Si j’en crois les récits des mémoires du temps[1], visités ou plutôt revisités par Daniel Meurois dans les deux tomes du « Livre secret de Jeshua », Jésus (Jeshua) serait la réincarnation de Zarathoustra[2] !
Zoroastre, aurait prêché en son temps des enseignements proches de ceux du maître Jeshua, l’amour de soi, celui de son prochain quel qu’il soit… comme étant une facette de soi et un miroir du grand tout.
Il enseignait la tolérance et un roi dit on l’aurait pris comme conseiller pour transmettre à son peuple des enseignements qu’il partageait complètement.
Il accepta cette offre du souverain pour, pensait-il, enseigner à un plus grand nombre ce qu’il faisait déjà à des groupes plus restreints.
Il confondit, sûrement sur la fin de sa vie, conversion librement consentie et forcée, car parmi ceux qu’il tentait de convertir, certains étaient plutôt réfractaires, et il prit, à contrecœur de ses convictions profondes, la décision de les convertir de force en les menaçant du bûcher ou de la croix ?
Ainsi parlait Zarathoustra, pendant sa vie !
L’échec « apparent » pendant son incarnation finis par décider sûrement l’esprit de Zoroastre de se réincarner en fusionnant son âme à celle du maître Jeshua, pour comprendre et corriger l’erreur qu’il avait commise en tentant de convertir de force, ceux qui n’étaient pas prêts !
Voici mon interprétation, de ce que j’ai compris des derniers instants et des paroles du maître Jeshua, prononcées sur le Golgotha !
Ce Jeshua de Nazareth enseigne lui aussi l’amour de soi et de son prochain sans chercher à convaincre, pendant trois ans. Les prêtres du temple, quant à eux, veulent lui faire renoncer à sa quête, ne pouvant pas le condamner à la lapidation pour Blasphème, ils le confièrent à Ponce Pilate, seule autorité en Judée capable de rendre la justice, qui le condamna donc, contre sa volonté, à la crucifixion[3].
Ce maître Jeshua, de mon point de vue, dans son incarnation, n’avait plus qu’un voile à ôter pour lui permettre de percevoir la réalité de l’être, la sienne bien entendu, c’était la raison de son incarnation, mais aussi celle d’autrui, celle de son père, celle de la création ?
Le voile se lève, lorsqu’il exprime à haute et intelligible voix (rapporté dans les évangiles) « Pourquoi m’as-tu abandonné ».
Au moment précis où le dernier voile se lève il comprend, quelle a été son erreur du temps ou il était Zoroastre ;
« Ils n’étaient pas prêts ! ».
Immédiatement après il va prononcer à haute voix « Pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’ils font ! », c’est du moins ce qui est rapporté dans les quatre évangiles, mais de mon point de vue ce n’est pas ce qu’il a dit ?
C’est ici que commence mon extrapolation, si le voile s’est déchiré à ce moment précis de sa vie, ce que je crois dur comme fer, si je mens je vais en enfer, il a plutôt dit :
« Pardonne-moi, je ne savais pas ce que je faisais en ces temps-là ! ».
C’est pour cette raison, je pense, que le cycle de ses incarnations s’achève ici, sur ce Golgotha !
Sa vie quant à elle continue, mais sur une autre fréquence vibratoire, où il n’a plus besoin d’un corps physique pour ôter ce qui cache la nature profonde de l’être !
D’autres voiles seront encore à ôter, sur d’autres plans subtils, qui sont peut-être infinis, pour dévoiler une réalité bien plus vaste qui échappe complètement à notre entendement d’humain[4] !
Ainsi s’accomplit Jeshua sur le Golgotha !
[1]Récits dont l’authenticité est tout aussi crédible que ceux des récits des diverses croyances ou les assertions des non-croyants de la planète, où aucune preuve, vérifiable scientifiquement parlant, ne peut accréditer ou discréditer les écrits et les dires des uns ou des autres !
[2] Zoroastre, Zarathushtra ou Zarathoustra (en persan : زرتشت ; en avestique : Zaraϑuštra ; en grec : Ζωροάστρης, en kurde Zerdest) est un « prophète », fondateur du zoroastrisme. Il est difficile, étant donné l’époque et l’importance du personnage, sources de nombreuses affabulations, de donner des dates et des lieux précis à son sujet. Il serait né dans le Nord ou l’Est de l’actuel Iran. Traditionnellement, l’histoire de sa vie est présentée comme se déroulant entre les VIIe et VIe siècles av. J.-C., mais de nouvelles études tendent aujourd’hui à repousser cette estimation pour finalement situer sa vie entre les XVe et XIe siècles av. J.-C.
[3] Résumé très succinct d’une histoire que vous connaissez, croyant ou pas, aussi bien que moi !
[4] Avec mon entendement ou plutôt mes croyances ou non-croyances, ce serait présomptueux de ma part d’affirmer que je connais la véritable nature de l’être qui m’habite, je t’en laisse toute la responsabilité et attends de toi, avec impatience, une démonstration magistrale de ta science infuse !