Archives mensuelles : août 2016

Au fond du gouffre le salut tu trouveras !

Le creux de la vague, le fond du gouffre, est fait pour que nous nous y délestions de tout ce qui entrave notre ascension, notre croissance !

Pleure, hurle, laisse sortir de ton corps ta rage, tes colères, ton dépit, ton impuissance… enfin ce que tu crois être ton impuissance, déleste-toi de tes idées reçues, et surtout de celles des autres !

Dépose tout au fond ce qui ne marche plus, ce qui est inutile, ce qui ne t’apporte plus rien, ne le fais pas pour te punir, ou te lamenter sur ton sort, mais fais-le pour t’inciter à te tourner vers l’essentiel !

plongée-apnéeOui, mais quoi Raymond ?

Quelque chose qui tu ne construis pas avec ton mental, mais qui vient ou qui viendra spontanément du cœur dès que tu auras lâché prise de toutes les entraves de ton passé !

Oh oui j’entends bien ce que tu dis !

C’est un déchirement, c’est insoutenable, c’est intolérable, c’est flippant !

Oui tu as raison c’est un deuil !

Il nous faut faire le deuil, d’une page qui se tourne, et surtout ne pas croire que c’est le livre de la vie qui se ferme, non ce n’est qu’une page de ton livre celui de ta vie ici-bas, le livre de la vie lui ne se ferme jamais !

Comprends-tu ?

Tes cris tes pleurs, sont ceux d’une période de ta vie qui se replie sur elle-même, mais qui dans le même temps se déplie sur un nouvel horizon, qui peut nous faire peur !

Pleure, crie, mais ne te focalise pas sur tes pleurs et tes cris, laisse-les s’envoler dans les mémoires du temps, pour servir d’expériences aux autres et puise dans ses mêmes mémoires ce qui pourrait être les premières lignes de cette page vierge du livre de la vie, celui de ta nouvelle vie qui se déploie, mais dont tu ne vois encore rien se dessiner, et c’est normal, puisque c’est toi le dessinateur.

La vie, ce n’est pas emprunter les sentiers battus par les autres, ce n’est pas s’enliser dans les ornières laissées par les autres sur le chemin, la vie c’est prendre une route qui n’a jamais été emprunté, c’est une voie sans panneau directionnel, c’est un sentier sur lequel tu découvres les obstacles au fur et à mesure que tu t’y aventures, oui la vie c’est une aventure avec pour seul GPS tes propres intuitions, la vie est intuitive elle n’est pas programmée, le comprends-tu ?

ta voieC’est cette aventure qui te fait peur ?

Alors il faut que tu continues de descendre au creux de ta vague ou au fond de ton gouffre pour te décider enfin à l’y déposer et à y puiser à sa place la confiance, prends d’abord la confiance en toi, les autres types de confiances viendront naturellement se mettre en place !

Sur ton chemin de galère, l’univers mettra au bon moment les personnes qui t’apporteront leur soutien, tels un bon samaritain ou un Simon de Cyrène, ce sont eux, ceux qui croiseront ta route à ce moment qui sont ta vraie famille, plus que ta famille de sang, c’est de ta famille d’âme que viendra le secours providentiel, dès que tu sortiras du désespoir dans lequel tu sombres !

Le comprends-tu belle âme ?

Dépose les armes ma sœur, sur la voie de la lumière n’emporte que ta foi, la foi en toi et en la vie éternelle !

Raymond MAGDELAINE

La foi

La foi, comme l’amour, la compassion, la joie, la paix… sont des principes innés au plus profond de notre être et ceci que nous soyons croyants ou pas !

L’Église catholique apostolique et romaine (malgré ce que les romains ont fait subir à Jésus !), n’est pas la seule détentrice de la foi, elle n’en n’est pas la propriétaire, elle en est seulement la dépositaire, avec pour mission de la diffuser sans la déformer !

Hors, que constatons-nous de nos jours… cette foi de l’église, est à nouveau, comme du temps de Jésus, enfermée, figée par les dogmes établis par les grands Prêtres, les enseignements de Jésus y ont été déformés, triturés, pour mieux exercer un pouvoir sur les consciences.

Du temps de Jésus, les grands Prêtres du temple de Jérusalem, diffusait amplement la prophétie d’Isaïe celle de l’arrivée du Messie, le sauveur de l’humanité, que Jean le Baptiste prêchait sur les bords du Jourdain en menaçant de l’apocalypse ceux qui vivaient dans le péché, comme le faisait le roi Hérode, ce qui lui valut d’ailleurs d’avoir la tête tranchée par lui !

