qui des partisans ou des détracteurs du climat, cherchant chacun à prouver leur thèse ou leur antithèse, sans s’efforcer à aucun moment à en produire une synthèse, ont raison ou pas !

Ce que je sais, c’est que toutes les différentes formes de vies existantes ou disparues de la planète ont toutes, sans exception, joué un rôle fondateur dans les conditions de vie et la croissance que nous connaissons actuellement sur notre planète.

La planète grâce à toutes les espèces qu’elle abrite a, quand on ne bouscule pas son équilibre, produit les conditions optimums et les provisions suffisantes capables d’héberger les myriades de formes de vies !

Ce que je sais, en observant simplement nos comportements d’hominidé, c’est que nous participons tous et toutes, consciemment pour certains et inconsciemment pour la plus grande majorité des autres[1], au déséquilibre que toutes les autres espèces continuent de créer elles !

Ce que je sais, c’est que si nous nous refusons de voir ce qui crève les yeux de tous ceux qui ne se voilent pas la face ou créent des écrans de fumée, nous courrons à notre propre perte, celle d’une espèce qui ne sait pas ou ne veut pas s’adapter à la loi de l’équilibre et de l’harmonie que Gaïa, va finir un jour ou l’autre par rétablir ici-bas !

Libre à chacun de vous de croire ou de ne pas croire à la thèse des uns ou à l’antithèse des autres, et de ne pas chercher à en construire une synthèse !

Je ne cherche pas à convaincre le Tatou ou le Thomas que vous êtes, je fais ou essaye de faire ma part de Colibri, contre vents et marées infécond.

Ai-je tort, ai-je raison, je ne sais pas… l’avenir me le dira !

Ce qui doit arriver arrivera, certes, mais si nous ne faisons rien, à part nous asséner nos vérités… le pire est à craindre.

Dans les neuf phases d’extinctions massives des espèces, qui ont précédé celle que nous vivons, et que l’hominidé a recensé, ce sont les espèces qui n’ont pas su s’adapter à la loi de l’équilibre et de l’harmonie qui ont disparu !

Crois-moi ou ne me crois pas ce n’est pas mon problème, c’est le tien, moi je vais tenter de continuer à croître sur Gaïa !

Inch’Allah !

Je te dis que c’est moi qui ai raison du con la joie !

Si l’erreur est humaine, persévérer dans l’erreur n’est peut-être pas diabolique, mais c’est une preuve, à mes yeux, d’immaturité, pour rester courtois avec toi, mon frère, ma sœur !


[1] Quelques milliers (tout au plus) d’individus au cul cousu d’or, pillent les ressources communes de la planète, plumes toutes les espèces et font « s’entre plumer » les hominidés entres eux pour mieux régner et en avoir toujours plus !

Raymond MAGDELAINE

Le pouvoir de la force…

ou l’utilisation de notre force vitale pour exercer notre pouvoir.

Le pouvoir entre les mains d’une ou de quelques personnes, ne donne que ce que nous pouvons constater au quotidien aujourd’hui, il ne satisfait que leurs besoins au détriment du besoin de tous les autres !

Pour pouvoir s’exercer, il a besoin d’être imposé par la force, au travers de gens d’armes et d’autres serviteurs pour faire appliquer des lois sur mesures qui leur donnent tout pouvoir sur les autres.

Chez ces gens-là Madame, on appelle ce type de pouvoir la « démocratie », car ils ont Madame, Monsieur, un sens très aigu de la dérision et du foutage de gueule !

Ce type de pouvoir qui ne peut perdurer que s’il est imposé par la force doit exister sur notre paradis terrestre depuis l’apparition des hominidés est encore en œuvre après l’achèvement de l’ère des Poissons !

Un bail !

Il est la cause principale d’un enfer dans lequel ils endoctrinent la plus grande majorité de leur semblable et de toutes les autres formes de vie !

L’enfer n’est pas une punition divine comme ils essayent de nous le faire croire, mais bien une création lucrative de tous les tontons Cristobal de la planète qui nous privent du paradis qu’ils se sont approprié indûment !

Ne leur dites surtout pas qu’ils sont des dictateurs, ils n’aiment pas et vont se fâcher !

Restez bien au chaud dans vos inconforts, continuez à courber l’échine, pour ne pas attirer l’attention sur vous et montrez-leur du doigt, ceux qui ne veulent plus de ce système inique !

