Archives mensuelles : novembre 2017

La genèse sur Gaïa

Au début était la matrice primordiale, celle d’un unique océan recouvrant la quasi-totalité de Gaïa, notre divine mère.

Dans cette soupe primordiale est apparue, une multitude de forme de vie, des êtres unicellulaires, qui croissaient dans cet univers aquatique et pour ce faire se nourrissait d’autres êtres unicellulaires comme lui, sans haine, à sa faim, préservant ainsi l’équilibre fragile des toutes premières créations, celles des premières formes de vie.

Ces premiers êtres primitifs avaient dans ce placenta originel un rêve celui de l’enrichir avec d’autres êtres un peu plus sophistiqués qu’eux !

L’un des rêveur, plus intuitifs, de tout sûr que les autres eut l’idée géniale de ne pas se nourrir d’un êtres unicellulaire passant près de lui, mais de lui proposer de fusionner avec lui !

Il venait d’inventer la première forme d’union librement consentie !

Sur Gaïa, venait d’apparaître la première forme de vie multicellulaire, ce qui plut énormément à Gaïa qui y vit, entre autres, une possibilité de croissance plus puissante, l’union faisant la force, c’est connu depuis la nuit des temps des premières formes de vie.

Puis, ces nouveaux êtres, ces nouvelles formes de vie, composées de deux êtres unicellulaires, vivant en parfaite harmonie (le tout premier yin et yang primordial), eurent un coup de foudre réciproque avec un autre être, qui passait par là, et avec qui ils s’unirent…

Le rêve de Gaïa « de multiplication des êtres » se réalisa dans un premier temps dans les océans, puis sur les terres qui commençaient tout juste d’y émerger !

Beaucoup d’eau, dirait-on à notre époque, à coulé sous le pont Mirabeau, aujourd’hui ce processus, devenu extrêmement sophistiqué, au point d’échapper complètement à la compréhension de l’être multicellulaire que nous sommes devenues, continue d’utiliser le processus de l’union libre, pour s’enrichir.

Le procédé initial, s’est considérablement perfectionné, mais la fusion d’un spermatozoïde avec un ovule, continue à procréer un autre être encore plus sophistiqué que celui de ces deux parents, à qui ils transmettent par la même occasion toutes les perfections et imperfections qu’ils ont héritées de leurs propres parents !

Nous ne sommes pas encore devenues, l’être ultime, loin de là, et s’il existe cet être ultime, ce doit-être celui que je nomme Dieu… mais c’est peut-être aussi autre chose que je ne peux encore, au stade de mon évolution, imaginer ni même rêver, car ce serait je pense, mettre la charrue avant les bœufs !

Je rêve qu’au terme de cette évolution sur Gaïa, la prochaine étape, sera d’unir deux de ces nouveaux êtres, en mutation constante, pour essaimer, une autre forme de vie, pouvant s’adapter à d’autres conditions que celles qui va atteindre, un jour ou l’autre, ses limites sur Gaïa !

Serons-nous, ou deviendrons-nous, un jour enfant des étoiles, dans une forme adaptée à nos nouvelles conditions de vie, je le crois dur comme fer, car ce sont de nos rêves que naissent nos nouvelles capacités de vie !

Cette nouvelle forme de vie, est-ce cela que l’on appelle l’ascension ?

Un corps de chair transmuté en corps de lumière ?

C’est ce à quoi nous assistons ici-bas… enfin pour ceux et celles qui sont un tant soit peu éveillés !

Raymond MAGDELAINE

Complétude

Homme, femme. Mâle, femelle. Spermatozoïde, ovule. Étamine, pistil. Yin, yang. Masculin féminin. Positif, négatif. Bien, mal. Ombre, lumière. Ciel, terre. Matière, vide. Soleil, planète, Feu, eau. Métal, bois, Amour, haine. Corps, esprit, Dieu, Satan, Jésus, Juda, Toi, moi…

Tout ceci et bien plus encore sont complément d’objet direct et indirect !

C’est parce qu’il est aimant que le Prince charmant est attirant !

Rien n’existe ou ne pourrait exister sans son opposé, sans son complément, la matière est le complément de l’antimatière, le plein complète le vide et vice versa…

Ôte un seul de ces éléments, n’importe lequel, ils sont tous essentiels… et tout l’univers s’effondre sur lui-même !

Étonnant ! Non ?

Comment ! rien ne t’étonne plus !