Le pauvre Juda, avait reconnu en ce Jésus de Nazareth le Messie, il était très croyant, il connaissait parfaitement la prophétie d’Isaïe, son intention n’était pas de le livrer pour trente deniers à ses bourreaux, comme le laisse entendre notre église, mais de rencontrer les grands prêtres du Temple et en particulier Caïphe, pour lui dire, pour leur dire, qu’il était intimement persuadé, que son maître « Jésus de Nazareth » était celui qu’ils annonçaient aux croyants dans leur propre temple.

Le traite n’est pas Judas mais Caïphe, qui lui avait formellement promis de ne pas faire de mal à son maître, s’il lui disait ou il pouvait le rencontrer pour pouvoir juger de la sincérité de ce Jésus et pour vérifier qu’il était bien le Messie. Nous savons tous ce qui s’est passé et que Jésus savait aussi parfaitement à l’avance, mais qu’il a tout de même demandé à Juda de faire, en lui répétant par deux fois ceci : « Ce que tu as à faire, fait-le et fait le vite !» et qui est rapporté dans l’une des évangiles canoniques, celle de Jean je crois !

Sainte Gertrude qui avait des entretiens avec Jésus rapporte ceci ; « Je ne te dirais point ce que, ni de Salomon ni de Judas, j’ai fait, pour qu’on n’abuse pas de ma mansuétude ! ».

Que fait notre église à nous, de nos jours, à peu près ce que faisaient les grands prêtres du temple de Jérusalem, ils ont enfermé, figé cet enseignement révolutionnaire du Christ, qui avait à l’époque libéré l’essentiel du message de l’ancien testament pour en faire ressortir la substantifique moelle qui se résume à : « Aimez-vous les uns les autres, comme je vous aime » et qui contient à elle seule les dix commandements rapportés par Moïse du mont Sinaï.

Aimons-nous

Figer la foi au travers des dogmes de notre église, rajouter des enseignements contraires à ceux du Christ, qui voulait nous en défaire, est mortifère non pas pour la foi mais pour l’église censée, simplement la diffuser au plus grand nombre, qu’elle ne se plaigne donc pas de voir ses églises se vider, elle récolte ce qu’elle a semer, c’est mon point de vue !

La foi est toujours vivante, elle ne peut pas être figée, car rien dans la vie n’est figée, elle évolue constamment, elle s’enrichie constamment, elle n’est pas le monopole des hommes elle vit aussi chez la femme et c’est même d’elle d’ailleurs que renaîtrons les principes, fondamentalement simples, mais pas simpliste, d’un enseignement universel, en dehors de toutes couleurs de chapelle et de toute main mise.

La foi fait partie du principe universel de la vie, la vie est libre de toute entrave de toute chaine et ce que nous vivons aujourd’hui, me semble-t-il, en est la manifestation la plus féconde.

Après la destruction du Temple de Jérusalem, nous allons assister, et nous assistons actuellement, à la destruction de tous les temples qui enferme la foi dans des principes étriqués qui n’ont pour seuls but que de nous empêcher de déployer nos ailes (c’est une image) pour devenir des papillons, c’est-à-dire des êtres libres de vivre leur propre foi dans le respecte de celle des autres. C’est de la diversité de cette foi que naîtra la nouvelle Humanité que Jésus fils de Joseph et de Marie a semé, à son époque et qui depuis a germé dans le cœur des hommes et est en train de se mettre en place avec l’arrivée sont arrivée, l’ancienne va disparaitre, paix à son âme, et servira aux hommes et aux femmes chargées de la transcender de modèle à ne pas reproduire !

 Raymond MAGDELAINE

Porteur de la lumière je suis

Cela à l’air, à première vue, « prétend cieux » (entends ce que tu veux) de ma part de l’affirmer, à première vue, car lorsque je dis je suis porteur de la lumière, j’entends par là que je le suis tout autant que toi !

Porteur de la flamme
Telle la flamme Olympique qui symbolise ICI le porteur de la Lumière !

Alors, si je suis porteur de la lumière comme toi, pourquoi ne dis-tu pas « Porteur de la lumière nous sommes » ?

Tout simplement pour mettre le doigt sur un point crucial de cette affirmation, c’est que tout le monde n’est pas encore vraiment conscient qu’il est un porteur de la lumière !

Et alors ! est-ce bien grave de ne pas le savoir, qu’est-ce qui différencie à tes yeux celui qui sait de celui qui ne le sait pas encore ?

Tout simplement, encore une fois, car rien n’est compliqué, c’est l’intensité de la lumière que rayonne celui qui la transporte, il est important de le savoir, non pas pour « briller » plus fort que son voisin, mais pour mieux « éclairer » notre voie et rayonner sur ceux qui nous sont proches !