Les puissants aiment beaucoup ce type de servilité, mais n’en sont pas pour autant reconnaissants !

Parmi les plus des sept milliards d’hominidés asservis est en train de naître un Nouveau Monde, silencieusement, courageusement, et inéluctablement…

Nouveau Monde qui utilise le pouvoir d’une force intérieure existant chez tous les hominidés, force innée, leur permettant de se réapproprier leur propre pouvoir, non pas pour contraindre les autres, mais pour collaborer avec tous les autres à créer de toute pièce le Nouveau Monde.

Croyants ou pas croyants nous assistons tous en ce moment à une nouvelle forme d’apocalypse annoncée par Saint-Jean, une nouvelle forme de Sodome et Gomorrhe, ou de l’effondrement des murailles de Jéricho.

Tout ceci n’étant que des images pour tenter de te faire comprendre que ce n’est pas une apocalypse divine à laquelle nous assistons tous en ce moment, mais une apocalypse engendrée par une minorité d’êtres abjects.

Une coupe qui déborde, et que plus rien ne peut plus endiguer, car elle a atteint son paroxysme au niveau de l’insupportable !

Dans ton enfer tu peux prier et attendre indéfiniment une intervention divine qui ne viendra pas te tomber toute cuite dans ton bec d’oisillon qui devrait depuis longtemps avoir quitté son nid douillet, certes, mais surtout trop étroit !

Mais bon, c’est aussi un choix que tu as, celui de faire l’autruche en maudissant ce Dieu que tu as renié depuis belle lurette, mais dont tu espères tout de même qu’un jour, il finira par entendre au moins tes prières !

J’invite tout hominidé un tant soit peu « humain » (1) à se mobiliser, comme le fait la jeune égérie du Nouveau Monde, au niveau de colibri (2) qui est le vôtre, et d’utiliser à bon escient toute la force qui est en vous pour coopérer avec toutes celles et tous ceux qui ont commencé à le faire un peu partout sur cette planète.

Notre pouvoir, notre puissance… c’est le Nombre !

Lâchez sans regret la planche pourrie de l’Ancien Monde (et de son enfer) pour contribuer à construire l’unique planche de salut qui nous est offerte, par un univers, une planète en pleine mutation !

(1) Humain : Être qui éprouve un minimum de compassion, si ce n’est pas trop vous demander ?

(2) Colibri : Être responsable de tout ce qu’il fait et entreprend, si ce n’est pas le cas reste au pied de ton mur des lamentations !

Raymond MAGDELAINE

L’affaire médiatique Greta Thunberg

Ou l’arbre qui tente de cacher la forêt…

Comparable sur le fond à celle des Gilets jaunes et autres manifestants, où tout ce qui est dit, montré, ou écrit dans les médias sur les réseaux sociaux est fait, sciemment, pour les discréditer aux yeux des « gogos », mais surtout pour éviter d’évoquer le fond des problèmes soulevés par eux.

Je voudrais avant d’aller plus loin dire quelques mots sur cette petite fille de 16 ans

Elle est autiste, certes, mais pas décérébrée ou écervelée, l’autisme est une des formes manifestées par de plus en plus de nouveau-nés lorsqu’ils réalisent avec leurs sens subtils (1) dans quelle galère ils vont mettre les pieds.

Son visage figé, comparé à un Cyborg, ne fait qu’exprimer les craintes d’un(e) enfant de vivre dans un monde apocalyptique, à tous les niveaux, et dans lequel les hommes qui tiennent les manettes du pouvoir font semblant ou font la sourde oreille.

Alors, n’est-il pas souriant, n’est-il pas malicieux le visage de cette fabuleuse enfant de l’ère du Verseau porteuse de tous les espoirs d’une humanité que ne veut pas baisser et qui ne baissera pas les bras ?

Ne sommes-nous pas nous même plus qu’inquiets pour le monde dans lequel nous allons contraindre nos enfants et petits-enfants à tenter de survivre, combien de temps encore… au rythme actuel des dégradations ?

