Archives quotidiennes :

La Mal à dit

Être malade, même gravement, est un message qu’exprime le corps physique qui nous dit « occupe-toi de toi pour gai rire, pour te soigner, car toi seul, et uniquement toi, peut le faire », les spécialistes aussi doctes soient-ils, ne sont que de vulgaires béquilles, pardon pour ceux d’entre vous qui êtes ces « béquilles », qui ne soignent pas, mais aident celui ou celle qui est capable de se « gai rire », merci à vous, merci pour eux !

La Maladie d’Amour, chante Michel Sardou ! Un hasard ou en plein dans le mille, comme par hasard ?

Elle Chante

C’est quoi la maladie d’amour Raymond, toi qui malgré ton air… sembles si savant ?

C’est ton corps qui te réclame d’arrêter de t’occuper de tout et de rien et de commencer par t’occuper de toi, car tu sembles avoir perdu dans ta quête extérieure, l’amour qui t’est essentiel pour vivre dans ton incarnation ta quête intérieure sur la voie de ta croissance dans la joie !

Comprends-tu ?

Non, je ne te demande pas si, tu sais… je sais que tu sais, tu es aussi savant que moi, même peut-être plus, cela je le sais… je te demande si tu as compris !

Non Marcel, ce n’est pas pareil, savoir, c’est accumuler une quantité plus ou moins faramineuse de connaissances, pour faire sérieux en les ressortant au bon moment de manière à bien épater la galerie !

Alors que vois-tu, Édouard, comprendre, c’est prendre, c’est puiser dans ce savoir pour te nourrir intérieurement !

Commences-tu à comprendre ?

Ton mal te dit ; « ce que tu fais ou essaye de faire pour autrui, c’est bien, mais vois-tu Victor, pour aider les autres, il faut que tu commences par t’aider toi-même, ensuite le ciel te viendra en aide pour te permettre d’être un guide pour les autres ! »

Pourquoi un guide Raymond ?

Relis ce que je t’ai dit plus haut, la force de guérison est en chacun de nous, les autres ne sont que des béquilles, des Simon de Cyrène, qui ne font que passer pour ne pas nous laisser sombrer, mais si nous l’avons décidé, d’une manière ou d’une autre ils ne peuvent pas nous empêcher de sombrer !

Comprends-tu ?

Bon ! J’ai une maladie très grave, les plus grands spécialistes que j’ai consultés me disent qu’ils ne peuvent plus rien faire pour moi, et, rajoutent, que je n’en est plus que pour quelques mois, que dois-je comprendre de cette maladie ?

Les grandes béquilles que tu as consultées, vois-tu, sont d’accord avec ce que j’annonce plus haut elles ne sont que des béquilles tout doctorant qu’elles soient !

Si tu continues à vouloir remonter le fleuve te ta vie à contrecourant, ils ont raison tes grands spécialistes, tu n’en as plus que pour quelques mois ou quelques semaines, car tu t’épuises inutilement !

Ce que tu dois comprendre ? « Toi seul le sais, c’est pour cela que je te dis et te le répète, tu ne peux pas être plus qu’une béquille pour les autres! »

La béquille qui te répond te dit avec certitude ceci ; « laisse-toi emporter par le courant de la vie, ne résiste pas, la maladie va répondre à toutes tes questions, dès que tu lâcheras prise, tes peurs s’évanouiront, aie confiance en la vie, elle fait des miracles, au contraire des béquilles qui sont impuissantes à gai rire ! »

L’onde de la vie sait ce qu’elle fait, l’univers n’est pas un « fluide » mortel ou mortifère, c’est au contraire un « fluide vivifiant », qui te demande de prendre soin de toi, de t’accorder de l’amour, pour qu’il puisse par conséquent te gai rire !

 

Le courant de la vie sait ce qu’il fait, l’univers n’est pas un fluide mortel ou mortifère, c’est au contraire un fluide vivifiant, qui te demande de prendre soin de toi, de t’accorder de l’amour, pour qu’il puisse par conséquent te gai rire !

Conjugue ce verbe avec moi ;

J’ai besoin d’amour, tu as besoin d’amour, il ou elle a besoin d’amour, nous avons besoin d’amour, vous avez besoin d’amour, ils ou elles ont besoin d’amour !

Voilà ce qu’elle te dit ta maladie d’amour !

Si tu continues à trop résister, la guérison risque de se produire là-haut plutôt qu’ici-bas, ce n’est pas une malédiction divine, puis que tu clame sur tous les toits que « Dieu n’existe pas », mais c’est ton choix, conscient ou inconscient, mais dans un cas comme dans l’autre, sache que c’est une forme de suicide !

Dieu existe, je parle pour moi, mais je sais que ce n’est pas lui qui décide à ma place si je veux guérir ici-bas ou dans l’au-delà, mais mon libre arbitre, alors que décides-tu.

Continuer à croître ici-bas, ou baisser les bras, parce que tu ne te fais plus confiance ?

Comprends-tu ?

Bon, tu sais aussi qu’à partir d’un certain moment il est trop tard pour guérir ici-bas et que tu décideras peut-être là-haut de te réincarner à nouveau pour terminer ce que tu étais venu essayer de comprendre ici-bas !

Vois-tu ?

 

Raymond MAGDELAINE