Je ne comprends rien de rien à ton explication, éclaire ma lanterne, s’il te plait ?

  • Celui qui brille, n’éclaire pas, il cherche simplement à se faire remarquer des autres, « vous avez vu comme je suis le plus brillant », il n’éclaire pas il se consume lentement !
  • Celui qui éclaire, ne cherche pas à briller, il porte la lumière et sa lumière peut ainsi servir de guide, de repère à celui ou celle qui a compris qu’il ou qu’elle est aussi porteuse de la lumière, lui ou elle croît.

Tu es venu, je suis venu, nous sommes venus, dans cette incarnation pour être des porteurs de la lumière tout comme Lucifer, là aussi lorsque que je prononce le nom de « Lucifer », n’entends pas le « Diable », mais l’ange porteur de la première lumière à une humanité balbutiante.

Ce sont les hommes qui cherchent à « briller » qui l’ont transformé en « DIABLE » pour mieux nous manipuler en cherchant à installer en nous la peur de notre « enfer me ment » (ne cherche toujours pas, je te donne des clés pour mieux comprendre) !

Être conscient que nous sommes porteurs d’une lumière rédemptrice, c’est commencer à appréhender nos responsabilités vis-à-vis de tout ce qui vit, sans qui nous ne pourrions plus nourrir notre corps et notre âme !

Tiens tu viens d’inventer une nouvelle nourriture, elle ressemble à quoi cette nourriture spirituelle ?

Cette nourriture, qui est de loin la plus importante, nourrit notre âme, elle est immatérielle et se composent essentiellement de toutes nos formes pensées.

Je m’explique ;

  • Si tes pensées sont toxiques, tu t’empoisonnes lentement mais sûrement, tu te suicides sans même t’en rendre compte !

  • Si au contraire tes pensées sont saines, tu favorises la croissance de ton corps et de ton âme.

Reporte-toi à cette très ancienne légende Cherokee, celle des deux Loups, pour bien en comprendre le sens !

Tu es ou tu deviens ce dont tu te nourris, et tu peux comprendre facilement que dans ce cas ta lumière, ne peut être que le reflet de ce que tu es, brillante ou éclairante !

L’obscurantisme qui sévit sur terre sait cela et réagit violemment pour te dissuader d’être ce porteur lumineux qui l’empêche de tourner en rond et de se nourrir de tes peurs, de tes haines, de ton désespoir…

Lorsque tu auras bien compris ceci, ton libre arbitre te fera opter pour l’un ou pour l’autre, mais sois bien conscient que ton choix influera sur tes récoltes !

Porteur de la lumière je suis, ou du moins j’ai pris conscient que je suis un éclaireur, ni plus ni moins !

Raymond MAGDELAINE

Premiers commentaires

Ce sont ici les tout premiers retours de celles qui ont osé dépasser leurs appréhensions sur le sujet suggéré par le titre et le sous-titre des chroniques, je les remercie chaleureusement de m’avoir révélé leurs impressions sur le fond !

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Pour l’instant ils sont moins nombreux les miens !

Mariana, Mon cher Ray je viens de terminer ton livre ! Non je ne lis pas lentement, mais c’était les vacances et j’avais mes petits chats ! Donc j’ai lu ! Quel humour et second degré, le fond est parfaitement dans mon élan… mon ascension ! Tout ce que j’avais en tête embrouillée ! Tu la dis ! T’es fort Ray !

Sylvie, un livre que j’ai aimé, un livre pour éveiller les consciences qui nous interroge sur notre relation à la mort et finalement qui nous parle essentiellement de la vie et de l’Amour que nous pouvons offrir à tous celles et ceux qui croisent notre chemin pour toute une vie ou pour quelques instants seulement. Un magnifique chant d’espoir dans la nature humaine !

Marie-France, chroniques de l’âme hors : j’en suis à « conversation au coin du feu ». Pas d’ennui de ma part, loin de là ! Des choses que je retrouve concernant les conférences entendues aux Mimosas, des choses que je découvre (l’horizon des évènements, la Genèse pour les nuls), des choses bien balancées (Pays de race blanche), des choses touchantes parce qu’elles sont expérimentées (une nouvelle aventure, le pardon, le doute, les médiums). J’admire les gens qui écrivent et qui osent se dénuder, ce n’est pas donné à tous.

 Oser affronter ses peurs c’est faire preuve de courage, mais cela manifeste aussi une volonté de découvrir la réalité qui se cache derrière les apparences pour pouvoir la vivre en conscience et pleinement.

Je souhaite que vous puissiez tous et toutes le faire, afin de vous libérer de vos entraves devenues inutiles et pouvoir ainsi goûter à la joie de vivre intensément votre incarnation !

Raymond MAGDELAINE