Au lieu de la critiquer, sur son âge, sur sa figure, sur les manipulations dont elle ferait l’objet et dont elle ne se rendrait pas compte ! Comme si nous adultes, enfants nous n’avions jamais été dupes des manipulations que nous avons subies et que nous continuons à subir au travers des outils de propagande et des médisances des uns ou des autres. Faisons-lui, faites-lui mesdames messieurs « Je me gausse », la démonstration magistrale et scientifique qu’elle se trompe, que les Gilets jaunes se trompent… si elle, ou eux se trompent.

Démontrez-nous mesdames messieurs, preuves scientifiques à l’appui que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes !

Démontrez-nous, que le réchauffement climatique, les pollutions du sol, des mers et océans, celles des nappes phréatiques, la destruction accélérée des forêts, des écosystèmes, l’extinction des espèces végétales et animales, qui contribuent toutes à rendre viable notre planète, n’est qu’une vue de complotistes simples d’esprit et autistes de surcroît, que nous serions ?

Oui Marcelle, oui Maurice, j’entends cinq sur cinq, tu va quitter ma liste d’ami…

Fais-le mon ami, ma sœur, mon frère, si tu penses que c’est ce que tu as de mieux à faire… fais-le !

Si tu le fais, je te souhaite bon vent dans ce meilleur des mondes, auquel tu continues à t’accrocher comme un pétoncle à son rocher, accroche-toi bien, mon ami, ma sœur, mon frère, car je pense que cela va secouer !

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(1) Les sens subtils, que je ne citerais pas ici, sont pratiquement les seuls qui permettent aux nouveau-nés de communiquer et de ressentir les émotions, les joies, comme les peurs des adultes, leurs sens ordinaires n’étant pas encore tous achevés.

Raymond MAGDELAINE

Naître, Être, Maître

Naître : c’est apparaître, venir au monde, te matérialiser dans la matière, lorsque tu nais tu n’es pas encore un être à part entière, mais tu contiens l’être à part entière (le maître) sous forme de germe.

Être : c’est devenir, pas à pas, petit à petit l’être complet (à part entière) qui est contenu dans le germe, dans nos gènes, c’est se découvrir ou se re connaître, c’est apprendre à se connaître.

Tu as remarqué, si tu es un tant soit peu attentif, que je joue un peu beaucoup, parfois, avec les mots, ceci pour te permettre d’en saisir le sens caché en eux (l’essence, l’essentiel), leur musique, connue depuis la nuit des temps par les formes de vie capables d’émettre des sons, toutes les autres produisent des images (des pensées, des intentions, des vibrations inaudibles par nos sens limités).

Les initiés de notre espèce (les enseignants) l’appellent la langue des oiseaux.

Tu peux la prendre (l’apprendre) pour un jeu (Je), et tu aurais raison, car c’est au travers du jeu que nous apprenons le mieux, car en fait la vie est un jeu dans lequel il ne faut surtout pas se prendre au sérieux.

Le Maître : il, est déjà contenu dans l’être (tous les êtres) au moment même de notre manifestation ici-bas (notre naissance) s’affine, s’épure, se pèle (nous sommes des pèlerins), lentement mais sûrement, du moins si nous ne lui mettons pas trop d’obstacles sur son chemin, sa voie vers le soi, son chemin de Saint-Jacques de Compostelle à lui ou à elle.

Le maître peut ne jamais apparaître si nous encombrons sa voie des élucubrations engendrées par notre petit moi, qui se prend pour lui.

Dans la plupart des anciennes traditions de la planète tous les « maîtres » sont les plus anciens, ceux qui ont atteint le stade de leur propre maîtrise, ils sont souvent considérés comme des bouches inutiles, au contraire, les plus jeunes qui dirigent le groupe ou le clan, les consultent régulièrement.

Nos sociétés dites modernes, dites évoluées, les parquent, les cloîtrent, les enferment… dans des réserves (des EHPAD) en se privant de leur sagesse et de leur maîtrise acquise au fil du temps par leurs apprentissages.

Si notre société est malade, c’est parce qu’elle est gouvernée par des êtres incomplets par encore achevés, des apprentis sorciers… lorsque nous finirons par comprendre cela, alors l’humanité toute entière pourra poursuivre son évolution qui est loin très loin d’avoir atteint le stade final, s’il y a un stade final ?

Ne désespérons pas, même, si nous avons le sentiment de na pas avancer, même si les apprentis sorciers de la planète cherchent par tous les moyens à la retarder, la vie, finira par trouver son chemin celui de la sagesse au travers de notre propre maîtrise !