Tu viens de mettre le doigt sur la clé qui pourrait résoudre ton mal-être, mais bon il suffit que je te montre la clé qui pourrait te guérir, pour que par « ignorance crasse » tu te refuses à l’utiliser, rien que pour me faire « scier ».
Sais-tu qu’en t’obstinant à ne pas vouloir l’utiliser c’est la branche sur laquelle s’articule ta vie que tu scies, et quelque part, oui, cela me fait, non pas scier, mais de la peine, car je t’aime mon frère, ma sœur.

J’écoutais récemment Igor Bogdanov (1), dire au sujet du nombre « Pi », qui représente l’une des plus de douze (2) constantes fondamentales sur lesquelles l’univers tout entier se développe harmonieusement que si l’on modifie le 9 de la milliardième décimale après la virgule, en 8, tout s’effondre et rien de ce que l’on connaît ne pourrait plus exister !

Si tu arrêtes, si j’arrête, si nous arrêtons tous d’agir en même temps l’effet sur une partie de l’univers, dans ce cas, sur l’hominidé et tout ce qui de près ou de loin interagit dans le même sens que lui ou pas, va s’effondrer, lorsque le point critique de l’équilibre de l’évolution des espèces sur planète sera atteint !

Les scientifiques nous alertent depuis un certain temps déjà, en parlant de la sixième phase d’extinction des espèces de notre planète. » Jean » l’annonce dans l’apocalypse selon lui !

Homme de peu de foi, tu as pourtant des yeux et des oreilles, mais tu ne vois, ni n’entends, disait déjà, il y a plus de quatre mille ans le prophète Isaïe !

(1) Écoute ce que disent les frères Bogdanov dans cette interview éloquente, de mon point de vue !

(2) Pour l’instant, ces constantes, qui éblouissent les plus grands scientifiques sont inférieures à quinze !

Raymond MAGDELAINE

La trahison

Ce que nous prenons pour une trahison de l’autre, parce qu’il nous quitte, ne nous parle plus, ne nous aime plus (croit-on), disparait sans crier gare de notre vue… et tant d’autres choses, pouvant donner l’illusion d’une haute trahison à notre égard !

Ce « jugement péremptoire » n’est en fait que le mouvement incessant des vagues et des courants dont est animée en permanence la « vie » ici-bas et surement au-delà. Telles deux branches d’arbres qui flottent sur les eaux tumultueuses d’un torrent, d’un fleuve, d’une rivière… qui un jour se rencontrent, voguent un temps ensemble puis se séparent, l’une entrainée par son propre courant (son chemin de vie) va continuer à suivre sa voie, alors que l’autre branche va poursuivre la sienne, sur son chemin qui fût un temps parallèle l’autre !

Michel(le), penses-tu vraiment que ce soit une trahison ?
Oui, tu le penses !

Je vais te dire Marcel(le), si tu le penses c’est que tu observes la vie par le petit trou de la serrure de tes souffrances !

Tu te fais une idée erronée de la vie !

En vérité je te le dis ; « je n’ai jamais cessé de t’AIMER ! »

Tu affiches très souvent sur ta page des citations d’hommes ou de femmes célèbres, qui te disent que nous faisons partie d’un tout, que des liens invisibles nous unissent tous les uns aux autres et que sais-je encore… citations qui sous-tendent toutes, l’idée que si nous sommes poussière, nous jouons tous un rôle fondamental dans ce « grand tout » qu’est la vie !

Ce que tu prends pour une trahison envers ton petit égo souffrant de ses peurs et de ses limitations, n’est en fait qu’un mouvement naturel et ordonné (1) de la vie pour réaliser le plan du grand architecte de l’Univers !

Nous ne sommes que des pions, sur le grand échiquier, que la vie (le grand architecte) déplace… pas pour te faire « scier », mais pour réaliser l’œuvre de la vie, dont tu es l’un(e) des nombreuses artisan(e)s !

Arrête de psalmodier sans cesse que personne ne t’aime ou que tout le monde te trahit, parce que tu ne te sens plus le centre de l’univers !

Sache, bon sang de bonsoir, que tu n’es pas, que nous ne sommes pas le centre de l’univers, autrement dit que tu n’es pas Dieu, le comprends-tu « Nom de Dieu ! » (2)

(1) Le désordre n’est qu’apparent, il suffit de prendre du recul, pour réaliser qu’il n’est en fait qu’harmonie !

