Que celui qui n’a jamais péché lui jette la première pierre…
Qu’est-ce qu’un péché ?
Le point de vue des hommes ou celui de Yahvé ?
Si c’est celui de Yahvé, il est inscrit en toutes lettres sur la pierre que Moïse a gravée et rapporté du mont Sinaï à son peuple sous la forme de dix commandements.
Tout le reste, tout ce qui a été rajouté dans les livres sacrés des différentes religions monothéistes, n’est que le point de vue des hommes !
Mais Raymond tu blasphèmes encore, ce sont de Saints Hommes qui les ont rajoutés dans les livres sacrés, pour bien expliquer aux autres hommes ce qu’il faut faire ou ne pas faire, pour leur expliquer ce qu’est le pécher.
Tu as tout à fait raison, mais saints ou pas saints ce sont des hommes, principalement qui ont rajouté leur vision personnelle du péché, pas celle de Yahvé ! C’est bien ce que j’ai dit.
L’exemple le plus frappant c’est la condamnation à la lapidation pour le péché d’adultère, où tu ne trouveras nulle part écris de la main de Noé et dicté par Yahvé, que c’est à la femme uniquement de supporter ce soi-disant crime.
Yahvé dicte à Noé ; « tu ne convoiteras pas la femme de ton voisin » « tu ne commettras pas d’adultère ».
Il ne lui dit pas ; « femme tu ne commettras pas d’adultère » il ne lui dicte pas « tu la lapideras », il lui dicte au contraire « Tu ne commettras pas de meurtre ». Lapider c’est tuer une personne volontairement et sauvagement en plus, il lui dicte au contraire « Tu n’invoqueras pas le nom du Seigneur ton Dieu pour le mal ».
Puis arriva son fils Jésus qui en rajoute deux autres essentiels « Tu aimeras donc le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée et de toute ta force. » « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » et Jésus ajoute « Il n’y a pas d’autre commandement plus grand que ceux-là. »
Vois-tu tout le reste n’est que rajouts, qui consiste le plus souvent à reporter ses propres péchés, comme celui de l’adultère sur l’autre, c’est-à-dire la femme, cherche bien et tu trouveras cette attitude répandue partout sur la planète « ce n’est pas moi m’sieur, c’est elle», « je suis une innocente victime vôtre honneur, c’est elle la tentatrice».
Cela te parle mon frère, cela te parle ma sœur ?
Raymond MAGDELAINE