Ne cherche pas le Maître à l’extérieur, il est déjà en toi, en nous !

Raymond MAGDELAINE

La force est en nous

Lorsque maître Yoda ou Yeshua[1] te dit que la « force » ou la « foi » soit avec toi, entends qu’elle est déjà en toi, entends que tu n’as pas besoin de la chercher autour de toi, elle est là en toi prête à te servir dès que tu l’as (re) trouvé !

La force de maître Yoda, c’est la foi du maître Yeshua, toutes les deux sont déjà en nous, le jeu (JE) de la vie ici-bas, celle de notre quête si tu préfères, est de la re trouver là ou elle est, en nous !

Tu peux passer autant de vies que tu veux à la chercher à l’extérieur de toi, si cela t’amuse, tu passeras toute ton éternité à t’épuiser sans jamais la trouver.

Nous ne pouvons trouver ailleurs ce que nous avons déjà en nous !

Mon gendre me répète souvent en parlant des puissants de ce monde « Ils sont forts ! », et c’est vrai, car eux ils ont trouvé en eux la force, celle de nous persuader que nous sommes des « riens ou des moins que rien », afin de pouvoir nous imposer leur dictat par la force (celle des forces de l’ordre, des médias, et de la justice, qui les servent docilement) avec l’aide de leur dieu (Argent) !

Ne voyez-vous pas dans cette description de leur pseudo « pouvoir » où est leur talon d’Achille ?

Leur force, leur foi, leur puissance, est bâtie de toute pièce par une chimère, un dieu bâti à leur mesure « l’argent » et que ce dieu est aussi leur talon d’Achille, ne le voyez-vous pas ?

Tout comme nous avons notre propre talon d’Achille, qui est de croire à leurs chimères, en cherchant la force, la foi qui est en nous à l’extérieur de nous !

Ne cherche plus ta force, apprends simplement à l’utiliser en bâtissant ton royaume où tu seras l’unique roi, n’attends pas le retour ni de Jeshua ni de Yoda, ils ont fait tous deux ce qu’ils avaient à faire ici-bas de donner la clé de ton propre pouvoir !

Raymond MAGDELAINE


[1] Remarque l’analogie entre les deux Noms.

Ce n’était rien, qu’un peu d’amour…

« Ce n’était rien qu’un peu d’amour, mais dans mon âme il continue à me nourrir à la manière d’un grand festin. »

Je passe ma vie, nous passons notre vie à côté d’un être qui nous est cher, et le temps… la routine… la peur de lui dire, celle de lui manifester par un geste, une attitude, une parole, un silence… qui ont l’air, à première vue, si insignifiants, ou qui peut nous paraître inutile…

« Il, elle sait, depuis le temps que nous vivons côte à côte, bord à bord… que je l’aime… non ? »

« Oui, il, elle le sait… mais alors dis-moi pourquoi dès qu’il/elle n’est plus là tu te sens aussi mal ? »

Oui, bien sûr… il/elle sait que tu l’aimes, mais le savoir ne nourrit pas une âme, ce qui nourrit les âmes c’est cette manifestation, même parcimonieuse, au quotidien !

Quand je te parle d’amour, je ne te parle pas que du sexe, qui en fait partie, évidemment… Non je te parle de toutes ces petites manifestions du quotient, pas en quantité, mais en qualité, aussi insignifiante en apparence, qu’un sourire, une caresse sur sa joue, un baiser léger sur ses lèvres… et ces deux mots associés « je t’aime » si désuet ; si galvaudés… qu’ils nous semblent inutiles de les répéter !

C’est lorsqu’il/elle n’est plus là… que nous nous rendons compte que tous ces gestes, tous ces petits mots, toutes ces dérisoires (en apparence) manifestations quotidiennes nous manquent plus que son absence !

Nous n’avons pas forcément besoin de le savoir, mais nous avons besoin, tous et toutes, qu’on nous le manifeste, d’une manière ou d’une autre.

Un deuil quel qu’il soit se nourrit toujours de ces petites manifestations du quotidien, et ce sont les festins de l’âme, dont nous avons tous besoin et nous permettent à tous et à toutes d’attendre, sans impatience, le jour où nous nous rêverons tous… un jour ou l’autre… ici où ailleurs…

N’attendons pas l’ailleurs pour le lui manifester ici, quand il est encore temps de le faire !