(2) Ne t’inquiète pas pour moi, Dieu n’est pas aussi susceptible que toi, ou que moi !

Raymond MAGDELAINE

La coupe

Tous les êtres humains cherchent à étancher une soif inextinguible de savoir, du genre ; qui sont-ils, d’où viennent-ils, où vont-ils… et d’autres du même acabit !

Leur quête consiste à remplir leur coupe quand elle est vide, la coupe ici est l’équivalent du verre d’eau qui leur permet d’étancher la soif de leur corps, la coupe elle leur permet aussi d’étancher la soif de savoir de leur âme, pour répondre à ses questions fondamentales.

Il est venu essayer d’étancher notre soif, l’as-t compris ?

Autant d’êtres humains, autant de chemin, autant de voie, autant de questionnements différents par les mots employés, mais identiques sur le fond de la recherche ; qui suis-je ?

On entend souvent l’expression, ma coupe est vide ou ma coupe est pleine !

  • Quand elle est vide je ne me sens pas bien, il me manque quelque chose d’essentiel, de vital !
  • Quand elle est pleine, je ne me sens pas mieux, il me manque toujours quelque chose d’essentiel et de vital !

Si on peut comprendre facilement qu’une coupe vide puisse être à l’origine d’un manque qui provoque chez nous un malaise, il est moins évident d’appréhender cet état de malaise subsistant quand notre coupe est pleine !

Pourtant, ce malaise signe notre inaptitude au partage. Je m’explique, bien sûr, lorsque ma coupe est pleine je vais y étancher ma soif, et comme la vie est généreuse, après l’avoir étanché nous constatons tous que la coupe n’est jamais vide, le malaise tient uniquement à ce fait !

Que devons-nous faire de ce qu’il reste dans notre coupe ?

La réaction la plus classique consiste à croire que le reste est pour nous, afin d’étancher notre prochaine soif !

Eh bien ! Pas du tout, notre malaise est dû au fait que ce qui reste dans la coupe n’est pas fait pour ce que l’on croit, mais est fait pour être offert à ceux qui autour de nous, nos proches, nos amis, ceux que l’on croise par hasard (croit-on), afin qu’il puisse à leur tour étancher leur soif.

Il n’y a que l’être humain qui a ce réflexe pathologique de conserver jalousement son trop-plein, le cerisier ou la planche de gariguette qui sont dans ton jardin, te permettent toutes deux d’étancher ta soif de fruits rouges et offre ce reste et qui est la part la plus importante à tous ceux qui ont soif.

Notre malaise face à notre coupe encore pleine, est uniquement due au fait que nous humain, ne partageons pas notre trop-plein, et ce trop-plein engendre la même conséquence que la manque.

Réfléchis bien toi qui viens d’être quitté par celui ou celle qui a pourtant vécu à tes côtés pendant une longue période, pourquoi part-il ou pourquoi part-elle ?

As-tu, chaque fois que ta coupe était pleine partagé avec lui ou avec elle l’excédent de son contenu ?

Être en couple, ou pas d’ailleurs, n’exclus pas le partage, offrir ce qui reste dans ta coupe aux autres ne te priveras de rien puisque que l’univers pourvois à tes besoins et remplit toujours ta coupe pour continuer à étancher ta soif et celle des autres !

Ta coupe est encore pleine, verse-là dans la coupe vide de ceux qui ont soif !

Ta coupe est vide, tends-là vers ceux qui ont étanché leur soif, tu trouveras toujours sur ton chemin, celui ou celle qui a du cœur, dit autrement ; tu rencontreras toujours quelqu’un qui a compris qu’une coupe pleine n’est pas faite pour un usage exclusif… oui tu le ou la rencontreras, car ils/elles sont de plus en plus nombreuses sur Gaïa.

Ceci est un message subliminal à tous ceux qui ont le cul cousu d’or… enfin s’ils sont encore en capacité de le percevoir ! Mais je ne désespère pas, un jour prochain, de me faire entendre par eux !

Raymond MAGDELAINE

Dialogue avec Papa

Quelques dialogues intenses extraits du film

Le chemin du pardon – La cabane

Mac (au plus profond du gouffre de sa grande tristesse)
Papa (Dieu se manifestant sous deux aspects [f] féminin et [m] masculin)

Rencontre avec Papa

Mac : « Pourquoi m’as-tu ramené ici ? »
Papa (f) : « C’est ici que ton cœur c’est échoué ! »

Là où ton cœur c’est échoué !

Papa (f) :
« Je sais qu’un grand gouffre c’est ouvert entre nous ! »
« Quand ta douleur est tout ce que tu vois, c’est moi que tu perds de vue ! »

Mac : « Pourquoi as-tu abandonné ton fils (sur la croix) ? »
Papa (f) : « Tu as mal compris le mystère. »
Elle lui montre les stigmates de la crucifixion sur ses propres bras.
« L’amour laisse toujours des marques »
« Cette épreuve, nous l’avons vécu ensemble ! »

Papa (f) et Mac observent un oiseau perché sur la branche d’un arbre.
Papa : « Regarde comme il est magnifique… lui je l’ai créé pour voler .»

« Toi je t’ai créé pour aimer et être aimé .»

« Nous allons t’apprendre à voler ! »

Papa (f) et Mac prennent leur petit déjeuner ensemble, Mac vient de sortir d’un affreux cauchemar.
Papa : « Les rêves sont importants, ils ouvrent une fenêtre qui renouvelle l’air vicié ! »
Mac réagit durement en exprimant sa grande colère contre ce Père tout puissant qui a laissé commettre cet acte odieux contre sa petite fille (Missy) !
Papa :  « Mac, tu vois la vie par le petit trou de la serrure de ta peine ! »

A suivre…

 

Ceci n’est qu’un avant-goût, pour vous inviter à voir ce film, qui de mon point de vue contient de nombreuses clés universelles, elles n’ouvrent pas toutes les portes, mais elles en ouvrent un grand nombre, commune à l’humanité !

Raymond MAGDELAINE

Le masculin et le féminin

Je ne te parle pas uniquement du couple « un homme, une femme » !

Non, je te parle bien du « masculin sacré » et du « féminin sacré » que nous avons tous en nous, que nous soyons hommes ou femmes !

Tu comprends, j’espère, pourquoi l’amour n’est pas que l’attraction d’un homme et d’une femme, il peut attirer aussi deux hommes ou deux femmes !

J’ai écrit « j’espère », car pour comprendre ce qui va suivre il faut que tu te sois débarrassé de tous tes préjugés sur ce masculin et ce féminin.

Les êtres humains, mais pas qu’eux sont composés de ces deux parties indissociables, l’une de l’autre, qu’ailleurs on nomme le « yin » et le « yang » le yin étant, entre autres l’équivalent du féminin, et le yang l’équivalent entre autres du masculin.

Tu vois qu’ici, je suis assez éloigné de la vision restreinte et à terre à terre d’un « homme… une femme… chabadabada… »

  • Le masculin c’est aussi, entre autres l’analytique, l’utilisation plus fréquente chez nous les hommes (les vrais, les durs, les tatoués…) du lobe gauche de notre cerveau !
  • Le féminin c’est aussi, entre autres l’intuitif, l’utilisation plus fréquente (chez nos compagnes) du lobe droit de notre cerveau !

Tu commences à comprendre pourquoi nous ne sommes pas toujours sur la même longueur d’onde, et pourquoi aussi dans un couple il peut y avoir autant de mal entendu ?

Le comprends-tu ma sœur ?

Ce que je cherche vraiment à te faire comprendre, c’est que cette caractéristique commune à l’homme et à la femme est en train de se diluer, de s’estomper… transformation des espèces sur Gaïa oblige !

L’homme développe de plus en plus son féminin sacré… pour ne pas que tu t’emballes trop vite, entends par là, son côté intuitif, son lobe droit. Et la femme en fait de même avec son masculin sacré, entends toujours pour les mêmes raisons, son côté analytique, son lobe gauche !

L’évolution sur Gaïa, nous propose, entre autres choses une transformation progressive, de toutes les espèces qu’elle abrite, qui se concrétise par une fusion, une dilution, de ces deux caractéristiques, ressentie par l’espèce humaine, qui aura à terme des conséquences, sur la manière dont l’espèce va se perpétuer, nous allons vers une forme, pas encore bien compréhensible pour le commun des mortels, que je suis aussi, androgyne !

Penser autrement c’est, ne pas avoir encore bien compris que nous ne sommes pas dans une phase aboutie de notre évolution, mais bien dans une phase de croissance, qui pour l’instant n’est pas encore bien admise ou comprise par l’homme et la femme, quoique la femme, plus intuitive que nous, pour l’instant… commence à la percevoir mieux que nous, mais à l’heure actuelle, ceci n’est plus une évidence !