Ce sont les choses les plus insignifiantes, en apparence, qui sont les plus signifiantes !

L’entendrez-vous tant qu’il est encore temps de le manifester ?

Epilogue :

Si tu ne l’as pas fait du temps de sa présence à tes côtés, rappelle-toi que son absence n’est que l’illusion de tes regrets, il/elle est toujours là à tes côtés, invisible, certes, mais presque palpable dès que tu sors de tes regrets ou de tes culpabilités !

Raymond MAGDELAINE

Enfant anormal

C’est quoi anormal[1] ?

En fait, je vais vous le dire de manière encore plus crue, tant pis si cela vous défrise, mais on ne peut plus taire encore longtemps cette manière de vouloir tout normaliser et de définir des critères une fois pour toutes du genre et sur un ton très docte « la terre est forcément le centre de l’univers ou de la galaxie, puisque le soleil, le nôtre, tourne autour d’elle, c’est un fait que tout le monde constate visuellement tous les jours ! » donc dire que c’est elle qui tourne autour du soleil est un des signes qui font dire que celui qui énonce ceci est un dyslexique doublé d’une dyspraxie, voire même d’une dyscalculie très avancée.

C’est un enfant d’aujourd’hui diagnostiqué « handicapé » par des mesures normatives, basées sur des statistiques sérieuses, certes, mais qui datent et définissent de manière quasi immuable un enfant étalon (un peu comme le mètre étalon), car pris à un temps T, comme si tout était fixe, une fois pour toutes… point final !

Aujourd’hui ceux qui posent ce diagnostic, se fixent sur des données, dont ils n’ont aucune preuve formelle qu’elles sont exactes, et s’ils, pensent aujourd’hui qu’elles le sont, le seront-elles pour autant demain ? On est revenu depuis belle lurette sur l’affirmation que la terre est plate.

La création de la terre et du ciel se serait faite en six jours et depuis le septième jour le créateur se reposerait sur un nuage blanc en admirant son chef-d’œuvre, pour lui c’est tous les jours dimanche.

Aujourd’hui si tu es un tant soit peu observateur tu peux constater que le vieux Monsieur à la barbe blanche est toujours au turbin et que la création est un processus en constante évolution, dont tu es, nous sommes, la preuve tangible mesurable et palpable de ce processus en perpétuel mouvement.

Le handicapé n’est pas celui que l’on croit, de mon point de vue, c’est plutôt celui qui croit que tout est statique, donc statistiquement mesurable et quantifiable à un instant « T » immuablement figé et que ceci est la norme (donc normal) et que tout le reste est forcément anormal !

Le handicap soit dit en passant est un moyen volontairement utilisé dans les courses de chevaux (des pur-sang) pour laisser une petite chance à une carogne d’espérer pouvoir emporter le grand prix d’Amérique (on peut toujours rêver !)

Apprenons à les écouter, nous serons agréablement surpris par leurs capacités hors norme !

Oui mon petit fils est l’un de ces enfants qui font la démonstration à leurs parents, à leurs grands-parents, aux enseignants que tout évolue, et vouloir continuer à enseigner dans une école unique, un collège unique, une éducation unique, une société uniformisée, et constamment nivelée par le bas est l’une des nombreuses aberrations d’un système qui se sclérose ou que l’on tente de scléroser.

Mon petit-fils, grâce à sa soi-disant dyslexie et dyspraxie, fera dans ce monde des découvertes, qui ne pourraient pas se réaliser sans cette soi-disant « anomalie » qui soit dit en passant est de plus en plus répandue chez les enfants d’aujourd’hui !

Curieux, non ?

Papa, Maman, Papi, Mamie… d’un enfant d’aujourd’hui, réjouis-toi de ce diagnostic tu as surement chez toi hérité d’un Einstein en herbe !

Aime-le tel qu’il l’est et fais-lui confiance !

Raymond MAGDELAINE


[1]C’est un stade avancé de l’évolution de l’hominidé qui produit des enfants étiquetés « Autiste » Asperger ou pas, comme Greta Thunberg ou Paul qui est actuellement devenu un des grands maîtres des douze coups de midi à 20 ans sur TF1 ! Qui es-tu toi pour prétendre que ces enfants sont anormaux ?