Être ou ne pas être est toujours d’actualité cher Monsieur Shakespeare !

Accepter notre transformation nous devons !

Raymond MAGDELAINE

 

Redevenir électron libre

Nous sommes tous des « électrons libres », je suis, vous êtes, nous sommes libres, libres de nos choix, libres de nos actes, libres d’être ou de ne pas être !

En électricité, il est énoncé que les électrons libres n’appartiennent à aucun atome, ils sont attirés ou repoussés par la polarité des « ions »1 qui sont à proximité d’eux, aucun atome n’emprisonne aucun électron.

Un atome va échanger, l’un de ses électrons de charge négative en passant à proximité d’un ion positif. Les électrons ne cessant de se mouvoir créent un champ magnétique autour de la forme dans laquelle ils se meuvent. Nous savons depuis peu que ce champ est informationnel, autrement dit il contient des informations qui vont exciter (inciter ou pas) les électrons qui passent à proximité.

Pour quoi Raymond tu nous parles d’atome et d’électron, quel rapport il y entre nous et eux, tu délires encore ?

Oui, si tu veux, je délire… moi, je pense, plutôt que je te délivre une information qui peut te permettre de comprendre, pourquoi, plus que ton mental, tes intuitions vont te permettre de faire le bon choix à un moment donner ou à un autre dans ta vie et dans toutes les situations que tu y rencontres, tu sais, celles que tu appelles le hasard !

Pourquoi est-ce que je te parle des atomes et des électrons qui les composent ? Parce ce sont les briques fondamentales de tout le vivant et même de tout ce que tu crois être inerte ! Étonnant non ?

Ce champ informationnel autour des atomes qui nous constituent, qui constituent toutes nos cellules, tous nos organes, nous permet de capter ce dont notre organisme tout entier à besoin, et où il n’est nul besoin que notre mental sache ce dont il a besoin.

Comment ce champ informationnel peut-il savoir ce dont nous avons besoin, sans que nous (être doté d’intelligence) nous ayons besoin de le savoir ou même de le vouloir ?

  • Premièrement, la plus importante, parce que notre intelligence est encore très loin d’avoir compris ce que nous sommes et ce dont nous avons besoin, un jour peut-être, nous finirons par le savoir, mais beaucoup d’eau aura coulé sous le pont Mirabeau !
  • Secondement, et le plus étonnant, c’est que ce champ est une des plus petites pièces d’une conscience cosmique qui gère, à un niveau encore en dehors de toute compréhension humaine, tout ce qui est et vit dans l’univers, même tout ce qui nous semble encore inerte !

Tout ceci n’est pas que le point de vue du simple d’esprit que je suis, mais c’est aussi le point de vue de plus en plus émergeant d’une partie de nos plus éminents scientifiques, qui continuent de révolutionner nos croyances erronées, sur ce sujet passionnant et passionné qui occupe l’esprit des êtres humains depuis leur apparition sur Gaïa !

Être un électron libre, pour un être humain, c’est se laisser guider par ses intuitions, son propre champ informationnel qui l’entoure et dans lequel il va puiser sans en avoir la moindre idée, ce dont il a besoin pour vivre et se transformer.

Sa plus grande problématique, à l’être humain en général, c’est qu’il croit, dur comme fer, savoir ce dont il a besoin, ou qu’il croit tout ce qu’on lui dit de croire et c’est ici que c’est électron libre que nous sommes se laisse attacher, par tous ceux qui lui veulent, soi-disant, du bien ! Et c’est ici aussi que commence son enfer, ses maladies (son mal a dit), ses errements qui le focalisent sur son mal être, l’empêchant de reconnaître sa nature profonde d’électron libre.

Pendant que tu crois tout ce que l’on te raconte, pour t’enfermer dans ta cage ou tu crois vivre, d’autres empruntent, depuis toujours, la voie de l’électron libre, celle où ils croissent, avec au cœur la joie de vivre pleinement et dans la joie leur incarnation ici-bas.

Électron libre, j’ai choisi d’être, et toi ?

Raymond MAGDELAINE

Un ion est un atome avec un électron de plus (ion négatif) ou de moins (ion positif) ce qui explique qu’il puisse attirer ou repousser d’autres électrons libres !